CLASSIFICATION ET ANATOMIE PATHOLOGIQUE

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Vaisseaux et Nerfs du pancrรฉas

Artรจres (Figure3)

Classiquement, on distingue 2 arcades artรฉrielles :
L’arcade supรฉrieure, entiรจrement rรฉtro-pancrรฉatique, qui est formรฉe par la pancrรฉatico-duodรฉnale supรฉrieure droite, nรฉe de la gastroduodรฉnale et qui s’anastomose avec la branche supรฉrieure de la pancrรฉatico-duodรฉnale gauche, nรฉe de la mรฉsentรฉrique supรฉrieure ;
L’arcade infรฉrieure, prรฉ puis rรฉtro-pancrรฉatique, formรฉe par la pancrรฉatico-duodรฉnale infรฉrieure droite et la branche infรฉrieure de la pancrรฉatico-duodรฉnale gauche, nรฉe de la mรฉsentรฉrique supรฉrieure [1].
La premiรจre voire la deuxiรจme artรจre jรฉjunale peuvent naรฎtre d’un tronc commun formรฉ par les artรจres pancrรฉatico-duodรฉnales infรฉrieures gauches ; d’oรน le danger de dรฉvasculariser la premiรจre anse jรฉjunale, lors de la section des artรจres pancrรฉatiques.
Une troisiรจme arcade est formรฉe par l’artรจre pancrรฉatique dorsale, nรฉe de la splรฉnique, prรจs de son origine, parfois du tronc coeliaque ou de l’hรฉpatique.

Les Nerfs

Le pancrรฉas est tributaire des territoires coeliaque et mรฉsentรฉrique supรฉrieur. Ils vรฉhiculent des fibres sympathiques et parasympathiques.
Le sympathique vรฉhicule la sensibilitรฉ douloureuse. Les fibres sensitives venant du pancrรฉas empruntent le trajet des nerfs splanchniques [1].

Lymphatiques

Les lymphatiques issus de la tรชte se portent vers un ganglion sous- pancrรฉatique. Ceux issus de l’isthme et du corps prรฉ-croisent la tรชte et se drainent dans le ganglion sous-pylorique [1].

CLASSIFICATION ET ANATOMIE PATHOLOGIQUE

Classification

De nombreuses classifications ont รฉtรฉ utilisรฉes pour les pseudo-kystes. Elles reposent sur :
Le caractรจre nรฉcrotique ou non du liquide ;
Lโ€™anciennetรฉ du pseudo-kyste (qui รฉtait ยซ chronique ยป sโ€™il persistait au-delร  de la sixiรจme semaine)
Et le caractรจre communiquant ou non avec le rรฉseau canalaire pancrรฉatique qui nรฉcessite une opacification du pseudo kyste et du rรฉseau canalaire (image dont on ne dispose pas constamment [4]).
Egalement, il existe une certaine confusion dans la littรฉrature concernant les termes ยซ aigu ยป ou ยซ chronique ยป en rapport avec le pseudo kyste. Ainsi, selon la classification dโ€™ATLANTA, dans la pancrรฉatite aiguรซ (PA) ou dans la pancrรฉatite post traumatique le pseudo kyste aigu est fait dโ€™une collection de suc pancrรฉatique cloisonnรฉe par un mur de fibrose et de tissu de granulation. Parfois, la classification du pseudo kyste aigu ou chronique est basรฉe sur lโ€™intervalle de temps (dโ€™habitude de 4 ร  6 semaines de la crise aiguรซ).
La classification dโ€™EGIDIO et SCHEIN proposรฉe en 1991 parait la plus pragmatique [5].Elle distingue :
Les pseudo-kystes survenant au dรฉcours dโ€™une PA en dehors de tout signe de PC (nรฉcrose) ;
Les pseudo-kystes survenant au cours dโ€™une PC sans signe de PA (par rรฉtention ou chronique) ;
Et les pseudo-kystes compliquant une poussรฉe aiguรซ sur une PC (nรฉcrotique).
Ainsi elle en dรฉcrit 3types :
Type 1 : PKP aiguรซ ou post nรฉcrotique qui survient aprรจs un รฉpisode de pancrรฉatite aigรผe et est associรฉ ร  des conduits anatomiques normaux et communiquant rarement avec un canal pancrรฉatique ;
Type 2 : PKP nรฉcrotique qui survient aprรจs un รฉpisode de pancrรฉatite aiguรซ ou chronique(le canal pancrรฉatique est malade mais nโ€™est pas dรฉtruit et il y a souvent une communication entre le canal et le PK) ;
Type 3 : PKP rรฉtentionnel qui survient aprรจs une PC et est associรฉe uniformรฉment ร  une destruction du canal pancrรฉatique et ร  une communication entre le PKP et le canal pancrรฉatique.
La classification de NEALON et WALSER est basรฉe sur lโ€™anatomie du conduit pancrรฉatique. Elle dรฉfinit les catรฉgories de conduits pancrรฉatiques anormaux vus chez les patients porteurs dโ€™un PKP. Elle distingue 7 types :
Type 1 : Conduit normal, aucune communication avec le PKP ;
Type 2 : Conduit normal mais communiquant avec le PKP ;
Type 3 : Conduit rรฉtrรฉci sans communication avec le PKP ;
Type 4 : Conduit rรฉtrรฉci communiquant avec le PKP ;
Type 5 : Conduit stรฉnosรฉ ;
Type 6 : Pancrรฉatite chronique sans communication entre le canal et le PKP ;
Type 7 : Pancrรฉatite chronique avec communication entre le canal et le PKP.
Toutefois cette classification anatomique dรฉcrite en 2000 a une utilisation limitรฉe [6].
Dans la pratique la classification dโ€™EGIDIO et SCHEIN reste la plus adoptรฉe.

Etiopathogรฉnie et Anatomie pathologique

La localisation des pseudo-kystes varie dโ€™une sรฉrie ร  une autre. Ainsi, MERCADIER et collaborateurs de mรชme que CUILLLERET et collaborateurs [7] trouvent une localisation prรฉfรฉrentielle dans la tรชte du pancrรฉas alors que HOLLANDER [8] les situent dans le corps et la queue de la glande.
Par ailleurs de nombreuses sรฉries publiรฉes montrent de faรงon claire que les pseudo-kystes secondaires ร  une PA siรจgent prรฉfรฉrentiellement au niveau de la queue alors que ceux secondaires ร  une PC au niveau de la tรชte [5,9].

Secondaire ร  une pancrรฉatite chronique

La pathogรฉnie des PKP rรฉtentionnels secondaires ร  une PC est univoque. On sait que lโ€™alcool provoque au niveau du pancrรฉas la prรฉcipitation de bouchons protรฉiques qui vont secondairement se calcifier. Ces calcifications vont entrainer une atrophie de lโ€™รฉpithรฉlium canalaire qui permettra la prolifรฉration de tissu conjonctif pรฉri canalaire et aboutira ร  la formation de cicatrices fibreuses obstruant les canaux pancrรฉatiques.
Les consรฉquences sont en gรฉnรฉral :
La disparition du parenchyme exocrine lorsque lโ€™obstacle est complet ;
La distension du territoire situรฉ en amont et la formation de PKP quand lโ€™obstacle est incomplet. Lโ€™aspect macroscopique de ces PKP est variable. Ils peuvent รชtre unique ou multiples, petits ou gros et intra ou extra pancrรฉatiques.
Leur coque est plus รฉpaisse avec un contenu variable :
Sรฉreux le plus souvent, formรฉ de liquide pancrรฉatique pur ;
Puriforme ou mรชme purulent
Et rarement sanglant.
Lโ€™examen histologique de la paroi kystique montre par endroit un รฉpithรฉlium canalaire conservรฉ dans les PKP intra pancrรฉatiques et par endroit un simple tissu fibreux ou des organes adjacents dans les PKP extra pancrรฉatiques [7,8].

Secondaire ร  une pancrรฉatite aigue

Dans les PKP nรฉcrotiques secondaires ร  une pancrรฉatite aigรผe, la formation du PKP est due ร  l’hรฉmorragie et ร  la nรฉcrose pancrรฉatique, dont la diffusion est limitรฉe par une rรฉaction adhรฉrentielle du pรฉritoine [7].
Au cours d’une poussรฉe de pancrรฉatite aiguรซ, qu’elle soit alcoolique, biliaire ou d’une origine moins commune, la nรฉcrose peut รชtre suivie par la formation de co11ections liquidiennes se dรฉveloppant dans les espaces pรฉri pancrรฉatiques et remplies de suc pancrรฉatique, de sang et de fragments nรฉcrotiques.
Ces collections peuvent s’infecter, disparaรฎtre spontanรฉment ou persister, limitรฉes alors par les organes de voisinage et de la fibrose, formant ainsi des faux kystes nรฉcrotiques.
Cette nรฉcrose รฉrode les canaux pancrรฉatiques, se liquรฉfie et, lร  encore, il faut attendre six semaines pour parler de vรฉritables faux kystes.
Leur siรจge est corporรฉo-caudal dans plus de 60% des cas ; ils sont multifocaux dans 10 ร  15% [10].
La survenue dโ€™un PKP aprรจs un รฉpisode de PA est de 1 ร  21 % selon les auteurs [5, 9, 11, 12,13, 14]. Le dรฉlai d’apparition est de 2 semaines avec des extrรชmes allant de 5 jours ร  6 semaines [5]. Le kyste se prรฉsente comme une masse arrondie, de la taille dโ€™un pamplemousse, situรฉe ร  la face antรฉrieure de la glande mais en dehors d’elle, gรฉnรฉralement dans l’arriรจre cavitรฉ des รฉpiploons. Les parois en sont mal dรฉfinies et constituรฉes par la face postรฉrieure de l’estomac, le mรฉso-cรดlon transverse, le colon, unis entre eux par des adhรฉrences multiples. Cependant au bout de 4 semaines, cette paroi s’รฉpaissit et devient fibreuse. Les lรฉsions de voisinage sont toujours importantes : rรฉaction oedรฉmateuse ou inflammatoire, foyers de nรฉcrose hรฉmorragique, cytostรฉatonรฉcrose. La constatation d’un liquide sรฉro-sanglant est frรฉquente.
L’aspect du liquide kystique est variable; rarement clair ou blanchรขtre, il est le plus souvent hรฉmorragique, contenant des dรฉbris sphacรฉliques plus ou moins abondants parfois franchement purulents. Ces PKP ne communiquent que rarement avec le canal de Wirsung et jamais l’opacification ne permet de mettre en รฉvidence une communication.
L’histologie rรฉvรจle que ces PK n’ont pas de paroi propre, mais leurs limites sont constituรฉes par l’accolement des organes et mรฉso voisins [7].

Signes fonctionnels

Le dรฉbut se manifeste en gรฉnรฉral entre le 10รฉme et le 20รฉme jours, rarement aprรจs plusieurs mois aprรจs une crise de pancrรฉatite [7,8].
La douleur est le signe le plus constant et est prรฉsente dans 80 ร  90% des cas. Il s’agit d’une douleur รฉpigastrique, post prandiale, intense continue et parfois soulagรฉe par une position en chien de fusil, irradiant dans le dos ou dans l’hypochondre droit ou gauche, parfois ectopique localisรฉe dans les fosses iliaques. Elle subit des exacerbations ร  intervalles variรฉs [7].
Les nausรฉes et vomissements accompagnent souvent la douleur et s’observent dans 80 et 70 % des cas [5]. Parfois, on note la prรฉsence d’une sensation de pesanteur abdominale sous forme de tumรฉfaction รฉpigastrique visible ร  jour frisant.
L’ictรจre est beaucoup plus rare ; observรฉ dans 10 ร  25% des cas [8,19] ; il peut รชtre parfois le seul signe. I1 revรชt le type d’un ictรจre obstructif pouvant รชtre indolore, simulant le cancer du pancrรฉas [8].

Signes gรฉnรฉraux

L’amaigrissement varie dโ€™une sรฉrie ร  une autre, parfois trรจs frรฉquente ou ne se voit que dans 50% ou moins dโ€™un tiers des cas.
La fiรจvre est prรฉsente et est supรฉrieure ร  38ยฐC.
D’autres signes plus rares ont รฉtรฉ dรฉcrits : une hypertension artรฉrielle passagรจre (40 %) attribuรฉe ร  la pancrรฉatite [7].

Signes physiques

La palpation rรฉvรจle dans 50 ร  70% des cas une masse abdominale fixรฉe, indolore ou peu douloureuse, de siรจge รฉpigastrique ou parfois situรฉe dans une fosse iliaque, tantรดt, volumineuse entraรฎnant une voussure pariรฉtale, tantรดt modรฉrรฉe, accessible uniquement ร  la palpation profonde.
Dans certains cas, l’examen ne trouve qu’une certaine sensibilitรฉ et tension de l’รฉpigastre.
La constatation d’un syndrome pleurรฉtique est frรฉquente et se voit dans 10% des cas ; il s’agit dโ€™un รฉpanchement sรฉreux, p1us souvent sรฉro-hรฉmorragique avec une forte concentration d’amylase. Sa symptomatologie peut รชtre bruyante et dominer le tableau c1inique. Parfois, on peut constater l’apparition dโ€™une ascite ร  liquide sanglant ou sรฉro-hรฉmorragique contenant aussi de lโ€™amylase. De mรชme, le PKP peut se rรฉvรฉler par une occlusion, une stรฉnose de l’angle colique gauche. On a signalรฉ des cas de PKP accompagnรฉ de douleur osseuse par nรฉcrose osseuse ou sous cutanรฉe [7].
Le pseudo-kyste peut รชtre dรฉcouvert lors d’une complication ร  type dโ€™hรฉmorragie digestive [5]. Dans quelques cas, le PKP restera silencieux et ne sera rรฉvรฉlรฉ que par l’imagerie [8].

Paraclinique

Les examens paracliniques permettent de prรฉciser le diagnostic et fournissent des critรจres pronostiques.

Examens biologiques

Les signes biologiques peuvent apporter certaines prรฉcisions.
La plupart des auteurs insistent sur la prรฉsence et la persistance d’une hyper-amylasรฉmie longtemps aprรจs la disparition d’un signe douloureux.
L’amylasรฉmie doit รชtre supรฉrieure ร  55 Ul/L (normale entre 10 et 55 UI/L). Elle se voit dans 75% des cas et s’accompagne dโ€™une hyperamylasurie (normale infรฉrieure ร  : 60Ul/L). L’รฉlรฉvation dโ€™un taux de lipase est รฉgalement notรฉe et a la mรชme valeur [7].
Pour beaucoup dโ€™auteurs, la prรฉsence dโ€™une hyperleucocytose supรฉrieure ร  12000 รฉlรฉments/ mm3 est un bon signe de PKP [8].
L’anรฉmie est beaucoup plus rare. On note parfois une diminution de la tolรฉrance glucidique ou une รฉlรฉvation de la glycรฉmie qui peuvent traduire une atteinte du pancrรฉas endocrine [7].
Une รฉtude bactรฉriologique avec mise en culture et recherche de la sensibilitรฉ du germe aux antibiotiques doit รชtre pratiquรฉe sur le liquide de ponction. La leucocyte estรฉrase dans le liquide de ponction est รฉlevรฉe dans 70% des cas [20].

Examens radiologiques et endoscopiques

Ils permettent de dรฉcrire les lรฉsions kystiques et, lorsqu’ils sont associรฉs, ils augmentent l’efficacitรฉ du diagnostic en dรฉterminant le type histologique dans plus de 50% des cas [21].

La radiographie de l’abdomen

La visualisation d’un PKP est rare, cependant certains auteurs la retrouvent dans 60% des cas: sous forme d’une masse visible arrondie et associรฉe ร  une disparition de l’ombre du psoas [67]. Le plus souvent, les PKP se traduisent par une compression des organes de voisinage, retrouvรฉe dans 75% des cas [8].

L’รฉchographie

Elle permet une analyse prรฉcise du contenu tumoral:
En dรฉcrivant l’homogรฉnรฉitรฉ de la masse;
En donnant la forme, la disposition et les dimensions des kystes;
En dรฉterminant le caractรจre รฉchogรจne du contenu ; Kystique;
Et en recherchant la prรฉsence de cloisons intra-tumorales et endo- kystiques.
L’รฉchographie est cependant opรฉrateur-dรฉpendante ; elle ne peut explorer tout le pancrรฉas et est souvent gรชnรฉe par l’interposition gazeuse intestinale [22].

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Table des matiรจres

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
1. ANATOMIE DU PANCREAS
1.1. Anatomie descriptive
1.1.1. Situation
1.1.2. Formes et morphologie gรฉnรฉrale
1.1.3 Les dimensions
1.1.4 Les canaux excrรฉteurs du pancrรฉas
1.1.5 Les structures
1.1.6 Pรฉritonisation et moyens de fixitรฉ
1.2 Rapports du pancrรฉas
1.2.1 Pancrรฉas droit
1.2.2 Pancrรฉas gauche
1.3 Vaisseaux et Nerfs du pancrรฉas
1.3.2 Veines
1.3.3 Nerfs
1.3.4 Lymphatiques
2- CLASSIFICATION ET ANATOMIE PATHOLOGIQUE
2.1 Classification
2.2 Etiopathogรฉnie et Anatomie pathologique
2.2.1 Secondaire ร  une pancrรฉatite chronique
2.2.2 Secondaire ร  une pancrรฉatite aigue
2.2.3 Post traumatique
3-DIAGNOSTIC
3.1 Positif
3.1.1 Clinique
3.1.1.1Signes fonctionnels
3.1.1.2 Signes gรฉnรฉraux
3.1.1.3Signes physiques
3.1.2 Paraclinique
3.1.2.1 Examens biologiques
3.1.2.2 Examens radiologiques et endoscopiques
3.1.2.2.1 La radiographie de l’abdomen
3.1.2.2.2 L’รฉchographie
3.1.2.2.3 La tomodensitomรฉtrie ou scanner
3.1.2.2.4 L’รฉcho-endoscopie
3.1.2.2.5 La cholangio-pancrรฉato-IRM
3.1.2.2.6 Transit oesogastroduodรฉnal (TOGD)
3.1.2.2.7 Lavement barytรฉ
3.2 Diffรฉrentiel
3.2.1 Les tumeurs kystiques du pancrรฉas
3.2.2 Les autres
4 EVOLUTION
5 TRAITEMENT
5.1 Buts
5.2 Moyens et mรฉthodes
5.2.1 Mรฉdicaux
5.2.2 Instrumentaux
5.2.2.1Le drainage percutanรฉ
5.2.2.2Le drainage endoscopique
5.2.2.3Aspiration-lavage ร  l’รฉthanol
5.2.3 Moyens chirurgicaux
5.2.3.1 Les drainages chirurgicaux
5.2.3.2 Les รฉnuclรฉations et excavations
5.2.3.3Les exรฉrรจses pancrรฉatiques
5.2.4 Abstention chirurgicale et surveillance
5.3 Indications
5.4 Rรฉsultats
NOS OBSERVATIONS
OBSER VATION Nยฐ1
OBSERVA TION Nยฐ 2
OBSERVATION Nยฐ 3
OBSERVATION Nยฐ 4
OBSERVATION Nยฐ5
OBSERVATION Nยฐ 6
OBSERVATION Nยฐ7
OBSERVATION Nยฐ8
DISCUSSION
I.-ASPECTS ร‰PIDร‰MIOLOGIQUES
1 La frรฉquence
2 L’รขge
3 Le sexe
4 Les facteurs รฉtiologiques
II.ASPECTS CLINIQUES
1. La durรฉe dโ€™รฉvolution
2.La douleur
3. Les vomissements
4. La masse abdominale
5. Lโ€™amaigrissement
6. Lโ€™ictรจre
III. ASPECTS PARA-CLINIQUES
1. La biologie
1.1. Lโ€™anรฉmie
1.2. La leucocytose
1.3. Lโ€™amylasรฉmie et lโ€™amylasurie
1.4. La glycรฉmie
2. Lโ€™imagerie
2.2. La tomodensitomรฉtrie
IV. ASPECTS THร‰RAPEUTIQUES
1. Le traitement chirurgical
1.1. Le drainage interne
1.2. Le drainage externe
1.3. Lโ€™exรฉrรจse pancrรฉatique
1.4. Traitement laparoscopique
2. Le traitement non chirurgical
2.1. Le traitement endoscopique
2.2. Le drainage transcutanรฉ
2.3. La ponction รฉvacuatrice
2.4. Lโ€™abstention thรฉrapeutique
3. Les suites opรฉratoires
3.1. La durรฉe dโ€™hospitalisation
3.2. La morbiditรฉ
3.3. La mortalitรฉ
3.4. Les rรฉsultat ร  moyen et long terme
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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