Comparaison du nombre d’oiseaux recensés à Zombitse et Vohibasia

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Situation écorégionale :

D’après la division phytogéographique proposée par l’Association Nationale pour la Gestion des Aires Protégées ( ANGAP , 2OOO), ce parc appartient, pour la région Ouest, au domaine du Sud, et pour la région Est, au domaine du centre.
Mais la division établie par Humbert (1955) montre que, ce parc soit limité dans la région occidentale, le domaine Ouest, secteur Sud-Ouest, et une partie inclue dans le domaine du centre, (O. Langrand, et S.M. Goodman, 1994).
D’après la division limitée par FARAMALALA, 1981, ce parc fait partie de la zone écofloristique occidentale de basse altitude (O-8OO m).
Les forêts de Zombitse et de Vohibasia constituent des zones de contact entre les deux (O2) régions biogéographiques (Ouest et Est) de Madagascar, et entre trois domaines phytogéographiques (centre, Ouest, et Sud) , (O. Langrand et S.M. Goodman, 1997).
Du fait, de sa situation géographique, ce parc présente une zone de transition lui conférant une importance biologique, dite : « Particulière « . (Simon H. Mustoe, et al 1996). (O. Langrand et S.M. Goodman 1997). (cf : carte n° II Limites de l’écorégionale).

Choix des sites d’étude :

Grâce à la présence du « Bulbul d’Appert », population d’oiseaux découverte en 1962 , (Simon Mustoe, et al, 1996), dans les forêts de Zombitse et de Vohibasia, celles-ci constituent une site d’étude très importante.
Elles présentent de différentes menaces récentes, des témoins de végétation appauvrie par l’action humaine (feu, autres exploitations, etc…) (Morat, 1973).De plus, Zombitse et Vohibasia sont sélectionnées comme milieu d’étude, à cause de la localisation limitée dans l’écorégion de transition (O. Langrand, et Steven M. Goodman, 1997).
Mais il sera difficile de l’étudier dans toute sa totalité, le travail se déroulera en choisissant des parcelles et des transects.

Presentation général du Site d’étude

Pour effectuer le travail, nous avons délimité, dans ces deux forêts, deux sites d’études, (cf. Carte N°II et N°III)
Forêt de Zombitse : site située près du village d’Andranomaitso.
Forêt de Vohibasia : site se trouvant au voisinage du village de Maromiandra.

La forêt de Zombitse :

Elle se trouve à 15O Km au Nord-Est de Tuléar, soit 15 Km au Nord-*Est de Sakaraha, et à 3 Km du village d’Andranomaitso. Elle est traversée par la R.N.7, dans la partie Est. C’est une forêt sèche caducifoliée, typique du domaine Ouest, entourée de savane arborée, et de culture de maïs (O.Langrand. et S.M. Goodman1994).
Le village d’Andranomaitso a fondé en 1976, situé en bordure de la route Nationale n° 7, 12 Km à l’Est de Sakaraha, ce village de migrants ,suite à la délivrance des permis pour l’abattage sélectif des arbres. La population est constituée de migrants et on y compte environ 500 habitants comprennent plus de 10 groupes éthniques.(O. Langrand, et al, 1994).

La forêt de Vohibasia :

Elle se trouve à 4 Km au Nord du village de Maromiandra, environ à 68 Km au Nord-Est de Sakaraha (A. Joignerez, sans date). Des ilôts forestiers entourent la forêt sèche caducifoliée de Vohibasia :
– A l’Ouest : la forêt de la Mangona
– Au Sud : la forêt de l’Isoky-Vohimena
– A l’Est : la forêt d’Iarindrano
– Plus au Nord :la forêt d’Analamitsivala.(O.Langrand et S.M.Goodman, 1997).
Cette colline forestière de Vohibasia culmine à 87O m d’altitude, et domine toute la région du Parc. (A. JOIGNEREZ , sans date).
Le Village de Maromiandra se trouve à 6O Km au Nord-Est de Sakaraha, dans la commune d’Andranolava, Fivondronana de Sakaraha.Il se situe à l’extrême Sud de Vohibasia. Il est desservi par deux routes secondaires : La première route, celle d’Andranolava, doit traverser la rivière Fitory, se détachant de la R.N.7 au Pk. 4O, la deuxième route bifurque en direction du fleuve Fiherenana, qu’on doit traverser à pied pour atteindre le village de Maromiandra. En saison de pluie, ce hameau reste isolé, faute de moyen de locomotion (pirogue ou autre). Récemment, ce village a plus de l’importance à cause de l’exploitation massive de pierres précieuses avec tous les perturbateurs, y afférents. Ainsi, des ethnies venues de tous les coins s’y sont installés à ce moment .

CONDITIONS ECOLOGIQUES DU MILIEU

Caractères topographique et sol.

Le Sud-Ouest malgache fait partie du bassin de Morondava. Mais Zombitse et Vohibasia se limitent à la formation de l’ISALO II, du versant occidental à l’Est de Sakaraha. (Randriatavy, 1993). D’après la division stratigraphique du système karoo malgache dans le bassin sédimentaire, l’Isalo est le troisième groupe de ce système, qui est constitué par :
– Ier groupe : Groupe de la Sakoa
– 2ème groupe : Groupe de Sakamena
– 3è groupe : Groupe de l’Isalo.
Ce dernier se subdivise en : Isalo I, Isalo II, Isalo III.
Voyons rapidement l’âge et le faciès constitutif de ces trois groupes d’Isalo :
-Isalo I : au Jurassique inférieur (Lias-moyen) constitué de faciès entièrement continental.
Exemple ; Massif de Vohibasia.
-Isalo II : Jurassique inférieur (Lias supérieur), constitué par de grès grossiers à faciès essentiellement continental, lagunaire ou marin, suivant le lieu.
Exemple :Lits ligniteux au Nord de Zombitse, et au Sud de Vohibasia (Ankaboka).
-Isalo III : Jurassique moyen (Dogger), formé par de grès et de calcaire. Il présente un faciès continental associé à des faciès marins.
Exemple : calcaire de Sakaraha. (Henri BESAIRE et Maurice Collignon, 1971).
Le relief du Parc est constitué par des collines légèrement ondulées. (Simon H. Mustoe et al, 1996). Les forêts de Zombitse et Vohibasia sont situées dans une zone de dômes sableux qui est encadrée par un plateau calcaire, à l’Ouest et par le massif grèseux , à l’Est. (O. Langrand et S. M. Googman 1997).
L’altitude de ces dômes varie entre 485 et 825 m (Scoot G, 1998). Ils sont dus à la forte érosion mécanique qui creuse l’espace vide à l’intérieur et à la périphérie de la forêt.
Exemple : Cas de Betaly à Andranomaitso aggravé par la déforestation importante. (Randriatavy, 1993). Dans l’ensemble, le domaine de Zombitse-Vohibasia, présente une surface d’érosion ondulée, couverte de forêt dense sèche semi-caducifoliée.
Les forêts de Zombitse-Vohibasia se basent sur des sols sablonneux rouges bruns qui reposent sur du grès et de calcaire grèseux. Certaines vallées comportent des sols alluviaux. (Morat, 1973). Une couche humifère plus ou moins importante se forme sur ce sol. (O. Langrand, et Steven M. Goodman, 1994).

Hydrographie :

Il n’existe pas des rivières permanentes dans le parc. Mais les forêts jouent un rôle important comme réservoir pour alimenter les rivières saisonnières, (O. Langrand, et S.M. Goodman, 1994). Dans les sites d’études, le fleuve Fiherenana prend sa source au sein de ces dômes sableux recouverts par les forêts de Zombitse et de Vohibasia. (Nicoll et Langrand, 1989). L’action érosive de ces rivières sur les sols sablonneux peut être importante durant les pluies saisonnières.

Le climat :

Le Sud-Ouest malgache est beaucoup plus connu par sa sécheresse. Le climat de la région étudiée est classé comme sec tropical (Donque 1975). Plusieurs facteurs agissent sur ce type de climat. Citons quelques exemples : N’étant pas éloignée du canal de Mozambique, la région de Zombitse-Vohibasia subit l’influence de cette mer chaude. Elle provoque l’élévation de la température régionale et la présence d’air .
Les températures moyennes sont de 14° C à 30° C
Les températures extrêmes sont : 8°C et 40° C (Scoot G. 1998).
Au contraire, l’alizé et la mousson provoquent une forte précipitation dans le Sud-Ouest. C’est le cas de Sakaraha, surtout au mois de Janvier (Randriatavy, 1993).
Le climat quotidien dans les forêts se caractérise par des nuits froides, des brouillards matinaux, et de fortes rosées, surtout pendant la saison sèche qui dure de 7 à 8 mois. (O. Langrand, et S.M. Goodman, 1994). Par exemple, à Zombitse, du 28 Juin jusqu’au 3 Juillet 1993, 4 mm d’eau ont été enregistrés sous la base d’un Baobab près d’Andranomaitso. (Randriatavy, 1993).
Ces deux effets quelques fois antagonistes, parfois complémentaires concourent au maintient de l’humidité atmosphérique. Renforcée par la présence de nappe souterraine, cela favorise la persistance de plantes vertes toute l’année dans la zone étudiée.(cf. Tableau N°III, annexe)
Toutes ces conditions écologiques caractérisent de la forêt dense sèche caducifoliée de cette région.

La végétation :

Type de forêt :

Les forêts de Zombitse et de Vohibasia constituent les blocs forestiers les plus importants parmi les zones de forêt sèche caducifoliée subsistant actuellement à Madagascar. (Scoot G., 1998). Elles présentent une large zone de contact entre deux grandes régions phytogéographiques. (Du Puy, et al, 1994). Des espèces identifiées dans cette zone caractérisent la situation particulière. (cf Tableau n° IV).

Description physionomique :

La végétation des Forêts de Zombitse-Vohibasia est qualifiée de typique de la forêt dense sèche caducifoliée de la série à Dalbergia, Commiphora sp, et Hildegardia, sur sable roux. (Humbert et Cours DARNE, 1965).
Mais se trouvant dans la partie la plus méridionale de l’Ïle, elle mélange une flore caractéristique du domaine de l’Ouest avec des éléments du domaine du Sud et de la région orientale de l’Est, d’après O. Langrand et S. M. Goodman 1994.
Elle présente différentes strates, (Blaise Du Puy, et al, 1994 qui sont :
-Arbres émergents
-Arbres de canopée
-Sous-bois et strate herbacée
Arbres émergents :
Ils sont définis comme ceux qui s’élèvent à environ 23 % ou plus de la hauteur moyenne de la canopée. (Blaise Du Puy, et al, 1994). Ces arbres ont une plus grande valeur commerciale, que ceux de la canopée, en raison de leur taille et de leur qualité particulière (beauté, dureté, etc…) (cf Tab. N° IV (annexe).
Arbres de canopée :
En général, cette canopée a une hauteur moyenne comprise entre 12 et 16 m. Elle est composée d’un nombre élevé d’essence sempervirente. Elle reste uniforme. (Blaise Du Puy, et al, 1994). (cf Tab. N° IV).
Sous-bois et Strate herbacée :
Dans les forêts de Zombitse et de Vohibasia, des espèces arbustives de la Famille : Acanthacées, Commelinacée, et quelques graminées, dominent la strate herbacée et le sous-bois. Elles sont associées avec les plantes grimpantes. Cette caractéristique rend difficile l’accès dans la forêt. Il est à noter aussi qu’au sein d’une forêt sèche caducifoliée de l’Ouest, la litière de feuilles mortes est plus ou moins épaisse, mais continue et compacte. (Blaise Du Puy, et al, 1994). (cf Tab. n° IV annexe)
Des espèces résistantes au feu poussent sur la lisière forestière définie comme la jonction entre le secteur de la forêt et la savane avoisinante.

La faune :

La faune des forêts de Zombitse et de Vohibasia a fait l’objet de travaux d’inventaire en 1993, pour Zombitse (O. Langrand et S. M. Goodman, 1994), et en 1996 pour Vohibasia et Isoky-Vohimena (O. Langrand et al, 1997).
Ces forêts présentent une composition faunistique qui renforce cette position de zone de transition. Des éléments faunistiques des forêts de la région de l’Ouest y apparaissent. Certains sont d’origine du domaine de l’Ouest et d’autres typiques du domaine du Sud. (O. Langrand, et al, 1997) (cf Tab n° V)
Tous ces éléments montrent la richesse spécifique de ces forêts, malgré les différentes pressions qui agissent au niveau du Parc.

PRESENTATION DE L’OISEAU ETUDIE

Etude antérieure de cette espèce :

Appellation de l’oiseau :
Nom malgache : Ritikala
Nom français : Bulbul d’Appert
Nom allemand : Appert Bülbül
Nom anglais : Appert’s Greenbul
Nom scientifique : Phyllastrepus apperti (O. Langrand, et all, 1995) Découverte en 1962, dans les forêts de Zombitse et de Vohibasia, (Simon Mustoe, 1996), des travaux d’inventaires faunistique s: de ces régions exécutés en 1993 et en 1996, prêtent à cette espèce le nom scientifique de Phyllastrephus apperti, (O. Langrand et S. M. Goodman, 1996). A ce moment, on pense qu’elle se limite à ces forêts. (O. Langrand, et S.M. Goodman, 1994). Ultérieurement, on l’a aperçue aussi dans la forêt d’Analavelona. (Scoot G. , 1998). Parlons rapidement cette forêt dite : « Forêt sacrée d’Analavelona « . Elle est située à 6O Km à l’Ouest du Parc National de Zombitse-Vohibasia, et environ 4O Km à vol d’oiseau, au Nord-Ouest de Mahaboboka, Fivondronana de Sakaraha : – superficie : 3.OOO ha ; altitude maximale : 1325 m. Cette forêt entourée de savane, considérée comme forêt sacrée est restée intacte. Elle protège une source d’eau importante pour la région avoisinante.
Les précipitations atteignent la côté de 12OO mm, soit 3O % supérieures à celles des forêts sèches caducifoliées dans le Sud-Ouest. Une partie de la végétation ressemble à celle des forêts humides de l’Est.
Actuellement, son caractère sacré la protège. Mais l’augmentation des pressions venant du Nord-Est de la zone, et de Tuléar, impose que des mesures soient prises pour la conserver. (Scoot G. 1998).
Ainsi, cette espèce a été mentionnée dans des ouvrages touristiques tel que : le guide des oiseaux de Madagascar, en traduction anglaise et française (O. Langrand, Delachaux, et Niestlé, 1995). Ensuite des études moléculaires ont été exécutées pour éclaircir d’avantage la classification de cet animal, (Alice CIBOIS, et al, 2OO1), et pour enlever toute confusion subsisté entre l’espèce de Zombitse-Vohibasia et celle de l’Afrique orientale.

Historique de la classification :

L’avifaune de Madagascar comprend une forte proportion d’espèce endémique, surtout parmi le groupe de Passeriformes. Morceau, 1966, estima que certaines espèces d’oiseaux endémiques malagasy dérivent de la lignée africaine à cause de la proximité de ce continent. D’autres ornithologues suggèrent que des espèces du groupe Passeriformes venant de l’Afrique et de l’Asie sont à l’origine des espèces de Passeriformes malagasy. Benton, 1990, considéra que la séparation de Madagascar de l’Afrique entraîne la formation de ce groupe devenu aussi endémique.
D’après l’étude morphologique et analyse moléculaire de Sibley et Ahliquist, 1990, Edwards et al, 1991, Raikow et Bledsoe, 2000, le genre Phyllastrepus s’intègre dans le sous-groupe de Passeriformes malagasy.
Les analyses du plumage et la morphologie externe : les pattes, (Olson, 1989), os cranial, forme de bec, (Delacour, 1943 et al, 1975), montrent que les genres Phyllastrepus malagasy comprennent quatre (4) espèces de même radiation, et classé dans la famille des Pycnonotidae. Donc, la classification est :
F : Pycnonotidae, g : Phyllastrepus cinereiceps
g : Phyllastrepus apperti
g : Phyllastrepus zosterops
g : Phyllastrepus madagascariensis
Ils approuvent que les trois premières forment des espèces sœurs et présentant une forte affinité entre elles.
En outre, l’analyse de Collar et al, 1994, démontre qu’il y ait d’autres espèces « sympatrique » de même ancêtre commun et ayant une relation étroite avec les trois espèces précédentes (Benson et Irwin, 1975). C’est le genre Phyllastrepus tenebrosus. La classification s’annonce comme suit :
F : Pycnonotidae, g : Phyllastrepus cinereiceps
g : Phyllastrepus apperti
g : Phyllastrepus zosterops
g : Phyllastrepus madagascariensis
g : Phyllastrepus tenebrosus
Ensuite, d’après l’analyse mitochondrial faite par d’autres chercheurs, cette famille devient : F : Bernieridae de genre Bernieria. Ainsi, on a :
g : Bernieria cinereiceps
g : Bernieria apperti
g : Bernieria zosterops
g : Bernieria madagascariensis
g : Bernieria tenebrosus
Les recherches récentes basées sur la séquence d’ADN mitochondrial (Fjeldsa et al, 1999) ont permis de découvrir que les espèces de genre Phyllastrepus malagasy ne sont pas les sœurs de celles de genre Phyllastrepus africaine.
Comme la morphologie des espèces endémiques malagasy est très diversifiée et hétérogène, Cibois et al, 1999 se basent sur l’étude monophylétique du groupe endémique malagasy. D’après eux, le genre Phyllastrepus constitue un groupe polyphylétique.
L’approfondissement de leur arbre généalogique montre que les Phyllastrepus africains constituent certainement un groupe monophylétique. Ces résultats leur permettent d’affirmer que les espèces de Phyllastrepus africains n’appartiennent ni aux groupes de monophylétiques, ni aux groupes de polyphylétiques.
En se référant à la conception de Sharpe, 1881, les espèces malagasy doivent être reclassées dans d’autres groupes monophylétiques, autres que celui de l’Afrique.
Cibois et al, 2000, les classèrent dans le genre de Xanthomixis. La classification provisoire devient:
F : Bernieridae, g : Xanthomixis cinereiceps
g : Xanthomixis apperti
g : Xanthomixis zosterops
g : Xanthomixis tenebrosus
g : Berneria madagascariensis
Classification actuelle de l’espèce étudiée :
D’après l’étude moléculaire, sa classification est la suivante:
Règne : Animal
Embranchement : Vertébrés
Classe : Oiseaux
Sous-classe : Néornithes
Ordre : Passeriformes
Sous –ordre : Oscines
Famille : Bernieridae
Genre : Xanthomixis
Espèce : apperti (Alice CIBOIS, et al, 2OO1).

Description générale de l’oiseau :

L’espèce Xanthomixis apperti apparaît comme un petit oiseau, présentant les dimensions énumérées ci-après (dimensions mesurées sur un spécimen pris au hasard ayant les caractéristiques d’un adulte)(cf Cliché N°1)

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Table des matières

 I-INTRODUCTION
Problématique
II- Site d’études présentation de l’oiseaux étudié
II.1- Site d’étude
II.1.1-Localisation géographique
II.1.2- Situation écoregionale
II.1.3- Choix du milieu d’étude
II.1.4-Présentation générale du site d’étude
II.1.4.1-Forêt de Zombitse
II.1.4.2-Forêt de Vohibasia
II.1.5-Condition écologique
II.1.5.1-Ceractères topographiques et sol
II.1.5.2-Hydrogaphie
II.1.5.3-Climat
II.1.5.4-Végétation
a- Type de la forêt
b- Description physionomique
II.1.5.5-Faune
II.2-Présentation de l’oiseau étudié
II.2.1- Etude antérieur de l’animal
Appellation de l’oiseau
II.2.2- Historique de la classification
Classification actuelle
II.2.3-Descripton générale
II.2.3.1-Dimention
II.2.3.2-Couleur
II.2.3.3-Identification
II.2.4- Habitat et nourriture
II.2.5-Le nid
II.2.5.1-Localisation
II.2.5.2-Dimention
II.2.5.3-Mode d’attachement du nid aux arbustes
III-MATERIEL et METHODOLOGIE
III.1-MATERIEL
III.2-METODOLOGIE
III.2.1-Collectes des données
III.2.1.1- Comptage par points
a-Recensement matinaux
b-Inventaire de la végétation par point
c-Observation générale
d-Conditions exigés par les méthodes
III.2.1.2- Choix du transect
III.2.1.3- Transects dans les sites
a -Mesure d’un transect
b -Nombre du point d’écoute dans les deux sites
c – Répartition des transects
III.2.2-Analyses des données
III.2.2.1-Forme de présentation des données

III.2.2.2-Analyses statistiques
IV- RESULTATS et INTERPRETATlON
IV
.1-Variation de la densité en fonction du milieu
IV.1.1-Comparaison du nombre d’oiseaux recensés à Zombitse et Vohibasia
IV.1.2- Comparaison du nombre d’oiseaux recensés par habitat à Zombitse et Vohibasia
IV.1.2.2-Entres les deux parties du site Zombitse
IV.1.2.3- Entres les deux parties du site Vohibasia
Conclusion
IV.1.3-Comparaison du nombre d’oiseaux recensés par transect et par habitat à Zombitse
IV.1.3.1-De la partie intacte
IV.1.3.2-De la partie perturbée
IV.1.4- Comparaison du nombre d’oiseaux recensés par transect et par habitat à Vohibasia
IV.1.4.1-De la partie intacte
IV.1.4.2-De la partie perturbée
IV.1.5-Comparaison du nombre d’oiseaux recensés sur les trois partie
de chaque transect dans les deux sites
IV.1.5.1-Dans le site de Zombitse
a-De la partie intacte
b-De la partie perturbée
IV.1.5.2-Dans le site de Vohibasia
a-De la partie intacte
b-De la partie perturbée
Conclusion
IV.2-Variation de la densité du
Xanthomixis apperti en fonction des temps
IV.2.1-Comparaison du nombre d’oiseaux recensés dans les deux sites
IV.2.2- Comparaison du nombre d’oiseaux recensés par habitat
IV.2.2.1-Dans la forêt de Zombitse
a-De la partie intacte
b-De la partie perturbée
IV.2.2.2-Dans la forêt de Vohibasia
a-De la partie intacte
b-De la partie perturbée
IV.2.2.3-Conclusion
IV.3-Correlation entre le nombre d’oiseaux et le nombre des plantes par habitat à Zombitse et Vohibasia
IV.3.1-Site de Zombitse
IV.3.2-Site de Vohibasia
IV.3.3-Coefficient de corrélation
IV.4-Comportement et activité du
Xanthomixis apperti par observation générale
IV.4.1-Activité et mode de vie
IV.4.2-Comportement alimentaire
IV.4.3-Mode de déplacement

IV.4.4-Moment d’activité et de repos
Conclusion
V-DISCUSSION
V.1-Les facteurs de variation de la densité et de l’aire de répartition de l’oiseaux
V.2-Variation de la densité et de l’aire de répartition de l’oiseaux
V.2.1-Variation par site
V.2.2-Variation par habitat
V.2.2.1-De la partie intacte
V.2.2.2-De la partie perturbée
V.2.3- Variation par transect
V.3-Variation de l’effectif en fonction du temps
V.4-Variation de l’effectif en fonction des facteurs biotiques
V.5-Avantage de la présence du
Xanthomixis apperti dans cette région
V.5.1- Sur le plan socio-économique
V.5-2 Sur le plan écologique
VI- PROPOSITION ET RECOMMANDATION :
CONCLUSION

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