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Mission, intérêt et statut juridique du projet
Créer une société implique différentes sortes d’investigations. La société doit être élaborée après longue réflexion et plusieurs analyses prévisionnelles. Un projet doit être d’au moins une mission, un intérêt et surtout, obligatoirement un statut juridique.
Mission
Une caisse agricole est une agence qui fournisse aux agriculteurs et/ou aux paysans des biens matérielsafin de combler les manques et les insuffisances de leur quotidien en contre partie d’une quantité de récoltes proportionelle à la valeur du matériel ou de la semence fourni. Le partenariat avec d’autre institut et/ou projet facilitera les moyens pour offrir aux agriculteurs membres de la caisse agricole des formations selon leur besoins.
La caisse agricole consiste à procéder à une amélioration de l’agriculture dans la commune rurale d’Alakamisy Itenina. La caisse offre à sa clientèle des apports en nature et/ou desformations quipeuvent faciliter, améliorer et satisfaire aux besoins concernant l’agriculture. Elle a donc pour mission de :
– Prendre en charge la vente et la liquidation des produits agricoles des membres
– Créer des groupements communs des villageois (GCV)à titre de grenier commun
– Rechercher des semences adaptées aux changements climatiques
– Collaborer avec les institutions de recherches (FOFIFA, CSA, FIFAMANOR,…) et des institutions spécialisées dans des formations,
– Fournirles intrants agricoles dont les producteurs en ont besoins,
– Faciliter la collaboration entre les producteurs, les fournisseurs des intrants agricoles et les institutions de micro-finance,
– Créer une association selon les normes et la loi
Intérêts
L’éventail du projet peut être large, plusieurs points peuvent être considérés :
– La rentabilité, c’est-à-dire que le projet rapporte des bénéfices assez importantes pour les agriculteurs,
– La création d’emploi, c’est-à-dire que les employés de la caisse AVOTRA ne seront plus parmi les chômeurs,
– L’Etat peut alors tirer profit de ce projet car le secteur agroalimentaire se développe.
Statut juridique du projet
L’entreprise élaborée par ce projet sera dénomméeAISSEC AGRICOLE AVOTRA. La nature juridique est une SARL c’est-à-dire qu’el le effectue tout objet social sauf l’activité de l’assurance et de la capitalisation et elle a au moins un associé.
La SARL apparait comme la forme la plus appropriée à l’unité projetée car le nombre des associés ne peut être inférieur à deux (02) etne peut pas dépasser cinquante (50). Les associés sont solidairement responsables vis-à-vis des tiers de la valeur attribuée aux apports en nature au moment de la constitution de la société. La SARL est donc gérée par un ou plusieurs mandataires associés
Analyse du projet
Concernant les forces de ce projet, le secteur agricole est un secteur qui n’est pas totalement difficile à gérer. Nous souhaitons que la population de cette zone d’activité soit satisfaite du service offert par la caisse agricole AVOTRA et la récolte s’améliorera après les différentes formations. D’ailleurs, les paysans possèdent beaucoup d’expérience par rapport au projet. Ils pratiquent déjà l’activité agricoleavant l’entrée de notre projet de caisse agricole dans cette zone. Ils ont déjà l’habitude de travailler dans les champs, ils arrivent à maîtriser beaucoup plus l’activité afin de diminuer l’erreur. Aussi, ils obtiennent de l’aide provenant des ONG et des associations agricoles pour améliore la qualité et la quantité de leurs produits.
De plus, l’existence des paysans expérimentés et formés par les différents projets facilite les tâches que la caisse agricole doit acc omplir. Pour obtenir le financement ou l’appui d’un projet, il faut que les paysans se regroupent en association et nombreux sont les associations qui existent déjà sur place et dans différents thématiques comme l’apiculture, la riziculture, la culture de haricot, etc.Les cultivateurs se regroupent en une association des usagers d’eau qui sont bénéficiaires du barrage d’eau d’Ankotrakotraka (115 cultivateurs et/ou foyers), cette barrage assure l’irrigation de 87Ha de surface cultivable. Au total, la commune rurale d’Alakamisy Itenina regroupe soixante (60) associations dont vingt-trois (23) sont des associations féminines et trente-deux (32)des associations mixtes.
Des projets ont coopérés avec les paysans auparavant et les ont appris des techniques pour l’obtention de meilleur rendement à chaque sai son. Une des techniques la plus appliquée actuellement est la courbe de niveau. Cette technique sert à morceler la surface cultivable située sur une pente afin que l’eau de pluie ne puisse pas emporter le sol pendant la saison de pluie : elle peut éviter donc l’érosion d’une autremanière.
En même temps, nombreux sont les faiblesses qui se présente dans notre zone d’implantation : d’une part l’enclavement de la zon e d’exploitation même si elle n’est qu’à une trentaine de kilomètres de la ville de Fianarantsoa. D’autre part l’insuffisance des zones irriguées ne facilite pas les tâches des agriculteurs. Les autres associations de paysans ou d’agriculteurs pratiquent la culture traditionnelle dans leur activité. Ces méthodes ne leur permettent pas d’obtenir des rendements satisfaisants d’où l’insuffisance de produits offerts sur le marché. Les matériels sont aussi très anciens et n’arrivent donc à travailler qu’une petite parcelle de surface pour leur exploitation et mêmeles moyens de financement sont très faibles par rapport au soin et entretiens nécessaires à l’agriculture.
Malgré les 87Ha déjà irriguées, cette superficie necorrespond pas à la totalité des zones d’exploitation, le barrage d’Ankotrakotraka n ’irrigue que la zone Nord de la commune ; les autres ont encore des problèmes concernant ce sujet. Sur le plan social, il y a toujours quelques membres des associations qui ne pensent qu’à leur besoin personnel et non aux biens communs.Les producteurs ne sont pas bien organisés pour s’entraider. Ce problème peut être en liaison avec les responsables qui ne sont pas sur place pour bien mener la politique du projet, ils n’y arrivent que pour les formations et les contrôles. Une fois les produits cueillis, ces producteurs ne trouvent pas le marché idéal pour vendre leurs produits, ce sontles collecteurs déterminent les prix sur le marché.
Concernant la technologie et l’environnement, les producteurs utilisent des techniques non performantes même s’ils ont suivi des formations avec les autres projets, ils continuent à pratiquer les anciennes méthodes si les responsable ne sont pas sur place pour surveiller ou contrôler. Aussi, la destruction de l’environnement due aux feux de brousse pratiqués par les éleveurs parce qu’auparavant, les paysans pratiquaient les feux de brousses pour que les bétails mangent les jeunes poussés d’herbes après.
Dans l’analyse de la demande de la région Haute Matsiatra, une période déficitaire a lieu du mois d’octobre jusqu’au mois d’avril. Pour le riz par exemple, la consommation constitue de 70 à 80%, ce qui fait que la productio n de riz augmentera grâce aux formations obtenues par la coopération de la caisse agricole avec les autres institutions spécialisés dans le secteur agricoles et les techniques de cultures de manioc ou de patate pourront aussi s’améliorer. Même si les concurrents sont assez nombreux dans le secteur, le service offert nous distinguerait des autres : les investissements en tant qu’aide pour les agriculteurs seraient un grand atout y compris la facilitation et la formation offerte pour chaque type de culture que l’agriculteur veut effectuer. Comme la plupart des producteurs appliquent encore la méthode traditionnelle, les produits sont donc de bonnes qualités et peuvent concourir sur le marché.
La caisse agricole pourra donc faciliter l’obtention des fonds et des financements mais à condition que les producteurs se regroupent dans une association.
Par ailleurs, l’existence des agriculteurs traditionnels est une menace assez importante : la quantité de production sera réduite, cela aura des impacts sur la vie sociale car ces personnes resteront toujours dans l’insuffisance alimentaire, le développement n’aura pas encore sa place parmi ces personnes traditionnelles.
Les petites associations et petites coopératives qui existent déjà dans notre localité d’implantation peut représenter un danger assez important pour notre projet. Il se peut que les agriculteurs trouvent leur bonheur dans ses institutions car là-bas, ils n’ont pas à faire des crédits ou à emprunter quoi que ce soit mais seulement l’union des membres fait la force de cette entité.
Les menaces les plus courants sont en fait causéespar les paysans eux-mêmes :
– Les dahalo brûlent les villages et les tanety après leurs actes de banditismes
– -les paysans brulent les tanety pour que les bétails puissent se nourrir des jeunes pousses d’herbes après
– -La période de pluie raccourcie la culture et diminue le rendement annuel
– Les fonds et les emprunts ne sont pas remboursés après les récoltes
– Les cultivateurs ne font pas de compte rendu de leur récolte après l’aide des projets
– -Les produits sont achetés par les collecteurs aux prix les plus bas lors des saisons de récolte
– -Risque de ne pas atteindre l’objectif du projet
– -Les feux de brousse détruisent les plantes dont les abeilles collectent les pollens
Cette analyse de la force, faiblesse, opportunité et menace conduit à dire que cette caisse agricole est un facteur de développement rapide mais durable dans cette zone. Que ce soit pour la caisse agricole ou pour les producteurs agricoles, l’analyse a permis de définir les besoins primordiales à satisfaire tout au long de c e présent projet. L’essentielle c’est la bonne gestion de cette caisse contre d’éventuelle défaillance surtout au niveau de la cueillette des récoltes suivi du remboursement d’emprunt que les agriculteurs ont effectués. La lutte contre la concurrence est un domaine très délicat mais pour une région qui a accepté l’économie du marché, cette doit nécessairement être faite.
LE LIEU D’IMPLANTATION
Comme notre projet concerne l’agriculture, le choix du lieu d’implantation a été caractérisé par la connaissance de cette commune rurale d’Alakamisy Itenina. Notre étude s’est alors facilitée par cet atout. Les relations avec quelques autorités ont mené en biens les recherches effectuées.
Historique
Le Chef lieu de la commune s’appelait aupravant : Ambohibory. Mais comme la région était pleine de “Tenina”, une plante de nom scientifique Imperata Cylindrica, il faut appelé Itenina. C’est après la création du marché ud Jeudi que son nom devenait ALAKAMISY ITENINA.En 1920, on rajouta au canton d’Alakamisy Itenina les quartiers de Vohitraivo et d’Ambohimanarivo(à l’Ouest) qui faisa ient auparavant partie du canton de Maneva.
Par la suite, le Délégué régional Rainady proposau achef de District, pour des raisons géographiques, le transfert du chef lieu du gouvernement indigène (5 cantons périphériques) à Alakamisy Itenina. En 1960, la première républiquegardait encore Alakamisy Itenina comme chef lieu de canton et y instaura la Commune. Actuellement, RAHARISON Roger Fidèle est le maire responsable de la commune rurale d’Alakamisy Itenina.1
Situation géographique et délimitation administrative :
Alakamisy Itenina est une commune rurale située dans la partie Sud-Est de Fianarantsoa II, distante de 38 Km de la ville de Fianarantsoa suivant la route nationale (RN7) vers Ambalavao, à 20 Km du croisement de Talata Amp ano, dans le District de Vohibato région de Haute Matsiatra. La commune est constituée de 14 Fokontany et 67 boriboritany (arrondissement).La commune est entourée des communes suivantes :
– Au nord : Vohibato Ouest et Mahasoabe,
– Au Sud : Mahaditra et Ankaromalaza Mifanasoa,
– A l’ouest : Andranovorivato,
– A l’est : Vohitrafeno.
Carte n° 1: Délimitation d’Alakamisy Itenina
Source : PCDEA commune rurale d’Alakamisy Itenina, le diagnostic et les recommandations.
Démographie
Alakamisy Itenina est l’une des communes rurales qui appartiennent au district de Vohibato. Presque tout le peuple de cette zone vit de l’agriculture, évalué à neuf personnes sur dix pratiquent la culture vivrière. Quelques unes effectuent l’élevage afin de subvenir aux besoins quotidiens. Cette équipe administre un territoire de 102 km² avec une population estimée en 2011 à 21 171 habitants répartis dans 3083 ménages. Ainsi, la taille moyenne des ménages est de 6 individus. La densité d’habitants au km2 est de 1801. Le taux de croissance de la population est de 2,5 % par an.
C’est une population jeune, typique du Tiers Monde et c’est un atout pour la commune car elle constitue une énorme force de travail dansla corbeille de la population active. Par ailleurs, on observe que le nombre des femmes est supérieurà celui des hommes ; aussi les mobiliser pour le développement serait une des conditions favorables au développement d’Alakamisy Itenina . Ceci nous conduit à dire que la participation féminine au développement par domaine dans la commune ne serait de moindre, et il faut en tenir compte.
ETUDE DU MARCHE
Avant le lancement d’un projet d’investissement, un e étude de marché est indispensable pour approprier l’offre et la demande du produit que l’on veut mettre à la disposition des consommateurs ainsi que la concurrence éventuelle. Il faut envisager une stratégie de marketing pour le lancement en utilisant les techniques en pratique dans le domaine.
ANALYSE DU MARCHE
Dans cette section, le marché cible va être détaillé ainsi que l’analyse de la demande et de l’offre. Les données collectées vont nous conduire à connaître la situation actuelle de la commune rurale sur le plan économique en fonction de l’agriculture.
LE MARCHE PROPREMENT DIT
Par définition, le marché est constitué par l’ensemble des clients capables et désireux de procéder à un échange leur permettant de satisfaire leur besoin ou leur désir.C’est sur le marché que la demande des consommateurs est satisfaite et les offres des fournisseurs ou des producteurs doivent y répondre en qualité et en prix.
Marché visé
Le présent projet vise une clientèle constituée dela couche de la population locale dont le besoin et la consommation sont relativement stables. En outre, un autre critère intervient : la solvabilité du client car la caisseagricole inclut dans ses prestations l’emprunt en nature des biens et services dont le remboursement est effectué après la récolte.D’après l’étude du marché, nous avons pu constater qu’il n’existe aucun concurrent à fournir le même service que notre projet mais d’autres organisations offrent aussi des aides et financement aux agriculteurs membres de ces organisations.
Les atouts du présent projet sont constitués par :
Le lieu d’implantation, La stabilité de l’offre,
Le caractère innovant de la méthode de distribution.
Cette étude du marché nous a donc permis :
¨ De définir avec beaucoup de précision le service à vendre, leurs caractéristiques et les avantages que ce projet doit apporter,
¨ De fixer le prix sur le marché,
¨ De déterminer les différents moyens de communicatio indirecte.
Evolution du marché
L’implantation de ce projet dans la commune rurale d’Alakamisy Itenina répond aux besoins de la population surtout à ceux des agricul teurs qui sont notre cible principale. Le développement du marché dépend de la régularité l’offrede et de l’assurance des demandeurs d’être toujours servis à des remboursements légauxet à prix stables.
D’après les enquêtes effectuées sur le marché cible, les consommateurs sont satisfaits de la qualité des produits agricoles mais la variation des prix qui change presque tout le temps leur pose des problèmes surtout financiers ; cela est dû à l’insuffisance de la production. Par exemple, la culture vivrière a toujours existée mais la plupart des agriculteurs n’a pas suffisamment assez de provision pour une année.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET
SECTION 1 : DESCRIPTION DU PROJET
1.1. Généralité de l’agriculture à Madagascar
1.2. Définitions du projet
SECTION 2 : CARACTERISTIQUES DU PROJET
2.1. Mission, intérêt et statut juridique du projet
2.1.1. Mission
2.1.2. Intérêts
2.1.3. Statut juridique du projet
2.2. Analyse du projet
SECTION 3 : LE LIEU D’IMPLANTATION
3.1. Historique
3.2. Situation géographique et délimitation administrative :
3.3. Démographie
CHAPITRE II : ETUDE DU MARCHE
SECTION 1. ANALYSE DU MARCHE
1.1.1. Marché visé
1.1.2. Evolution du marché
1.2.1. Analyse de la demande
1.2.2Analyse de l’offre
SECTION 2 : PRESENTATION DE LA PART DU MARCHE
2.1. Définition
2.2. Part du marché couvert par le projet
2.3. Analyse de la part du marché
2.3.1. Le marché réel
2.3.2. Le marché potentiel
SECTION 3: CHOIX DE LA STRATEGIE MARKETING
3.1. La politique de marketing Mix
3.2. Stratégie de commercialisation
3.2.1. Stratégie PUSH
3.2.2. Stratégie PULL
CHAPITRE III : THEORIE GENERALE SUR LES CRITERES D’EVALUATION D’UN PROJET
SECTION 1 : VALEUR ACTUELLE NETTE (VAN) ET TAUX DE LA RENTABILITE INTERNE (TRI)
1.1.1. Définition
1.1.2. Formule
1.1.3. Interprétation
1.2. TAUX DE LA RENTABILITE INTERNE (TRI)
1.2.1. Définition
1.2.2. Formule
SECTION 2 : LA RECUPERATION DES INVESTISSEMENTS ET LA ROFITABILITE
2.1.1. Définition
2.1.2. Formule
2.2. INDICE DE PROFITABILITE (IP)
2.2.1. Définition
2.2.2. Formule
2.2.3. Interprétation
SECTION 3 : PRINCIPAUX CRITERES D’EVALUATION DE PROJET
3.1. La pertinence
3.2. L’efficience
3.3. L’efficacité
3.4. La durabilité ou viabilité
3.5. L’impact
CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE II: CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : TECHNIQUE DE REALISATION
SECTION 1 : LES PROCEDES DE SPECIALISATION DE L’ACTIVITE
1.1. La spécialisation
1.2. Les voies de spécialisation
SECTION 2 : TECHNIQUE DE PRODUCTION
2.1. Les produits et les prestations offerts
2.2. Le processus de production
SECTION 3 : LES MOYENS DE PRODUCTION
3.1. Les ressources humaines
3.2. Les ressources financières
3.3. Les moyens matériels
CHAPITRE II : LE CHIFFRE D’AFFAIRE
SECTION 1 : LA CAPACITE D’ACCEUIL
1.1. Production envisagée pour la première année
SECTION 2 : PLANNING DE VENTE
2.1. Planning de production
2.2. Chiffre d’affaire prévisionnel
SECTION 3 : LA CONSOMMATION DE MATIERES PREMIERES
3.1. Dépenses en matières consommables
CHAPITRE III : L’ETUDE ORGANISATIONNELLE
SECTION 1 : ORGANIGRAMME
SECTION 2 : ORGANISATION ADMINISTRATIVE
2.1. Statut juridique de la société :
2.2. Organisation fonctionnelle
2.2.1. Le gérant
2.2.2. La secrétaire comptable
2.2.3. Les techniciens
2.2.4. Le magasinier
2.3. Qualification du personnel
2.4. Gestion du personnel
2.4.1. Politique de rémunération
2.4.2. Politique de formation du personnel
SECTION 3 : LA MOTIVATION
3.1. Définition
3.3. Système de motivation
3.4. L’identification des besoins
CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE II: CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : LES INVESTISSEMENTS ET LES COMPTES DE GESTIONS
SECTION 1 : NATURE ET COUTS DES INVESTISSEMENTS
1.1.3. Fonds de roulement
1.2. FINANCEMENT DU PROJET
SECTION 2: LES DETTES DU PROJET
2.1. REMBOURSEMENT DES DETTES
SECTION 3: COMPTE DE GESTION
3.1. Les comptes des charges
3.2. Récapitulation des charges
3.3. Les comptes des produits
CHAPITRE II : ANALYSE DE LA RENTABILITE ET ETUDE DE FAISABILITE DU ROJET
SECTION 1 : COMPTE DE RESULTAT ET BILAN DU PROJET
1.1. Comptes de résultats prévisionnels
SECTION 2 : BILAN PREVISIONNEL
CHAPITRE III : EVALUATION ET IMPACT DU PROJET
SECTION 1 : EVALUATION DU PROJET
1.1. EVALUATION ECONOMIQUE
1.1.1. Notion de la valeur ajoutée
1.1.2. Projection de la valeur ajoutée
1.1.3. Contribution aux finances publiques
1.2. EVALUATION FINANCIERE DU PROJET
1.2.1. Calcul de la valeur actuelle nette
1.2.2. Le taux de la rentabilité interne (TRI)
1.2.3. Le délai de récupération des capitaux investis ( DRCI )
1.2.4. Indice de profitabilité (IP)
SECTION 2 : EVALUATION SELON LES CRITERES DE GESTION
2.1. La pertinence
2.2. L’efficience
2.3. La durée de vie
2.4. L’efficacité
2.5. L’impact
SECTION 3 : IMPACTS DU PROJET
3.1.1. La création d’emploi
3.1.2. Contribution au développement régional
3.2. PERSPECTIVES D’AVENIR
3.3. CADRE LOGIQUE DU PROJET
Définition de la cadre logique
CONCLUSION PARTIELLE
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
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