Concentration cellulaire individuelle (CCI)

Modรจle de mammites ร  S. aureus

S. aureus est une coque Gram+. On le retrouve trรจs majoritairement sur la peau et les muqueuses. La prรฉsence de lรฉsions au niveau des trayons (plaies, gerรงures, crevasses) ou au niveau de la mamelle (pyodermite dโ€™รฉchauffement par exemple) constituent des rรฉservoirs important pour ce germe, de mรชme la prรฉsence de crevasse dans les caoutchoucs des manchons de traites constituent des rรฉservoirs bien identifiรฉs. S. aureus est ร  lโ€™origine de mammite subclinique dans la majoritรฉ des cas. Le germe pรฉnรจtre de faรงon profonde dans le parenchyme mammaire et donne lieu ร  la formation dโ€™abcรจs au sein du parenchyme. Il sโ€™agit dโ€™une bactรฉrie ร  caractรจre mono ou oligoclonal.

Une ร  deux souches au maximum est responsable des infections ร  Staphylococcus aureus dans un troupeau. Il sโ€™agit dโ€™un modรจle contagieux strict, les animaux sains se contaminent ร  partir dโ€™animaux infectรฉes particuliรจrement au moment de la traite(machine, trayeurs) ( Durel et al., 2004, Eicher et al., 2003).

La premiรจre รฉtape de lโ€™infection par S. aureus est la colonisation du canal du trayon avec la capacitรฉ du germe ร  se fixer aux cellules kรฉratinisรฉes. Une fois cette รฉtape rรฉalisรฉe, la colonisation du parenchyme mammaire suit.

De nombreux facteurs de virulence propres ร  S. aureus ont รฉtรฉ dรฉcrits. Trois facteurs majeurs expliquent en partie la pathogรฉnie de S. aureus. Le premier est la prรฉsence de rรฉcepteurs ร  des composants cellulaires tels que les rรฉcepteurs ร  la fibronectine. La fibronectine est en particulier exprimรฉe sur les cellules ยซAllongรฉesยป des parenchymes mammaires, expliquant la forte affinitรฉ de S. aureus pour ce Le deuxiรจme facteur est la prรฉsence dโ€™une capsule, ou plutรดt pseudocapsule, qui ne prรฉsente pas totalement les caractรฉristiques habituellement observรฉes chez les autres bactรฉries capsulรฉes. Enfin la derniรจre grande classe de facteur de virulence est la production de coagulase e t de toxines aux propriรฉtรฉs hรฉmolytiques, en particulier les toxines alpha et beta. Des รฉ tudes sur les souris et les lapins ont pu montrer que lโ€™inoculation de ces toxines en particulier la toxine alpha, serait responsable de formation de foyers de nรฉcrose au sein du parenchyme mammaire. La production de ces toxines participerait ร  la formation dโ€™une structure fibrineuse isolant les germes des dรฉfenses de lโ€™organisme mais aussi des antibio tiques. Cette particularitรฉ de S. aureus expliquerait sa capacitรฉ ร  envahir le parenchyme mais aussi celle ร  persister au sein de la mamelle de faรงon chronique (Sultral et al., 1994).

Infection ร  rรฉservoir mammaire principal

โ€ข Taux de prรฉvalence plus 40%.
โ€ข CCT plus 350000 cellules/ml.
โ€ข Taux de guรฉrison au tarissement moins 70%.
โ€ข Efficacitรฉ de traitement limitรฉe des pรฉnicillines (Durel et al., 2011).
Staphylococcus aureus rรฉside dans la peau et lโ€™รฉpithรฉlium muqueux des vaches laitiรจres et dโ€™autres mammifรจres, et se trouve couramment dans l’environnement (Roberson et al., 1994). S.aureus est un germe impliquรฉ dans les mammites contagieuses, source est soit le quartier infectรฉ soit les mains trayeur, le risque de transmission est pendant la traite et lโ€™antibiothรฉrapie (dรฉbut de lactation, traitement long) (Durel et al., 2011).

Rรฉsistance au Antibiotiques

Rรฉsistance naturelle

La rรฉsistance naturelle dโ€™une bactรฉrie est une caractรฉristique propre ร  une espรจce bactรฉrienne, quโ€™est partagรฉe par toutes les souches normales de cette espรจce. Elle dรฉlimite le spectre naturel de lโ€™antibiotique et constitue une aide ร  lโ€™identification, elle se traduit habituellement par des CMI supรฉrieures ร  la valeur critique basse de concentration de lโ€™antibiotique concernรฉ (Rebiahi, 2012).

Rรฉsistance acquise

La rรฉsistance acquise est une caractรฉristique de certaines souches au sein de lโ€™espรจce de Staphylococcus aureus. Cette rรฉsistance rรฉsulte dโ€™une modification gรฉnรฉtique par mutation ou par acquisition de matรฉriel gรฉnรฉtique รฉtranger (Rebiahi, 2012).

Rรฉsistance ร  la meticilline

Une souche est dite (rรฉsistante ร  la mรฉticilline) lorsquโ€™elle prรฉsente une rรฉsistance ร  la pรฉnicilline du groupe M, et par extension ร  toutes les รŸ-lactamines. Elle se dรฉfinit par une concentration minimale inhibitrice supรฉrieure ร  2 mg/l pour lโ€™oxacilline, la pรฉnicilline du groupe M de rรฉfรฉrence (Rebiahi, 2012). Les souches SARM sont le plus souvent rรฉsistantes ร  dโ€™autre classe dโ€™antibiotiques (CASFM, 2012), elles sont considรฉrรฉes comme des bactรฉries multirรฉsistantes, et la rรฉsistance ร  la mรฉticilline est depuis lors utilisรฉe, comme marqueur de multirรฉsistantes (Grohs, 2009).

Mรฉcanisme ร  la rรฉsistance ร  la mรฉticilline

Les mรฉcanismes et les gรจnes de rรฉsistance des staphylocoques dorรฉs et des staphylocoques ร  coagulase nรฉgative (SCN) sont les mรชme. En revanche, la frรฉquence des rรฉsistances diffรจre : elle est plus รฉlevรฉe pour les SCN (Leclercq, 2002). La rรฉsistance ร  la mรฉticilline chez les staphylocoques est principalement due ร  la prรฉsence du gรจne mec A prรฉsent dans une cassette SCC mec (Hiramatsu et al., 2002).

Mesure de conductivitรฉ du lait

Principe

La mesure de conductivitรฉ du lait a รฉtรฉ dรฉveloppรฉe dans le but de diagnostiquer les mammites cliniques et subcliniques. La conductivitรฉ du lait correspond ร  la capacitรฉ du lait ร  conduire un courant รฉlectrique. Elle est dรฉterminรฉe majoritairement par les ions Na+, K+ et Clโ€ . Lors dโ€™infection la quantitรฉ de K+ augmente alors que celle de Na+ diminue. Elle est largement utilisรฉe par les laboratoires pour mesurer les CCI du contrรดle laitier (Allain, 2011).

Rรฉalisation

La mesure de conductivitรฉ peut sโ€™effectuer soit manuellement ร  lโ€™aide dโ€™un des nombreux appareils disponibles sur le marchรฉ, soit par des appareils de mesures intรฉgrรฉs dans la griffe de traite (Allain, 2011).

Interprรฉtation

Deux types de lectures sont proposรฉs (Ferrouillet et al., 2004). La premiรจre dite de ยซ seuil absolu ยป prรฉconise lโ€™utilisation dโ€™un seuil dรฉfini : lors du dรฉpassement de ce seuil lโ€™animal est considรฉrรฉ comme atteint dโ€™une mammite. La seconde dite de ยซ seuil relatif ยป prรฉconise de comparer la conductivitรฉ des diffรฉrents quartiers entre eux permettant ainsi de crรฉer une valeur dโ€™alerte lorsque lโ€™animal est atteint dโ€™une mammite. Cependant la conductivitรฉ est soumise ร  de nombreux facteurs de variations (Ferrouillet et al., 2004, Leroux et al., 2002 et Poutrel, 2002). Lโ€™intervalle de traite, le stade de lactation, la teneur en matiรจre grasse du lait, lโ€™effet race et enfin lโ€™effet du cycle oestrien. Ces nombreux facteurs rendent difficile lโ€™interprรฉtation des valeurs de conductivitรฉ. Il semblerait que la mรฉthode de lecture par valeur relative soit dโ€™une meilleure efficacitรฉ. Les diffรฉrents รฉlรฉments รฉvoquรฉs font de cette mรฉthode de diagnostic, une technique encore trop peu standardisรฉe pour รชtre utilisรฉe isolรฉment des autres techniques de dรฉtection des mammites.

Concentration cellulaire individuelle (CCI)

La concentration cellulaire individuelle se dรฉfinit comme la concentration en cellule du lait issue du mรฉlange du lait des quatre quartiers de la vache. La mise en place de cette mesure a fait appel ร  la crรฉation de seuil permettant lโ€™interprรฉtation de rรฉsultats. Dans la pratique le seuil des 300 000 cellules/mL et le seuil de 800 000 cellules/mL sont souvent retenus respectivement comme valeur ยซ seuil basse ยป et valeur ยซ seuil haute ยป. Ainsi une vache ayant un comptage cellulaire infรฉrieur ร  300000 cellules/mL sera considรฉrรฉe comme saine, unevache comprise entre 300000 cellules/mL et 8000000 cellules/mL sera considรฉrรฉe comme douteuse et enfin une vache avec un comptage supรฉrieur ร  800000 cellules comme infectรฉe (Allain, 2011).

Cependant de nombreuses รฉtudes ont pu montrer que le comptage cellulaire individuel รฉtait influencรฉ par de nombreux paramรจtres comme le niveau dโ€™infection de la mamelle, l e stade de lactation, le rang de lactation, de la production laitiรจre mais aussi de la saison (Allain, 2011).

Comptage des cellules somatiquesย 

Comptage des cellules somatiques ร  l’aide de la cellule de Thoma

Principe

On dรฉpose entre hรฉmatimรจtre et lamelle, une goutte de lait, diluรฉ au 1/10 avec le diluant de Lazarus, puis on compte dans le quadrillage toutes les cellules somatiques. Le nombre de cellule comptรฉe dans les 16 carreaux que constitue la cellule de Thoma correspond au nombre de cellules par microlitre de lait. Puis, on ramรจne le rรฉsultat obtenu en cellules par millilitre de lait (Marchal, 1976).

Mode opรฉratoire

On colle la lamelle sur la lame (en humectant les deux bords de la lame avec un chiffon humide) puis on pose une goutte entre lame et lamelle aprรจs avoir รฉliminรฉ les 3 ร  4 premiรจres gouttes de mรฉlange. La lame est observรฉe aprรจs 10 minutes de repos sous le microscope (grossissement x10 ou x40). On compte toutes les cellules situรฉes dans les 16 carreaux et les cellules situรฉes sur les lignes, soient ceux qui sont sur la ligne de gauche et sur la ligne du haut et pas ceux qui sont sur la ligne de droite et sur la ligne du bas, soit l’inverse (Marchal, 1976).

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Table des matiรจres

Remerciements
Abrรฉviation
Rรฉsumรฉ
Abstract
Introduction
I.1. Gรฉnรฉralitรฉ sur le lait de vache
I.1. 1. Production laitiรจre en Algรฉrie et son รฉvaluation
I.1.2. Donnรฉes sur le lait cru
I.1.2.A. Dรฉfinition du lait cru
I.1.2.B. Microbiologie du lait cru
I.1.2.C. Contrรดle du lait cru.
I.1.2.C.1. Numรฉrotation des caractรจres physiques du lait cru
I.1.2.C.2. Contrรดle de la stรฉrilisation et la pasteurisation
I.1.2.C.3. Contrรดle globale de la qualitรฉ bactรฉriologique du lait
I.1.2.C.3.a. Epreuve au bleu de bromothymol
I.1.2.C.3.b. Dosage du Degrรฉ Dornic
I.1.2.C.3.c. Technique de mise en รฉvidence dโ€™une succession de la population microbienne dans le lait (Larpent, 1997)
I.2. Gรฉnรฉralitรฉ sur les mammites
I.2.1. Dรฉfinition
I.2.2. Anatomie
I.2.3. Symptomatologie de la mammite
I.2.3.1. Donnรฉes gรฉnรฉrales
I.2.3.2. Diagnostic
I.2.3.2.A. Clinique
Description des mammites
Mammites non caractรฉristiques
Mammite suraiguรซ
Mammite aiguรซ
Mammite chronique
Mammite subclinique
Mammites caractรฉristiques
Mammites (colibacillaires)
Mammites gangrรฉneuses
Mammite sรจches ou mammite ยซ dโ€™รฉtรฉ ยป
Mammites ร  Nocardia
Mammites en รฉlevage
Motif dโ€™appel
Lโ€™analyse รฉpidรฉmiologique du cheptel
Epidรฉmiologique
I.2. 4. Etiologie des mammites
I.2.4.1. Bactรฉrienne
I.2.4.1.A. Les germes major
A.1. Escherichia coli
A.2. Staphylococcus aureus
A.3. Streptococcus uberis
I.2.4.1.B. Les germes mineurs
B.1. Staphylococcus ร  coagulase nรฉgative (SCN)
B.2. Les mycoplasmes
B.3. Arcanobacterium pyogenes
I.2.4.1.C. Les contaminants du lait
C.1. Virus
C.2. Levures et algues
Quand faut-ils sโ€™inquiรฉter ?
Mammites cliniques nombreuse et/ou graves
Consรฉquences technico-รฉconomiques des mammites cliniques
Changement de la composition du lait causรฉ par les mammites
Alimentation, troubles mรฉtaboliques et mammites
Traitement des mammites
I.3. Traitement des mammites clinique pendant la lactation
Traitements hors lactation
I.4.. Incidence des mammites bovines
Incidence mรฉdicale
Incidence sanitaire
Incidence รฉconomique
Prรฉvention des mammites
I.5. Gรฉnรฉralitรฉ sur Staphylococcus aureus
I.5.1. Historique et nomenclature
Taxonomie
I.5.2. Caractรจres bactรฉriologiques
Facteur de virulence de Staphylococcus aureus
Pouvoir pathogรจne de Staphylococcus aureus
Modรจle de mammites ร  S. aureus
I.5.3. Rรฉsistance au Antibiotiques
Rรฉsistance naturelle
Rรฉsistance acquise
Rรฉsistance ร  la meticilline
Mรฉcanisme ร  la rรฉsistance ร  la mรฉticilline
II. Matรฉriel et mรฉthodes
II.1. Prรฉsentation de lโ€™รฉlevage
II.1.1. Zone dโ€™รฉtude (pรฉrimรจtres retenue dans lโ€™รฉtude)
II.1.2. Donnรฉes descriptives
Personnel
Traite
Mรฉthodes
Pรฉriode de lโ€™รฉtude
Les documents
Prรฉlรจvements
Les quartiers prรฉlevรฉs
Rรฉalisation des prรฉlรจvements
Conservation des prรฉlรจvements
Analyse des รฉchantillons
II.2. Test CMT (California Mastitis Test)
Mรฉthode de prรฉlรจvement aseptique de lait de quartier (Fig. 10)
Mรฉthode de rรฉfรฉrence des analyses: isolement et identification
CMT (California Mastitis Test) ou Test au Teepol
Quand rรฉalise-t-on un CMT ?
Mesure de conductivitรฉ du lait
Concentration cellulaire individuelle (CCI)
II.3. Comptage des cellules somatiques
Comptage des cellules somatiques
Comptage cellulaire de Tank (CCT)
II.4. Analyse physicochimique
II.5. Analyses Bactรฉriologie
Prรฉ-identification des souches
Souches de Staphylococcus aureus
Isolement des souches Staphylococcus aureus
II.5.1. Identification des souches Staphylococcus aureus
Lโ€™identification a รฉtรฉ basรฉe sur les critรจres suivants
Test Pastorex (Test dโ€™agglutination au latex)
II.5.2. Typage molรฉculaire des souches de Staphylococcus aureus
Premiรจre phase
Extraction de l’ADN bactรฉrien
Amplification de lโ€™ADN
Recherche du gรจne GyrA et gรจne de mecA
Recherche du gรจne pvl
Typage molรฉculaire du gรจne agr (accessory gene regulator)
Prรฉparation du gel dโ€™รฉlectrophorรจse
Deuxiรจme phase
II.5.3. Identification par MALDI-TOF
Extraction de lโ€™ADN bactรฉrien
Mรฉthodes de gรฉnotypage
II.5.4. PCR de typage du gรจne spa (Amplification du gรจne spa codant pour Staphylococcus aureus
protรฉine A)
Objectif
Extraction dโ€™ADN
Rรฉvรฉlation par รฉlectrophorรจse
C. Purification
D. Sรฉquenรงage de lโ€™ADN bactรฉrien
E. Rรฉaction de sรฉquence
II.5.5. PCR de typage MLST (Multilocus Sequence Typing of Staphylococcus aureus)
II.5.6. Dรฉtection des facteurs de virulence chez Staphylococcus aureus par PCR en temps rรฉel
II.5.7. Souches des entรฉrobactรฉries
Isolement des entรฉrobactรฉries
Prรฉ-identification souches des entรฉrobactรฉries
Identification des souches des entรฉrobactรฉries
Antibiogrammes par diffusion des disques
II.5.8. Souches de Streptococcus sp
Isolement des souches de Streptococcus
Prรฉ-Identification des souches de Streptococcus
Identification des souches de Streptococcus
III. Rรฉsultats
III.1. Lโ€™examen clinique
III.2. Le test CMT
III.3. Evolution du comptage cellules somatiques de tank
III.4. Les paramรจtres physico-chimiques
III.5. Rรฉsultats des analyses bactรฉriologiques
III.6. Rรฉsultats de lโ€™รฉtiologie bactรฉrienne des cas de mammites diagnostiquรฉ
III.7. Rรฉsultats de lโ€™identification des espรจces de Staphylococcus. sp
III.8. Rรฉsultats de lโ€™antibiogramme des souches de lโ€™espรจce S. aureus
III.9. Rรฉsultats du typage molรฉculaire de lโ€™espรจce S. aureus
Rรฉsultats de la premiรจre phase
Rรฉsultats de la deuxiรจme phase
III.10. Identification par MALDI TOF des S. aureus
III.11. Typage spa
III.12. Typage MLST
III.13. Production de toxines
III.14. Rรฉsultats de lโ€™identification des isolats bactรฉriens impliquรฉs dans les cas de mammite diagnostiquรฉs
III.15. Rรฉsultats de lโ€™antibiorรฉsistance des bactรฉries Gram nรฉgative
III.16. Rรฉsultats de lโ€™identification des espรจces de Streptococcus. spp
Discussion
Conclusion
Rรฉfรฉrences bibliographiques

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