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Intégration plus rapide à l’économie mondiale
En prévision de l’évolution rapide de la mondialisation et de la révolution de la technologie de l’information, il est important que les pays en développement, notamment les plus démunis, profitent des avantages issus des nouveautés de la technologie de l’information.
Dans bien des pays, l’épargne nationale et les mouvements des capitaux privés jouent déjà un rôle important de rehausser les formes stables de financement et d’investissement privé constitue un élément clé pour garantir le développement durable.
Bref, l’objectif doit consister à donner des repères aux pays en développement pour leur permettre de passer de l’isolement à l’intégration, à la croissance et au développement.
Lutte contre la pauvreté en Afrique
Pour la région Afrique, d’importants progrès ont été réalisés au cours des dix dernières années ; les dirigeants savent que le défi fondamental, outre le rétablissement de la paix, est d’assurer la croissance plus forte et mieux partagée qui permettra en Afrique de véritables percées dans la lutte contre la pauvreté.
La Banque mondiale a pour mission de réduire la pauvreté et d’améliorer les conditions de vie de la population des pays en développement. Il est nécessaire de savoir et de déterminer quel type d’aide la Banque apporte en Afrique pour lutter contre la pauvreté.
En effet, l’aide de la Banque en Afrique se caractérise de plus en plus par l’intensification de la collaboration avec les clients et les partenaires. Son soutien vise à porter la croissance économique au niveau nécessaire pour garantir une réduction importante et durable de l’emprise de la pauvreté, à améliorer la gouvernance et à contribuer à la résorption de la crise du VIH/SIDA. Le programme d’aide est adapté à la diversité des défis auxquels l’Afrique se trouve confrontée.
Un premier groupe de pays, comprenant le Botswana, le Cap-Vert, le Ghana et l’Ouganda a entrepris de sérieuses réformes économiques, politiques et institutionnelles. Le deuxième groupe, plus nombreux, est celui des pays qui ont lancé des programmes de réforme, mais sans être encore allés assez loin. C’est le cas, par exemple, du Cameroun, de la Guinée et de Madagascar. Le troisième groupe se caractérise par une grande instabilité et comprend l’Angola, la République Démocratique du Congo et la Sierra Leone qui sont actuellement victimes à divers degrés de conflits violents.
Cependant, seul un petit nombre de pays – le Botswana, Maurice, le Mozambique et l’Ouganda, par exemple – ont durablement atteint un taux de croissance dont on puisse attendre un recul sensible de la pauvreté dans les dix années à venir. L’Afrique doit porter sa croissance à plus de 7% pour pouvoir réduire de moitié l’emprise de la grande pauvreté d’ici 2015, et cette croissance devra être diversifiée et équitablement partagée. Pour un grand nombre de pays, il s’agit d’abord de rétablir la paix sans laquelle il ne peut y avoir de croissance.
Le développement de l’infrastructure est d’une importante décisive pour améliorer les conditions de vie, élargir l’accès aux services, réduire les coûts de transaction et stimuler l’activité du secteur privé, et attirer les investisseurs vers l’Afrique. La protection de l’environnement, en particulier des ressources forestières, occupe aussi une place cruciale dans l’action à entreprendre. Il est également urgent de s’attaquer résolument au problème du VIH/SIDA, dont la propagation ne manifeste aucun signe de ralentissement dans la plupart des pays, compromettant le développement de toute la région. Finalement on recense trois grandes actions prioritaires pour l’Afrique :
Soutenir les stratégies de croissance et de réduction de la pauvreté
L’expérimentation de la novelle approche que constitue l’élaboration d’un Cadre de développement intégré montre que les pays africains sont conscients de la nécessité de cibler plus étroitement l’action sur la réduction de la pauvreté et d’appuyer leurs initiatives sur de
solides partenariats. L’allègement de la dette est l’un des éléments clés de stratégie de la Banque pour la réduction de la pauvreté en Afrique. Dans le cadre de l’Initiative en faveur des pays pauvres très endettés (IPPTE), la Banque collabore étroitement avec les pays africains et d’autres bailleurs de fonds pour.8Pour être admis au bénéfice de l’Initiative, ces pays doivent avoir
préparé un Cadre stratégique de lutte contre la pauvreté (CSLP), instrument opérationnel destiné à transformer la stratégie de réduction de la pauvreté en plan d’action concret.
Intensifier la lutte contre le VIH/SIDA
L’avenir de l’Afrique sera fonction de l’efficacité de l’action entreprise face au défi du VIH/SIDA. La Banque a réagi énergiquement à l’épidémie qui touche la région.
Renforcer les moyens d’action des communautés
Les programmes d’action communautaire mis en place par la région Afrique relèvent de la catégorie des actions de proximité qui occupent désormais une place grandissante dans l’aide de la Banque à l’ensemble des régions ; l’objectif est de renforcer l’esprit d’initiative et les moyens d’action des communautés locales.
En résumé, l’objectif de développement international prône la réduction de moitié du taux de pauvreté d’ici 2015. Une croissance économique soutenue, plus précisément un partage équitable des fruits de cette croissance est un élément indispensable, parmi tant d’autres, à un tel objectif. Cette croissance est liée à l’augmentation de la production et de la productivité, or le secteur privé étant le seul secteur productif ; une croissance tirée par son développement et par les investissements privés devra par conséquent aboutir à la réduction de la pauvreté.
Concept général de secteur privé et de développement du secteur privé
Dans cette partie, nous allons traiter successivement le concept de secteur privé et sa place dans la réduction de la pauvreté, voire la nécessité de son développement.
Les caractéristiques du secteur privé
La formation du concept
Le concept du secteur privé sous-tend et explicite les grandes doctrines économiques se référant au libéralisme économique et à l’économie de marché ébauchées à l’avènement de la révolution industrielle au milieu du 19ème siècle dont il constitue, pour l’essentiel, le fondement.
Ce concept s’est progressivement précisé et réajusté notamment à l’occasion de la confrontation de ces théories à la réalité socioéconomique et d’événement majeur tel que la grande dépression de 1929 ou l’instauration à partir de 1917 de la philosophie marxiste-léniniste.
L’appropriation de ce concept n’a cependant pu être intégré dans la culture et les comportements économiques de ces pays qu’après un long et souvent chaotique parcours. IL n’a pu être autrement dès lors que ce concept nécessite, pour son développement, que le culturel, le social et l’économique se complètement pour se fondre l’un à l’autre dans un compromis historiquement évolutif.
Avec l’effondrement récent de la doctrine socialiste et du capitalisme d’état singulièrement en Europe de l’Est et l’éclatement du pays qui en constituant un bloc monopolistique, le concept triomphant de secteur privé se voit, malgré tout, à nouveau, contraint de s’adapter et de se réformer
notablement pour faire face à la crise structurelle socioéconomique qui secoue le monde industriel sous peine de sombrer à son tour.
Les éléments constitutifs
Ce concept s’est progressivement formé autour de postulats dégagés de la pensée libérale qui en constitue le soubassement. IL s’agit de :
-La prédominance de l’initiative privée comme fondement dans l’appareil de production ;
-L’affirmation de la propriété privée ;
-La responsabilité juridique individuelle directe impliquant la perception de profits dégagés de la prise sur soi de déficits constatés ;
-L’application des règles de démocratie occidentale avec pour corollaire un homme, une voix ;
-L’expression libre des opinions, notamment économique, au travers du multipartisme ;
-Le jeu de la libre concurrence ;
-Le rôle de l’État conçu comme devant principalement faciliter et promouvoir l’initiative privée.
Avec le temps, ces postulats se sont néanmoins adaptés afin notamment, de tenir compte des réalités sociales du moment et des nécessaires équilibres à rechercher dans une nation.
Les formes de secteur privé
IL y a deux formes de secteur privé : le secteur privé marchand et le secteur privé non marchand.
Le secteur privé marchand
Au secteur privé marchand correspond un vaste ensemble composé d’entreprises et de société, clients ou fournisseurs actuels ou potentiels des biens et des services aux opérateurs économiques (gros, demi-gros, détail).
Les entreprises et sociétés privées peuvent être de grande, moyenne ou petite taille. L’ensemble constitue un réseau d’autant plus dense que le pays est développé.
Le secteur privé marchand, par sa diversité, son extension géographique, son dynamisme, joue un rôle très important car il a la possibilité de toucher tous les opérateurs économiques. Ce rôle varie selon que l’on se situe dans les pays développés ou dans les pays en développement.
Dans les pays en développement, le secteur privé marchand, est nettement moins important et diversifié, et l’environnement général y est moins porteur. Pour les pays les moins avancés en particulier, le sombre limité d’entrepreneurs, des réseaux commerciaux, l’environnement peu stimulant, concourent à limiter le rôle du secteur privé marchand. Pour l’instant, le secteur privé marchand intervient surtout dans les principaux centres urbains.
Le secteur privé non marchand
IL est essentiellement composé d’Ong et d’associations sans but lucratif qui apportent un appui au secteur. Elles interviennent surtout dans les pays en développement. Elles peuvent ainsi apporter un appui direct dans plusieurs domaines : recherche technologique, amélioration technique, formation, commercialisation, financement.
En général, leur présence témoigne de besoins non satisfaits par le secteur privé marchand ou par le secteur public. La volonté de développement dont témoignent les Ong et les associations, la bonne volonté de leur personnel, leurs interventions au niveau de la base, constituent de sérieux atouts. Toutefois, la qualification et l’expérience souvent limitées du personnel, l’intervention sur un nombre restreint d’entreprises, le financement extérieur, les préoccupations sociales prioritaires constituent leurs limites de leur appui direct aux entrepreneurs. D’une manière générale, elles sont conduites à privilégier des groupes cibles et défavorisés pour lesquels des activités génératrices de revenus sont recherchées.
Nécessité d’un développement du secteur privé.
L’analyse de la formation du concept de secteur privé a fait ressortir la nécessité même de son développement, dans la mesure où les mesures accompagnant la libéralisation économique et la Mondialisation s’appuient sur le développement de ce secteur.
Les conditions d’un développement équilibré du secteur privé
Six facteurs sont nécessaires au bon fonctionnement du secteur privé. IL s’agit pour l’essentiel :
-D’un environnement de politique générale favorable contribuant à instaurer ou restaurer un climat de confiance et de collaboration entre les divers organes politiques de l’État et les acteurs de développement ;
-Des règles de fonctionnement et de gestion technico-administratives claires et applicables à tous ;
-L’existence d’un ensemble cohérent de structures de représentation et de promotion du secteur privé ;
-La prise en compte des éléments constitutifs du secteur privé lors de sa mise en œuvre ;
-Un appareil judiciaire opérationnel et performant ;
-La nécessaire harmonisation du facteur culturel avec les principes d’économie de marché.
A ces facteurs, s’ajoute un dernier élément particulièrement important spécifique aux pays en développement. IL n’y a pas de secteur privé digne de ce nom sans une nécessaire, indispensable et incontournable transition qui peut être de plus ou moins longue durée.
L’adhésion des citoyens et des acteurs économiques est également plus que nécessaire.
Le cas de l’Afrique
Le développement du secteur privé dépend du secteur privé lui-même. Pour l’Afrique, le secteur privé est formé entre autres, par les petites et les moyennes entreprises du secteur formel et les micro et les petites entreprises du secteur informel.
Le développement des entreprises du secteur privé
Le développement des micro entreprises offre la possibilité de passer du secteur informel au secteur organisé ou formel. IL conviendrait toutefois d’encourager ces micro entreprises à fonctionner dès le départ comme des entités commerciales. Partout dans le monde, les PME créent des emplois et servent de point d’entrée dans les activités du secteur privé. Mais leur développement est souvent négligé.
Étant développé, le secteur privé va se diversifier et revêtir des facettes multiples, pour servir aussi bien le marché régional et le marché international. Toutefois, la formation d’un secteur privé moderne et diversifié dont les pays ont besoin au 20ème siècle ne dépend pas uniquement du secteur privé lui-même, mais aussi du soutien des gouvernements africains et de leurs partenaires extérieurs.
Le rôle de l’État
Peu de pays africains ont réussi à instaurer un environnement véritablement favorable au secteur privé.
Instaurer les conditions les plus propices à l’activité économique : La première tâche des gouvernements africains est de veiller à instaurer un climat de stabilité et de sécurité. Les incertitudes politiques et juridiques entravent le développement du secteur privé car elles accroissent les risques et encouragent les investissements productifs à long terme au profit des gains ou profits immédiats ; les droits de propriété jouent également un rôle important par le fait que des dispositifs novateurs pour établir les droits de propriétés juridiques pourraient permettre aux petites entreprises d’offrir les garanties requises pour obtenir des prêts, ce qui leur ouvrirait l’accès au crédit. Les autorités doivent également améliorer le cadre réglementaire notamment les conditions d’obtention des licences, les procédures douanières, les systèmes tarifaires et les structures fiscales.
Encourager l’investissement : Tout comme l’instabilité politique, l’incertitude macro économique exerce un effet dissuasif sur l’activité productive privée. Ce constat souligne la nécessité d’appliquer des politiques économiques rationnelles, de créer une structure institutionnelle9 et de maintenir un cadre macro économique stable et incitatif afin de pouvoir encourager l’investissement vers les entreprises, les activités productives et compétitives.
Main d’œuvre qualifiée, infrastructures et sources de financement : Si le secteur privé doit apporter sa contribution à la formation d’une main d’œuvre qualifiée, c’est à l’État qu’il appartient de fournir des services d’éducation de base, de se préoccuper de l’état de santé, d’améliorer les infrastructures en réduisant par exemple leurs coûts. Il faut également élargir l’accès du secteur privé aux technologies de communication et aux sources de financement pour que sa compétitivité face à la concurrence mondiale soit renforcée.
Les sources extérieures privées de financement, l’accès à la technologie et au savoir-faire en matière de gestion et très bien d’autres opportunités peuvent être exploité via les investissements directs étrangers. Il est par conséquent impératif d’avoir l’économie, de s’intégrer à l’économie mondiale si l’on veut développer le secteur privé.
Ouverture de l’économie
Dans cette section, nous allons traiter successivement la libéralisation des échanges et les investissements directs étrangers.
La libéralisation des échanges
La libéralisation des échanges équivaut à l’intégration à l’économie mondiale. Historiquement, la libéralisation des échanges est le point marquant l’application des Programmes d’Ajustement Structurel (PAS) mis en œuvre par le FMI et la Banque mondiale en 1980.
Les ressources de la terre ne sont pas uniformément distribuées et aucun pays ne peut pas vivre en autarcie, par conséquent, les pays gagnent à échanger. Dans les échanges, les pays se spécialisent c’est-à-dire qu’il consacre son énergie et ses ressources à une partie des activités productives mondiales. De ce fait, chaque pays, de par sa spécialisation, a des avantages comparatifs par rapport aux autres, avantages qu’il doit profiter.
La libéralisation des échanges suppose en outre la libre circulation des facteurs de production, sans quoi, aucun échange ne pourra être réalisé, ainsi que la mise en place d’un taux de change réaliste afin d’attirer les investissements axés sur l’exportation.
Les investissements directs étrangers
Essai de définition
Les investissements directs sont les investissements qu’une entité résidente d’une économie “ investissements directs ” effectue dans le but d’acquérir un intérêt durable dans une entreprise résidente d’une autre économie c’est-à-dire l’entreprise d’accueil de l’investissement direct. Il y a donc une relation entre eux, de façon telle que l’investissement exerce une influence significative sur la gestion de l’entreprise.
Investissement et croissance
Tous les économistes, quelle que soit leur tendance théorique, sont unanimes sur le fait que l’investissement constitue un facteur principal de la croissance. Seulement, ils s’opposent quant à la façon dont on détermine cet investissement pour avoir un certain niveau de croissance.
Pour les économistes de l’offre, les facteurs de production expliquent la croissance. L’investissement est le moyen qui permet d’augmenter le capital. Pour eux, investir c’est mettre en place plus de facteurs de production prenant en compte le progrès technologique, ce qui permet de produire davantage et engendre par la suite la croissance.
Pour les keynésiens, c’est la demande qui détermine l’offre. Or l’investissement fait partie de la demande globale, et c’est par cela que l’investissement est un facteur de croissance. Selon un économiste keynésien (Kahn, 1931), l’investissement c’est l’achat de biens d’équipement, et entraîne une production supplémentaire de ces biens. Cette nouvelle activité engendre de nouveaux revenus qui peuvent accroître la demande d’autres produits, et donc il y aura un impact sur la demande et la production de toute sorte de biens, et un impact positif sur la croissance.
Selon Harrod (1900-1978), il y a trois types de croissance correspondant respectivement à trois facteurs déterminants :
-La croissance effective, celle qui se réalise réellement ;
-La croissance garantie, déterminée par l’équilibre entre l’investissement et l’épargne ;
-Et enfin, la croissance naturelle ou la croissance de plein emploi résultant de l’accroissement de la population et du progrès technologique.
En résumé, la croissance est déterminée par l’investissement mais ce dernier dépend de l’épargne.
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Table des matières
Sommaire
INTRODUCTION
Première Partie : Approche théorique et concept général
Chapitre 1 : Concept de pauvreté et de lutte contre la pauvreté
I-1 : Concept de pauvreté
I-1-1 : Critères de classification de la pauvreté
I-1-2 : Les mesures de la pauvreté
I-1-3 : Essai de définition de la pauvreté
I-2 : Concept de lutte contre la pauvreté
I-2-1 : Lutte contre la pauvreté à l’échelle mondiale
I-2-2 : Lutte contre la pauvreté en Afrique
Chapitre 2 : Concept général de secteur privé et de développement du secteur privé
II-1 : Caractéristiques du secteur privé
II-1-1 : Formation du concept
II-1-2. Les éléments constitutifs
II-1-3 Les formes du secteur privé
II-2 : Nécessité d’un développement du secteur privé
II-2-1 : Les conditions d’un développement équilibré du secteur privé
II-2-2 : Le cas de l’Afrique
II-3 : Ouverture de l’économie
II-3-1 : La libéralisation des échanges
II-3-2 : Les Investissements Directs Étrangers
Deuxième Partie : APPROCHE PRATIQUE : LE CAS DE MADAGASCAR
Chapitre 3 : Analyse de la situation et de l’évolution du secteur privé àMadagascar
III-1 : Diagnostic du secteur privé malgache
III-1-1 : Caractéristiques économiques et sectorielles
III-1-2 : Autres caractéristiques
III-2 : Problématiques des entreprises privées évoluant à Madagascar
III-2-1 : Les points forts et les faiblesses
III-2-2 : Les opportunités et les menaces
III-2-3 : L’environnement des affaires
III-2-4 : Problématiques des entreprises formelles
Chapitre 4 : Contribution du secteur privé à la réduction de la pauvreté à Madagascar
IV-1 : Situation de la pauvreté à Madagascar
IV-2 : Les stratégies de réduction de la pauvreté à Madagascar
IV-2-1 : Une croissance économique favorable aux pauvres
IV-2-2 : Les axes stratégiques d’intervention à Madagascar
IV-3 : Contribution du secteur privé à la réduction de la pauvreté à Madagascar
IV-3-1 : Contribution à la création d’emplois
IV-3-2 : Contribution à la croissance économique
Chapitre 5 : Le processus de développement du secteur privé à Madagascar
V-1 : Libérer et stimuler le secteur privé malgache
V-1-1 : Privatiser
V-1-2 : Instaurer un cadre juridique favorable
V-1-3 : Réduire les obstacles administratifs et réglementaires
V-1-4 : Développer les secteurs porteurs
V-2 : Des programmes d’appui au secteur privé
V-2-1 : Les actions des Bailleurs de Fonds
V-2-2 : Les actions du Gouvernement : le PNSP
CONCLUSION
ANNEXES :
ANNEXES 1 : Madagascar en bref
ANNEXES 2 : Liste des abréviations
ANNEXES 3 : Liste des tableaux
ANNEXES 4 : Liste des encadrés
ANNEXES 5 : Typologie des entreprises du secteur privé
Bibliographie
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