Tรฉlรฉcharger le fichier pdf d’un mรฉmoire de fin d’รฉtudes
Propriรฉtรฉs physico-chimiques
Les propriรฉtรฉs physiques et organoleptiques des glucides varient avec leur nature. Les oses sont trรจs solubles dans lโeau et ne connaissent guรจre dโautres bons solvants. Tous ont une saveur sucrรฉe ; certains sont assimilables, aucun nโest toxique. Les diholosides, triholosides, etc., possรจdent des propriรฉtรฉs analogues(PREVOST 1970).
Biochimie
Notion dโose et dโoside
Oses
Les oses ou sucres simples (ou monosaccharides) sont des molรฉcules comportant ร la fois plusieurs fonctions alcooliques et une fonction rรฉductrice, soit aldรฉhydique, soit cรฉtonique (WEIL 2001).
Osides
Les osides sont des substances dont lโhydrolyse libรจre un ou plusieurs oses (WEIL 2001).
Mรฉtabolisme
Glucose
Lโabsorption est particuliรจrement rapide : en solution et lorsque le sujet est ร jeun, plus des ยพ sont absorbรฉs en moins de 45 minutes. Le glucose est un รฉlรฉment รฉnergรฉtique privilรฉgiรฉ puisque toutes les cellules peuvent lโutiliser. Certaines dโentre elles, les cellules cรฉrรฉbrales, les cellules mรฉdullaires rรฉnales et les globules rouges, ne peuvent dans des conditions normales utiliser que du glucose. La cellule cรฉrรฉbrale peut utiliser un autre substrat รฉnergรฉtique, les corps cรฉtoniques, mais seulement aprรจs un jeรปne glucidique de 4 ou 5 jours. La figure 1 est une reprรฉsentation de la formule du glucose (APFELBAUM et al. 2009).
Fructose
Le fructose est ingรฉrรฉ sous 2 formes :
๏ Une forme directe, le fructose des fruits ou du miel ;
๏ Une forme oรน il est associรฉ au glucose, constituant le saccharose. Cโest cette forme qui est la source la plus importante de fructose.
La vitesse dโabsorption est lente, environ 40% de celle du glucose.
Le fructose est phosphorylรฉ dans le foie.
Le fructose-1-phosphate est scindรฉ en deux trioses :
D-glycรฉraldรฉhyde et phosphodihydroacรฉtone. Ces deux trioses peuvent alors soit rejoindre le cycle de Krebs, soit รชtre utilisรฉs pour la nรฉoglucogenรจse.
Ainsi son utilisation ne nรฉcessite pas de lโinsuline. Voici une reprรฉsentation de la formule chimique du fructose (figure 2) (APFELBAUM et al. 2009).
Saccharose
Le saccharose est un diholoside trรจs rรฉpandu dans la nature. Cโest le ยซ sucre de table ยป du fait des grandes quantitรฉs quโon peut obtenir ร partir des vรฉgรฉtaux, en particulier ร partir de la betterave et de la canne ร sucre.
Le saccharose est scindรฉ dans le jรฉjunum sous lโinfluence dโune enzyme, lโinvertase, en glucose, et fructose. Cette enzyme est trรจs abondante et trรจs active de telle sorte que lโhydrolyse du saccharose nโest jamais un facteur limitant. La figure ci-dessous est une reprรฉsentation de la formule chimique du saccharose (APFELBAUM et al. 2009).
Besoins glucidiques
Il existe un besoin minimal en glucides de lโordre de 150g/24h, pour assurer la quantitรฉ de glucose nรฉcessaire aux organes glucodรฉpendants (en particulier cerveau, globules rouges, mรฉdullaire rรฉnale) ; faute dโun tel apport, la quantitรฉ de glucides nรฉcessaires sera fabriquรฉe par nรฉoglucogenรจse ร partir des protรฉines, ou une cรฉtogenรจse prolongรฉe provoquera une adaptation enzymatique du cerveau (APFELBAUM et al. 2009).
Sucres dans le rรฉgime alimentaire
Le sucre classique correspond au saccharose. Il se prรฉsente ordinairement sous lโaspect de sucre blanc, qui a รฉtรฉ raffinรฉ dans le but dโaugmenter le goรปt sucrรฉ, ce qui a lโinconvรฉnient de lui faire perdre la plupart de ses minรฉraux.
Les nutritionnistes recommandent ordinairement de consommer peu de saccharose et de privilรฉgier les sucres lents aux dรฉpens des sucres rapides, afin de favoriser les exercices sportifs et dโรฉviter lโhypoglycรฉmie(SEIGNALET 2011).
Pathologies liรฉes ร une mauvaise consommation de sucres
Notion dโindice glycรฉmique
On peut classer les aliments suivant leur indice glycรฉmique. Il permet de quantifier la capacitรฉ dโun aliment ร รฉlever la glycรฉmie par rapport au glucide de rรฉfรฉrence : le glucose. Il se dรฉfinit comme lโaire sous la courbe de la rรฉponse glycรฉmique aprรจs ingestion dโun aliment, exprimรฉe en pourcentage de lโaire sous la courbe de la rรฉponse glycรฉmique aprรจs ingestion รฉquivalente de glucide de rรฉfรฉrence. La figure 4 illustre un classement de plusieurs aliments selon leur indice glycรฉmique.
Mais lโindex dโun aliment varie suivant la texture de lโaliment, son mode de cuisson, de conservation et de prรฉparation. Enfin cet index change quand lโaliment, est consommรฉ avec dโautres aliments. Exemple : un yahourt sucrรฉ verra son index glycรฉmique baisser lorsquโil est absorbรฉ au cours dโun repas glucido-lipidoprotidique (APFELBAUM et al. 2009).
Diabรจte de type 2 ou non insulinodรฉpendant
Dรฉfinition
Cโest un รฉtat dโhyperglycรฉmie chronique liรฉ ร une sรฉcrรฉtion insuffisante dโinsuline (inadaptรฉe aux valeurs รฉlevรฉes de la glycรฉmie) et/ou ร une rรฉsistance tissulaire ร lโinsuline.
Etiopathogรฉnie
Facteurs gรฉnรฉtiques
Leur intervention est certaine, puisque chez les jumeaux monozygotes le risque est supรฉrieur ร 90%. Leur mode exact dโaction reste incertain.
Facteurs environnementaux
Ils sont primordiaux, surtout lโalimentation, le mode de vie, le stress.
Complications du diabรจte
Les complications du diabรจte sont classifiรฉes en deux grandes catรฉgories : complications aigues ou mรฉtaboliques, parfois appelรฉes aussi ยซ comas diabรฉtiques ยป et complications chroniques ou dรฉgรฉnรฉratives.
Complications aigues mรฉtaboliques ยซ comas diabรฉtiques ยป
Acidocรฉtose
Cโest une complication dont lโapparition est essentiellement liรฉe ร lโabsence dโinsuline, ce qui la rend plus frรฉquente chez le DT1.
Hyperosmolaritรฉ
Cโest une complication dont lโapparition est essentiellement liรฉe ร lโeffet osmotique de lโexcรจs de glucose dans le sang dans des conditions oรน son utilisation tissulaire est diminuรฉe mais possible, ce qui la rend plus frรฉquente chez le DT2. Si le taux dโinsuline est insuffisant pour rรฉgler la glycรฉmie mais reste suffisant pour inhiber la cรฉtogenรจse hรฉpatique, les chiffres de la glycรฉmie vont augmenter, ce qui va entraรฎner une รฉlimination rรฉnale du glucose ; lโactivitรฉ osmotique du glucose va entraรฎner une perte massive dโeau, avec dรฉshydratation secondaire. Cette dรฉshydratation combinรฉe avec lโhyperglycรฉmie provoquera une hyperosmolaritรฉ plasmatique responsable des manifestations de cette complication.
Traitement
Rรฉgime alimentaire
La diรฉtรฉtique fait partie intรฉgrante du traitement du diabรจte. Elle est indispensable, et doit toujours รชtre mise en place en premiรจre approche dans le DT2. Il a pour but dโassurer un apport et un รฉquilibre nutritionnels les plus proche de la normale tout en maintenant la glycรฉmie ร des valeurs normales et en รฉvitant les accidents (amaigrissement, cรฉtose, hypoglycรฉmie). Un autre objectif du rรฉgime doit รชtre de prรฉvenir les complications cardiovasculaires. Sur le plan physiopathologique, il faut retenir que la rรฉduction sรฉvรจre des hydrates de carbone dans la ration alimentaire diminue la quantitรฉ dโinsuline nรฉcessaire ร lโorganisme, prรฉvient la glycosurie, mais pas les troubles dyslipidรฉmiques inhรฉrents ร la diminution du taux dโinsuline circulante. Lโune des tendances actuelles est de donner une ration normale de glucides tout en supplรฉmentant lโapport dโinsuline, permettant ainsi un mรฉtabolisme plus proche de la normale. Le plus souvent, cette attitude permet dโobtenir des diminutions des taux de cholestรฉrol sanguin ; or, la plupart des complications dรฉgรฉnรฉratives graves sont liรฉes ร la dyslipidรฉmie.
Exercice physique
Lโexercice physique adaptรฉ peut diminuer les besoins en insuline chez les diabรฉtiques.
Antidiabรฉtiques oraux
En monothรฉrapie
En gรฉnรฉral, le traitement de premiรจre ligne du DT 2 reste la metformine (sauf contre-indications, en particulier rรฉnale ou intolรฉrance). Si lโobjectif glycรฉmique prรฉdรฉfini nโest pas atteint, le choix dโune bithรฉrapie est alors envisagรฉ. Cela รฉtant, si lโHbA1c au diagnostic est โฅ 9%, une telle bithรฉrapie anti hyperglycรฉmiante est prescrite dโemblรฉe (BUYSSCHAERT 2018).
En bithรฉrapie
La dรฉmarche consiste ร ajouter ร la metformine un second mรฉdicament anti hyperglycรฉmiant. Ceci permet en gรฉnรฉral une baisse supplรฉmentaire de lโHbA1c dโenviron 1%. En prรฉvention primaire (en lโabsence dโantรฉcรฉdents personnels cardiovasculaires), le choix est รฉclectique. Le praticien sรฉlectionnera donc, en fonction de lโobjectif glycรฉmique et du profil de son malade, un sulfamidรฉ hypoglycรฉmiant, une glitazone, un DPP4inhibiteur, un SGLT-2 inhibiteur, un agoniste du GLP-1 ou รฉventuellement une insuline basale, en intรฉgrant dans sa rรฉflexion les avantages et inconvรฉnients รฉventuels de ces mรฉdicaments (en particulier, tolรฉrance digestive, hypoglycรฉmie, gain pondรฉral, insuffisance rรฉnale, etc.). En prรฉvention secondaire, sโil y a antรฉcรฉdent cardiovasculaire, lโADA recommande dโassocier ร la metformine un agent ayant dรฉmontrรฉ scientifiquement un ยซ bonus ยป cardiovasculaire, cโest-ร -dire soit un SGLT-2 inhibiteur en cas de maladie coronaire et/ou dโinsuffisance cardiaque, soit un agoniste du GLP-1 (liraglutide) en prรฉsence dโune maladie coronaire, sauf contre-indications.
En cas de non-atteinte de lโobjectif glycรฉmique, il faut envisager lโajout dโun troisiรจme mรฉdicament (aprรจs avoir exclu une mauvaise adhรฉrence [compliance] au traitement). La trithรฉrapie associe donc ร la metformine deux autres mรฉdicaments hypoglycรฉmiants en tenant compte ร nouveau de lโรฉventuel contexte cardiovasculaire. Lโรฉchec dโune telle trithรฉrapie amรจne inรฉvitablement ร instaurer un traitement par injection dโinsuline(BUYSSCHAERT 2018).
Insuline
Si le taux de lโHbA1c est โฅ 10% (ou si la glycรฉmie est โฅ 300 mg/ dl ou le patient symptomatique), une insulinothรฉrapie (รฉventuellement) combinรฉe ร dโautres hypoglycรฉmiants est directement indiquรฉe (CERIELLO et al. 2020).
Obรฉsitรฉ
Dรฉfinition
Cโest un excรจs de tissu adipeux entraรฎnant une surcharge pondรฉrale. LโIMC normal est en dessous de 25 ; entre 25 et 30 on parle de surcharge pondรฉrale ; lโobรฉsitรฉ est caractรฉrisรฉe par un IMC entre 30 et 40, elle est sรฉvรจre, prรฉdisposant ร des complications, au-dessus de 40.
Etiopathogรฉnie
Le mรฉcanisme de lโobรฉsitรฉ prend en compte la balance entre lโapport et les dรฉpenses รฉnergรฉtiques. Comme lโactivitรฉ musculaire est le principal consommateur dโรฉnergie, on peut dire que lโobรฉsitรฉ est le rรฉsultat dโun apport excessif par rapport ร lโactivitรฉ physique fournie.
Ce mรฉcanisme est valable seulement pendant la pรฉriode de dรฉveloppement de lโobรฉsitรฉ ; une fois celle-ci installรฉe, un apport normal ne fait que maintenir le poids et, pour en perdre il faut que les apports passent en dessous des besoins.
Normalement le rythme de lโingestion alimentaire est rรฉglรฉ en balance avec les rรฉserves รฉnergรฉtiques : si un excรฉdent des rรฉserves apparaรฎt, lโingestion est limitรฉe jusquโร rรฉรฉquilibrage de celles-ci. Ce mรฉcanisme est altรฉrรฉ dans lโobรฉsitรฉ par une sรฉrie de facteurs :
Hรฉrรฉditรฉ
Un dรฉterminisme gรฉnรฉtique est pratiquement prouvรฉ : statistiquement, 70% des obรจses ont un des deux parents obรจses. Chez les jumeaux monozygotes, les diffรฉrences de poids durant leur vie sont trรจs limitรฉes, mรชme si leurs conditions de vie et dโalimentation sont diffรฉrentes. Lโhรฉrรฉditรฉ peut intervenir ร plusieurs niveaux : le rรฉglage du seuil de stockage au niveau des centres de la faim, facteurs psychologiques gรฉnรฉtiquement dรฉterminรฉs, etc.(APFELBAUM et al 2009).
Comportement alimentaire et facteurs psychologiques
Les facteurs psychologiques jouent souvent un rรดle dans lโapparition de lโobรฉsitรฉ. Un exemple simple est la conviction que la nutrition correcte nรฉcessite trois repas quotidiens et que chacun de ces repas doit รชtre suivi dโune sensation de satiรฉtรฉ. Une autre condition commune est lโaugmentation des apports alimentaires suite ร un traumatisme รฉmotionnel, lโalimentation servant en quelque sorte d ยซ antidรฉpresseur ยป. Parfois lโobรฉsitรฉ est la suite de lรฉsions neurologiques organiques, surtout hypothalamo-hypophysaires. Lโexistence dโun facteur hormonal (la leptine) sรฉcrรฉtรฉ par les adipocytes et entraรฎnant une stimulation des centres de la faim dans le systรจme nerveux central a รฉtรฉ prouvรฉe.
Selon leur profil psychologique et leur comportement alimentaire, les obรจses peuvent รชtre classifiรฉs en :
๏ผ Gros mangeurs (hyperphages). Cette catรฉgorie reprรฉsente ร peu prรจs 20% des obรจses ; ce sont les ยซ bons mangeurs ยป, les ยซ gourmets ยป ; lโhyperphagie peut concerner tous les aliments ou un type dโaliment en particulier (exemple pain, sucreries). La prise en charge de ces patients passe par la comprรฉhension du fait quโon peut bien manger tout en mangeant moins.
๏ผ Grignoteurs (15%). Ce trouble peut รชtre dรป ร une mauvaise hygiรจne alimentaire, par exemple le fait de ne pas prendre de petit dรฉjeuner. Il peut รฉgalement รชtre dโorigine psychologique voir psychiatrique.
๏ผ Boulimiques (10%). La boulimie est une affection psychiatrique avec des รฉpisodes compulsifs incontrรดlรฉs, paroxystiques, dโingestion alimentaire.
๏ผ Dysmorphobes (10%). Il sโagit de personnes normopondรฉrales qui se trouvent trop grasses. Le danger est lโรฉvolution possible vers lโanorexie.
๏ผ Le reste des obรจses ont un comportement alimentaire qui peut รชtre considรฉrรฉ normal, mais qui est inadaptรฉ par rapport ร leurs besoins (SEIGNALET 2011).
Age
Lโรขge est รฉgalement un facteur dรฉterminant, puisque les adipocytes peuvent prolifรฉrer jusquโร lโadolescence ; les enfants obรจses ont parfois jusquโร trois fois plus dโadipocytes que les autres, alors quโaprรจs la pubertรฉ, le nombre dโadipocytes varie peu et lโobรฉsitรฉ est la suite de leur hypertrophie.
|
Table des matiรจres
Introduction
Premiรจre partie : Rappels bibliographiques
I.SUCRES
I.1 Importance des sucres dans les aliments
I.2 Structures
I.3 Propriรฉtรฉs physico-chimiques
I.4 Biochimie
I.4.1 Notion dโose et dโoside
I.4.1.1 Oses
I.4.1.2 Osides
I.4.2 Mรฉtabolisme
I.4.2.1 Glucose
I.4.2.2 Fructose
I.4.2.3 Saccharose
I.4.3 Besoins glucidiques
I.4.4 Sucres dans le rรฉgime alimentaire
I.5 Pathologies liรฉes ร une mauvaise consommation de sucres
I.5.1 Notion dโindice glycรฉmique
I.5.2 Diabรจte de type 2 ou non insulinodรฉpendant
I.5.1.1 Dรฉfinition
I.5.2.2 Etiopathogรฉnie
I.5.2.3 Complications du diabรจte
I.5.2.3.1 Complications aigues mรฉtaboliques ยซ comas diabรฉtiques ยป
I.5.2.3.2 Complications infectieuses
I.5.2.3.3 Complications chroniques dรฉgรฉnรฉratives
I.5.2.4 Traitement
I.5.2.4.1 Rรฉgime alimentaire
I.5.2.4.2 Exercice physique
I.5.2.4.3 Antidiabรฉtiques oraux
I.5.2.4.4 Insuline
I.5.3 Obรฉsitรฉ
I.5.3.1 Dรฉfinition
I.5.3.2 Etiopathogรฉnie
I.5.3.2.1 Hรฉrรฉditรฉ
I.5.3.2.2 Comportement alimentaire et facteurs psychologiques
I.5.3.2.3 Age
I.5.3.2.4 Troubles endocriniens
I.5.3.3 Complications
I.5.3.3.1 Complications mรฉtaboliques
I.5.3.3.2 Complications mรฉcaniques
I.5.3.4 Traitement
II. Gรฉnรฉralitรฉs sur la CLHP
II.1 Principe
II.2 Appareillage
II.2.1 Rรฉservoirs de phase mobile
II.2.2 Dispositifs de pompage
II.2.3 Dispositifs dโinjection de lโรฉchantillon
II.2.4 Colonnes
II.2.5 Dรฉtecteurs de CLHP
II.2.5.1 Caractรฉristiques
II.2.5.2 Monographies
II.2.5.2.1 Dรฉtecteurs ร rรฉfractomรจtre diffรฉrentiel
II.2.5.2.2 Dรฉtecteurs spectroscopiques UV/visible
II.2.5.2.3 Dรฉtecteurs รฉlectrochimiques
II.2.5.2.4 Dรฉtecteurs conductimรฉtriques
II.2.5.2.5 Dรฉtecteurs ร fluorescence
II.2.5.2.6 Spectromรฉtrie de masse
II.2.5.2.7 Dรฉtecteur dโaรฉrosol chargรฉ (Corona)
II.2.5.2.7.1 Prรฉsentation
II.2.5.2.7.2 Fonctionnement
II.2.5.2.7.3 Avantages
I.6 Choix des phases mobiles et stationnaires
II.3.1 Phase stationnaire
II.3.2 Phase mobile
I.7 Chromatogrammes
Deuxiรจme partie : Travail expรฉrimental
I. Objectifs
I.1.Objectif gรฉnรฉral
I.2.Objectifs spรฉcifiques
II. Cadre dโรฉtude et mรฉthodologie
II.1.Cadre et durรฉe de lโรฉtude
II.2. Mรฉthodologie
II.2.1.Travaux antรฉrieurs
II.2.1.1. Mรฉthode ยซ Thermo scientific ยป
II.2.1.1.1 Protocole (ZHANG et al. 2015)
II.2.1.1.2 Rรฉsultat thรฉorique
II.2.1.2. Mรฉthode OIV
II.2.1.2.1 Protocole (OIV. 2003)
II.2.1.2.2 Rรฉsultat thรฉorique
II.2.2 Expรฉriences personnelles
II.2.2.1 Appareil de CLHP Corona
II.2.2.2 Colonnes utilisรฉes
II.2.2.2.1 Colonne L10
II.2.2.2.2 Colonne L1
II.2.2.2.3 Colonne L60
II.2.2.3 Petit matรฉriel utilisรฉ
II.2.2.4 Verrerie
II.2.2.5 Rรฉactifs utilisรฉs
Conditions dโanalyses, rรฉsultats et commentaires
Conclusion
Rรฉfรฉrences bibliographiques
Tรฉlรฉcharger le rapport complet