CONCEPT SUR LE FINANCEMENT DU DEVELOPPEMENT ET SUR LA CROISSANCE ECONOMIQUE

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

LES SOURCES PRINCIPAUX :

Certains économistes ont cherché à mettre en équation le lien existant entre les facteurs de production, les inputs (le travail et le capital), et la production réalisée, l’output. La fonction Cobb-Douglas se présente, par exemple, sous la forme générale suivante :
Y =f (K, L) dans laquelle la production (Y) est fonction des quantités respectives de capital (K) et de travail (L) utilisées par l’appareil de production3. La croissance de la production (Y) s’expliquerait en partie par l’accroissement des quantités de facteurs de production mises en œuvre, c’est-à-dire l’accroisse ment des quantités de capital (K) et de travail (L) utilisées. On la fonction de production Y=f (K, L) où K est le capital et L le travail.
C’est dans le facteur capital que l’investissement entre en jeu. En effet, l’investissement est le moteur de l’économie. Elle assure, à moyen et à long terme, la production du pays.

LES SOURCES COMPLEMENTAIRES :

Le progrès technique serait, selon Solow, un des facteurs de la croissance .Il recouvre tout les éléments qui, à quantités de facteurs inchangés, permettent d’améliorer la productivité globale des facteurs de production (technologies plus efficaces, amélioration de l’organisation du travail, connaissances scientifiques accrues…).
On peut définir le Progrès Technique comme l’ensemble des innovations (de produit, de procédé, organisationnelles…) améliorant la productivité globale des facteurs. De ce faite, c’est une croissance sans augmentation des facteurs de production (capital, travail) .Il appelle « résidu » cette part inexpliquée de la croissance.
Il faut ajouter à ces conditions, l’intégrité du système politique, c’est-à-dire des gouvernements, est également une condition favorable à la croissance économique. En effet dans les pays qui sont instables politiquement, l’environnement institutionnel est défavorable à la croissance économique. Il faut lutter contre la corruption et la mauvaise gouvernance. Aussi, il est important de renforcer les réglementations. C’est l’historien Douglas North qui a mis en avant l’importance du cadre institutionnel dans le processus de croissance économique.
Dans l’étude mené par la banque mondiale, il est cité que « Le capitaux humain et naturel contribuent aussi à l’accumulation du capit al physique en augmentant son rendement. Le capital physique accroit en effet le rendement du capital humain et du capital naturel et, lorsque le marché reflètent cette évolution, leursaccumulation. En outre, les investissements en capital physique, humain et naturel, ainsi que de nombreuses reformes politiques, contribuent au progrès technique et à la croissance de la productivité globale des facteurs, amplifiant ainsi la croissance. »6
Pour résumé les sources de croissance, voici un schéma récapitulatif des sources de croissance. Sources : schéma adapté depuismelchior.fr, BRAQUET Laurent, Croissance, fluctuations et crises,
On déduit donc dee ce premier chapitre qu’il faut stimuler la croissance et que l’investissement y joue un grand rôle. Il faut alor s financer l’économie pour le développement d’un pays. [14]

LE FINANCEMENT DE DEVELOPPEMENT :

Qu’est ce qu’on entend par financement de développement ?
De la crise de la dette jusqu’à aujourd’hui, le fin ancement de développement est un sujet complexe dont plusieurs courant de pensée tente d’analyser. Il existe deux types, selon les sources, principalement : financement interne et financement externe7.
Tout pays a besoins de ressources pour financer son économie pour l’exploitation de son capital naturel et aussi de son capital humain. Pour les investissements publics pour les besoins collectifs, comme la construction de routes, et pour les investissements privés ou semi-publics comme les exploitations du JIRAMA, des extractions…
La présente étude va se focaliser sur un mode de financement spécifique : l’Investissement Direct Etranger. Mais d’abord, ide ntifions les différentes sources possibles de financements du développement.

LES SOURCES POSSIBLES DE FINANCEMENT :

Un pays, à économie ouverte peut bénéficier d’un financement interne et d’un financement externe pour financer son économie : dépenses et investissement. Que ce soit dans le secteur public ou privé, le financement joue un rôle très important dans la production.

LES SOURCES DE FINANCEMENT INTERNE :

Par sa souveraineté ou sa fonction en tant que partenaire dans l’économie, l’Etat obtient ses ressources par les agents économiques qui composent son pays.
Généralement, il est composé de recettes budgétaires et de la dette intérieure ou de l’épargne national.
Le financement du développement provient de plus enplus des recettes budgétaires des pays en développement eux-mêmes. Ce sont pour un pays, les premières sources de financements. En effet, l’Etat peut faire des prélèvements obligatoires. Ce sont les impôts (directs et indirects) et les taxes. Elles servent à financer les dépenses de l’Etat et cela implique le financement de sa production (biens et services non marchands). Cette fonction de l’Etat assure le bon fonctionnement et la satisfaction des besoins collectifs. On peut, comme dans les pays riches avec une ressource assez élevée, financer les infrastructures et investissements publics.
« Depuis 2000, la part des dépenses gouvernementales financée par les recettes budgétaires est montée de 39% à 62% dans les PMA, et de 46% à 67% dans les PFR, grâce aux efforts des pays pour renforcer l’efficacité de collecte des recettes, et élargir l’assiette des impôts. Pourtant, le niveau de collecte de recettes reste assez bas, moins de 20% du PIB en beaucoup de pays, comparé avec plus de 30% dans la plus part des PRI, et plus de 35% pour les pays OCDE »8. « L’importance de la mobilisation des ressources financières nationales est pourtant rappelée aujourd’hui. À cet égard, l’accent est mis sur la micro finance .Répondant à l’objectif de lutte contre la pauvreté, celle-ci est vue comme le moyen, pour les populations les plus pauvres, de prendre en main leur destin. La mobilisation des ressources internes suppose l’existence de systèmes bancaires et de régimes fiscaux efficaces, mais aussi équitables afin d’être acceptés par les populations, et donc d’instutions fiables. Ces conditions étant trop peu souvent réunies par les pays en développement, en lusp de l’insuffisance de leurs épargnes domestiques, ceux-ci sont contraints d’obtenir des ressources externes visant, en théorie, à réduire les inégalités et la pauvreté. »
Le financement de l’économie peut aussi se faire par l’intermédiaire de l’épargne nationale. Elle est composée de l’épargne des ménages, des sociétés et quasi-sociétés ainsi que celle de l’Etat. Elle peut se présentée sous forme de placements comme des titres financiers (public ou privé) ou des comptes d’épargnes ou en bien immobilier… (Les richesses de la nation). Lorsqu’il y a émission des titres financiers dans l’économie, il y a les financements des dépenses et des investissements. « Dans les années 2000, beaucoup de PFR ont lancédes programmes d’émission de titres et obligations de dette intérieure, sur des marchés nationaux. Ces programmes d’émission ont l’avantage de capter l’épargne nationale et régionale pour des programmes de développement, sans risque de taux de change ; maisles montants disponibles se sont avérés limités, surtout pour des émissions d’instruments àlong terme (10 ans ou plus). »10

LES SOURCES DE FINANCEMENT EXTERNE :

Le recours aux capitaux étrangers pour financer ledéveloppement présente autant de risque que d’avantage. Une mauvaise utilisation des fonds obtenus se révèle susceptible d’entraver le processus de développement. Ce type de ressources peut prendre la forme de prêts, d’investissements étrangers ou de dons.

Flux extérieurs concessionnels :

Les flux concessionnels sont des dons purs ou des prêts dont le remboursement est plus avantageux que celui du marché. En effet, soit le pays bénéficiaire ne paye pas de contre parti soit il paye un montant inférieur au montant reçu. « Sont considérés comme financement concessionnel les dettes avec un élément de don deplus de 35% selon le FMI. Ces derniers visent à prévenir le surendettement, tout en permettant de mobiliser un financement extérieur suffisant. »11
D’abord, l’aide publique au développement comporte l’aide accordée par les pays des gouvernements donateurs aux pays à faible revenu et à revenu intermédiaire. Les pays bénéficiaire d’aide ont accès à des prêts dont lesremboursements sont très avantageux en termes d’intérêt de délais de remboursement et desconditions de l’amortissement.
L’objectif principal est d’aider un pays pour se développer et de sortir d’une crise, d’un déséquilibre ou même de la pauvreté.
« L’aide au développement peut être un don pur et imples ou un prêt concessionnel ; accordé à un tarif préférentiel, négocié entre pays donateurs développés ou riches et des Etats bénéficiaires sous-développés ou en voie de développement. Celle-ci comprend les prêts et les dons (financements sans contrepartie) du secteur public lorsque les prêts sont assortis de conditions préférentielles par rapport au marché.
Les conditions avantageuses portent habituellement sur le taux d’intérêt, la durée du remboursement et les conditions d’amortissement. L’ élément de libéralité et de don contenu dans de tels prêts est ainsi déterminant. Ils poursuivent l’objectif premier d’améliorer les conditions de vie des pays receveurs (pauvres). »12
L’allégement de la dette est aussi une source très importante de financement pour les PFR. Lorsqu’un pays ne peut pas rembourser sa dette ou se trouve en situation critique, les offreurs sont plus ou moins obligés de rééchelonnerou d’annuler ses dettes.
Il peut y avoir d’autre source de flux concessionnel dans les coopérations ou d’intégration dont le pays appartient.
« La plupart des PFR ont commencé à recevoir des flux importants. Les dons privés proviennent des pays OCDE, et en général ne sont asp disponibles pour financer les activités des gouvernements. Elles concernent les contributions aux fonds verticaux sectoriels tels que le Fonds Mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, … y compris pour l’éducation, l’agriculture, l’environnement. Ils offrent des résultats spécifiques dans les secteurs ou sous-secteurs qui intéressent les baileurs. Ils ont eu tendance à fonctionner en dehors ou de façon parallèle aux institutions des PFR. »13

Flux extérieurs non-concessionnels :

De nombreux pays en développement ont principalement accès à des financements non concessionnels pour leur développement. Même les pays à faible revenu ont récemment diversifié la mobilisation de leurs ressources au profit de sources concessionnelles et non concessionnelles, y compris auprès de créanciers multilatéraux, bilatéraux et commerciaux, ainsi que sur les marchés obligataires internationaux. « Les flux officiels non-concessionnels (des sources bilatérales et multilatérales) ont été peu importants pour les PFR au court des récentes années, en grande partie à cause du fardeau de leur dette. Mais ils tendent à devenir plus impo rtants : les pays reçoivent en effet de plus en plus d’offres de financement non-concessionnel de la part des pays OCDE et non-OCDE, et des sources commerciales. Mais ces types de financement ont enregistré des résultats très médiocres, marqués par beaucoup de complications, ed surcoût et de corruption, en raison du lien existant avec les exportations du pays accordant le financement. »14
Dans les années les plus récentes, à cause de la réduction de leurs dettes et du taux de croissance élevé, grand nombre de pays africains ont trouvé un accès aux marchés financiers internationaux. Cet accès est passé par des notations de crédit souverain, suivi par l’émission d’obligations sur les marchés internationaux. Ce sont les flux de capitaux privés.
Ces financements ont l’avantage d’être disponibles rapidement et sans conditionnalités. Pourtant, les notations souveraines sont assez coûteuses et exigeantes en termes de flux réguliers d’information. Les obligations sur les marchés financiers internationaux sont en général très coûteuses (même si parfois moins coûteuses que les obligations intérieures). Si elles sont émises en monnaie étrangère, il existe esd risques de change importants pour les pays sans taux fixes. Toutes ces obligations présentent des risques significatifs de manque de fonds ou de hausse d’intérêts en fonction de la volatilité des marchés internationaux. Les IDE sont compris dans les flux de capitaux privés.
Il peut y avoir d’autres types de prêts commerciaux(essentiellement pour des projets spécifiques, ou pour le préfinancement des importations ou exportations des produits de base).
On peut affirmer que nombreux sont les moyens de financements que possède l’économie, surtout après son ouverture à l’international. Dans la prochaine section, on va identifier la place de l’IDE dans le financement du développement.

LA PLACE DE L’INVESTISSEMENT DIRECT ETRANGER :

Dans la mondialisation d’aujourd’hui, les capitaux étrangers circulent dans différentes parties du monde. Comme il y la globalisation de la production, les investissements sont aussi en libre circulation dans les économies ouvertes : les IDE.

DEFINITION :

L’IDE désigne les « investissements qu’une entité ésidenter d’une économie (l’investisseur direct) effectue dans le but d’acqu érir un intérêt durable dans une entreprise résidente d’une autre économie (l’entreprise d’investissement direct). Par intérêt durable, on entend qu’il existe une relation à long terme entre l’investisseur direct et l’entreprise.
Les IDE comprennent non seulement la transaction initiale, qui établit la relation entre l’investisseur et l’entreprise, mais aussi toutes l es transactions ultérieures entre eux et entre les entreprises apparentées, qu’elles soient ou non constituées en sociétés et donc dotées d’une personne morale distincte.
La notion d’intérêt durable est très importante, car elle sous-entend l’existence d’une relation à long terme par laquelle l’investisseur e xerce une influence significative dans la gestion de l’entreprise, par opposition aux «investissements de portefeuille »15.
Il y a supposition de l’existence d’une relation d’ investissement direct lorsque l’investisseur direct détient au moins 10% des actions ordinaires ou des droits de vote – pourcentage de détention à partir duquel l’investisseur est présumé être en mesure d’influer significativement sur la gestion d’une entreprise ou d’y contribuer. Notons que la participation peut être directe mais aussi indirecte, en l’occurrence par le biais d’une société intermédiaire.
L’investissement direct englobe l’ensemble des ress ources mises à la disposition de l’entreprise, c’est à-dire les opérations en capital, les opérations de prêts et placements entre affiliés ainsi que les bénéfices réinvestis. Le principe d’établir des liens économiques durables avec une entreprise, et l’influence réelle d’une firme étrangère sur la gestion de son partenaire a donné naissance à certaines formes d’investissements directs étrangers couramment utilisées.

LES FORMES D’IDE :

Plus précisément, d’après la définition du FMI, lesIDE connaissent quatre formes :
· La création d’une entreprise ou d’un établissementàl’étranger ;
· L’acquisition d’au moins 10 % du capital social d’une entreprise étrangère déjà existante ;
· Le réinvestissement de ses bénéfices par une filiale ou une succursale située à l’étranger ;
· Les opérations entre la maison mère d’une firme transnationale et ses filiales (souscription à une augmentation de capital, prêts,avances de fonds, etc.) 16.
« On range d’habitudes dans cette catégorie d’investissement : les investissements effectués dans les succursales et des filiales à l’étranger ; les investissements faits dans des sociétés constitués par les nationaux pour exercerleur activité à l’extérieur ; les participations prises par des groupes financiers dans des entreprises étrangères dont ils dominent la gestion. »17
Ce sont les accords de la licence, le franchisage, les contrats de gestion, les contrats de service à risque, la sous-traitance internationale, la succursale, la joint-venture et le partenariat18.
· Les accords de licence :
Un accord (un contrat ou une entente) de licence consigne par écrit les circonstances dans lesquelles une promesse lie, devant la loi, la personne qui s’y est engagée. Il y a toujours au moins deux parties essentielles à un accord, que lle qu’en soit la nature : la partie qui fait la promesse et celle qui en bénéficie. Ce type de contrat permet l’accès à une technologie du concédant d’une licence (entreprise étrangère) auoncessionnaire (entreprise locale) pour une durée dans le temps déterminée, en contrepartie d’un paiement (royalties).
· Le franchisage :
C’est un accord où le franchisé (entreprise locale)reçoit exclusivement du franchiseur (entreprise étrangère) le droit d’utiliser sa marque de fabrique et un certain Know-how, accompagné d’un certain service comme la publicitédans une zone géographique limité. En contrepartie, le franchisé doit s’inscrire dans lesrègles dictées par le franchiseur et lui fournir un revenu forfaitaire ou régulier.
· Les contrats de gestion :
Le partenaire étranger assure soit la gestion d’uneentreprise locale, soit la réalisation d’un projet dans le pays hôte. Il assure aussi la formation du personnel local et le transfert des pouvoirs de gestion aux partenaires locaux après un certain délai.
· Les contrats de service à risque :
Ces contrats sont en tous points similaires aux précédents à une exception qui est que la firme étrangère est rémunérée en numéraire et non nature par les revenus provenant de l’exploitation.
· La sous-traitance internationale :
Dans ce dernier cas, le sous-traitant produit ou assemble des semi-produits avec ses propres moyens (équipement et personnel) et les délivre au contractant, qui les utilise soit dans sa propre production soit pour les vendre.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION :
PARTIE I : CONCEPT SUR LE FINANCEMENT DU DEVELOPPEMENT ET SUR LA CROISSANCE ECONOMIQUE
Chapitre 1 : THEORIE SUR LA CROISSANCE ECONOMIQUE :
I. NOTION SUR LA CROISSANCE :
1. Définition :
2. Mesure de la croissance :
3. Les facteurs stimulants la croissance :
II. LES SOURCES DE CROISSANCE ECONOMIQUE :
1. Les sources principaux :
2. Les sources complementaires :
Chapitre 2 : LE FINANCEMENT DE DEVELOPPEMENT :
I. LES SOURCES POSSIBLES DE FINANCEMENT :
1. Les sources de financement interne :
2. Les sources de financement externe :
II. LA PLACE DE L’INVESTISSEMENT DIRECT ETRANGER :
1. Définition :
2. Les formes d’IDE :
3. Les sources des IDE :
PARTIE II : EVOLUTION DE L’IDE ET IMPACT SUR LA CROISSANCE ECONOMIQUE
Chapitre 3 : LIENS ENTRE IDE ET CROISSANCE :
I. EFFET DES IDE SUR LA CROISSANCE ECONOMIQUE :
1. Avantages des IDE :
2. Inconvenients des IDE :
II. CONDITIONS ET SYNTHESE :
Chapitre 4 : EVOLUTION DE L’IDE ET DE LA CROISSANCE A MADAGASCAR :
I. ANALYSE DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE A MADAGASCAR :
1. Faits économique réels à Madagascar :
2. Analyse périodique de la croissance :
II. FLUX D’IDE à MADAGASCAR :
1. Analyse des facteurs attirants et freignants les IDE :
2. Analyse périodique des IDE :
CONCLUSION :
Liste des abréviations :
Liste des figures et graphiques :
Liste des tableaux :
Bibliographie :

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *