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QUALITE DES SOINS ET DES SERVICES DE SANTE
L’OMS la définit comme étant « le fait de délivrer à chaque patient l’assortiment d’actes diagnostiques et thérapeutiques qui lui assurera le meilleur résultat en terme de santé, conformément à l’état actuel de la science médicale, au meilleur coût pour un même résultat, au moindre risque iatrogène et pour sa plus grande satisfaction en terme de procédures, de résultats et contacts humains à l’intérieur du système de soins » [47].
Pour le ministre de la santé et de la prévention, la qualité des soins et services de santé est : « l’exécution correcte d’interventions conformes à des normes et des procédures préétablies, dans le but de satisfaire les clients du système de santé du Sénégal et maximiser les résultats sans générer des risques pour la santé ou des couts inutiles » [32].
Ainsi depuis toujours la qualité était partie intégrante de la déontologie de chaque acteur professionnel de la sante, depuis un siècle on se préoccupe de la qualité des soins pour différentes raisons, dont dont les principales peuvent être résumes en deux familles.
La première regroupant l’arsenal humain, scientifique et technique pour l’action de préservation et de restauration de la sante des individus et des groupes ; la seconde associant celles lies aux divers aspects de l’économie de la sante.
Les questions de la « qualité des soins » sont aujourd’hui largement débattues. Il s’agit de savoir si, comme le présageaient les recommandations de l’Initiative de Bamako, une amélioration de la qualité des soins, rendue possible par un accroissement des ressources propres des structures de soins, ne pallierait pas les effets négatifs de l’introduction du paiement des soins par les usagers [7].
Chaque système fournissant des soins de santé devrait comprendre des mécanismes permettant d’en garantir la qualité. Ce sont surtout les médecins qui devraient accepter la responsabilité de veiller à la qualité des soins médicaux qui sont prodigués. Ils ne devraient pas tolérer que d’autres considérations, portant sur l’accès aux soins, viennent compromettre leur qualité.
L’une des composantes unanimement reconnue de la qualité des soins est la disponibilité en médicaments, d’autant plus essentielle, que la dépense en médicaments est le poste le plus important des dépenses.
En effet l’accueil, la marque de compassion, le respect du patient en tant que personne, le temps consacré au malade par le soignant, les explications prodiguées, l’honnêteté dans le comportement des professionnels de santé sont autant d’éléments de la qualité perçue par les usagers.
Tous ces facteurs conditionneraient l’utilisation des services de santé de premier niveau, que ce soit pour des soins curatifs, pour des soins préventifs [7].
EQUITE DANS LA SANTE
Elle veut dire :
-un égal accès aux soins de santé disponibles pour les mêmes besoins
-une égale utilisation pour ces mêmes besoins
-une égale qualité de soins pour tous
Pour illustrer les facteurs d’inéquité on peut dire que les services de soins sont concentrés en zone urbaine au détriment de zones périurbaines et rurales.
LE RECOURS AUX SOINS
Le recours aux soins : c’est l’appel aux services de santé et au système de soins. Elle est l’expression personnelle et la manifestation de la morbidité ressentie et/ou diagnostiquée qui se traduit par une consommation médicale [30].
DEFINITION
« C’est un ensemble d’élément qui sont interdépendants qui interagissent en utilisant des ressources pour assurer un cycle d’activités aboutissant à des résultats spécifiques qu’aucun des éléments pris isolement ne peut produire.
Ce sont les institutions permanentes organisées en réseau selon la structure administrative d’un pays. »[29]
Ainsi « Chaque jour, la vie d’innombrables personnes dépend du système de santé ; de la mise au monde dans des conditions de sécurité de bébés en bonne santé, aux soins gériatriques dispensés à des personnes fragiles sans porter atteinte à leur dignité. Les systèmes de sante exercent en permanence des responsabilités essentielles à l’égard de gens de tous âges. Ils sont indispensables à un développement sain des individus, des familles et des sociétés dans le monde entier » [37].
Le nouveau cadre de l’OMS met l’accent sur trois objectifs clés des systèmes de santé :
• Instaurer dans une population une bonne santé en élevant son niveau général et en améliorant sa répartition parmi la population ;
• renforcer la capacité d’un système de santé à répondre aux besoins et aux attentes d’une population ;
• veiller à l’équité des contributions financières de sorte que chaque ménage paie une part des dépenses de santé du pays proportionnelle à ses moyens.
TYPES DE SERVICES
Il existe au Sénégal différents types de services publics ou privés.
Le secteur privé lucratif comprend les cliniques et cabinets médicaux installés surtout en zone urbaine et en majorité dans la région de Dakar.
Il fait partie intégrante du système de santé et est sous l’autorité du ministère de la santé et de la prévention.
Cependant il existe des structures relevant d’autres ministères qui contribuent à l’amélioration de la couverture sanitaire
Exemples : centre médico-social de l’Ipres
Centre médico-social des fonctionnaires
Centre médico-social de la douane
ORGANISATION DU SYSTEME DE SANTE
Le système de santé au Sénégal est organisé selon les recommandations du scénario du développement à trois niveaux proposés depuis 1985 par le bureau de la région d’Afrique de l’OMS [29].
Selon le rapport sur la santé dans le monde, le système de santé du Sénégal occupe la 59ème place pour ce qui est du niveau de performance global (4ème de la région africaine de l’OMS) [37]. Le système de santé du Sénégal est un système mixte reposant sur une offre de soins publique et privée. Le secteur public de soins fournit l’essentiel des soins ambulatoires et hospitaliers. Il repose sur une organisation pyramidale à trois niveaux :
• L’échelon périphérique correspond au district sanitaire. Le district sanitaire est assimilé à une zone opérationnelle comprenant au minimum un centre de santé (CS) et un réseau de postes de santé (PS).
Il couvre une zone géographique pouvant épouser un département entier ou une partie de département. Chaque district ou zone opérationnelle est gérée par un médecin-chef. Les postes de santé sont implantés dans les communes, les communautés rurales ou les villages et sont gères par des infirmiers; ils polarisent au niveau rural des infrastructures communautaires (cases de santé et maternités rurales) .
• L’échelon régional qui correspond à la région médicale comprend onze (11) régions médicales. C’est la structure de coordination du niveau régional ou intermédiaire et elle correspond à une région administrative. Elle est dirigée par un médecin de santé publique qui est le principal animateur de l’équipe cadre composée de l’ensemble des chefs de service rattachés a la région médicale. Au niveau de chaque région, la référence régionale est représentée par un hôpital ou établissement public de santé (EPS) de niveau 2.
• L’échelon central ou national : il comprend outre le cabinet du ministre, les sept directions et services rattachés, les sept hôpitaux nationaux ou établissements publics de santé de niveau 3.
Le Sénégal a mis en place un système de référence et de contre référence basé sur le système pyramidal pour l’orientation des malades et le transfert d’informations sanitaires entre le niveau périphérique (PS et CS) et les structures hospitalières.
Les Centres Hospitalo-universitaires constituent le derniers recours.
La Pharmacie Nationale d’Approvisionnement (PNA) coordonne les activités liées aux médicaments et réactifs au niveau des structures sanitaires. Elle approvisionne et supervise les pharmacies régionales (PRA) qui jouent le même rôle avec les districts.
D’importants programmes de santé issus des composantes des soins de santé primaires sont en exécution dans le cadre de l’application de la politique nationale de santé. Ces programmes sont les suivants : [32]
o Programme Elargi de Vaccination (PEV)
o Programme National de Santé de la Reproduction,
o Programme de Lutte contre les Maladies Diarrhéiques
o Programme de Surveillance Nutritionnelle et Pondérale des enfants o Programme de Lutte contre les MST/SIDA
o Programme de Lutte contre la Lèpre
o Programme de Lutte contre le Paludisme o Programme de Lutte contre la Tuberculose o Programme de Lutte contre la Bilharziose o Programme de Lutte contre la Cécité
o Programme d’Eradication du Ver de Guinée o Programme des Médicaments Essentiels
o Programme Eau, Hygiène et Assainissement
SITUATION SANITAIRE DU SENEGAL
INFRASTRUCTURES SANITAIRES
Le Sénégal, dans son objectif d’accessibilité à des soins pour tous, a opté pour une décentralisation des structures de santé.
Cependant pour le secteur public, le dispositif sanitaire sénégalais est de [25] :
– soixante quatre(64) centres de santé
– vingt deux (22) hôpitaux dont 18 sont fonctionnels
– huit cent quatre-vingt-huit (888) postes de santé (dont 868 fonctionnels) -mille quatre cent cinq (1405) cases de santé
-quatre cent soixante seize(476) maternités
Ainsi les ratios par rapport a la population sont de : [6]
Un poste de santé pour 11 500 habitants (10 000 selon les normes de L’OMS) Un Centre de Santé pour 175 000 habitants (50 000 selon les normes de l’OMS Un hôpital pour 480196 habitants (150 000 selon les normes de l’OMS)
Le secteur privé joue un rôle important dans le dispositif de santé. On distingue le secteur privé à but lucratif et le secteur à but non lucratif (secteur confessionnel et médecine d’entreprise). Ce secteur privé dispose : [12]
-D’un hôpital
-De trente sept (37) cliniques
– De cinq cent cinquante un (551) cabinets médicaux et des services médicaux d’entreprises
-De cinq cent soixante sept (567) infirmeries privées
-De sept cent (700) officines de pharmacie
-D’une vingtaine de laboratoires d’analyses médicales.
La médecine traditionnelle reste pour la grande majorité des sénégalais, le premier recours en matière de santé primaire.
En analysant le système sanitaire on peut remarquer une concentration relative des infrastructures sanitaires dans les grands centres urbains au détriment des zones rurales qui abritent la majorité des populations. Les problèmes qui se posent dans le secteur de la santé au Sénégal comme en Afrique d’ailleurs peuvent être imputés au maintien de la structure hiérarchisée du colonisateur.
PERSONNEL SANITAIRE
Le nombre d’agents de santé d’un pays est un indicateur clé de sa capacité à étendre la couverture des prestations [38]. Cependant la situation du personnel est loin d’être satisfaisante comparée aux normes de l’OMS
Ainsi selon les statistiques de 2004 le Sénégal compte : [6]
-cinq cent quatre-vingt-quatorze (594) médecins
– trois mille deux cent quatre-vingt-sept (3287) infirmiers
– quatre-vingt-dix-sept (97) dentistes
– quatre-vingt-cinq (85) pharmaciens
Les ratios par rapport a la population sont de :
• Un médecin pour 9699 habitants (5000 à 10000 selon les normes de l’OMS) – 2001
• Un infirmier pour 3137 habitants (300 selon les normes de l’OMS)- 2001
• Une sage-femme pour 4299 habitants (300 selon les normes de l’OMS) – (2001)
En raison des difficultés économiques, la situation sociale s’est dégradée progressivement, ce qui a aggrave l’état sanitaire déjà déficient de la population .Malgré les progrès réalisés, les structures de sante du Sénégal, restent encore bien en deçà des normes de l’OMS. En outre, des disparités sérieuses existent et la région de Dakar est privilégiée par rapport au reste du pays.
INDICATEURS SANITAIRES RESULTATS: EDS (2005)[6]
Mortalité maternelle : 435décés pour 100 000 naissances vivantes VIH sida : 0,7 %
Utilisation des moustiquaires : 14 % enfants < 5 ans
Espérance de vie à la naissance h/f (2004) : 54.0 / 57.0 années
Espérance de vie en bonne santé à la naissance h/f (2002) : 47/49années
Quotient de mortalité infanto-juvénile (pour 1000 naissances vivantes): 116
Mortalité de infantile h/f (pour 1000) : 141 / 132
Mortalité de l’adulte h/f (pour 1000) : 307 / 236
DEFINITIONS
Médicament
C’est : « toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines et animales ainsi que tout produit pouvant être administré à l’homme ou à l’animal en vue d’établir un diagnostic ou restaurer, corriger ou modifier leur fonction organique »[31].
Médicaments essentiels
Médicament faisant partie d’une liste indicative mise à jour régulièrement par l’organisation mondiale de la santé (OMS) et ayant pour caractéristique d’être de première nécessité selon les besoins locaux d’un pays en voie de développement.
Ces médicaments essentiels, tels que définis par l’Organisation Mondiale de la Santé (ou OMS), sont ceux qui satisfont aux besoins de santé de la majorité de la population. Ils doivent être disponibles à tout moment dans des quantités adéquates et dans des formulations appropriées, à un prix abordable pour les individus et pour la communauté [35].
La disponibilité du médicament donne confiance aux populations pour la fréquentation des services de santé et dans la communauté. Sa présence et son efficacité sont les facteurs clés pour créer et maintenir la participation des populations dans les activités sanitaires.
L’OMS publie régulièrement une liste modèle de médicaments essentiels. Chaque pays est encouragé à préparer sa propre liste en prenant en compte les priorités locales.
Aujourd’hui, plus de 150 pays ont publié une liste officielle de médicaments essentiels.
La liste de l’OMS contient une liste principale et une liste complémentaire.
La 15ème édition de la liste modèle de l’OMS a été publiée en mars 2007, et la première liste des médicaments essentiels à destination des enfants date d’octobre 2007 [32].
FONDEMENT DE LA POLITIQUE DES MEDICAMENTS
C’est une composante de la politique sanitaire et sociale qui a pour objectifs d’assurer le bien-être des populations, particulièrement d’améliorer l’état de santé des dites populations pour la réduction de la mortalité, de l’invalidité et des problèmes sociaux.
L’intervention de l’État dans le domaine de la santé se justifie par le rôle qui lui est dévolu par la Constitution qui stipule en son article 14 que l’État et les collectivités publiques ont le devoir social de veiller à la santé physique, morale et mentale de la famille.
L’État Sénégalais fait siennes des dispositions contenues dans les traités internationaux en matière de santé, notamment le pacte international relatif aux droits économiques et sociaux, la charte de développement sanitaire de la région africaine d’ici l’an 2000, la déclaration d’Alma-Ata, l’IB
Ainsi le ministre de la santé lors de sa déclaration de politique nationale de santé a défini un certain nombre d’objectifs stratégiques et ce sont les objectifs 6 et 7 qui s’intéressent à la politique les médicaments [28].
-Objectif 6 : Rationaliser l’utilisation du médicament
Stratégie 1 : révision et adoption de listes de médicaments essentiels à chaque niveau. Stratégie 2 : élaboration de guides thérapeutiques standards pour les maladies les plus fréquentes.
Stratégie 3 : sensibilisation et information des prescripteurs et des populations à l’utilisation des médicaments essentiels.
-Objectif 7 : Améliorer le système de production, d’approvisionnement et de distribution du médicament
Stratégie 1 : nécessité d’assurer à la PNA une autonomie de gestion et d’approvisionnement. Stratégie 2 : nécessité d’assurer à la PNA un système d’approvisionnement régulier, compétitif et souple surtout en médicaments essentiels.
Stratégie 3 : nécessité de décentraliser le circuit d’approvisionnement et de distribution du médicament.
Stratégie 4 : nécessité d’assurer une meilleure gestion du stock à tous les niveaux du système.
Stratégie 5 : promotion de la production locale au niveau des formations sanitaires.
Stratégie 6 : renforcement du contrôle des médicaments
MEDICAMENTS ESSENTIELS DANS LES SSP
Pour l’OMS, « les médicaments doivent être partout et pour tous »[35]
Au Sénégal en 1990, il a été adopté une politique des médicaments essentiels par arrêté ministériel fixant des médicaments des cases de santé, postes de santé, centres de santé et hôpitaux régionaux. La notion de médicament essentiel combine les priorités de l’approvisionnement avec les priorités de la santé publique.
Elle vise principalement a fournir à la plus partie de la population des médicaments qui conviennent le mieux pour prévenir et traiter les affections les plus courantes. Ces médicaments figurent en principe sur une liste établie sur la base des besoins sanitaires du pays. Cette politique des médicaments essentiels composante de l’initiative de Bamako, vise à renforcer les soins de santé primaires, en vue d’accélérer l’instauration de la santé pour tous avec une stratégie dont les objectifs sont les suivants :
-minimiser les coûts des médicaments pour accroitre leur accessibilité aux plus démunis.
-renforcer le processus de gestion d’un système de santé et la disponibilité permanente de ces médicaments au niveau des formations sanitaires publiques, surtout celles de base
-favoriser la participation des comités de santé, et un système de recouvrement du coût des médicaments pour renouveler les stocks de début mis en place par l’état [29].
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Table des matières
NTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
CHAPITRE I : RAPPELS SUR LES REFORMES SANITAIRES
1- LES SOINS DE SANTE PRIMAIRES
1-1CONTEXTE ET PRINCIPES DE BASE
1-2 LES 8 COMPOSANTES
2 -L’ INITIATIVE DE BAMAKO
2-1 –CONTEXTE
2- 2 OBJECTIFS
CHAPITRE II : CONCEPTS ET PRINCIPES DE L’ACCESSIBILITE ET DE LA QUALITE AUX SOINS
1-L’ACCEESIBILITE AUX SOINS DE SANTE
2-QUALITE DES SOINS ET SERVICES DE SANTE
3-EQUITE DANS LA SANTE
4-RECOUR AUX SOINS DE SANTE
CHAPITRE III : SYSTEME DE SANTE SENEGALAIS
1-DEFINITION
2-TYPES DE SERVICES
3-ORGANISATION DU SYSTEME DE SANTE
4-SITUATION SANITAIRE DU SENEGAL
4-1 INFRASTRUCTURES SANITAIRES
4-2 PERSONNEL SANITAIRE
4-3 INDICATEURS SANITAIRES
4-4 FINANCEMENT DE LA SANTE
CHAPITRE IV : POLITIQUE DES MEDICAMENTS
1-DEFINITIONS
1-1MEDICAMENT
1-2 MEDICAMENT ESSENTIEL
2-FONDEMENT DE LA POLITIQUE DES MEDICAMENTS
3-MEDICAMENTS ESSENTIELS DANS LES SOINS DE SANTE PRIMAIRES
CHAPITRE V : MEDECINE DE PROXIMITE
2EME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL BUT ET OBJECTIFS DE L’ETUDE
1-BUT
2-OBJECTIFS
2-1OBJECTIF GENERAL
2 -2 OBJECTIS SPECIFIQUES
CHAPITRE I : METHODOLOGIE
1-CADRE DE L’ETUDE
1-1 JUSTIFICATION DU CHOIX DU SUJET
1-2 DONNEES PHYSIQUES DE LA REGION
1-2-1 LIMITE GEOGRAPHIQUE
1-2-2 CLIMAT ET VEGETATION
1-2-3 HYDROLOGIE ET GEOLOGIE
1-3 CARACTERISTIQUES ADMINISTRATIFS, DEMOGRAPHIQUES ET SOCIO CULTURELS
1-4 SITUATION SOCIO-ECONOMIQUE
1-5 SITUATION SANITAIRE
4-ECHANTILLONNAGE ET ECHANTILLON
4-1METHODES D’ECHANTILLONNAGE
4-2 TAILLE DE L’ECHANTILLON
5-METHODE DE RECUEIL DES DONNEES ET VARIABLES ETUDIEES
5-1 INSTRUMENTS DE COLLECTE DES DONNEES
5-2 VARIABLES ETUDIEES
6-METHODE DE TRAITEMENT DES DONNEES
7-LIMITES ET DIFFICULTES RENCONTRES
CHAPITRE II: RESULTATS
1 ENQUETE DE LA POPULATION
1-1 ETUDE DESCRIPTIVE
1-1-1 CARACTERISTIQUES GENERALES DE LA POPULATION D’ETUDE
1-1-1-1 REPARTITION DE LA POPULATION PAR LOCALITE
1-1-1-2 CARACTERISTIQUES SOCIO DEMOGRAPHIQUES ET ECONOMIQUES
1-1-2 ATTITUDES ET COMPORTEMENTS DE LA POPULATION VIS AVIS DES STRUCTURES SANITAIRES
1-1-2-1RECOURS THERAPEUTIQUE
1-1-2-2 FREQUENTATIONS PAR TYPE DE STRUCTURES SANITAIRES
1-1-2-3-DELAI AVANT RECOURS AUX SOINS
1-1-2-4 DUREE D’ATTENTE DES USAGERS DE SERVICES DE SANTE
1-1-3 ACCESSIBILITE PHYSIQUE AUX SOINS
1-1-3-1-DISTANCE MOYENNE ENTRE LE LIEU DE CONSULTATION ET LE DOMICILE DES USAGERS
1-1-3-2 .LES MOYENS DE TRANSPORT UTILISES
1-1-3-3 DUREE MOYENNE DU TRANSPORT
1-1-4 ACCESSIBILITE FINANCIERE AUX SOINS ET MEDICAMENTS
1-1-4-1 MODE DE PAIEMENT DES SOINS ET MEDICAMENTS
1-1-4-2 COUT MOYEN DES SOINS ET MEDICAMENTS
1-4-3-CAPACITE FINANCIERE A PAYER LES SOINS
1-1-4-4 POPULATION INCAPABLE A PAYER LES SOINS
1-1-4-5 EXISTENCE D’UNE MUTUELLE DE SANTE
1.1-4-6 LA POPULATION FACE AUX COUTS DES SOINS ET MEDICAMENTS
1.1-5 QUALITE DES PRESTATIONS DES SERVICES DE SOINS
1-1-5-1 SUR LES DES SOINS ET MEDICAMENTS
1.1-5-2 SUR L’ACCUEIL AU NIVEAU DES STRUCTURES SANITAIRES
1-1-5-3 NOMBRE ET REPARTITION DU PERSONNEL ET INFRASTRUCTURES SANITAIRES
1.1-5-4 SUR LE PLATEAU TECHNIQUE
1-1-6 DIFFICULTES RENCONTRES POUR ACCEDER AUX SERVICES
1-1-7 SUGGESTIONS FORMULEES PAR LA POPULATION
1-2 ETUDE ANALYTIQUE
1-2-1 TYPE DE RECOURS AUX STRUCTURES MODERNES SELON LE NIVEAU D’INSTRUCTION
1-2-2 TYPE DE RECOURS SELON LE COUT DES SOINS
1-2-3 ETAT DE SATISFACTION SUR LA QUALITE ET LE RECOURS
1-2-4 TYPE DE RECOURS SELON LA DISTANCE
1-2-5 TYPE DE RECOURS SELON LE NIVEAU ECONOMIQUE
2-RESULTATS OBTENUS AUPRES DES PRESTATAIRES DE SANTE
2-1 RENSEIGNEMENT GENERAL SUR LA POPULATION D’ETUDE
2-2 ACCESSIBILITE AUX SOINS ET MEDICAMENTS DU DEPARTEMENT
2-3 DIFFICULTES RENCONTRES
2-4 SUGGESTIONS FORMULEES PAR LE PERSONNEL SOIGNANT
CHAPITRE III : DISCUSSION
1. ENQUETE AUPRES DE LA POPULATION
1 .1 RENSEIGNEMENTS SUR L’ENQUETE
1.2 ATTITUDES DE LA POPULATION VIS-A-VIS DES STRUCTURES SANITAIRES
1-2-1 RECOURS THERAPEUTIQUE
1-2-2 FREQUENTATION PAR TYPE DE FORMATIONS SANITAIRES
1-3 ACCESSIBILITE GEOGRAPHIQUE AUX SERVICES DE SOINS
1-4 ACCESSIBILITE FINANCIERE
1-5 QUALITE DES PRESTATIONS DES SERVICES
1-5-1 CONCERNANT LE COUT DES SOINS ET MEDICAMENTS
1-5-2 CONCERNANT LA QUALITE DES SOINS ET MEDICAMENTS
1-5-3 CONCERNANT L’ACCUEIL
1-6 NOMBRE ET REPARTITION DU PERSONNEL ET INFRASTUCTURES SANITAIRES
CHAPITRE IV : RECOMMANDATIONS
CONCLUSION
SOURCES ET REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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