Composition des différents organes de NICOTIANA TABACUM

Culture et traitement du tabac

Culture du tabac

La culture commence au début du mois de Mars. La graine est semée en pépinière ou sur semi flottant. Le jeune plant va émerger puis se fortifier avant d’être transplanté en champ vers la mi Mai.
En début d’été, le tabac atteint 1,8 m et commence alors la floraison. Les plants sont alors écimés (enlèvement du bouton floral) ou pincés (enlèvement des feuilles de tête) afin d’améliorer la qualité des feuilles restantes. Plus la plante est pincée, plus les feuilles obtenues sont épaisses et lourdes.
Les premières décolorations signalent l’imminence de la récolte aux mois de Juillet et Août.
Il s’agit d’une plante très exigeante. De fortes quantités de produits chimiques sont nécessaires et doivent être renouvelées après chaque récolte. Les éléments fertilisants doivent être soigneusement équilibrés.
La récolte se fait selon trois méthodes dont la plus utilisée est la cueillette des feuilles au fur et à mesure de leur maturité. C’est une méthode à haute intensité de main d’oeuvre en plusieurs étapes. Les feuilles sont ensuite enfilées sur des baguettes qui sont suspendues dans des séchoirs.
L’autre méthode consiste en une cueillette par plante entière puis la récolte des tiges. Chaque tige est percée et les plantes sont enfilées sur les lattes ou des cadres avant d’être entreposées dans les séchoirs.

CHAPITRE IV DIFFERENTES VARIETES DE TABAC

Les feuilles de tabac sont classées selon leur couleur ou leur mode de séchage.

Tabac Burley

Les feuilles séchées à l’air, sont de couleur brune à rougeâtre, à texture fine, ressemblant à du papier. Sa combustion est facile. Sa teneur en nicotine est assez élevée. Ce tabac entre surtout dans la fabrication de cigarettes et de cigares.

Tabacs séchés à l’air pulsé

Ils sont légers, doux et assez aromatiques de texture fine et huileuse. Ils entrent dans la fabrication de cigarettes, du tabac de pipe, du tabac à fumer et du tabac à chiquer.

Autres tabacs clairs séchés à l’air libre

Parmi eux il y a le type Maryland. Ils sont sans goût prononcé, pauvres en nicotine et en sucre, de couleur brune à rougeâtre. Ils entrent dans la fabrication des cigarettes et cigares.

Tabacs d’Orient

Séchés au soleil, leurs feuilles sont de couleur brune à jaune pâle, leur goüt léger à arôme sucré. Ils présentent une faible teneur en nicotine et entrent dans la fabrication de cigarettes et du tabac de pipe.

Tabacs séchés au soleil

Les uns sont noirs, les autres clairs. La plupart sont des variétés indigènes typiques du Japon, du Mexique, du Pakistan et de la Chine et surtout destinés à la consommation locale sous forme de cigarettes et de tabac de pipe.

Tabacs séchés au feu

Ce sont des variétés surtout produites aux Etats Unis d’ Amérique (Kentucky, Tennessee et Virginie). Elles présentent un goût de fumée, une couleur brun foncé et entrent dans la fabrication de tabacs à chiquer, à fumer et à priser et aussi de cigares.

Feuilles de cape et de sous cape

Ce sont des feuilles séchées à l’air libre, mais classées à part en raison de leurs qualités et de leurs propriétés particulières. Elles brûlent sans dégager d’odeur particulière ou une odeur semblable à celle du tabac de remplissage et constituent l’enveloppe extérieure des cigares.

Feuilles reconstituées

Elles sont obtenues en pulvérisant finement les brisures, la poussière et les côtés des feuilles de tabac. Au moyen d’un liant, les feuilles reconstituées peuvent être utilisées comme feuilles de cape ou de sous cape.
Il y a aussi celles qui, après avoir été coupées et hachées en lanières, servent à la fabrication de cigarettes [19].

CHAPITRE V DIFFERENTS MODES D’USAGES DU TABAC

Le tabac peut être utilisé de plusieurs manières fumé, chiqué ou prisé.

Tabac à fumer

Méthode la plus répandue, elle consiste en la combustion du tabac. Trois produits sont utilisés : la cigarette, le cigare et la pipe.

Cigarette

La cigarette est «une seringue à nicotine » constituée d’un boudin de tabac préalablement haché et émietté. Sa fumée est inhalée et sa composition est influencée par la qualité du tabac et celle du papier [11].

Cigare

« Un cigare est une poupée de tabac vêtue d’une robe de tabac » [17].
Il est composé de :
• la sous cape : fermée par une lanière de feuilles de tabac ou de tabac reconstitué, elle entoure l’intérieur pour former la poupée.
• la cape ou robe : faite de morceaux d’une mince feuille de tabac à texture fine, elle est enroulée en hélice autour de la poupée pour fermer le cigare [11].
Un cigarillo est un petit cigare, sans sous cape dont le poids est légèrement inférieur à 3 g (équivalent de 3 cigarettes). Certains contiennent autant de nicotine que 20 cigarettes. La bonne combustibilité du cigare dépend des éléments qui le composent (cape, sous cape, intérieur), de la compacité ; Il faut que la cape soit plus combustible que la sous cape et celle-ci plus combustible que l’intérieur, sinon le cigare brûlerait en creux et finirait par s’éteindre faute d’air.
La fumée de cigare est alcaline et nocive. Elle cause des dégâts au niveau de la muqueuse buccale, de la circulation sanguine et des voies oesophagiennes ou digestives supérieures.
Longtemps considéré comme un luxe, certains ont pu avancer que le cigare est moins dangereux que la cigarette, ce qui n’est évidemment pas le cas. Le cigare entraîne plus de risque de survenue du cancer ORL. Il dégage vingt fois plus d’ammoniac (NH3) et dix fois plus de cadmium (Cd) que la cigarette.

Pipe

On distingue plusieurs types de pipes :

Les pipes sèches, courtes ou longues

Les pipes à eau avec lesquelles on oblige la fumée à traverser un récipient contenant de l’eau aromatisée, pour la débarrasser de ses mauvaises odeurs,

Les pipes à petite capacité de fourreaux

Les pipes géantes.

La pipe est obtenue à partir de différents matériaux comme de la terre, et surtout du bois de bruyère.
Le tabac de pipe peut également être utilisé comme tabac à rouler. Dans ce cas, il est préparé en lanières ou en granulés, utilisés pour rouler les cigarettes à la main. Ce tabac à rouler, plus accessible aux consommateurs, avec l’augmentation des taxes sur la cigarette, est très utilisé par les jeunes cars pouvant être facilement mélangé à du cannabis.
La pipe présente une grande dangerosité car le fumeur inhale deux fois plus de goudrons et beaucoup plus de monoxyde de carbone [67].

Tabac à chiquer

Le tabac se présente sous deux formes traditionnelles dont la «carotte». La carotte est constituée de feuilles de tabac à chiquer roulées. Il y a aussi d’autres formes de tabac qui sont conditionnées en boites de plastique ou métal. Le chiqueur acquiert son plaisir en goûtant la saveur intense des jus qui imprègnent le tabac (salé, sucré, doux, piquant, fruité) et provoquent une sensation de fraîcheur grâce à la sécrétion surabondante de salive. Le tabac à chiquer est fabriqué à partir des qualités les plus lourdes de Burley ,de tabac séché à l’air pulsé, de tabac noir séché à l’air libre ou au feu, de brisures de tabac à cigares.
Très utilisé aux ETATS-UNIS d’Amérique, il s’assimile à du chewing-gum. Son usage multiplie par quatre le risque de cancer de l’oesophage et des problèmes dentaires.
Le plus souvent, le chiqueur est l’usager qui ne peut pas fumer. C’est le cas par exemple des voiliers à bord, mais aussi de ceux qui travaillent dans les endroitsà haut risque d’incendies.

Tabac à priser

C’est une absorption par le nez suivie du rejet et accompagnée d’un éternuement qui est la partie caractéristique de la satisfaction du priseur.
Le tabac à priser se présente sous forme de poudre broyée, vieillie et fermentée qui présente les caractéristiques suivantes : finesse, régularité du grain, taux d’humidité élevé, arôme agréable et velouté. Il est obtenu à partir de tabacs corsés et gommeux ou de tabacs noirs séchés au four et à feuilles lourdes auxquels on fait subir certains traitements [15].
Sa dangerosité réside dans son action piquante au niveau de la muqueuse nasale et de sa forte production d’ammoniac libre. Son utilisation à long terme entraîne une atteinte de la cloison nasale.

Toxicité de la nicotine

– Pharmacodynamie
La nicotine est aussi soluble dans l’eau que dans la plupart des solvants organiques elle est donc à la fois liposoluble et hydrosoluble. Sa diffusion dans tous les organes et particulièrement le système nerveux, est très facile.
– Pharmacocinétique
Le pH du milieu influence beaucoup la vitesse d’absorption de la nicotine qui est faible en pH acide mais, bonne en milieu alcalin [11].
La fumée acide des tabacs blonds permet une importante ionisation de la nicotine qui traversera difficilement les membranes tissulaires, buccales et nasales.
L’absorption buccale est alors presque nulle, et le fumeur est tenu d’inhaler profondément afin de permettre son absorption alvéolaire.
La fumée des tabacs bruns est beaucoup plus alcaline et la nicotine étant alors non ionisée, est relativement bien absorbée au niveau buccal.
La toxicité de la nicotine est suffisamment élucidée et reconnue de nos jours, suite aux études de Claude Bernard notamment [11]. Elle est si élevée que l’injection d’une faible quantité de ce principe, dans la circulation d’un animal suffit à entraîner sa mort immédiate [39].
Si un héroïnomane peut s’injecter et supporter 1 g d’héroïne, 1 g de nicotine peut tuer 30 personnes [79].
La dose létale chez l’adulte est estimée à 5 nmol/kg ; chez l’enfant elle est de l’ordre de 3 nmol/kg [79].

Nornicotun

Métabolisation

C’est surtout au niveau du foie qu’elle se produit, puis la nicotine est éliminée sous forme de cotinine après filtration rénale dans les urines. Il y a aussi une faible élimination biliaire et à travers les fèces.
Les différentes étapes du métabolisme de la nicotine peuvent être ainsi résumées [35].

Goudrons

Ils sont retrouvés le plus souvent dans la phase particulaire de la fumée du tabac. Le plus connu et le plus redoutable de ces goudrons est le 3 — 4 benzopyrène Les goudrons sont responsables de plusieurs maladies : tumeurs au niveau des poumons, lymphosarcomes, leucémie et réticulo-sarcome. Ils sont aussi initiateurs de nombreux autres cancers. Le taux de goudrons provenant de la combustion du tabac varie selon la nature chimique du papier de cigarette et sa porosité.
Des études sur la toxicité du goudron ont montré qu’une injection souscutanée de goudron de cigarette à des souris résistantes produit des tumeurs bénignes et malignes au niveau du foie, des poumons, et des tissus lymphoïdes.
Une étude sur des hamsters a montré des changements dysplasiques dans le larynx après 40 semaines d’exposition à la fumée de cigarette. La même étude a révélé des changements néoplasiques au niveau du larynx après 80 semainesd’exposition [63].

Composition des différents organes de Nicotiana tabacum

La composition chimique détaillée des différents organes de Nicotiana tabacum a été étudiée [56].

Feuilles

Après séchage et fermentation il y a apparition d’acides organiques formés aux dépens de l’amidon et d’autres acides : acide-1-malique (85 °A) des feuilles), acides citrique, gallique, caféique, quinine, chlorogénique, butyrique et l’acide nicotinique ou wpyridine carbonique. Il y a aussi l’asparagine, la bétaine, l’isoamylamine, la pectine , la lévulose, la gomme, la cellulose et le carotène (0,18 %). A noter également la présence de substances résineuses, mélange de paraffine et heptocosane, carbure, acide isobutylacétique, isovalerianique, essences concrètes telles que la menthe, dérivés carbonylés tels que la cétone, le bornéol, le linalol.

Plante fraîche

Le tabac vert est riche en glucide 35 à 40 % du poids sec. Il contientaussi : de la diastase, de la cendre riche en K et en Ca ; des formes réduites de nitrates de K (0,02 à 0,06 mg/100 g de scopolétine et des traces de sculétine ont été identifiées. La plante fraîche est aussi très riche en alcaloïdes majeurs (nicotine 2 à 8 %, pyridyl-methyl-pyrrolidine C1ot -114N2, liquide entraînable à la vapeur, nornicotine : C91-1 18 N 2 =pyrodil-pyrrolidine, nicotelline : C15H1 1 N3 = dopyridyl-pyridine, isonicotéine : C1oR12N2 = dipyridyl-pyridine, nicotyrine : C1oH1oN2 = méthylpyrroldylpyridine, nicoroine : C81-1 11 N). On retrouve également des bases simples : pyridine, pyrrolidine combinées aux acides maliques et citriques.

Fleur

Au niveau de la corolle se trouvent un pigment anthocyanique (0,48 % pour 1 kg d’échantillon exprimé en picrate), du glucoside flavonique (0,12 %), un principe actif odorant (8,8 %) sous forme d’essence concrète, liquide épais à odeur de café et de girofle contenant de l’eugénol, de l’acide caprylique libre, de l’acide formique et de l’acide auxique combinés.

Graines

Elles contiennent de l’eau (3,6 à 4,2 %), des protéines brutes (25 %), de la cellulose (19 %), des matières extractives non azotées (10 %) et de la cendre (4 %), des vitamines (A,B et E). A noter l’absence d’amidon mais la présence d’huile (30 à 42 %), principalement des glycérides, de l’acide oléique (24,5 %), de l’acide linoléique (15 %), une fraction insaponifiable (3 %). La nicotine n’existe pas dans les graines mais elle apparaît dès la germination [56].

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GÉNÉRALITÉS SUR LE TABAC, SES EFFETS SUR L’ORGANISME HUMAIN ET STRATEGIES DE LA LUTTE ANTI-TABAC 2 
CHAPITRE I HISTORIQUE
CHAPITRE II PRESENTATION ET BOTANIQUE DE LA PLANTE 5
1 PRESENTATION ET REPARTITION GEOGRAPHIQUE 5
2 DESCRIPTION DE LA PLANTE
2-1 Caractéristiques de N rustica (tabac des paysans)
2-2Caractéristiques de N. tabacum (tabac Virginie, cultivé, tabac brun)
CHAPITRE III PRODUCTION DU TABAC
1 CONDITIONS PHYSIQUES ET CLIMATIQUES DE LA PRODUCTION
2 TYPES DE SOL
3 MALADIES DU TABAC
4 CULTURE ET TRAITEMENT DU TABAC
4-1 Culture du tabac
4-2 Traitement du tabac après récolte
4-2-1 Dessiccation
4-2-2 Fermentation ou vieillissement
5 STATISTIQUES DE LA PRODUCTION MONDIALE DE TABAC
CHAPITRE IV DIFFERENTES VARIETES DE TABAC
CHAPITRE V DIFFERENTS MODES D’USAGES DU TABAC
1 TABAC A FUMER
1-1 Cigarette
1-2 Cigare
1-3 Pipe
2 TABAC A CHIQUER
3 TABAC A PRISER
CHAPITRE VI COMPOSITION CHIMIQUE DU TABAC
1 COMPOSANTS DU TABAC FRAIS
1-1 Substances minérales
1-2 Substances organiques
2 COMPOSANTS DU TABAC SEC
3 COMPOSANTS DU TABAC SANS FUMEE
3-1 Alcaloïdes
3-2 Arômes
3-3 Nitrosamines
4 COMPOSITION DE LA FUMEE DU TABAC
4-1 Formation de la fumée de tabac
4-1-1 Courant primaire dit principal
4-1-2 Courant secondaire ou latéral
4-1-3 Courant tertiaire
4-2 Substances contenues dans la fumée de tabac
4-2-1 Alcaloïdes du tabac
4-2-1-1 Alcaloïdes mineurs
4-2-1-2 Alcaloïde majeur du tabac : la nicotine
a- Toxicité de la nicotine
b- Actions de la nicotine au niveau de l’organisme
4-2-2 Monoxyde de carbone (CO)
4-2-3 Irritants
4 -2-4 Goudrons
5 COMPOSITION DES DIFFERENTS ORGANES DE NICOTIANA TABACUM
5-1 Feuilles
5-2 Plante fraîche
5-3 Fleur
5-4 Graines
CHAPITRE VII DIFFERENTS TYPES DE TABAGISME
1 DEFINITION
2 DANGEROSITE DU TABAGISME PASSIF
2-1 Chez l’adulte
2-2 Chez l’enfant
2-3 Chez le foetus et le nourrisson
CHAPITRE VIII NOTION DE DEPENDANCE AU TABAC 42
CHAPITRE IX EFFETS DU TABAC SUR L’ORGANISME HUMAIN 44
1 ACTION SUR L’APPAREIL RESPIRATOIRE
1-1 Affections broncho-pulmonaires
1-2 Le cancer du poumon
2 ACTIONS SUR L’APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE
2-1 Les cardiopathies coronariennes
2-2 Les maladies cérébro-vasculaires
2-3 L’athérosclérose et l’ischémie
2-4 L’anévrisme aortique
2-5 L’hypertension artérielle
3 ACTION SUR L’APPAREIL DIGESTIF
4 ACTIONS AU NIVEAU DE L’APPAREIL URO -GENITAL
5 ACTIONS SUR LES AUTRES ORGANES
5-1 Sur l’oeil
5-2 Sur la peau
5-3 Sur la vessie
5-4 Sur le cerveau
5-4-1 A court terme
5-4-2 A long terme
6 TABAGISME ET GROSSESSE
CHAPITRE X LES STRATEGIES DE LA LUTTE ANTI-TABAC
1 LA PREVENTION PRIMAIRE
1-I La lutte individuelle
1-1-1 Au foyer
1-1-2 A l’école
1-1-3 Dans les lieux de culte (mosquées et églises)
1-1-4 Dans les établissements de soins
1-2 La lutte collective
1-2-1 Les mesures législatives et réglementaires
1-2-1-1 Loi n° 81/58 du 09 Novembre 1981
1-2-1-2 La loi n° 85-23 du 25 Février 1985
1-2-1-3 La loi n ° 2004-36 du 14 Décembre 2004
1-2-2 L’action des associations
1-2-3 Les mesures socio-économiques
1-2-4 L’action des média
2 LA PREVENTION SECONDAIRE
2-1 Le rôle des personnels de santé
2-2 Les méthodes d’évaluation
2 – 2-I La motivation et mise en place de l’arrêt
2-2-2 Evaluation de la dépendance
2-2-2-1 La dépendance psychologique
2-2-2-2 La dépendance pharmacologique
2-3 Les différentes méthodes de sevrage tabagique
2-3-1 La volonté
2-3-2 La prise en charge médicamenteuse
2-3-2-1 Les médicaments de première génération
a- La Lobéline
b- Les sels de quinine
c- Les sels d’argent
d- Le valerbe
e L’extrait alcoolique de l’avoine commune (Avena sativa)
f- L’afumyl
g- Les fibres progressives
h- Les cigarettes sans nicotine
i- La désensibilisation au tabac
2-3-2-2 Les médicaments de deuxième génération
a- Les substituts nicotiniques
b Médicaments non nicotiniques
c- La Moclobémide
dLes nouvelles découvertes
2-3-3 Les approches psycho cognitives
2-3-4 Les méthodes d’arrêt non validées
2-3-4-1 L’auriculothérapie
2-3-4-2 L’acupuncture
2-3-4-3 L’homéopathie
2-3-4-4 La mésothérapie
2-3-4-5 L’hypnose
2-3-4-6 Les thérapies de groupes
2 – 3 – 5 – Autres approches
2-3-5-1 L’assistance téléphonique
2-3-5-2 Le coaching interactif
2-3-5-3 Les cigarettes sans tabac
2-3-6- Le suivi
2-3-7 Trucs et astuces pour se débarrasser de l’envie de fumer 83
2-3-8 Conséquences de la cessation du tabac
DEUXIEME PARTIE TRAVAIL PERSONNEL : ENQUETE PROSPECTIVE SUR DES MALADES CONSULTES, PRESENTANT DES AFFECTIONS LIEES AU TABAGISME, DANS LE SERVICE DE PNEUMOLOGIE DE L’HOPITAL GENERAL DE GRAND YOFF A DAKAR (HOGGY).
1 CADRE DE L’ETUDE
1-1 Historique de l’HOGGY
1-2 Situation géographique
1-3 Organisation et fonctionnement
1-4 Présentation du service de Pneumologie
1-4-1 Les locaux
1-4-2 Le personnel
2 MATERIELS ET METHODES
2-1 Matériels
2-2 Méthodes
3 RESULTATS
3-1 Le tabagisme actif
3-1-1 Répartition de la population en fonction du sexe
3-1-2 Répartition de la population en fonction de l’âge
3-1-3 Répartition de la population en fonction de la situation familiale
3-1-4 Répartition de la population en fonction du profil professionnel
3-1-5 Répartition de la population en fonction de l’âge de début du tabagisme
3-1-6 Répartition de la population en fonction des circonstances de l’initiation au tabagisme
3-1-7 Répartition de la population en fonction de la durée du tabagisme
3-1-8 Répartition de la population en fonction du nombre de cigarettes fumées par jour
3-1-9 Répartition de la population en fonction du lieu de consommation de tabac
3-1-10 Répartition en fonction de la fréquence de l’inhalation de la fumée
3-1-11 Répartition de la population en fonction du moment où l’on fume le plus
3-1-12 Répartition de la population en fonction du nombre de tentatives d’arrêt
3-1-13 Répartition de la population en fonction du motif d’arrêt du tabagisme
3-1-14 Répartition de la population en fonction de la méthode de sevrage utilisée
3-1-15 Répartition de la population en fonction du motif de la rechute
3-1-16 Répartition de la population en fonction de l’influence de l’entourage
3-1-17 Répartition de la population en fonction du diagnostic posé
3-1-19 Répartition des traitements en fonction de la classe thérapeutique
3-2 Le tabagisme passif
3-2-1 Répartition de la population en fonction du sexe
3-2-2 Répartition de la population en fonction de l’âge
3-2-3 Répartition de la population en fonction du lien de parenté ou relation de travail avec le fumeur
3-2-4 Répartition de la population en fonction de l’endroit d’exposition au tabagisme passif
3-2-5 Répartition de la population en fonction du diagnostic posé
3-2-6 Répartition des traitements en fonction de la classe thérapeutique
4 DISCUSSION
4-1 Le tabagisme actif
4-2 Le tabagisme passif
CONCLUSION
BLIBLIOGRAPHIE

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