Compétences et savoir-faire
Valorisation des rôles sociaux
L’idée de la VRS est apparue dans le domaine des services aux personnes en situation de handicap en Europe dans les années 1980. Elle s’inspire de plusieurs courants et connaissances, notamment du principe de normalisation. Celui-ci apparaît comme un des concepts clés, dans le domaine des services aux personnes qui présentent une déficience intellectuelle, au début des années 1960 en Scandinavie et en Amérique du Nord. La VRS fut élaborée et systématisée en Amérique du Nord en tant qu’idéologie humaniste pour réformer les institutions asilaires de l’époque. En Europe, la VRS a servi davantage à conceptualiser des approches éducatives, psychosociales et médico-sociales axées sur la bientraitance, l’inclusion et la participation sociale des personnes en situation de handicap. Les principes de base de la VRS, selon le Comité Européen pour le Développement de l’Intégration Sociale (CEDIS), sont les suivants : 1. La VRS a pour principe premier de faire en sorte que les personnes accompagnées, et cela quel que soit leur niveau de vulnérabilité, de difficulté, de handicap, de limitation, puissent vivre au plus près des conditions de vie de tout un chacun. 1. La VRS place l’usager au centre des préoccupations d’un dispositif et le reconnaît comme un participant actif dans la conception et la mise en œuvre du projet d’accompagnement qui le concerne, pouvant décider pour lui-même. Cette approche permet de sortir d’une emprise institutionnelle parfois trop forte qui dégage une logique interne faisant passer au second plan l’intérêt bien compris des collaborateurs. Elle permet aussi, et surtout, de se fixer sur l’être humain, la personne, pour l’aider à dégager ses « forces » et ainsi être capable d’affronter un contexte social souvent dur et impitoyable. 2. La VRS vise à développer des rôles sociaux pour et par les personnes accompagnées de façon à limiter les effets du handicap et favoriser l’inclusion. C’est l’écart qui existe entre les rôles sociaux attendus pour une personne dans un système donné et les rôles qu’elle met réellement en acte qui constitue le handicap ou le désavantage. 3. La VRS se situe par rapport à un équivalent culturel valorisé. 3 4. La VRS vise à développer la conscientisation et la responsabilisation des personnes accompagnées mais aussi des professionnels. Cela nécessite de mettre en place des programmes de développement des compétences tant pour les personnes que pour les intervenants. (« CEDIS, Formation à la valorisation des rôles sociaux.pdf », p.11-12) 3 Ce concept est repris et développé plus en détail au point suivant 6 En appliquant ces principes de la VRS auprès de nos collaborateurs, on peut émettre l’hypothèse que, plus une personne risquant d’être exclue et dévalorisée socialement est en mesure de se percevoir et de se faire percevoir positivement par la communauté, moins elle aura de chance d’être exclue ou dévalorisée socialement. En d’autres termes, l’image que j’ai de moi-même et que les autres ont de moi, les rôles que je joue ou ceux que les autres s’attendent à me voir jouer, vont largement contribuer à favoriser, ou au contraire entraver, mon développement personnel. Ils vont aussi faciliter, ou au contraire empêcher, mon intégration sociale. Ceci est d’autant plus vrai si je suis une personne en situation de handicap et donc de vulnérabilité. Ce qui est mis en œuvre, au sein des ateliers de la Fondation Saint-Hubert, participe au développement des capacités des personnes au travers d’objectifs. Ainsi, nous élaborons, avec nos collaborateurs, des Projets d’Action Personnalisé (PAP), pour les aider à progresser aussi bien socialement que professionnellement. En cela nous appliquons le principe tel qu’évoqué par Wolf Wolfensberger : Le principe de valorisation des rôles sociaux intègre le ‟modèle développemental″, c’est-àdire qu’il est résolument optimiste au sujet des possibilités de l’être et qu’il met l’accent sur ses forces plutôt que sur ses lacunes. Cette option privilégie l’individualisation des programmes et reconnaît une supériorité aux interventions basées sur des objectifs et des moyens clairement identifiés et valorisés. La participation des usagers lors de la définition des besoins, la planification des tâches et l’évaluation sont encouragées dans la mesure du possible. (Wolfensberger et al., 1998, p. 12) Et puis les rôles sociaux peuvent être valorisés par l’activité proposée à travers deux principales stratégies qui sont relevées par Wolf Wolfensberger : a) le développement des compétences, afin de permettre d’être mieux à même de remplir certains rôles valorisés, et afin que des rôles valorisés qui exigent certaines compétences puissent être attribués, et b) l’amélioration de l’image sociale des personnes afin qu’elles soient perçues de façon plus positive, et que l’entourage soit donc enclin à leur offrir des rôles valorisés, de même que des opportunités positives qui pourront, à leur tour, promouvoir leurs compétences et accroître leur qualité de vie. (Wolfensberger, 1991, p. 55) Il est donc intéressant de rattacher cette définition à notre pratique professionnelle et de voir comment cette dernière est perçue par les collaborateurs. Finalement, je pense que de pouvoir répondre à cette interrogation nous permettrait d’être plus efficient dans notre mission de maître socioprofessionnel.
Développement
Equivalent culturel valorisé Dans un premier temps, je veux vérifier si les activités artisanales, telles que pratiquées dans l’atelier Saint-Hubert de Monthey, permettent aux collaborateurs de se situer par rapport à un équivalent culturel valorisé. Pour cela, sept indicateurs servent de guide lors de mes entretiens. Tout d’abord, je cherche à savoir si les collaborateurs ont le sentiment que les objets produits sont utiles. Comme tout professionnel, nous nous devons de fabriquer des articles qui sont jugés utiles par des clients potentiels afin de pouvoir les écouler sur le marché. Le collaborateur se sentira dévalorisé si les articles réalisés dans les ateliers s’entassent dans un dépôt ou dans le magasin et ne trouvent pas d’acquéreur, faute d’utilité à ses yeux. Je constate que, pour neuf personnes interrogées sur dix, les objets produits par leurs soins sont jugés utiles. Une seule personne trouve qu’ils ne le sont pas vraiment. De plus, il est relevé par plusieurs personnes travaillant dans le secteur céramique, que le côté utilitaire n’est pas le seul attrait de nos produits. Il y a un aspect décoratif qui est mis en avant et ils sont jugés utiles par le fait qu’ils peuvent aussi servir à faire des cadeaux. Ainsi Anaïssa qui me dit : « Oui, moi j’en ai acheté, ça fait des cadeaux aussi ! » (Communication personnelle [Entretien] 27.06.2017) La plupart apprécient particulièrement de répondre à la demande des clients par leur travail sur les articles qui font l’objet de commande. J’en déduis qu’ils se sentent valorisés par cet attrait et cette demande. Je constate que pour une large majorité des collaborateurs des trois ateliers, les objets produits sont jugés utiles. Ensuite, j’ai voulu savoir si les collaborateurs ont le sentiment que les objets produits répondent à des besoins et à des critères de consommation. J’avais choisi de dissocier ces deux aspects avec des indicateurs scindés en deux questions mais devant les réponses qui se rejoignent sur le fond, j’ai choisi de les rassembler dans ce compterendu. Ici aussi, à l’instar d’un professionnel, nous devons répondre avec nos produits aux besoins ainsi qu’aux critères de consommation de nos clients. Que ce soit directement, par la vente dans notre magasin, ou indirectement par l’entremise de revendeurs sur des marchés ou en boutique. Il est relevé que nos produits ne sont pas assez visibles et de ce fait pas assez mis au-devant des besoins de potentiels acheteurs. Ainsi pour Valentine : « Oui moi je trouve que oui mais le problème c’est que les gens oublient qu’on existe. » (Communication personnelle [Entretien] 22.06.2017) 11 Roma nuance sa réponse ainsi : « Ouais c’est utilitaire mais tu trouves tellement ailleurs aussi…à l’époque c’était très utile maintenant un peu moins. » (Communication personnelle [Entretien] 22.06.2017) Les efforts que l’ensemble de l’équipe met en œuvre afin de correspondre aux critères et aux besoins de nos clients sont relevés. Ainsi Lilou me dit : « Et vous et nous on est tout le temps en train de s’améliorer pour présenter le mieux possible et que les clients soient satisfaits. » (Communication personnelle [Entretien] 16.06.2017) Est relevé aussi l’adaptabilité de notre offre par rapport aux demandes qui nous sont faites. Pour Anaïssa : « Oui et on peut les personnaliser, alors que dans les centres commerciaux c’est pas personnalisé, justement c’est ça qui est cool ! » (Communication personnelle [Entretien] 27.06.2017) Seulement cinq personnes sur dix répondent à l’indicateur du critère de manière claire et différenciée. Parmi celles-ci, je constate une majorité d’avis positifs (4 sur 5). Pour les cinq autres personnes, cet aspect rejoint celui du besoin et ils ne font pas vraiment de différenciation. Ainsi, pour une large majorité de huit personnes sur dix, les produits répondent aux besoins de consommation. Je peux donc en conclure que, pour cette question du besoin et des critères de consommation, les collaborateurs ont le sentiment que nos produits y répondent. Toujours dans l’idée de se situer par rapport à un équivalent culturel valorisé, j’ai voulu savoir si les collaborateurs ont le sentiment que les objets produits sont vendus au juste prix. Si les objets, qui sont confectionnés par nos collaborateurs, sont vendus à un prix qu’ils jugent en-dessous de la valeur de leur travail, ou à un prix moindre que ceux fabriqués par un professionnel, nous risquons alors de renforcer un statut dévalorisé auprès de ceux-ci. Quatre personnes évoquent le travail fournit pour expliquer le prix. Ainsi Titouan exprime ce que pensent ses collègues : « Par rapport au travail qu’on fournit bien sûr, je pense qu’ils sont à un juste prix. » (Communication personnelle [Entretien] 28.07.2017) Le côté artisanal est aussi mis en avant par Anaïssa pour défendre les prix qui sont pratiqués : « Oui parce que c’est fait à la main, ça prend du temps et y’a des choses plus compliquées que d’autres alors oui. C’est fait à la main pas en industriel vite fait oui moi je trouve que les prix sont corrects. » (Communication personnelle [Entretien] 27.06.2017) L’aspect artisanal ressort dans la réponse de Roma où le prix est jugé un peu trop élevé : « Oui…moi je trouve un peu cher mais c’est artisanal alors voilà. » (Communication personnelle [Entretien] 22.06.2017) Je note une différence de perception entre les ateliers. Les deux seules personnes à trouver les produits un peu chers travaillent dans le secteur céramique. Cela semble dû au fait que l’on trouve beaucoup plus de produits en céramique sur le marché et donc de points de comparaison. Ce que l’on ne retrouve pas pour les joints de fenêtres et dans une moindre mesure pour les moulins à épices. Néanmoins, je note que pour la majorité des personnes, huit sur dix, les objets sont vendus au juste prix. 12 J’ai voulu ensuite vérifier si les collaborateurs ont le sentiment que les objets sont comparables à ceux qui sont réalisés par des professionnels. Je me suis rendu compte durant les entretiens que la plupart des personnes n’ont pas réellement de point de comparaison, si ce n’est avec la production industrielle. Ainsi, les deux personnes qui me répondent par la négative mettent en avant la production artisanale comme gage de qualité. La production industrielle leur paraît bon marché, de qualité moindre et avec moins de soin mis à l’exécution des objets. Cela est particulièrement présent pour les collaborateurs qui œuvrent dans l’atelier céramique. Pour Sylvie : « C’est pas comparable, chez nous c’est fait main. On voit bien qu’il y a une différence entre ce qu’on achète que c’est fait usine et ce qui est fait main. On peut pas comparer les deux choses. » (Communication personnelle [Entretien] 08.06.2017) De même pour Anaïssa : « Non parce qu’ici c’est plutôt manuel, la déco elle est personnalisée alors que dans les centres commerciaux c’est tout pareil et puis c’est peut-être un peu moins bien fait. » (Communication personnelle [Entretien] 27.06.2017) On voit à travers ces témoignages que le principe de la VRS : ‟…plus une personne est en risque de dévalorisation plus il faudra rechercher à rehausser son image et notamment lui proposer des situations valorisées…″ est intégré par ces personnes qui se sentent réellement valorisées par leur activité artisanale. (Vaney Louis, sept 1991, p. 15) C’est le cas pour huit personnes sur dix qui trouvent que les objets produits sont comparables. Pour continuer la comparaison avec le monde professionnel, j’ai voulu savoir si les collaborateurs ont le sentiment que les infrastructures correspondent à ce que l’on pourrait trouver chez des professionnels. La qualité du milieu est ainsi prise en compte dans la VRS, pour Alain Dupont et Jean-Philippe Nicolleti : L’environnement de la personne dévalorisée aura des effets sur la manière dont elle se perçoit et également sur la perception du public. De ce fait, le confort physique, la beauté de l’environnement devront correspondre au minimum à ce qui est habituellement admis comme ‟normal″ dans la société. (Vaney, 1991, p. 22) Je me suis rendu compte, dans ces entretiens, que quatre collaborateurs au sein de la céramique ne connaissaient pas du tout le monde professionnel équivalent. Ainsi deux d’entre eux m’ont dit que cela doit être la même chose, alors que deux ne se sont pas prononcés. A l’inverse, deux personnes, qui travaillent dans le secteur céramique, pensent qu’on est peutêtre mieux voire franchement mieux. Comme le témoigne Valentine : « Mieux que chez un professionnel, on est mieux franchement ! » (Communication personnelle [Entretien] 22.06.2017) Devant leurs affirmations aussi catégoriques je les interroge un peu plus. Je m’aperçois alors de leur intérêt pour le monde de la céramique, puisqu’elles ont visité des ateliers afin de voir ce qui se fait ailleurs. Pour les deux autres secteurs, le sentiment qui prédomine, c’est qu’ils sont bien équipés avec tout ce qu’il faut : scie, réglette, tour CNC, etc. 13 L’exigence principale portée à un service, telle qu’évoquée par Wolfensberger, comporte cinq catégories dont la troisième me semble particulièrement adaptée aux sentiments rapportés : Une troisième catégorie regroupe les soutiens matériels et les équipements qui devraient permettre d’aider les personnes à être plus compétentes. En particulier dans certaines situations d’handicap, les soutiens matériels et les équipements peuvent s’avérer déterminants au moment de les aider à dépasser les handicaps résultant de leur infirmité. (Wolfensberger, 1991, p. 67-68) Finalement, huit personnes sur dix trouvent que les infrastructures sont comparables. Pour finir la comparaison avec le monde professionnel, j’ai voulu savoir si les collaborateurs ont le sentiment que les conditions de travail correspondent à ce que l’on pourrait trouver chez des professionnels. Pour huit personnes sur dix, les conditions de travail sont comparables. Deux personnes ne savent pas du tout et ne se prononcent pas. Là aussi, les deux mêmes personnes de la céramique qui connaissent le monde professionnel, trouvent que les conditions sont meilleures. Ainsi pour Roma : « Au niveau nettoyage eux y sont un peu moins…ouais c’est tous des artistes quoi…nous on a quand même plus de rigueur pour ça. » (Communication personnelle [Entretien] 22.06.2017) Là aussi, comme pour la question précédente, il me semble que les réponses enregistrées reflètent plus leurs conditions de travail et leur satisfaction qu’une comparaison avec le monde professionnel qu’ils ne connaissent, pour la plupart, pas. Néanmoins, ils ont partagé leur sentiment avec moi, et c’est ce qui est important, puisque c’est révélateur de leur valorisation actuelle dans leur activité. • Synthèse Dans le but de vérifier l’hypothèse selon laquelle les activités artisanales pratiquées aux ateliers Saint-Hubert de Monthey permettent aux collaborateurs de se situer par rapport à l’équivalent culturel valorisé, il me semble utile de relater les principaux points recueillis. L’utilité des produits, le fait qu’ils répondent à une demande de la part de clients, leur qualité et leur prix participent à la valorisation des collaborateurs. Je peux ainsi affirmer que, pour une très large majorité, ces derniers s’identifient fortement aux articles qu’ils trouvent bien souvent de meilleure qualité que ceux de la grande distribution. L’aspect artisanal de la production ressort comme garant de cette qualité. Les collaborateurs insistent sur la satisfaction du client, ce qu’ils assimilent d’ailleurs aux besoins et aux critères de consommation comme l’explique Pascal : « Ben si les entreprises y recommandent chaque fois des joints chez nous alors ça veut dire qu’ils sont satisfaits du travail qu’on fait. » (Communication personnelle [Entretien] 26.07.2017) J’ai pu me rendre compte, à travers les échanges et les réponses enregistrées, que le cadre de travail et les activités proposées correspondent, pour une grande majorité de nos collaborateurs, à ce qui a généralement cours pour une personne du même âge et du même sexe, dans la société environnante. Cela permet à nos collaborateurs d’accéder à leur droit de ressemblance. 14 Certains aspects abordés dans le cadre de ce travail sont corroborés par les entretiens de satisfaction4 réalisés chaque année avec nos collaborateurs. Il en est ainsi pour les infrastructures et les conditions de travail qui sont jugées comparables au monde professionnel dans les échanges enregistrés. Ces mêmes items sont jugés satisfaisants par les quarante-huit collaborateurs de l’atelier de Monthey, à respectivement 85,90% et 70,85%. En revanche, il me faut nuancer cet aspect. C’est plus souvent une constatation de leur niveau d’équipement, qu’ils jugent bon, que réellement une comparaison avec le monde professionnel qu’ils ne connaissent apparemment que de manière approximative, ou tout simplement pas. Néanmoins, sur la base des constats ci-dessus, je peux affirmer que l’activité artisanale, telle que proposée par les ateliers Saint-Hubert de Monthey, permet généralement aux collaborateurs de se situer par rapport à un équivalent culturel valorisé.
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Table des matières
1. Introduction
1.1 Cadre de recherche
1.1.1 Illustration
1.1.2 Thématique traitée
1.1.3 Intérêt présenté par la recherche
1.2 Problématique
1.2.1 Question de départ
1.2.2 Précisions, limites posées à la recherche
1.2.3 Objectifs de la recherche
1.3 Cadre théorique et/ou contexte professionnel
1.3.1 La mission de la Fondation Saint-Hubert
1.3.2 Valorisation des rôles sociaux
1.3.3 Equivalent culturel valorisé
1.3.4 Perception
1.4 Cadre d’analyse
1.4.1 Terrain de recherche et échantillon retenu
1.4.2 Méthodes de recherche
1.4.3 Méthodes de recueil des données et résultats de l’investigation
2. Développement
2.1 Introduction
2.2 Equivalent culturel valorisé
2.3 Compétences et savoir-faire
2.4 L’image sociale
2.5 La reconnaissance
3. Conclusion
3.1 Résumé et synthèse de la recherche
3.1.1 Synthèse
3.1.2 Réponse à ma question de départ
3.2 Limites du travail
3.3 Perspectives et pistes d’action professionnelles
3.3.1 Développement envisageable
3.3.2 Pistes d’actions professionnelles
3.4 Remarques finales 3.5 Bilan final
4. BibliographieListe des Annexes
Annexe A : La pyramide des besoins selon Abraham Maslow
Annexe B : Guide d’entretien
Annexe C : Extrait de la Grille de dépouillement
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