Comment le logiciel numérique se sert l’architecture futuriste 

Respecter la nature – la nécessité du parametricisme

Le paratricisme n’est pas une imagination fantaisiste de l’architecte.C’est une destination de la société qui se développe. Voyons les architectures, elles sont tout en formes géométriques inattendues. Les bâtiments traditionnels existent n’est pas parce qu’ils ont un fort avantage de la géométrie. C’est parce qu’ils sont construits avec une connaissance de la forme géométrique régulière. En tout cas, l’architecture est une production qui est soumise par la condition technique objective. Elle est une adaptation de l’environnement.
Les formes régulières géométriques sont les formes les plus réalisables que l’architecte dessine à la main. C’est une forme que le concepteur peut plus facilement exprimer et maîtriser. Ainsi, la conception traditionnelle avec la « caractère raisonnable » est une adaptation des conditions objectives. Ce genre de pensée et donc décider des produits que l’homme crée dans une longue période. Tous les produits suivent cette mode et s’adaptent.
Ainsi cette pensée décide la compréhension de « l’harmonie » et de la « fonction ». Par exemple, puisque la maison est des formes régulières, des meubles sont évidemment fabriqués en formes régulières pour accueillir facilement mise en place et l’utilisation de l’espace.
Dans la nature, les formes physique des éléments ne sont pas de la forme géométrique régulière. Mais ils ont suivi les règles physiques de la nature. Ces formes ont potentiellement une forte optimisation et une rationalité. Seulement la force de la nature peut réaliser ces corps variant et évolué. Dans ce sens, la conception la plus raisonnable de la forme doit être la poursuite la plus proche de la nature.
Le paramétricisme tient et respecte la nature. Il rend la forme architecturale se mettre dans la nature.Le paraméticisme fait l’architecture faire partie de la nature. Le moment devient plus en plus mature. La naissance de la technologie informatique et le développement de l’ingénierie et de la technologie créent une condition de revenir plus possible un monde idéal afin de débarrasser des conditions objectives. Ainsi, avec la conception paramétrique, les formes inspirée dans la nature : dunes, gouttes, pierres peuvent servis avec la propre compréhension de l’architecte. Toutes les inspirations peuvent être mise en forme par la conception paramétrique. Ou même la pensée parametricisme peut directement faire la conception avec les formes crées par le script d’ordinateur. L’architecte peut commencer faire le design sans limite. Ainsi, la source de l’architecte du parametricisme vient de la nature. Elle n’est plus limité par l’ancienne expérience de l’architecte. La force et la mystère de la nature nourrissent l’architecte pour faire la conception la plus intelligente mais raisonnable et la plus proche de la nature. On l’appelle la nature secondaire.
Pour le nouveau opéra de Guangzhou en Chine (Fig.3), par exemple, on utilise le mot « rond » pour décrire la forme de l’Opéra. On n’utilise pas le mot comme la boîte, une balle, comme tous les formes créés par l’homme. Il se reflète la pensée du parametricisme. Il est plus proche des éléments naturels. Si la forme de l’opéra est comme le gravier, elle nous donne plus d’imagination. Parce que la forme variante du gravier est créé par la nature.

La paramétrisation bouleverse la conception unitaire et répétitive

Dans un espace, la recherche de la fonction de l’architecture et la tendance de la conception sont influencés par chaque étape de la perception de la construction du récepteur. L’architecte parametricisite tient pleinement compte de la psychologie de la perception humaine et l’applique ensuite à la conception architecturale.
La relation entre la forme et la fonction est toujours un sujet qu’on peut pas éviter dans la conception architecturale. J’ai déjà dit au début, le but de la conception paramétrique n’est pas un style d’avant-garde sans réfléchit la fonction de la construction. Le parametricisme a une nouvelle connaissance de la fonction. C’est pour bien adapter la nouvelle demande de la fonction dans la nouvelle forme de la vie sociale.
Par exemple, selon les principes du parametricisme, il faut briser la répétition simple.
Tout d’abord, dans l’aspect esthétique, le parametricisme poursuit le changement et le plaisir. En psychologie, la répartition simple est la source de l’ennui. Cela provoque une fatigue esthétique.
A un niveau plus profond, d’éviter la répétition est une considération de la fonction. La répétition simple supprime une sélectivité. Comme dans un immeuble, une copie tout simple avec les règles de la géométrie fait quelques unités maximum. Dans un type d’unités, on fait encore une simple copie. Donc il apparaît des zones fonctionnels de différentes tailles.
Ce qu’on appelle la zone fonctionnelle est un concept qu’on résume dans la mode de la vie.
Par exemple, si la maison n’a pas de cuisine, elle ne peut pas être acceptée. Mais avec des changements de la mode de vie moderne, la cuisine n’est pas nécessaire pour certain gens. Ils préfèrent manger au restaurant. Donc la demande de la cuisine est restée dans l’ancienne mode de vie. La conception paramétrique peut affaiblir cette fonction. Elle nous donne un espace plus souple et plus sélectif.

Est ce que le parametricisme a une chance de construire une nouvelle ère de l’architecture?

Le concept et les principes de la pratique du parametricisme détermine ses avantages uniques.
Il est plus capable de s’adapter aux nouvelles exigences de l’architecture sous le changement de la forme de la vie sociale. Ainsi, il apprend l’avenir de l’architecture.
Un développement révolutionnaire du style a besoins que la révolution de la technologie et de la modalité sociale soient la condition objective historique. En même temps, cela dépend aussi dans quelle mesure, ce développement peut satisfaire et refléter ce changement.
À la naissance du modernisme, par exemple, le parametricisme d’aujourd’hui fait face à une occasion similaire historique.
Comme nous le savons tout, la révolution industrielle donne les conditions techniques objectives au style moderniste. Les techniques de fabrication industrielle, les systèmes de fabrication industrielle, les nouveaux matériaux de construction et d’autres développement font la conception de l’architecture moderniste libérer la limite des matériaux. C’est à dire, à l’époque classique, il n’y a que la technique artisanal et des matériaux de construction en pierre. Grâce à cette libération, il y a de la forme du style moderniste et de la nouvelle esthétique. En même temps, dans la société de la masse démocratique, la poursuite de la nouvelle idéologie égalitaire est montrée dans le domaine de la conception architecturale.
Donc dans cette contexte, on construit un grand nombre de bâtiments normalisés et reproductibles. Essentiellement, c’est l’impact de nouvelles idéologies sociales sur la conception architecturale. Le domaine de la conception architecturale réagit ce changement.
On peut dire que le style moderniste est le résultat inévitable du développement de la vie sociale à cette époque.
Aujourd’hui, le développement de l’informatique numérique et de l’ingénierie crée une condition objective pour l’élévation du nouveau style architectural. Associé à l’application de la technologie de réseau, notre mode de la vie quotidienne et de travail, et même de la pensée et du comportement sont tout dans un changement révolutionnaire. La Terre est plus en plus plate. L’intégration mondiale entre les pays, les échanges régionaux et régionaux sont plus fréquents. Dans l’idéologie, l’éveil de la conscience de soi, le respect de la diversité des valeurs, et etc., donne de nouvelles demandes au design architectural. Le design a besoin de refléter et de s’adapter à cette évolution. Comme d’autres domaines de la révolution, une nouvelle ère architecturale est prête à naître.
On retourne à la recherche et la pratique architecturales du cabinet de Zaha Hadid, les premières œuvres ont les caractéristiques de la déconstructivisme. Mais elles ont déjà fini une transition de la déconstructivisme au parametricisme d’aujourd’hui. Dans le style déconstructiviste, on a commencé à briser une combinaison simple des formes géométriques et à faire attention au croisement et à l’interaction entre les différentes parties. Mais un angle pointu et des lignes pointues sont plus susceptibles de provoquer la confusion au gens. Les lignes souples et lisses sont plus plastiques, naturelles. Le style paramétrique a plus de capacité d’adapter à la nouvelle forme, aux exigences du bâtiment. Ainsi, le cabinet de Zaha sort petit à petit de la déconstructivisme. Il commence à explorer et à pratiquer la conception paramétrique. Pendants dizaines années, ce style est continu jusqu’à présent. Il n’est pas surpassé par les autres cabinet. Avec les différents critiques, le nombre de l’architecte parametriciste se développent sans cesse.
On peut dire que les styles qui créent des nouvelles ères de la conception sont souvent le résultat du grand développement de la technologie dans une certaine période historique. Une nouvelle forme de vie sociale remplace la tradition habituelle. Cela pousse la naissance d’une nouvelle concept du design. Mais le parametricisme est différent. Il montre le côté plus créatif et plus avancé. Par exemple, le style moderniste est le résultat de l’industrialisation. La pensée du parametricisme est une imagination audacieuse que l’architecte a. Puis l’architecte attend le moment se mûrir. C’est pourquoi la conception de Zaha ne reste que sur papier pour une longue période. On parle pas de la réaliser, il est difficile de le modeler, même difficile de faire l’infographie.Don, le parametricisme est difficile de promouvoir réellement.
Il faut dire que la propagation de la technologie numérique et le développement de la technologie de l’ingénierie aident Zaha réaliser son rêve. Ensuite, ce nouveau style défie la technologie numérique et la technologie d’ingénierie à former une bonne interaction entre la technologie et le style. De ce point de vue, le parametricisme fait une grande contribution pour le développement de l’architecture. Parce que c’est sous la nouvelle forme de vie sociale, la pensée avancée attend la maturité de la nouvelle technique. Le parametricisme fait l’architecture sortit dans l’imagination et devenir une réalité. En revanche, le style moderniste est un style qui est né sous la condition objective.

La « Manifeste du futurisme »- la combinaison de la technologie et de l’art

Les progrès de la civilisation n’appartiennent pas à l’ère du numérique, mais ils étaient toujours là. Dès le début des années 1760 au 20e siècle, l’avènement de la révolution industrielle fait le monde entrer dans la société industrielle. Les progrès technologiques permettent aux gens de se détourner de l’agriculture traditionnelle à l’industrialisation. Une variété d’équipement de vie de base, les véhicules et les équipements militaires sont même grandement améliorés. Dans ce contexte, avant la Première Guerre mondiale, il a eu un mouvement littéraire, fut plus tard connu sous le nom «futurisme», en Italie. La « Manifeste du futurisme » (Fig.9) est publié à Paris pour promouvoir la force des machines, des trains, des avions et de l’usine. Bien que le futurisme forme un style dans le monde de l’art — la «peinture futuriste», il ne se forme pas un vrai style dans le monde du design. Mais le futurisme donne beaucoup d’influences aux concepteurs qui font les conceptions futuristes. L’architecte futuriste Antonio Sant’Elia est l’un des représentants de cette époque.

Archigram, une exploration de l’architecture futuriste à cette époque-là

Face au progrès scientifique et technologique, l’architecture doit non seulement faire face aux nouveaux défis scientifiques et technologiques, mais aussi à l’environnement et à la réflexion humaine. Elle doit présenter une fonction professionnelle harmonieuse entre l’environnement et l’homme. Elle doit poursuit toujours les créations artistique populaire. Et dans la poursuite de la création, les gens qui est toujours en avance sur le temps influencent à la future et est rappelé par les temps.
Dans les années 1950-1960, le nom Andrea Branzi signifie la réflexion de 50 ans sur l’architecture et le design. À partir des années 1960, avec les amis d’Archizoom Associati , ils ont conçu une ville imaginaire – No-Stop City (Fig.11). C’est une ville sans centre, sans banlieue. Elle est une usine, un supermarché et un parking gigantesque. Là, tous les bâtiments sont remplacés par des meubles habitables. Cette ville théorique et utopique décrit de façon préliminaire une époque dans laquelle nous sommes organisés autour de la consommation aujourd’hui. Elle est devenu un modèle pour de nombreux architectes et designers : pour changer les vies, il faut abandonner une fantasme unitaire du futur. Mais à partir d’une chaise, d’une table ou d’un banc, on commence créer un monde plus beau.
Le groupe Archigram a aussi une idée très audacieuse : établir une ville flottante. Les unités urbaines comme de grosses bulles. Ils peuvent couler dans l’eau, placer par terre et aussi flotter dans l’air. Les gens veulent vivre n’importe à où, la maison peut y les amener. Les parties entre les bulles sont supportées par le tuyau d’acier et reliées ensemble avec la chaîne de câbles. Les logements « uni-familial » liés peuvent devenir une ville commune. L’humain peut réaliser un rêve de la vie « terrestre, maritime et aérienne » .
Quelques décennies plus tard, il semble que les conceptions du groupe Archigram ne sont pas réalisées. Mais on regarde le développement de nombreuses villes contemporaines. Du Centre Pompidou, à l’Observatoire de Roppongi Hills (Roppongi Hills Mori Tower) de Tokyo, au Japon, on peut voir l’influence que ce groupe nous donne. Dans l’histoire du design, le groupe Archigram est vraiment un groupe qui ne peut pas être ignoré.
Les gens trouvent bientôt que ces idées sont vraiment très scientifiques. Et il y a beaucoup d’idées qu’on peut essayer. C’est pour cela, il y a des architectes, comme Rogers et Foster, ont progressivement trouvé un nouveau langage architectural, c’est-à-dire « haute technologie » (High-Tech), et devenu des grands maîtres. Les bâtiments de haute technologie subvertissent complètement l’architecture fauviste populaire. Le mur de béton volumineux est remplacé par le verre clair et transparent. La structure réelle du bâtiment est montrée au public. Les murs sont plus transparents. La perméabilité de l’espace augmente considérablement. Un grand nombre de composants standard peuvent être installés directement au chantier après la production d’usine. Le coût peut être réduit. La durée des travaux peut être accélérée. Tout cela est les concepts que Archigram a déjà présentés il y a des années.
En ce qui concerne la construction d’Archigram, il faut mentionner le Métabolisme japonais.
Par coïncidence, vers 1960, à l’autre bout de la terre, Certains architectes japonais dirigé par Kisho Kurokawa ont fait les idées similaires. Les architectes métabolique met l’accent sur la croissance et le changement de l’objet. Ils pensent que le bâtiment ne doit pas être statique, mais devrait être un processus dynamique comme le métabolisme.
Dans la conception La Nakagin Capsule Tower de Kurokawa (Fig.16), l’unité habituelle est devenue une boîte standard uniforme (2.3mx 3.8mx 2.1m). Des unités sont composés sur le noyau (Core) du bâtiment comme les bloc. La partie centrale y compris des escaliers et des ascenseurs répond aux besoins de la service du bâtiment. Toutes les pièces sont préfabriqué en usine et installées directement dans le chantier. Tous les paramètres d’échelle sont également inclus dans les spécifications. En raison du faible coût et de l’espace de vie considérablement réduit, le concept de l’hôtel capsule est populaire au Japon après la guerre. Les spécifications unifiées de l’unité est donc un des concepts du groupe Archigram. Inspiré par l’Archigram, j’ai fait un projet personnel à exprimer une idée pour le futur. Kuiper Belt (Fig.17,18,19), est aussi un oeuvre que je veux montrer la technologie et l’esthétique de l’architecture futuriste.
La ceinture de Kuiper est le nom d’une zone discoïde dans le système solaire. Dans une certaine mesure, il est considéré comme la limite du système solaire. Dans mon travail, j’invente un univers lointain sous le nom Kuiper. L’humain traverse dans la céleste en différents matériaux. Les différents matériaux signifie le développement de la science et de la technologie. Ainsi, ce projet est une exploration de l’architecture future dans l’Espace, une exploration de l’avenir de l’humain qui entrera dans une nouvelle civilisation spatiale. Comme l’Archigram, pour eux, il invente un futur de leur époque-là. Et moi, j’imagine le futur de notre jour.
Une autre oeuvre que j’ai réalisé s’appelle La maison blanche (Fig.20). C’est une oeuvre réalisé à l’aide des briques LEGO. La maison blanche est un modèle de construction construit par les briques blanches de LEGO. Ces briques sont exceptionnellement pour l’architecte. Avec ces briques, je peux réaliser mon travail que j’ai crée dans l’espace numérique sous la forme de la sculpture réelle. Avec la modularisation de LEGO, j’ai essayé de montrer la même chose que la capsule de l’architecte Kurokawa. Chaque unité de LEGO est conçue comme une espace individuelle et indépendant qu’on peut changer et bouger.

La nouvelle technologie a aussi l’esprit artistique

Bien que l’ère de l’Archigram soit passée, mais leurs idées restent toujours. Le temps détruit le corps d’un bâtiment, mais il ne détruit jamais son âme. Le monde matériel n’est plus important. La forme n’est plus importante. La rêve et la croyance est toujours là.
Ando Tadao est l’un des architectes les plus actifs et les plus influents du monde aujourd’hui.
Depuis plus de 30 ans, il a créé près de 150 œuvres d’architecture dans le monde entier. Tadao Tadao est bon à utiliser la technologie de béton et la composition géométrique simple pour créer un effet d’espace calme et clair. Il crée un style architectural unique. Son architecture est pleine de poétique. A mon avis, il est l’un des meilleurs architectes contemporains qui combinent la technologie et l’art dans ses projets.
Dans les ruines du tremblement de terre de Hanshin en 1995, les 35 bâtiments que Tadao Ando fait ne sont pas détruits. L’une des meilleures explications est que l’avancement de la technologie rend le bâtiment sont mieux responsable d’être l’abri des humains. Que les petites maisons ou les grands bâtiments publics, l’exploration technique et artistique d’ Ando Tadao ou des autres architectures contemporaines japonaises a une grande valeur pour l’ensemble de la société.
Il combine le modernisme avec la tradition esthétique japonaise dans la conception de la forme et l’utilisation des matériaux. Il rétablit l’harmonie entre la maison et la nature. Il utilise la forme géométrique la plus basique et la lumière pour créer un monde microscopique. « La lumière et l’ombre » est l’idée de la conception d’Ando de plus de 40 ans. Il poursuit de la « lumière ». D’abord, il faut connaître la problème de l’ombre. La lumière et l’ombre sont toujours un sujet intéressant dans l’art. Le bâtiment doit être le produit unique de ce lieu et de cette époque. Le problème n’est pas la taille du bâtiment, mais le point de vue sur la réalité de la ville. Et aussi comment se questionner.

Comment le logiciel numérique se sert l’architecture futuriste

La numérisation est un moyen d’exposer l’architecture

Le temps change. Le « changement » est le seul chose qui ne change pas dans le temps et  l’espace. A cette époque, les bâtiments sont rapidement conduits. Puis, ils sont remplacés rapidement par les nouveaux. Leurs vies et leurs histoires semblent moins importantes. Leur signification est plutôt devenue un contrat en papier et des chiffres.
Dans cette société impétueuse, l’architecture existe toujours dans le temps et l’espace.
N’oublie jamais le passé, n’oublie pas la tradition. L’architecture lie le passé et le futur. Elle fait croiser la tradition et la moderne.
La vie du bâtiment est de plus en plus courte. Maintenant un immeuble peut rarement supporter 60 ans. Dans le passé, les architectes pensent qu’ils construisent l’éternité.
Personnellement, je pense que l’idée doit suivre la tradition de sorte que la tradition devient à nouveau. Essaie de lier le passé et l’avenir, l’espace numérique est également une forme de conserver du bâtiment. L’architecture virtuelle que j’imagine n’est pas dans le vide. Faire l’architecture virtuelle n’est pas seulement de construire leur propre monde. C’est une partie pour construire d’un bâtiment en réel.
Avec la langue numérique, l’architecte transmet une partie de leurs propres idées. La réalité virtuelle est une partie du processus. Je l’appelle langage numérique. On utilise cette langue pour transmettre des pensées.
L’architecture est comme la poésie. Avec l’innovation constante, la langue sera devenu infini.
L’architecture est un peu différente que les autres formes d’art. c’est leur nature de la communauté. Qu’on l’aime ou non, tout le monde doit l’expérimenter. De ce point de vue, je pense que peu importe quelle façon dont l’espace numérique construit le bâtiment, le dernier doit être tolérant. Sinon, l’architecture n’est plus publique.
Une sculpture est mis en place dans la rue . S’il n’y a pas de sens particulier au public, il est tout simplement une sculpture. La différence entre le monument et la sculpture, c’est que le monument a un sens. Il est une connexion avec le public. C’est le sens de l’architecture.
L’architecture doit être comme un monument. Elle devrait rendre tout le monde être fier.
L’Archigram était limité par la technique de l’époque. Les conceptions sont principalement présentées par la bande dessinée et la collage dans le magazine. Il utilise la forme d’art traditionnel pour transmettre les idées. L’ordinateur nous aide à calculer et à réviser les données du dessin afin d’éviter toute erreur humaine.
La présence du modèle 3D nous permet de voir les détails de la structure architecturale et les effets finaux sur l’affichage. Les concepteurs et les utilisateurs peuvent regarder l’image de la construction sur l’écran.

Le logiciel peut nous montrer l’avenir du bâtiment, aussi il peut rendre son passé

J’ai parlé du rôle de l’espace numérique pour l’architecture numérique. En même temps, l’espace numérique peut être restauré l’espace qui existait dans le passé, mais maintenant est disparu.
Ils regardent toujours vers l’avenir, alors quel est le passé?
Avec la photo en couleur, l’architecte espagnol David Romero restaure deux bâtiments que l’architecte Frank Lloyd Wright a créés mais qui sont détruits maintenant. Romero le fasse à l’aide d’un logiciel numérique modèle 3d. Mais à travers ses photos en couleurs, nous pouvons voir pour la première fois Larkin building, le premier bâtiment de bureau climatisé, et Rose Pauson House(Fig.21,22)qui est située dans le désert.
Le logiciel 3D visualise l’intérieur du bâtiment et rétablit même les détails du mobilier et de la texture du mur. Comme la photo est prise dans la vraie maison. En fait, avant la restauration numérique, il y a seulement de certaines parties du bâtiment qui existe dans des photos en noir et blanc.
Par conséquent, l’effet de la restauration numérique n’est pas quelque chose que la photographie traditionnelle peut donner. on peut tirer la chose qui a disparu dans le passé.
Comme l’auteur a fait, lorsqu’on restaure une photo, on peut utiliser CAD et 3ds Max pour rendre la structure et la forme du bâtiment. Plus avec le logiciel Vary et PS, on peut gérer différentes tonalités et textures. Bien sûr, il est très difficile de restaurer complètement les détails du bâtiment. Parce que dans le monde physique, le détail est le principe qui rend les choses réelles et crédibles. donc Romero apprend même le logiciel de gravure et de peinture numérique Zbrush. Dans l’espace numérique, il dessiné les détails du bâtiment. Si les bâtiments qui ont disparu peuvent être numérisés, cela nous aidera à comprendre les détails et l’environnement du bâtiment du passé.

Dans le passé, Le développement de la science et de la technologie a-t-il aidé l’architecture se développer?

Dans une certaine mesure, l’architecture est une discipline qui se développe très lent mais toujours explore le futur.
L’émergence de la technologie numérique amène plus de possibilités au bâtiment. Alors cette possibilité ou ce progrès est si grand comme on imagine? Y a-t-il eu des progrès technologiques similaires dans le passé? Est ce qu’il existe un vrai développement?
L’architecture est presque l’un des développements les plus lents dans l’histoire de la technologie humaine, il n’y avait pas de changement qualitatif dans le matériau et la structure du bâtiment depuis des milliers d’années. De la société primitive où l’homme vit dans la grotte ou la forêt, à la société ancienne où l’homme utilise de la pierre, de la brique, du bois. Jusqu’à la société moderne où on construit des bâtiments avec du béton, de l’acier ou du verre.
Dans le matériau et la forme, la tendance du développement de l’architecture est un renforcement sur la base original. Il n’y a jamais un changement en vrai sens. La plupart des bâtiments existe encore sous la forme traditionnelle sur le sol.
On peut dire que l’homme a besoins d’architecture depuis le début de la communauté.
L’architecture peut être considérée comme la création la plus ancienne de la civilisation humaine. Nous pouvons voir des peintures murales et des traces de vivre à partir des découvertes archéologiques dans des grottes. Et ces traces est les traces de l’époque paléolithique. Et ces grottes elles-mêmes sont les abris humaine. Ce devrait être les premiers bâtiments humains.
Mais de la grotte d’Altamira à la révolution industrielle, il n’y a pas de changement révolutionnaire dans l’architecture. Bien que le matériel continue à s’améliorer, la structure et les méthodes de construction continuent à être optimisées. La construction est en fait d’utiliser un matériau à entourer un espace physique. Jusqu’à maintenant, c’est le même cas. Même après la grotte, il apparaît la tente en peau de la bête, puis à l’ancienne maison en pierre romaine et le château qui a l’esprit héroïque et chevalier. Sa forme et sa fonction n’ont pas changé.
Bien que le nom soit « théâtre cartésien », il est proposé par Daniel Dennett. C’est un modèle d’interprétation de la conscience. C’est une conclusion philosophique qui clarifie la structure spirituelle à la manière d’introspection. En bref, le théâtre cartésien est une façon naturelle de penser au problème. Nous croyons qu’il est là où la conscience se déroule. L’image visuelle ou imaginaire qu’on rencontre, le son qu’on entend sont tous dans ce théâtre. Puis il y a un observateur à l’extérieur du théâtre. Peut-être c’est «moi» qui regarde, écoute, vive ce qu’il se passe dans le théâtre.
Dans le théâtre, tout est conscient. Par exemple, à mesure que ma perspective se déplace, les images visuelles du théâtre changent aussi. Le son change aussi. Les choses qui sont à l’intérieur du théâtre ont la conscience. Mais le processus de penser dans notre tête est inconscient ou subconscient.
Comme dans mon esprit ou cerveau, il y a un « moi » existe dans un endroit. Cet endroit a un écran de pensée similaire ou une scène de la structure psychologique. Sur cet écran ou cette scène, il présente des images pour que les yeux de la pensée puissent regarder. Dans ce lieu particulier, tous les objets que nous recevons à tout moment sont rassemblés et diffusés au théâtre cartésien. Et le public est «moi». Et l’espace virtuel que j’ essais de construire pour mettre mes bâtiments virtuels est ce théâtre.
On imagine, un gratte-ciel moderne est là. Imagine il approche de vous, jusqu’à il est presque arrivé en face de vous. Pouvez-vous voir ses fenêtres? Pouvez-vous voir le nombre de fenêtres? Au moins pour moi, dans l’imagination, je peux voir les fenêtres, mais pas le nombre de fenêtres précises. Quand j’essaie de compter les fenêtres, elles s’effondre. Elles ne sont plus claires. Peut-être on pense quand on réfléchit un problème, son «mémoire interne» n’est pas suffisant. Par exemple, quand on imagine un bâtiment tout entier, les fenêtres ne sont qu’une caractérisation vague. Ensuite, on a une photo de cet bâtiment, on compte le nombre de ses fenêtres en regardant cette photo simplement. Pour moi, j’ai peut-être mal compter sans l’aide de doigt. Mais le genre de difficulté dans l’imagination du bâtiment disparaît. L’image est toujours claire et il n’y a pas de rupture avec la photo.
Dans le même temps, l’image qu’on imagine est en trois dimensions? Je pense que oui.
Pouvez-vous faire un tour et observer tous les côtés de cette image? Si vous sentez que vous ne pouvez pas le faire, c’est normal. Si vous pensez que vous pouvez le faire, permettez-moi de vous demander comment vous tournez cette image dans votre imagination et laissez cette image elle-même tourner? Ou y a-t-il une personne dans votre imagination et elle tourne cette image? Ou pouvez-vous simplement créer une série d’images dynamiques en imaginant? Dans la vie réelle, si vous le faites réellement autour d’un bâtiment ou une chose pour l’observer. Il n’est pas difficile.

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Table des matières
INTRODUCTION 
1.Conception paramétrique – une nouvelle ère de la construction 
1.1 Parametricisme, une subversion de la conception traditionnelle
1.2 Respecter la nature – la nécessité du parametricisme
1.3 La paramétrisation bouleverse la conception unitaire et répétitive
1.4 Est ce que le parametricisme a une chance de construire une nouvelle ère de l’architecture
2. L’architecture : la combinaison de la nouvelle technologie et l’art 
2.1 Technologie est le source du développement de l’art
2.2 La « Manifeste du futurisme »- la combinaison de la technologie et de l’art
2.3 Archigram, une exploration de l’architecture futuriste à cette époque-là
2.4 La nouvelle technologie a aussi l’esprit artistique
3. Comment le logiciel numérique se sert l’architecture futuriste 
3.1 La numérisation est un moyen d’exposer l’architecture
3.2 Le logiciel peut nous montrer l’avenir du bâtiment, aussi il peut rendre son passé
3.3 Dans le passé, Le développement de la science et de la technologie a-t-il aidé l’architecture se développe?
3.4 L’espace numérique est considéré comme l’espace spirituel « théâtre cartésien »
CONCLUSION 
BIBLIOGRAPHIE 
REMERCIEMENTS

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