Classification des phoques gris et veaux marinsen
Aspects morphologiques
Taille et poids
Le phoque gris est le plus grand représentant des Phocinae contrairement au phoque veau marin, un des plus petits gabarits (14). Quelques précisions sur les poids et les tailles à différents âges sont données dans le tableau 8 page 56.
Dimorphisme sexuel
Il se remarque essentiellement par une différence de taille entre les individus. Celle-ci est plus marquée chez le phoque gris, espèce chez laquelle le mâle adulte est une fois et demie plus gros que la femelle avec un poids pouvant atteindre le triple de celui d’une jeune femelle adulte (14). Ce dimorphisme concerne également la morphologie du crâne (figure 3). Les phoques gris mâles possèdent par ailleurs un appendice nasal assez développé leur conférant un profil convexe, dit « de cheval ». Chez le phoque veau marin, le mâle est légèrement plus grand que la femelle.
Le pelage est aussi un signe distinctif du sexe chez le phoque gris. La couleur s’étale sur une large gamme allant du gris clair au gris foncé, de l’argenté au brun ou au crème (14 et 65). On peut observer des variations de couleur au sein d’une même colonie puisque celle-ci se compose d’individus de populations parfois éloignées. Chez les mâles, le ton foncé est prédominant (le ventre est en général un peu plus clair), il forme un fond sur lequel se détachent de petites taches plus claires.C’est l’inverse chez les femelles, le fond est gris argenté et les taches de couleur sont foncées. Les taches présentes au niveau des tempes et des joues sont spécifiques à chaque individu et permettent d’identifier les femelles (figures 5 et 6). Cette caractéristique est mise à profit dans la photo-identification afin de reconnaître chaque individu grâce au patron de ses taches sur des clichés photographiques des deux profils de la tête par exemple. Enfin, les phoques gris mâles présentent un appendice nasal assez développé, allongé leur conférant un profil convexe, dit « de cheval ».
Pelage
Celui du phoque gris adulte étant abordé dans le chapitre précédent, il ne sera pas repris ici. A noter cependant qu’il peut prendre parfois des teintes rouges ou orangées au niveau de la tête, du nez et des nageoires (65). Chez le phoque veau marin adulte, la diversité est aussi de mise : le fond peut aller du gris clair au gris foncé et les taches peuvent prendre la même gamme de couleur (figure 7). Il est alors parfois difficile de distinguer les mâles des femelles.En ce qui concerne les jeunes, il existe des différences entre les deux espèces. Les jeunes phoques gris naissent blanchons, c’est à dire avec un pelage duveteux blanc ou crème. Une première mue s’effectue au bout de deux à trois semaines pendant laquelle se met en place un second manteau, plus proche de celui de l’adulte. Une deuxième mue interviendra environ 6 mois plus tard. Les jeunes acquièrent alors le pelage de l’adulte. Les jeunes phoques veaux marins ne naissent pas blanchons ou de façon exceptionnelle. En effet, la première mue est intra-utérine. Le premier pelage est donc brun clair plus ou moins tacheté, la deuxième mue leur conférant un pelage définitif.Dans ces deux espèces, les adultes subissent ensuite une mue annuelle, en automne pour les phoques veau marin ou au début du printemps pour les phoques gris (12 et 14).
Figure 7 : dessins représentant la tête de face et de profil d’un phoque veau marin (d’après les dessins de Anderson S. In : Marion R. et Sylvestre J.P. (76)).
Figure 6 : cliché du profil droit d’une jeune femelle phoque gris utilisé pour la photo-identification (cliché personnel)
Alimentation
BIGG M.A. (12) et BOONER W.N. (14) nous précisent que chez les deux espèces, le poisson est la principale source alimentaire. Des céphalopodes et des crustacés peuvent agrémenter les repas. Ces derniers (crevettes ramassées sur le fond essentiellement) sont la principale ressource des jeunes âgés de un à trois mois. En effet, l’apprentissage de la pêche laisse parfois les estomacs vides. Selon les régions, les poissons pêchés varient : saumon (Salmo salar), morue (Gadus morhua), harengs (Clupea harengus), maquereau (Trachurus sp), mulets (Mugilus sp), etc. Les phoques ingèreraient en nourriture environ 5 % de leur poids corporel soit environ 6 à 7 kg de poisson pour un individu de 120 à 150 kg. Les lieux de pêche, en pleine mer ou sur les côtes varient selon les individus (les jeunes pêchent essentiellement le long des côtes) ou les conditions climatiques (plus favorables le long des côtes lors de tempête en pleine mer).Les adultes phoques gris connaissent une (pour les mâles) ou deux (pour les femelles) périodes de jeûne par an. Ces deux périodes correspondent à la phase d’allaitement, pendant laquelle la femelle peut perdre jusqu’à 25 % de son poids, elle dispose ensuite de deux à trois mois pour reconstituer ses réserves afin d’affronter la période de jeûne correspondant à la mue , commune au mâle et à la femelle. Les phoques veaux marins quant à eux ne connaissent pas ces périodes de jeûne. En effet, leur comportement ne semblerait pas affecté par la mue annuelle et la mère pêche accompagnée de son petit pendant la période d’allaitement.ARNETT R.T.P. et al (2) relatent que cette activité d’alimentation est une cause de conflit avec les pêcheurs pour plusieurs raisons. La première cause de dérangement concerne le manque à gagner à cause des phoques venant se servir dans les filets. La seconde découle directement de la précédente puisqu’il s’agit des destructions de filets. La dernière enfin serait plus liée à un problème écologique ; les phoques, en particulier les phoques gris seraient les hôtes terminaux d’une larve d’un nématode de la morue, Terranova decipiens. Celle-ci se loge dans la musculature du poisson, le rendant insalubre et donc invendable d’où des manques à gagner plus élevés selon les pêcheurs dans les zones où l’on retrouve de fortes concentrations de phoques.
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Table des matières
LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES ABREVIATIONS
INTRODUCTION
I. PRESENTATION DES DEUX ESPECES
1. Classification des phoques gris et veaux marins
A. Introduction
C. Super-familles et familles
D. Famille des Phocidae
E. Sous-famille des Phocinae
2. Taxonomie
A. Phoque gris
B. Phoque veau marin
3. Répartition et évolution des populations
A. Phoque gris
B. Phoque veau marin
4. Aspects morphologiques
A. Taille et poids
B. Dimorphisme sexuel
C. Pelage
5. Comportements
A. Alimentation
B. Habitat
a. Phoques gris
b. Phoques veaux marins
C. Comportement social
D. Reproduction
a. La maturité sexuelle
b. Phoque veau marin
c. Phoque gris
PREMIERE PARTIE : A LA DECOUVERTE DU PHOQUE GRIS ET DU PHOQUE VEAU MARIN, DEUX ESPECES PRESENTES SUR LES COTES FRANCAISES.
II. PARTICULARITES ANATOMIQUES ET PHYSIOLOGIQUES DES PHOQUES
1. Les organes des sens
A. L’odorat
B. L’ouïe
C. La peau
a. Les différentes couches
b. L’hypoderme ou « blubber »
α. Composition
β. Fonctions
c. Les annexes à la peau
B. L’œil
a. Partie antérieure de l’œil
b. Partie postérieure de l’œil
c. La vision
C. Les vibrisses
2. L’appareil respiratoire
3. L’appareil digestif
A. La cavité buccale
B. Tractus digestif
C. Le foie
4. La rate
5. L’appareil urinaire
A. Les reins
B. La vessie
6. L’appareil cardio-vasculaire
A. Le cœur
B. L’aorte
C. Ductus arteriosus et foramen ovale
D. Le système artériel
E. Le système veineux
7. L’appareil génital
A. Appareil génital mâle
B. Appareil génital femelle
8. Le squelette
A. Le crâne
B. La colonne vertébrale
C. Thorax et sternum
D. Squelette appendiculaire
a. Ceinture pectorale
b. Membre antérieur
c. Ceinture pelvienne
d. Membre postérieur
III. ECO-ETHOLOGIE
1. Comment expliquer les échouages ?
A. Les phoques veaux marins
B. Les phoques gris
2. Des animaux sans défense face au mazoutage
A. Les nappes d’hydrocarbures : des pièges
B. Caractéristiques anatomiques
3. Les phoques face aux infections virales
A. Les phoques, des animaux grégaires
B. Des sensibilités spécifiques
a. Facteurs physiologiques
b. Facteurs environnementaux
c. Facteurs génétiques
4. La situation des centres de sauvegarde
I. LA CLINIQUE POUR PHOQUES D’OCEANOPOLIS
1. Historique
2. Le fonctionnement de la clinique
A. Les échouages
B. Origine des différents animaux
C. Bilan des animaux recueillis entre 1989 et 2005
D. Les relâchers et le suivi
E. Matériel d’étude
3. Le séjour des animaux
A. Le logement
a. Le séjour en hospitalisation
b. Le séjour en bassin
c. L’eau des bassins
d. Le nettoyage
B. L’alimentation
a. Origine et espèces de poissons
b. Les repas des jeunes présents en hospitalisation
c. Les repas des animaux en bassin
C. Quelques règles d’hygiène
II. L’EXAMEN CLINIQUE
1. L’examen à distance
2. La contention
A. La contention manuelle
B. La contention chimique
a. Quelques particularités
b. Protocole anesthésique
α. Examen préanesthésique
β. Choix d’un protocole anesthésique
γ. Préparation du matériel
C. Anesthésie fixe
a. Prémédication
b. Agents anesthésiques
α. Principes actifs
β. Quelques données pharmacologiques
γ. Précautions d’emploi
δ. Posologies et voies d’administration
ε. Monitoring
η. Réveil
D. Anesthésie gazeuse
a. Induction
b. Entretien de l’anesthésie
α. Intubation
β. Agents volatils
γ. Suivi
DEUXIEME PARTIE : PRISE EN CHARGE DES ANIMAUX RECUEILLIS. DE L’EXAMEN CLINIQUE AUX EXAMENS COMPLEMENTAIRES.
E. Anesthésie locale
F. Conclusion
a. Choix de l’anesthésique
b. Les protocoles d’urgence
3. Evaluation de l’état de déshydratation
4. La mesure de température corporelle
5. Examen des différents appareils
A. Appareil respiratoire
B. Appareil cardio-vasculaire
C. Appareil digestif
D. Appareil urinaire
E. Appareil génital
F. Appareil locomoteur
6. Autres
A. Ombilic
B. Examen des organes sensoriels
C. Examen de la peau
III. LES EXAMENS COMPLEMENTAIRES
1. Les examens non invasifs
A. L’analyse d’urines
B. L’analyse de selles
C. Les écouvillons
D. Les prélèvements cutanés
a. Les calques
b. Les raclages
E. Examen de l’œil
F. La radiographie
a. Avantages et inconvénients
b. Matériel
c. Interprétation
d. Quelques exemples
G. L’échographie
a. Bilan actuel
b. Intérêts et inconvénients
c. Matériel
d. Préparation de l’animal
e. Application
α. Mesure de l’épaisseur de graisse
β. Diagnostic de gestation
γ. Echographie de l’œil
δ. Organes thoraciques et abdominaux
H. L’endoscopie
a. Les différents types d’endoscopie
b. Intérêts et limites de cette technique
2. Les examens invasifs
A. Les biopsies
a. La peau
b. Le foie
c. La moelle osseuse
B. Les prélèvements sanguins
a. Réalisation d’une prise de sang
b. Valeurs biochimiques
α. Données
β. Interprétation des principaux paramètres biochimiques
γ. Commentaire sur quelques cas cliniques
c. Valeurs hématologiques
α. Données
β. Interprétation des principaux paramètres hématologiques
C. L’autopsie
I. OBSERVATIONS PRATIQUES ET DONNEES RECUEILLIES
1. Les observateurs
2. Fréquence des observations
3. Fiches cliniques
II. OBSERVATIONS CLINIQUES PAR APPAREIL
1. Pathologie digestive
A. Etude clinique
a. Principaux signes cliniques observés
α. Diarrhée
β. Vomissements
γ. Diarrhée et vomissements
δ. Constipation
ε. Présence de vers dans les selles
b. Autres signes cliniques associés
α. Anorexie et dysorexie
β. Prostration et apathie
γ. Troubles respiratoires
c. Apport des données nécropsiques
B. Etiologies suspectées
a. Lors de diarrhée et/ou de vomissement
b. Lors d’autres signes cliniques associés aux symptômes digestifs
c. Le parasitisme
α. Les protozoaires
β. Les métazoaires
γ. Les acanthocéphales
2. Pathologie respiratoire
A. Etude clinique
a. Généralités
b. Imprécision des principaux signes cliniques observés
c. Autres signes cliniques associés
α. Atteintes de l’état général
β. Troubles digestifs
γ. Mazoutage
δ. Autres
d. Apport des données nécropsiques
B. Etiologies suspectées
a. Cas des maladies virales
b. Répercussions respiratoires des atteintes de l’appareil circulatoire
c. Les affections parasitaires
d. Les infections bactériennes
e. Causes mécaniques
TROISIEME PARTIE : SYNTHESE DES DONNEES CLINIQUES RECUEILLIES SUR LES FICHES INDIVIDUELLES.
3. Pathologie cutanée
A. Principales lésions observées
a. Plaies et abcès
b. Autres
B. Agents étiologiques
a. Les ectoparasites
α. Les anoploures
β. Les acariens
b. Agents fongiques
c. Agents viraux
d. Agents bactériens
C. Cas particulier des dermatites : une association de différents agents
4. Pathologie oculaire
A. Principaux signes cliniques observés
a. Les sécrétions
b. Sécheresse oculaire et kératite
c. Autres
B. Données actuelles
C. Etiologie suspectée
a. Agents bactériens
b. Agents viraux
c. Cas particulier de la cataracte et de l’œdème de cornée
5. Pathologie buccale
A. Etude clinique
B. Agents étiologiques
6. Pathologie osseuse
A. Etude clinique
a. Principaux signes cliniques
b. Diagnostic radiologique
B. Etiologie
C. Remarques sur le traitement chirurgical
7. Pathologie nerveuse
A. Etude clinique
a. Cas observés à la clinique
b. Principaux signes cliniques
B. Etiologie
a. Les convulsions et spasmes
b. Les plégies
8. Pathologie urinaire
A. Etude clinique
a. Description des cas observés à la clinique
b. Principaux signes cliniques
c. Remarque sur le démarche diagnostique : apport des données des examens complémentaires (exemple du cas n°191)
d. Les lésions observées lors des autopsies
B. Etiologie
a. Les affections non infectieuses
b. La leptospirose
9. Pathologie hépatique
A. Etude clinique
a. L’approche de la pathologie hépatique
b. Les découvertes d’autopsie
B. Etiologie
I. LES PREMIERS SOINS. La mesure de la température corporelle
2. La réhydratation
A. Etude clinique
B. Techniques de réhydratation
a. Les voies d’administration
b. Quantités à administrer
c. Solutés utilisés
3. Lutte contre le mazoutage
II. LES DIFFERENTES CLASSES PHARMACEUTIQUES REPRESENTEES
1. Les molécules antibiotiques
A. Premières observations cliniques
a. La mise sous antibiothérapie
b. Les différentes molécules utilisées
B. Choix des molécules lors de la prescription
a. L’amoxicilline
α. Les différentes utilisations
β. Remarques sur les propriétés pharmacologiques
b. L’association sulfamides-triméthoprime
α. Les différentes utilisations
β. Remarques sur les propriétés pharmacologiques
c. Le chloramphénicol
α. Les différentes utilisations
β. Remarques sur les propriétés pharmacologiques
d. La marbofloxacine
α. Les différentes utilisations
β. Remarques sur les propriétés pharmacologiques
e. La néomycine
f. Quelques mots sur les autres molécules représentées
α. Sulfaguanidine/framycétine
β. Céfalexine
γ. Rifamycine
δ. Spiramycine
2. Les molécules antiparasitaires
A. Premières observations cliniques
a. La mise sous traitement antiparasitaire
b. Les différentes molécules utilisées
B. Schémas thérapeutiques
a. Période de 1989/1990 à 1998/1999
b. Les saisons 1999/2000 et 2000/2001
c. Période de 2001/2002 à 2003/2004
d. La saison 2004/2005
QUATRIEME PARTIE : STRATEGIES THERAPEUTIQUES ADOPTEES A LA CLINIQUE D’OCEANOPOLIS, SYNTHESE DES DONNEES ET COMMENTAIRES.
3. Les molécules anti-inflammatoires
III. TRAITEMENTS PRESCRITS LORS DES PRINCIPALES AFFECTIONS
1. Les affections digestives
A. Les différents traitements mis en place à la clinique d’Océanopolis
a. Le traitement antibiotique
b. Les traitements antiparasitaires
c. Les pansements gastro-intestinaux
d. Autres traitements
e. Régime alimentaire
B. Traitements des autres affections classées selon l’étiologie
a. Les viroses
b. Les causes mécaniques
2. Les affections respiratoires
A. L’arsenal thérapeutique employé à la clinique d’Océanopolis
a. L’antibiothérapie
b. Les traitements antiparasitaires
c. L’utilisation d’anti-inflammatoires
B. Traitement des autres affections respiratoires selon les germes en cause
a. Les virus
b. Les mycoses
3. Plaies et abcès
A. Rappels sur les agents pathogènes en cause
B. Principes de thérapeutique
C. Observations sur les traitements mis en place à la clinique d’Océanopolis
a. Les schémas thérapeutiques : observations et remarques
b. Les soins locaux, compléments du traitement antibiotique …………..
4. Les affections cutanées autres que les plaies et les abcès
A. Les dermatites observées à la clinique d’Océanopolis
B. Traitement des autres affections cutanées
a. Les mycoses
b. Les ectoparasites
c. Les viroses
5. Les affections oculaires
A. Le traitement antibiotique
B. La prescription de molécules anti-inflammatoires
C. Les molécules anti-fongiques
D. Substituts de larmes et antiseptiques
6. Les affections buccales
7. Les affections osseuses
A. Molécules pouvant être employées lors d’affection osseuse
B. L’approche médicale
C. Commentaires
8. Les affections nerveuses
A. Les traitements mis en œuvre à la clinique d’Océanopolis
B. Traitements spécifiques aux agents étiologiques
9. Les affections urinaires
A. Les infections urinaires
B. Les néphrites . Les affections hépatiques
IV. APPROCHE THERAPEUTIQUE A ADOPTER FACE AUX PRINCIPALES AFFECTIONS
1. Diarrhée et/ou vomissements
2. Les affections respiratoires
3. Les plaies et les abcès
4. Les affections cutanées autres que les plaies et les abcès. Les affections oculaires
6. Les gingivites
7. Fractures et ostéomyélites
8. Les infections urinaires
9. Animal en mauvais état général dont l’affection est inconnue
CONCLUSION
ANNEXES
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