Compilation de données d’inventaire effectué par COEFOR en 1995 et 1997

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Relief et hydrographie :

La forêt d’Ankeniheny présente les caractéristiquesdu relief et l’hydrographie de la côte Est. La région présente un relief très accidenté dominépar des montagnes culminant entre 800 et 1100 mètres d’altitude.
Du fait de la descente assez brutale du relief vers la mer, toutes les rivières sont coupées par des hutesc plus ou moins abruptes. De nombreux ruisseaux et rivières prennent leur source dans cette forêt, les plus importants sont :
– Au Nord : Sahatandra, Maholy, Fanjavola, Farizana
– A l’Est : Lakato, Lofika, Ankeniheny, Behavana, Vakoho
– Au Sud : Manampotsy
– A l’Ouest : Tsiolafaka, Besariaka, Mahamavo

Géologie et géomorphologie :

Le substrat géologique de la région est le socle cristallin caractérisé par l’abondance des formations à graphite. La zone repose sur la migmat ite de Mangoro, groupe de Manampotsy formé de migmatite à gneiss (HERVIEU, 1960)
Il y avait un métamorphisme et une migmatisation des vieux sédiments précambriens du système Androyen suivi d’une intrusion des roches éruptives du système Anosyen synchronique d’une phase de plissement. Ensuite il y a eu une nouvelle phase de métamorphisme et de gneissification des roches éruptives, accompagnées d’un effondrement suivant des failles en escalier. Cette histoire géologique de la région permet d’avancer que le fond géologique est constitué de roches métamorphiques à cause de la migmatisation du système (LAPLAINE, 1950).
De l’or alluvial peut se rencontrer dans la partie Est de la forêt, d’Ambodigavo à Ambodivarongy ainsi que de corindon, du quartz rose, du graphite, et des matériaux d’empierrement.
Le long de la route d’Anosibe an’Ala, des affleurem ents de sables sont constatés. L’étude de Moine en 1962 a montré que cette bande de sable estdifficile à exploiter à cause de la faible épaisse ur de la couche superficielle. Ce sable est riche en quartz incolore, quelques proportions de zircon, d’ilménite et des traces de migmatites.

Sols :

Les sols ferralitiques prédominent dans cette zone .Généralement ce sont des sols jaunes sur rouges desaturés typiques sur les pentes et les sommets, appauvris dans les bas fonds. Sur les migmatites, les sols sont souvent limono-argileux en profondeur et nettement argileux en surface. Sur les alluvions fluvio-lacustres, les sols sont de nature argilo-sableux à sablo-argileux et donnant naissance à des sols peu évolués.
Sous forêt, l’horizon humifère est plus riche en émentsl échangeables par rapport à l’horizon sous-jacent.
D’une façon générale, on peut résumer le profil pédologique de la zone par superpositions des horizons ci-après (RIQUIER., 1953)
– A0 de très faible épaisseur : litière composée defeuilles peu décomposées et d’un feutrage très dense des racines ;
– A1 jusqu’à 35 cm, horizon humifère de couleur bru ne et très meuble ;
– B dépassant souvent 1 m de profondeur, un horizon jaune passant par transition ou brusquement à un horizon rouge plus profond, compos é d’argile ferralitique, et présence quelquefois de concrétion.
– C vers 2 ou 3m : argile limoneuse, de cohésion etde couleur violacée.
Généralement ces sols présentent une minéralogie debonne texture, à structure surtout polyédrique avec un accroissement du taux d’argile en profondeur.
Quelle que soit la nature de la végétation, le pH ud sol de cette région est toujours faible variable de 4,1 à 4,6 à faible capacité d’echange, pauvre en éléments échangeables (0.1 à 1méq/100gr).

Flore et végétation :

La végétation d’Ankeniheny présente les caractériquesst de celle de la Cote Est. La végétation ligneuse orientale a été définie commeneuforêt ombrophile très hétérogène, sans espèces dominantes, d’environ 25 à 30m mètres de hauteur (FAO, 1981 in COEFOR 1994). Plus de 150 y sont associés. Les grands arbres poussent rarement trèsdroit, ayant beaucoup de branches et couverts d’épiphyte, de mousses et de lichens. On n’y distingue pas de strates bien définies, mais le tout forme une association très dense, complexe et intimement mêlée. Les espèces intermédiaires poussent plus droites et sont de meilleure forme par rapport aux espèces dominantes. Le sous-étage est excessivement dense et contient souvent beaucoup de lianes et de bambous.
En fonction de l’altitude, on peut distinguer trois types principaux de forêts.
– La forêt des collines et falaises, s’étend des basses vallées jusqu’à l’altitude moyenne de 800 m. Leur composition floristique prédominante est la suivante : Ocotea sp, Ravensara sp, Gambeya sp, Canarium madagascariensis, Syzigium sp, Symphonia sp, Sloanea sp, Dalbeergia sp, Uapaca sp, Sarcolaena cadomoclamys, Leptolaena bernieri. A ces espèces, il faut ajouter un palmier Ravenala madagascsariensis et un bambou Ochlandra capitata.
– La forêt des plateaux, entre 800 et 1100 mètres d’altitude diffère par la présence d’une seule strate supérieure, formant une futaie de 20 à 25 mètres de hauteur. Les genres les plus fréquents sont : Tambourissa, Weinmania, Symphonia, Dilobeia, Dombeya, Dalbergia, Canarium, Vernonia, Diospyros, Eugenia, Protorhus, Grewia et Brachylaena. Le sous-bois est aussi abondant, dense et difficilement pénétrable, avec un grand développement de la strate muscenale et lichénique. Il est parsemé d’arbustes peu élevés, de grandes lianes etde bambous monocarpiques.
– La sylve à lichens, localisée entre les 1100 à 2000 mètres d’altitude, est constituée par une futaie d’arbre sclérophylles, de 10 à 20 mètres, très ramifiés, formant une seule strate qui surmonteun sous-bois arbustif. Parmi les espèces les plus caractéristiques, on trouve : Dicoryphe viticoides, Tina isoneura, Alberta minor, Rhus taratana, Ilex mitis et Podocarpus sp. La strate muscinale et lichénique est très épaisse, souvent de plusieurs décimètresLes. arbres et les arbustes sont surchargés d’épiphytes.
La forêt d’Ankeniheny présente une importante partie défrichée due au tavy. La forêt primaire est remplacée par des formations secondaires « Savoka ». Dans cette formation secondaire, les espèces colonisatrices forment des peuplements souvent presque impénétrables et généralement à peu près purs. Parmi ces espèces on trouve des bambous tel que : Ochlandra capitata, Arundo madagascariensis. Les espèces arborées et arborescentes sont représentées par Solanum auriculatum,
Milieu d’études
Psiadia altissima, Philippia sp, Aframomum angustifolium et Harunga madagascariensis. Dans le sous-bois, on trouve des fougères comme Pteridium aquilinum et Lantana camara, espèce exotique très fortement répandue (COEFOR, 1994).
Des boisements artificiels y occupent une surface importante et sont composés essentiellement par des Eucalyptus.

Faune :

Les espèces faunistiques de la forêt sont très variées.
Parmi les mammifères terrestres, on note la présenc fréquente du sanglier (Potamocherus larvatus) et quelques petits mammifères comme : Tenrec (Tenrec ecaudatus), hérisson (Setifer setosus) et des Tsora (Vivericula indica). L’Indri Indri est le plus remarquable parmi les lémuriens.
On rencontre également des oiseaux dont le plus fréquent est le ‘boazia’ ( Coracopsis nigra). La forêt d’Ankeniheny héberge aussi d’autres groupes d’animaux comme les reptiles, les batraciens. L’inventaire de la faune batro-reptilienne effectué en 1993 par le projet COEFOR a recensé 82 espèces.
La faune apporte sa part dans le dynamisme de la forêt (RAZAFY FARA, 1989) à l’exemple des Indri indri qui sont frugivores-folivores, ils favorisent la germination de certaines espèces comme les Norhonia lanceolata qui, une fois les graines débarrassées respectivement de leur coque et de la chaire pulpeuse germent plus facilement. Ainsi les oiseaux frugivores participent également à la dissémination des graines.

Milieu humain :

Répartition ethnique :

Sur les 31 villages et hameaux existant autour de la forêt d’Ankeniheny, 18 seulement possèdent un cahier de recensement. Les autres ne disposent d’aucun registre d’habitants et encore moins de registre actualisé des naissances et de décès. Il a donc été difficile d’obtenir des données exactes concernant la population de la zone.
La population de ces 18 villages recensés totalise 5 060 habitants. Donc il est toutefois peu exagéré de considérer que la zone doit comprendreneu population de près de 10 000 habitants compte tenu des limitations de ces recensements et de la mobilité des habitants.
La population vivant aux alentours de la forêt d’Ankeniheny est formée majoritairement par des Betsimisaraka 90%, viennent ensuite les Bezanozano 5%, les Merina 3% et les Sihanaka 2% (COEFOR, 1994).
Les Merina se rencontrent surtout à Ambodigavo et à Ambatomasina. Ils sont soit commerçants, soit orpailleurs, soit exploitants for estiers ; très peu sont exploitants agricoles. Par ailleurs les Betsimisaraka sont tous des agriculteurs.

METHODOLOGIE DE TRAVAIL

Rappel sur la problématique

Les facteurs dégradants de la forêt sont plutôt d’ordre socio-économique que technique. En effet, plus l’accroissement démographique augmente plus les pressions anthropiques pesant sur la forêt augmentent. L’exploitation de bois d’œuvre et d’aut res activités entreprises par la population riveraine peuvent entraîner une modification tant au niveau structural que textural de la forêt. Mais la pratique la plus menaçante de la forêt est le défrichement.
Notre étude essaie de déterminer la potentialité decette forêt à partir de l’analyse floristique, structurale et les régénérations ainsi que les menaces et les pressions exercées sur la forêt.
Pour atteindre cet objectif, la méthodologie suivante est adoptée :

Etude bibliographique

Il s’agit d’une étude bibliographique auprès de diférents centres de documentation : CIC, bibliothèque de COEFOR, centre de documentation du DRFP Ambatobe…Cette étude s’avère nécessaire pour mieux connaître le milieu d’étude ainsi que l’acquisition des connaissances sur les activités et travaux déjà effectués. Elle permet aussi d’avoir des compléments des données sur le thème étudié.

Compilation de données d’inventaire effectué arp COEFOR en 1995 et 1997

L’objectif de cette compilation est de comparer les différents résultats fournis dans les quatre placettes permanentes.
Les normes d’inventaire qui ont été utilisées sontprésentes dans un document intitulé : « Normes d’inventaire forestier du dispositif d’exp érimental d’Ankeniheny » (Soto ,1994).

Critère de sélection des sites inventoriés

Les sites ont été sélectionnés en fonction de 3adesst écologiques différents :
– une zone récemment exploitée ;
– une zone exploitée il y a 40 ans ;
– deux zones témoins non exploitées ;
De plus, les sites doivent présenter les mêmes conditions topographiques. Ils sont localisés sur le moyen versant, à plus ou moins la même altitude (altitude moyenne de la région : 900 mètres) et présentant une exposition d’orientation Nord.

Forme et dimension des placettes d’études

Selon les « Normes d’inventaire du dispositif expérimental d’Ankeniheny », la placette d’échantillonnage couvre une superficie de un hectare dans laquelle on trouve des sous placettes d’étude pour la régénération et pour les gaules.
Le périmètre de chaque placette et sous placette ste horizontal, chaque distance a été corrigée en fonction du pourcentage de la pente.
Les sous placettes pour le gaule qui ont une superficie de 1.000mètres carrés dont le centre est la même que celle de la grande placette. Les placettes et les sous placettes sont rectangulaires mais n’ont pas systématiquement des côtés ayant les mêmes longueurs (tableau 3).
Les sous placettes pour la régénération ont une superficie de 25m² soit 5m*5m sont distribuées dans la grande placette. Au total 40 placettes sont disposées le long de 4 virées à raison de 10 placettes par virée.

Analyse sylvicole

L’objectif de cette analyse est d’obtenir toutes le s informations sur les peuplements permettant d’avoir une meilleure compréhension de son aptitude à son aménagement et donc d’envisager les traitements sylvicoles adéquats.
Elle porte notamment sur les trois parties suivantes :

Analyse structurale

Cette analyse a pour but d’étudier :

la structure floristique

La structure floristique décrit la composition floristique et la richesse floristique.
– La richesse floristique donne une idée sur le nombre total des espèces floristiques et des familles que contient le peuplement forestier. Elle pourrait être exprimée par une courbe Aire Espèce ou par une liste exhaustive des espèces et des familles rencontrées.
– La diversité floristiquedonne des renseignements sur le nombre relatif des espèces et elle pourrait s’exprimer par le coefficient de mélange (CM) : CM = Nombre des espèces / Nombre total des tiges

Structure horizontale

– L’abondance
· L’abondance absolue ou la densité du peuplement est caractérisée par le nombre de tiges du peuplement à l’hectare (N/ha).
· L’abondance relative (Ai) qui donne le nombre d’une essence ou d’un type biologique, par rapport au nombre total de tiges. Elle est donnée par la formule :
– Ni est le nombre de tiges de l’espèce i.
– N est le nombre total de tiges ;
– La dominance
La dominance exprime la surface terrière G d’un peuplement. Elle donne une idée sur le degré de remplissage de la forêt.
On distingue :
* La dominance absolue qui représente la surface terrière à l’hectare : G =g avec g =*D²1.30 /4 (en m²/ha)
* La dominance relative (Gr) est le rapport entre la surface terrière d’une espèce ou un individu donné (Gi) et la dominance absolue G Gr = Gi/G (en %)
– La contenance
La contenance ou volume sur pied peut être calculéed’après la formule de DAWKINS (1959) adaptée aux régions tropicales : V =vi =(0.53*gi*hi) où
– 0.53 est le coefficient de forme ;
– gi la surface terrière d’une tige ;
– hi est la hauteur totale de la tige.
– Le coefficient d’élancement
Le coefficient d’élancement (CE) est le rapport entre la hauteur totale et le diamètre qui reflète la stabilité d’un peuplement forestier ou un arbre isolé. Selon OLDEMAN (1972), un peuplement forestier est considéré comme stable lorsque le rapport h/d<100. Le CE est donné par la formule suivante : CE = h/d
Où h représente la hauteur d’un arbre ou d’un peuplement et d le diamètre.
– L’index PHF
L’index PHF est un indice de l’état de vigueur d’un arbre. P représente la position du houppier et on peut attribuer à P les valeurs de 10 0 à 500 selon lequel le houppier est complètement libre et bien exposé au soleil ou non ; H donne laforme du houppier et peut prendre les valeurs de 10 à 50 qui correspond respectivement à la forme de la c ouronne qui est bien symétrique, médiocre ou dégradé ; on attribue la valeur 0 à la couronne d’un arbre mort. Enfin, l’index F indique la forme du fut c’est à dire un tronc bien cylindrique et droit jus qu’à un tronc tortueux et ou bossu.

Structure verticale

Elle étudie la structure des hauteurs donnée par ladistribution du nombre de tiges par classe de hauteur et qui renseigne sur la stratification verticale du peuplement et permet de déterminer à partir des hauteurs totales des arbres, la stratification de la forêt.

Structure totale

La structure désigne la distribution du nombre d’arbres suivant des classes diamètriques, toutes les espèces réunies (ROLLET, 1969). Elle renseigne aussi sur la variabilité du nombre de tiges d’une classe de diamètre à l’autre. La courbe de st ructure totale permet d’apprécier le passé et l’actuel du peuplement étudié pour préfigurer son évolution.

Analyse des jeunes bois

Les jeunes bois vont constituer le peuplement d’avenir de la forêt, l’étude et l’analyse de ces jeunes tiges donnent une indication importante sur l’évolution de la formation forestière dans le temps. Elle est axée sur les gaules et les régénérations permet de mesurer l’effet de l’exploitation sur l a régénération naturelle. L’analyse du jeune bois consiste notamment en des études de la composition floristique, de la structure horizontale et de la répartition spatiale des espèces.

Structure floristique

L’étude de la structure floristique consiste à déterminer dans un premier lieu la richesse floristique et la diversité floristique, ensuite deconnaître la capacité de germination des essences c’est à dire les espèces et les familles les plus dominantes chez les jeunes bois.

Structure horizontale

L’étude de la structure horizontale est axée sur l’abondance qui détermine le nombre des jeunes tiges à l’hectare.

Analyse des essences principales

Les essences principales se définissent comme étantles essences répondant aux deux critères suivants :
– essences de valeur, c’est à dire appartenant aux tr ois premières catégories définies dans la classification des essences de Madagascar ;
– essences les plus utilisées par la population riveraine ;
Cette analyse concerne notamment les caractéristiques dendrométriques des essences ainsi que leur potentiel d’avenir.

Saisie et traitement des données

Toutes les données recueillies sur le terrain et par compilation sont saisies sur ordinateur et les traitements sont effectués avec le tableur EXCEL.
Pour les différents objets de ce travail, le traitement se divise en trois parties :

Comparaison entre placettes

Cette comparaison se fait dans les 4 placettes permanentes (T1, T2, E55, E95) et la placette temporaire (P98) installée lors de la descente sur terrain. Les données à comparer sont les données recueillies en 97 pour les placettes permanentes et ceux de 98 pour les placettes temporaires.
Cette comparaison se fait au niveau de :
– La structure floristique : richesse et diversité floristique.
– La structure horizontale : abondance, dominance, contenance, coefficient d’élancement et l’index PHF.
– La structure totale.

Comparaison des mêmes placettes au cours dutemps

Cette comparaison se fait seulement dans les 4 placettes permanentes. Il s’agit d’une comparaison entre les résultats de 1995 et 1997. Ele permet de voir le dynamisme du peuplement de chaque placette au cours du temps ainsi que l’accroissement en diamètre et en surface terrière.
Cette comparaison se fait au niveau de :
– La structure horizontale ;
– L’accroissement en diamètre et en surface terrière
Pour le calcul de l’accroissement en surface terrière, l’accroissement annuel est considéré, il s’écrit comme suit : AMA=y/a
y : Surface terrière
a : Intervalle de 2 inventaires
L’accroissement en diamètre est de : AMA AMD= 2 N 

Comparaison pour les essences principales au cours du temps

Pour comprendre la potentialité en bois d’œuvre de cette forêt, l’objectif de cette comparaison est de voir dans chaque placette les différences au niveau des essences principales :
– la hauteur moyenne et le diamètre moyen ;
– la surface terrière et le volume

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Table des matières

INTRODUCTION
I. MILIEU D’ETUDES
I.1 Cadre institutionnel et historique :
I.2 Milieu biophysique :
I.2.1. Situation géographique et administrative…
I.2.2 Climat :
I.2.3 Relief et hydrographie :
I.2.4 Géologie et géomorphologie :
I.2.5 Sols :
I.2.6Flore et végétation :
I.2.7 Faune :
I.3 Milieu humain :
I.3.1 Répartition ethnique :
I.3.2 Nombre et croissance démographiques :
I.3.3 Activité de subsistance :
Agriculture :
Elevage :
I.3.4 Structure et organisation sociale :
II. METHODOLOGIE DE TRAVAIL
II.1 Rappel sur la problématique
II.2 Etude bibliographique
II.3 Compilation de données d’inventaire effectué par COEFOR en 1995 et 1997
II.3.1 Critère de sélection des sites inventoriés
II.3.2 Forme et dimension des placettes d’études
II.3.3 Données récoltées
II.4 Descente sur terrain
II.4.1 Enquête
II.4.2 Inventaire forestier
II. 5. Analyse des données socio- économiques
II.6 Analyse sylvicole
II.6.1 Analyse structurale
II.6.2 Analyse des jeunes bois
II.6.3 Analyse des essences principales
II.7 Saisie et traitement des données
II.7.1 Comparaison entre placettes
II.7.2 Comparaison des mêmes placettes au cours du temps
II.7.3 Comparaison pour les essences principales au cours du temps
II. 8 Schéma de la démarche méthodologique
III RESULTATS ET INTERPRETATIONS
III. 1 Recherche et exploitation bibliographique
III. 1. 1 Les caractéristiques de la forêt
III. 1. 2 Caractères physionomiques et biologiques des forêts étudiées
III.2 Analyse socio-économique
III.2.1 Les produits forestier
Les produits ligneux
Les produits non ligneux
III.2 .2 Menaces et pressions sur la forêt
III.3 Résultats sylvicoles
III.3.1 Comparaison entre placettes
Analyse structurale
a) Structure floristique
b) Structure horizontale
c) Structure verticale
d) Structure totale
Analyse des jeunes bois
a) Composition floristique
b) Structure horizontale :
III.3.2 Comparaison des mêmes placettes au cours du temps
Comparaison des nombres de tiges des mêmes placettes au cours du temps
Accroissement en surface terrière
III.3.3 Comparaison pour les essences principales
Définition :
Caractéristiques dendrométriques des essences principales
Régénérations et jeunes bois des essences principales
IV. 1 DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
IV .1 DISCUSSIONS
IV.1.1 Conception et résultat de l’analyse sylvicole
IV.1.2 Facteurs dégradants de la forêt
IV.1.3 Dynamique de la forêt
IV.2 RECOMMANDATIONS :
CONCLUSION

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