Collecte des données sur internet

Le problème de la gestion des déchets urbain fait appel à tous le monde : Les collectivités locales et la population. Notre travail se refere au problème de la ville de Mahajanga, en particulier sur les problèmes de la gestion des déchets avec ceux de la vente des aliments aux bords des rues et des marchés. Par une statistique au service interrégional [4], la population de la ville de Mahajanga augmente à chaque année. Cette augmentation démographique fait varier la production des déchets. Alors que les déchets donnent des pollutions diverses : atmosphèrique, terrestre et marine qui nuisent la santé de la population. L’augmentation de la population d’un pays ou d’une ville necessite une production alimentaire sécurisée. Ceci pour éviter la MPE et les mauvais etats de santé des habitants. La population urbaine se nourrit par la vente des nourritures dans les épiceries, épi-buvette de même qu’aux bords des rues et bazars.

MATERIELS ET METHODES 

MATERIELS

Pour la rédaction de notre étude, nous avons utilisé les materiels et methodes suivants. Parmi les materiels que nous avons utilisés, nous avons consulté les cahiers de registres des trois services du CHU Androva
– Médecine interne
– Urgence
– Et pédiatrie.

Ces cahiers nous ont servi à la récolte des informations nécessaires de notre étude notamment les données statistiques. Un flach disque nous a servi pour l’enregistrement des données éléctroniques. Des sites web dans les centres de recherche universitaire et nationaux. Nous avons également utilisé les matériels didactiques de la Faculté pour les saisies, photocopies, appareil photographique. Le support des cours de l’option STTD offre des orientations aux étudiants sur le choix du thème de mémoire. Le support du cours de la rédaction scientifique contribue des méthodes nécéssaires favorable à la compilation des résultats du mémoire. Nous avons aussi consulté les centres des documentations comme la bibliothèque de Mahajanga et BMH qui nous ont sorties des bons œuvres permettant d’avancer à la recherche.

Collecte des données sur internet 

– Plusieurs sites ont été visités tels que :

– Google Map, qui nous a permi de constuire la carte administrative de Mahajanga.
– Google.COM, nous a permi de collecter les documents Wikipédia.
– Les sites des revues malgaches qui nous ont également permi d’avoir des diverses revues en version éléctroniques.

Collecte des données dans des bibliothèques 

Les documents (monographies, revues, thèses, mémoires) dans des bibliothèques ont été consultés afin de collecter les informations compatibles à notre sujet.

Collecte des informations dans des supports de cours
Pour avoir des informations bien adaptées à notre étude.

Collecte des données auprès du CHU Androva
Notre stage a duré environ un mois à compter du 28 juillet au 26 Aout 2010. Nous avons consulté les registres de tous les malades hospitalisés dans la médecine interne, au service des urgences et à la pédiatrie. Tous les sujets atteints par les maladies épidémiologiques causées par la vente des aliments ont été notés dans les cahiers de registre préalablement établis.

Enquêtes auprès des infirmiers et médecins au CHU Androva et BMH 

Ces enquêtes ont été menées à la manière des questionnaires systematiques ; des fiches de protocole ont été préalablement établies. Les questionnaires ont été preparés à l’ avance en consultation d’un médecin ou infirmier du service. La série des questions suivantes a été posée.  Nous avons visité quelques quartiers pour le but de déterminer les types des déchets existants. Le stage de la formation STTD d’une durée d’un mois nous a permis d’observer les cahiers des registres des malades hospitalisés par la consommation des denrées contaminées des rues et des bazars.

RESULTATS DE LA RECHERCHE DOCUMENTAIRE

Classification de type des déchets urbains 

Les déchets urbains sont regroupés selon ses issus.
– Les déchets ménagers : Ils comprennent des ordures du ménage, les déchets de l’assainissement individuel.
– Les déchets issus des activités économiques : Ce sont des déchets venant de l’artisanat des commerces des bureaux et des petites entreprises ou établissements collectifs.
– Les déchets des espaces verts publics : Ce sont des espaces spéciaux dont les habitants se reposent (par exemple les gazons, pousse verte, les branches, les feuilles mortes…).
– Les déchets des entreprises : Ils sont de différentes qualités et ça dépend de la spécialité de l’entreprise.
– Les déchets spéciaux : Ils sont constitués essentiellement par les déchets chimiques comme acide, ampoules, les néons, hydrocarbures…etc.
– Les déchets hospitaliers : Ils contiennent toutes catégories de déchets comme pansement, compresse, seringue, eaux usées opératoires, les restes des médicaments…etc.
– Les déchets agricoles : Ce sont les déchets émanant des activités de l’agriculture : exemple, feuilles mortes, fumier en élevage, pesticides, fongicides…etc [11].

Production des déchets à mahajanga ville 

La quantité des déchets stockée varie au cours du temps, du fait du tassement des déchets dû à leur férmentation et à leur composition. La Production des déchets à Mahajanga surtout la production des ordures ménagères, suivant la détermination exacte de la commune s’estime comme suit :
• 80 m3/jour pour 40000 ménages
• 60 tonnes en 2000
• 70 tonnes en 2005
• 80 tonne en 2010 avec estimation en moyenne de 600g/hab/jour.

Le menage et ses infections 

Dans les dix dernières années, il y a une augmentation de 20 % de la mortalité causée par les infections alimentaires. Par contre, sur des millions des bactéries, c’est 3 % qui présentent des effets défaillants à la santé humaine. La maison est un lieu nécéssaire que chaque être humain doit s’en accaparer au moins une et en même temps à tenir propre car à 40 % de ces infections prennent source de la maison. Il est à noter que les microbes responsables à ces maladies, sont ceux qui consomment et qui se développent au sein des denrées alimentaires. Ils peuvent être classés en deux catégories :
• les microbes d’altération qui se prolifèrent entre -18 °C et + 63 °C offrent rapidement un aspect et une mauvaise odeur aux aliments.
• les microbes pathogènes qui se multiplient entre +3 °C et +63 °C, ne dégradent ni l’aspect ni les qualités organoleptiques des aliments.

Table des matières

INTRODUCTION
Première partie : MATERIELS ET METHODES
I.MATERIELS ET METHODES
I.1. MATERIELS
I.2. METHODES
I.2.1. Collecte des données sur internet
I.2.2. Collecte des données dans des bibliothèques
I.2.3. Collecte des informations dans des supports de cours
I.2.4. Collecte des données auprès du CHU Androva
I.2.5. Enquêtes auprès des infirmiers et médecins au CHU Androva et BMH
Deuxième partie : RESULTATS
II. RESULTATS
II.1. RESULTATS DE LA RECHERCHE DOCUMENTAIRE
II.1.1. Classification de type des déchets urbains
II.1.2. Production des déchets à mahajanga ville
II.1.3. Le ménage et ses infections
II.1.4. Comment les microbes se reproduisent ?
II.1.5. Action des températures sur les microbes
II.1.6. Contamination naturelle de la matière première
II.1.6.1. Contamination des aliments par les microorganismes de l’eau
II.1.6.2. Contamination des aliments par les microorganismes de l’air
II.1.6.3. Contamination des aliments par les microorganismes du sol
II.1.7. Microorganismes de surface des aliments
II.1.8. Rappel sur la propagation des maladies
II.1.9. Regle de l’hygiène
II.1.10. La malnutrition
II.2. DONNEES ET ENQUETES AUPRES DU CHU ANDROVA ET BMH
II.2.1. Cas des maladies recensées
II.2.2. Le nombre des malades recensés
II.2.3. Taux de mortalite recensé
II.2.4. Le manque des couvertures aux produits vendus
II.2.5. Vente des aliments dans les rues
II.2.5.1. Etat microbiologique des milieux de vente
II.2.5.2. Etat des canaux à ciel ouvert
Troisième partie : DISCUSSION
III. DISCUSSION
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
SUGGESTIONS
PERSPECTIVES

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