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La peau des mammifères
Beaucoup de peaux d’animaux ont été déjà tannées enl’occurrence la peau des poissons, la peau des reptiles, la peau des mammifères. Cette dernière est la plus utilisée et la plus dominanteparce qu’elle est épaisse et facile à transformer.
Un examen microscopique d’une coupe transversale de la peau de mammifère permet de distinguer les différentes parties, en allant de la face externe appelée« côté poil »2 vers la face interne appelée« côté chair »3. Dans le cuir fini, le côté poil donne « la fleur »4, et le côté chair « la croûte »5 ou « le velours » (daim). [4]
. L’épiderme:
L’épiderme, couche la plus superficielle de la peau est un épithélium pavimenteux stratifié et kératinisé, et constituéarpquatre populations cellulaires différentes :les kératinocytes, les mélanocytes, les cellules deLangerhans et les cellules de Merkel. Il ne contient aucun vaisseau sanguin ni lymphatique, mais renferme de nombreuses terminaisons nerveuses libres. [2].
2 Côté poil , c’est la partie extérieur de la peau (l’épidermeet les restes).
3 Côté chair, c’est la partie interne de la peau crue (l’hypode rme et les restes).
4 la fleur est la surface externe du côté du poil de la peau de bête.
La croûte, c’est partie côté chair de la peau dont l’une des faces a subi un finissage donnant un aspect veloutéou pigmenté.
Les cellules de la couche profonde de l’épiderme contiennent des pigments qui colorent les poils et la peau.
. Le derme:
Le derme est la couche principale de la peau. Il est essentiellement constitué d’un tissu conjonctif habituellement lâche en périphérie et plus dense (fibreux) en profondeur, qui est de trois sortes : tissu collagénique, tissu élastine et tissu réticulé. Le collagénique, partie protéinique principale duderme est constitué par des molécules à chaînes polypeptidiques. Et ce sont ces molécules qui réagissent avec les tannins pendant l’opérationde tannage.
En plus, le derme contient encore des nombreux vaisseaux sanguins et lymphatiques, des nerfs et des terminaisons nerveuses sensitives libres et corpusculaires, ainsi que diverses annexes cutanées dérivées de l’épiderme et plongeant dans le derme.
. L’hypoderme:
Le tissu sous-cutané est le tissu conjonctif à texture plus lâche qui sépare le derme des régions sous jacentes de corpsde l’animal. Il se compose principalement de fibres collagéniques et d’élastine. L’ensemble de ces tissus constitue ce que les tanneurs appellent « la chair ». Mais avant de procéder au tannage proprement dit, on enlève les chairs mécaniquement (c’est l’écharnage).
. Remarques :
– Les poils et l’épiderme seront éliminés chimiquement par un processus appelé« épilage ».
– Les tissus graisseux sont éliminés mécaniquement par un processus appelé« écharnage », qui se fait par traction à la main ou à l’aide d’ une machine appelée« écharneuse ».
– Après tous ces traitements le derme est fin près pour le tannage. [6]
La peau de grenouille
Jusqu’à l’heure actuelle, aucune information concer nant le tannage de la peau de grenouille n’a été révélée. Ainsi avonous- choisi ce thème original dans notre étude.
La peau des amphibiens6 en particularité la grenouille est nue et lisse. Elle ne bénéficie d’aucune protection du type poil,ou écaille ou autres. De plus, cette peau reste visqueuse et humide en permanence. [7]
Comme tous les vertébrés, la peau fine des grenouilles est constituée de deux couches d’origines différentielles qui se mettent en place au cours du développement embryonnaire : épiderme et derme séparé par une membrane basale analogue à celle des mammifères. [2]
Structure chimique de la peau de grenouille
Les premiers travaux du neurobiologiste Italien V. ERSPAMER et coll., en 1947 [9], ont montré que la peau des amphibiens est très riche en peptides. D’autres le qualifie même d’une usine à peptides. Elle représente une source formidable de peptides biologiquement actifs qui pour un certain nombre, se retrouvent sous forme identique ou voisine dans le système nerveux central et le tractus gastro-intestinal des mammifères. Ces peptides contenant un acide aminé sous configuration D en position 2, ont des hautes affinités et sélectivités à savoir les heptapeptides suivants :
. Dermophine, Tyr-(D)Ala-Phe-Gly-Tyr-Pro-Ser-HN2.
. Dermenképhaline, Tyr-(D) Met-Phe-His-Leu-Met-Asp-HN.
. Deltorphine I, Tyr-(D) Ala-Phe-Asp-Val-Val-Gly-HN2. [11].
De plus, la peau des amphibiens synthétise et sécrète en quantité une vaste gamme d’hormones, de neuropeptides et de peptides de défense identiques ou très voisins de ceux produit par le système nerveux central, les glandes endocrines et le tractus intestinal des mammifères [12]. Les glandes granulaires synthétisent et sécrètent en abondance un nombre evéél de peptides dotés d’activités biologiques variées : exemples, les peptides de croissance et les peptides anti-microbiens.
Citons dans tout ce qui suit les peptides qui existent dans la peau des amphibiens.
D’abord, les peptides sont par convention des protéines de petite taille (moins de 100 acides aminés), dont la structure générale est la suivante :
La chaîne latérale R est constituée par des acides aminés :
· Non polaires : Glycine (Gly, G)-Alanine (Ala, A)-Valine (Val, V)-Leucine (Leu, L)-Isoleucine (Iso, I)-Méthionine (Met, M)-Phénylalanine (Phe, F)-Tryptophane (Trp, W)- Proline (Pro, P).
· Polaires : Sérine (Ser, S)-Thréonine (Thr, T)-Cystéine (Cys, C)-Tyrosine (Tyr, Y), Asparagine (Asn, N)-Glutamine (Gln, Q).
· Chargés acides :Acide aspartique (Asp, D)-Acide glutamique (Glu, E).
· Chargés basiques: Lysine (Lys, K)-Arginine (Arg, R)-Histidine (His, H) [9] Cette formule générale de peptide est définie par onventionc par
l’extrémité azotée (N-terminal) et par l’extrémitécarboxyle (C-terminal) suivant l’ordre de codage par les gènes.
Opération de tannage
« Le tannage » est une opération pour transformer la peau crue ou raide par action de tannin en cuir.
« Le tannin » est une substance amorphe et astringente, extraite de l’écorce de chêne, de châtaignier, de mimosa, de goyavier, de gambier, etc.…, pour traiter la peau contre la putréfaction. Dans notre étude, nous utilisons des tannins végétaux (mimosa, gambier et goyavier). Pour avoir un bon cuir. Les processus sont les suivants :
· Prétannage.
· Tannage.
· Corroyage et finissage.
Le prétannage tient une place très délicate dans letannage, ce prétannage se subdivise en différentes parties :
– Le tannage de cuir commence toujours par un travail de rivière.
– Le trempe ou reverdissage : c’est la réhydratation et la réhumidification de la peau salée ou séchée, l’élimination des produits de conservation et des souillures de la peau.
– L’épilage-pelanage : c’est la dégradation chimique de l’épiderme, des poils (épilage) et la légère hydrolyse des fibres du derme (pélannage) par frottement ou rinçage.
– L’écharnage : c’est une action d’ôter la chair et l a graisse qui adhèrent encore à la peau avant de la tanner.
– Le déchaulage-confitage : c’est l’élimination des produits utilisés pour l’épilage (déchaulage), et la dégradation chimique des fibres (confitage). [18]
La durée totale du prétannage varie de quelques heures à quelques jours, voire même quelques mois selon le cas. La peau obtenue à la sortie de cette étape est appelée« peau en tripe ». [5]
Le tannage commence à partir de cette peau en tripe . Sa durée varie de quelques jours à quelques mois. Le produit obten u est en générale meilleur. C’est-à-dire, on peut obtenir des cuirs plus élastiques, résistant à l’eau, à la chaleur et à l’humidité. Aussi la manipulation des tannins est-elle loin d’être dangereuse.
Après le tannage, le cuir brut obtenu est appelé aussi « cuir en croûte » (d’après son aspect cartonneux). La dernière étapeest le corroyage-finissage. C’est une longue série des traitements de finition. Dans ce cas, on incorpore au cuir un mélange de matière grasse afinde leur donner de souplesse, d’imperméabilité, de la résistance, de la fermetét d’améliorer leur propriété mécanique (le lissage, la teinture et autres …).
Il existe des procédures à suivre pour cette dernière étape :
· La mise en suif, dans laquelle, on imprègne le cuir sec de matière grasse.
· La mis en huile, qui consiste à immerger le cuir hu mide dans un bain de matière grasse liquide contenant de l’eau en émulsion.
· On peut utiliser aussi la cire, etc.…
Le tanneur propose des cuirs finis aux aspects et propriété très divers, au moyen d’équipements mécanisés et de produits chimiques. Et ce travail des corroyeurs était tellement complexe et diversifié ueq ceux-ci constituaient (jusqu’en 1776) un corps de métier distinct de celui des tanneurs.
Remarques :
– Le cuir hongroyé[17] ne nécessitait pas l’opération du corroyage, car la mise en suif avait déjà assuré à elle seule les qualités exigées de ce type d’ouvrages : souplesse et résistance. « Le cuir de Hongrie parut mériter d’être favorisé car après avoir servi cinq à six ans, ilconserve encore presque toute sa force… ce qui prouve le grand avantage de cette préparation et sa supériorité sur toutes les autres manières de préparer le cuir ».
– Cuir épais ou cuir mince: le cuir en faible épaisseur a des propriétés remarquables de résistance et de souplesse. Le cuir de plus forte épaisseur, moins souple, est utilisé pour des articles plus rustiques. [17]
Un cuir qui sent mauvais est mal tanné. On peut également plier le cuir pour en estimer la qualité : la fleur ne doit pas se craqueler, le cuir doit se déplier quand on le lâche. [19]
PROJECTIONS ECONOMIQUES
Ranaculture
. Présentation:
La « Ranaculture » consiste en l’élevage de grenouilles en milieu contrôle en vue de sa commercialisation. C’est une nouvelle spéculation à lancer car les cuisses de nymphe, issues des batraciens de Madagascar, sont exquis et très appréciées par les consommateurs tant locaux u’étrangersq.
. Biologie:
Les grenouilles font parti des vertèbres à sang froid, classe des Amphibiens, ordre des Anoures (sans queue chez adultes). La respiration se fait en grande partie à travers la peau qui doit toujour s être humide. L’activité des grenouilles est d’autant plus grande que la température sera élevée, entre certaines limites.
La reproduction débute, dès l’accouplement, par lafécondation et la ponte dans l’eau d’une très grande quantité d’œu fs sphériques groupés dans une masse gélatineuse flottante. Ces œufs vont se t ransformer en petites larves ou « têtards » avec une queue et des branchies externes leur permettant de respirer dans l’eau, par la suite ils sont au stade sub-adulte ou « grenouillette » pourvu de pattes et passent une partie de leur temps en dehors de l’eau. La queue disparaît progressivement et les animaux adultes sont réellement amphibiens (partiellement terrestre et partiellement aquatique).
. Espèces d’élevage:
Le plus indiquées sont :
· Xenopus tropicalis ou Rana esculenta (grenouille verte de 5-9 cm).
· Xenopus borelis ou Rana temporaria (grenouille verte de 5-9 cm).
· Bufo regularis ou Rana occipitalis (grosse grenouille de 8-12 cm).
. Méthodes d’élevage:
Basées sur les exigences biologiques des animaux.
L’eau utilisée doit être propre et renouvelée, unourantc naturel est idéal.
Elevage extensif : les adultes sont placés dans des étangs pour la reproduction, puis les œufs sont récupérés et placés dans des bassins. Les têtards sont nourris avec un mélange de sang caillé et de arinef de céréales. Après métamorphose, les grenouilles sont relâchées dans des vastes enclos clôturés jusqu’à la taille commercialisable.
. Structure d’élevage (Etangs):
Prévoir des secteurs différents selon les usages reproduction: et ponte, adultes entre les périodes de pontes, grenouilles en croissance.
– Reproduction : 15 m2 (maximum), hauteur d’eau 10-20cm.
– Elevage larvaire : 20-30 m2 hauteur d’eau 30-40 cm.
– Grossissement : 100-200 m2 hauteur d’eau 15-20 cm. L’étang est clôture par un grillage métallique (6 mm de côté), par des bambous ou des filets Norton 210 D/12 de 6 mm de maille. Il est indiqué de recouvrir toute la surface de l’étang par un filet.
Densité de mise en charge:
– Géniteurs de 70-100g : 12 individus/ m avec un sexe ratio de 3 femelles pour un mâle.
– Elevage larvaire : 200-300/ m (2-5 jours), taux de survie : 40-50%.
– Grossissement : 30-40individus/ m .
– En grenouilles : 15 T/ha.
– En cuisse : 6 T/ha (40% du poids total).
– En peau : 4,5 T/ha (30% du poids total).
– Déchets : 4,5 T/ha (30% du poids total).
. Alimentation:
Les têtards se contentent d’une végétation aquatique si elle ne consomme pas trop d’oxygène de l’eau. Dès le stade grenouillette, il faut en plus de proies mobiles :
Les grenouilles se nourrissent de micro-organismes qui se développent à la surface des plantes aquatiques et dans l’eau. Ils sont carnivores et mangent les insectes, les vers, les gastéropodes et les petits vertébrés : prévoir des sources de nourritures à côté de bassins qui produisent des petits animaux mobiles susceptibles d’être consommés comme les vers de compost, les asticots,…) ou placer des déchets organiques sur des « radeau » amarrés au milieu de l’eau pour attirer les insectes.
. Méthodes de capture:
Il s’agit d’un simple ramassage soit à la main, soi t avec des moyens rudimentaires tels que : bâtons et épuisettes. On peut aussi pêcher la grenouille avec une simple ligne. La période favorable à la capture est pendant la saison chaude et pluvieuse, et pendant la nuit auquel cas il faudrait de munir d’une source de lumière.
Produits issus de l’élevage de grenouille.
– Cuisse.
– Entière avec ablation de la tête et entrailles. Valorisation des sous-produits de l’élevage :
– La peau peut faire l’objet de tannage avant l’utili sation en maroquinerie de luxe (ceintures, souliers, porte-clés …).
– Les entrailles et les parties du corps négligées comme aliment peuvent servir d’alimentation en élevage porcin.
Traitement – conditionnement:
Les batraciens sont toujours transportés vivants, dans des paniers en osier humide et aéré, depuis la capture jusqu’aux ieuxl de consommation car les consommateurs préfèrent les sujets vivants aux produits congelés. Si les produits ne sont pas expédiés directement au client, il fautles stocker dans une aire spécialement aménagée au niveau d’un ruisseau ou d’un cour d’eau.
Avantages.
Satisfaction des besoins sur les marchés.
Contribution à la reconstitution des populations me nacées.
Marchés.
Principalement pour la consommation locale mais possibilité d’exportation des batraciens vivants surtout vers l’Europe (Suisse, France).
Exportation vers Thaïlande où l’industrie de maroqu inerie de luxe à partir de cuir de grenouilles s’est développée.
« La chasse-braconnage incontrôlée devrait être remplacée par des productions rationnelles et durables ».
Les états financiers prévisionne ls
Les nouvelles normes en matière de l’organisation de l’information financière, dans le Plan Comptable Général 2005, préconisent que toute entité produisant des biens ou services marchands ou non, doit établir annuellement ses états financiers. Ces états financiers sont, entreautres :
· Les comptes de résultat.
· Les bilans.
· Les tableaux de flux de trésorerie.
Comptes de résultat prévisionnels:
Selon le PCG 2005, les informations minimales à présenter de façon distincte au compte de résultat sont les suivantes:
· Les produits des activités ordinaires.
· Les charges des activités ordinaires.
· Le résultat opérationnel.
· Les produits financiers et les charges financières.
· La charge d’impôt sur le résultat.
· Le résultat des activités ordinaires.
· Les résultats extraordinaires.
· Le résultat net de l’exercice.
· Le compte de résultat par nature.
· Le compte de résultat par fonction.
Compte de résultat par nature:
La méthode de présentation du compte de résultat par nature fait ressortir les grandeurs caractéristiques de gestiontels que :
· La production de l’exercice.
· La consommation de l’exercice.
· La valeur Ajoutée d’exploitation.
· L’Excédant Brut d’Exploitation (EBE).
· Les résultats.
. Les comptes de résultat par fonction sur cinq ans:
La méthode de présentation du compte de résultat par fonctions conduit à distinguer les charges selon les fonction s au sein de l’entreprise : fonctions de production, fonctions commerciales et les fonctions administratives. A partir de ces réparations, on peut dresser le compte de résultat par fonctions en faisant apparaître les grandeurs caractéristiques de gestion tels que : la marge brute, le résultat opérationnel, le résultat financier, le résultat des activités ordinaire ainsi que le résultat net de chaque exercice.
Les résultats au cours des cinq premiers exercices devront être bénéficiers. Par ailleurs, les bénéfices devraientêtre améliorés d’une année à l’autre.
. Les bilans prévisionnels:
L’établissement du bilan d’ouverture est primordial afin de connaître la situation de départ de l’entité avant l’exploitation effective. On doit déterminer également les bilans au cours des cinq premières anées d’exploitation dans le but d’examiner la rentabilité du projet.
Evaluation du projet
Les évaluation du projet qui consistent à examiner les coûts et les résultats escomptés du projet peuvent se situer à deux niveaux de :
– L’entreprise pour connaître la rentabilité et l’équilibre financière. C’est l’évaluation financière.
– La communauté ou de la collectivité nationale pourévaluer les résultats attendus. Il s’agit de l’évaluation socio-économique.
. Evaluation financière du projet:
La mesure de la rentabilité financière d’un projetd’investissement comprend plusieurs éléments dont principalement :
· La Valeur Actuelle Nette ou VAN.
· L’indice de profitabilité interne (IP).
· Le taux de rentabilité interne(TRI).
· La durée de récupération des capitaux investis(DRCI).
· Et les différents ratios.
. Evaluation économique:
Après avoir analysé la rentabilité et la faisabilité du projet, les impacts du projet seront évalués dans les domaineséconomiques, financiers et sociaux.
. Effet au niveau national:
Ce projet rentre dans le cadre du développement du pays par la participation active des acteurs principales en monde rurale tels les paysans, les groupements des paysans et renforce d’avantage la politique des 3P (Partenariat, Public, Privé).
Il contribue à l’amélioration de la situation de la économique du pays par la diminution des importations, faisant suite à la vulgarisation de cette nouvelle filière effectuée dans le cadre du projet.
. Effet au niveau régiona l:
Ce projet répond à la politique de développement des régions productrices, par l’extension des zones où l’on ren contre des milieux disponibles pour l’exploitation.
L’implantation de l’unité entraîne un développement de la région par l’existence d’une nouvelle ressource pour la région (taxes, IBS, ristourne) et des nouvelles infrastructures.
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Table des matières
I. STRUCTURE DE LA PEAU
I.1. Généralités
I.2. La peau des mammifères
I.3. La peau de grenouille
I.4. Structure chimique de la peau de grenouille
I.5. Comparaison entre la peau de grenouille et celle des mammifères
II. TANNAGE DE PEAU DE GRENOUILLE
II.1. Structures polypeptidiques
II.2. Opération de tannage
II.2.1. Tannage au mimosa
II.2.2. Tannage au goyavier et au gambier
II.2.3. Choix final des opérations adoptées
III. PROJECTIONS ECONOMIQUES
III.1. Ranaculture
III.2. Etude financière du projet
III.2.1 Montant des investissements et compte de gestion
III.2.2 Les états financiers prévisionnels
III.2.3. Evaluation du projet
PARTIES EXPERIENCES
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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