Chemical characterization by DRIFTS

Chemical characterization by DRIFTS

La forêt couvre près de 50% de la superficie du Québec (1 513 100 km\ Cette forte proportion accorde à l’industrie de la transformation du bois une grande importance. Cette industrie est un véritable moteur pour l’économie québécoise et constitue une présence vitale dans 250 municipalités. Avec un territoire forestier productif de 42 millions d’hectares, dont 84% sont de propriété publique, le secteur des produits forestiers du Québec représente à lui seul en 2011 quelque 94000 emplois directs (Barré et Rioux 20 12).

La récolte concerne essentiellement les résineux notamment le groupe de SEPM (sapins, épinettes, pins et mélèzes). Ces dernières années et suite à une baisse de 20% de la possibilité forestière du groupe SPEM, en raison d’une surévaluation antérieure des stocks de bois et des capacités de régénération des zones coupées, l’industrie forestière québécoise a été confrontée à un problème d’approvisionnement en bois de sorte qu’une alternative doit être trouvée pour pallier à cette déficience. Aujourd’hui, l’industrie s’approvisionne en bois résineux de plus en plus vers le nord de la province et avec de s coûts plus élevés. À court et moyen termes, cette industrie risque de faire face à une pénurie de matière ligneuse, en particulier celle du groupe SEPM.

Afin d’augmenter cet approvisionnement en bois, on pourrait envisager d’exploiter des essences actuellement sous-utilisées (Janowiak et al., 1997; Herawati et al. , 2010; Paré et al., 2011). L’avancement et la croissance rapide des industries de composites ajoutent beaucoup à la possibilité d’exploitation d’essences sous-utilisées (Kim et al. , 2009). En effet, plusieurs espèces qui étaient jugées indésirables auparavant sont maintenant réclamées afm de combler l’ approvisionnement réduit des essences plus désirées (Fabiyi et al., 2011). On doit donc à la fois diversifier les sources d’approvisionnement en matières premières lignocellulosiques pour qu’elles puissent couvrir l’ensemble des ressources sous-valorisées et aussi mieux utiliser la matière ligneuse en valorisant les résidus lignocellulosiques (Gassan et Bledzki, 1999).

Dans ce contexte, l’acquisition de nouvelles connaissances sur d’autres essences potentiellement utilisables par l’industrie permettrait i) de réduire la pression sur les espèces traditionnelles (SEPM), ii) de favoriser la reconstitution des stocks de ces espèces et iii) de maintenir le rôle de la forêt dans l’économie. Parmi ces essences, le thuya occidental (Thuja occidentalis L.) offre beaucoup d’opportunité dans la deuxième et la troisième transformation, notamment pour les produits forestiers ayant une valeur ajoutée potentielle tels que la production de poteaux, de clôtures, de toitures et de bardeaux (Johnston, 1990). Le bardeau de cèdre, par exemple, constitue le principal produit fait à partir de cette essence. Au Canada, près de 90% des bardeaux sont produits en Colombie-Britannique à partir du cèdre de l’Ouest (Thuja plicata). Le reste est fabriqué à partir du thuya occidental, dont environ 75% au Québec (Donaldson, 2007). Une diminution importante des approvisionnements en cèdre de l’Ouest est prévue au cours des prochaines années (Donaldson, 2007). Elle devrait inciter l’industrie québécoise à mieux valoriser le bois du thuya occidental et à prévoir l’utilisation de cette essence dans les régions où la disponibilité le permet, dont l’Outaouais et l’Abitibi-Témiscamingue, en particulier.

Thuya occidental (Thuja occidentalis L.) 

Biologie, distribution géographique et écologie 

Le genre Thuja compte six espèces dans le monde et est originaire d’Amérique du Nord et d’Asie. Deux espèces sont indigènes au Canada: Thuja occidentalis L. (thuya occidental) et Thuja plicata (cèdre de l’Ouest). Le Thuja occidentalis L. fait partie de la famille des Cyprès (Cupressacée) et non de la famille des Pins (Pinacée) comme les autres conifères du Canada. On attribue au thuya occidental de nombreux autres noms communs, dont le thuya de l’Est ou le cèdre blanc qui sont les plus connus.

Caractéristiques de l’arbre
Le thuya occidental est un arbre résineux, au feuillage persistant et aromatique. Il est caractérisé par une écorce fibreuse, de couleur brun rougeâtre au stade juvénile qui devient grisâtre et séparée en longues lanières étroites avec l’âge (Figure 1.1a). Son tronc présente un défilement marqué, est souvent penché à la base, puis se redresse ensuite (Figure 1.1a). Quand le sol est plus pauvre, il se divise fréquemment en deux troncs secondaires de taille égale (Figure 1.1 b ). Chez les arbres poussant en croissance libre, la cime est longue, étroite, dense, de forme conique à élancée, à aspect bien régulier. Toutefois, la cime est irrégulière et clairsemée, laissant voir le tronc chez ceux poussant en forêt .

Reproduction et développement
Le thuya occidental se régénère par reproduction sexuée et asexuée (Fowells 1965; Johnston 1990). Il commence à produire des cônes vers 6 ans, mais la production massive de graines ne débute qu’à partir de l’âge de 30 ans (Fowells 1965). C’est une espèce monoïque (Fowells 1965), la floraison s’effectue au printemps, les fleurs femelles ont une couleur jaune brun alors que les fleurs mâles sont rouge foncé et elles sont visibles sur la partie terminale des feuilles (Figure 1.3a). Les cônes à graines sont ovoïdes, vert jaunâtre (Figure 1.3b), et deviennent bruns à maturité (Figure 1.3a). Ils sont dressés, portés par un pédoncule courbé et formés de 4 à 5 paires d’ écailles coriaces qui, en s’ouvrant, libèrent 1 à 3 graines ailées (Fowells 1965).

Croissance et rendement
Le thuya occidental est un arbre qui pousse lentement. À l’ âge adulte (30 ans et plus), le thuya occidental fait de 13 à 24 rn de hauteur et de 20 à 62 cm de diamètre à hauteur de poitrine (Annexe A). Dans des conditions favorables, l’arbre peut atteindre une hauteur considérable (32 à 52 rn) et un diamètre très important (120 à 150 cm) (Johnston 1990; Koubaa et Zhang 2008). À 50 ans, il peut atteindre 26 rn de hauteur et 27 cm de diamètre dans les bonnes stations, mais seulement 6 rn de hauteur et 7,5 cm de diamètre ou moins dans les mauvaises stations (Annexe A). Selon l’âge de l’arbre, l’épaisseur de son écorce varie de 4,5 à 9,5 mm.

Distribution géographique
Le thuya occidental est distribué sur un vaste territoire, couvrant le sud-est du Canada et le nord adj acent des États-Unis (Figure 1.4a). Au sud-ouest, son territoire s’étend en Nouve lle-Écosse, dans l’Île-du-Prince-Édouard, au Nouveau-Brunswick, sur la péninsule de la Gaspésie au Québec et sur l’île d’ Anticosti dans le golfe du Saint-Laurent; à l’ouest, dans le nord de l’Ontario et le sud- est du Manitoba; au sud, dans le sud- est du Minnesota et le nord de l’Illinois; et à l’est, dans l’extrême nordouest de l’Indiana, au Michigan et en Nouvelle-Angleterre (Johnston 1990; Johnston et Hyvarinen 1979; Koubaa et Zhang 2008; Little 1979).

Exigences écologiques: climat, sol et association Généralement, le thuya occidental se développe dans un climat relativement humide. La précipitation annuelle s’étend de 710 à 1170 mm, les extrêmes sont d’environ 510 mm à la limite nordique et 1400 mm dans les Appalaches méridionaux (Johnston et Hyvarinen 1979). Dans son aire de répartition, les températures sont souvent fraîches pendant la saison de croissance modérément courte. La limite nordique de la gamme se prolonge à la transition de forêt-toundra (zone subarctique) au Canada. La limite méridionale a une température annuelle moyenne de 10 oc dans les états de lac et jusqu’à 16 °C dans les Appalaches méridionaux. Les températures moyennes de janvier varient généralement de -12 à 4 oc et celles de juillet de 16 à 22 °C. Pourtant, le thuya occidental peut tolérer des températures très basses de l’ordre de -80 oc à sa limite nordique. Par contre, il est très susceptible au dessèchement hivernal (Sakai et Weiser 1973). Les chutes de neige se chiffrent à environ 100 cm à plus de 380 cm annuellement (Johnston and Hyvarinen 1979), alors que la période moyenne gel varie de 80 à 200 jours (Fowells 1965).

Maladies, insectes et dégâts
Zhang et Koubaa (2008) ont publié une révision exhaustive de la littérature sur les différentes maladies causées par les champignons et les insectes, ainsi que les dégâts qui peuvent s’ensuivre sur le thuya occidental. Les sections suivantes présentent une synthèse de cette révision.

Pratiques sylvicoles
On trouve autant de peuplements de thuyas occidentaux équiennes qu’inéquiennes. Les peuplements équiennes se manifestent dans de grandes trouées marécageuses à la suite de feux ou de coupes à blanc (Bergeron 2000), ou dans des milieux secs abandonnés au sud-est du Canada et dans le Maine où la concurrence n’est pas rude (Curtis 1944). Les peuplements de thuya occidental inéquiennes sont généralement associés aux dernières étapes de la succession, et on les trouve principalement dans les marécages et dans les mauvaises stations où le thuya occidental se reproduit principalement par voie végétative (Bergeron 2000). Ils se forment également là où le thuya occidental succède aux espèces compagnes qui ne tolèrent pas autant l’ombre et qui ne sont pas aussi longévifs (par exemple, le peuplier baumier, le mélèze laricin et l’ épinette noire) (Koubaa et Zhang 2008). Dans les peuplements denses de thuya occidental, le sapin baumier est la principale espèce compagne puisqu’il tolère suffisamment l’ombre pour pousser. De nombreux peuplements ont cependant été ouverts par des coupes ou gravement broutés par le cerf de Virginie. Dans les deux cas, la relève est souvent assurée par le sapin baumier ou par des espèces de marécages, surtout le frêne noir (Johnston 1990).

Disponibilité, utilisation et potentiel du thuya occidental 

Selon les statistiques forestières du Québec, le thuya occidental représente environ 4% du volume marchand brut résineux et 2,6% du volume marchand brut, toutes espèces confondues, de la zone d’inventaire intensif (Tableau 1.1) (MRNF 2009). Le thuya occidental est donc la quatrième espèce résineuse de la province quant au volume.

En Abitibi-Témiscamingue, on trouve majoritairement des peuplements résineux (38%) et mélangés (36%) (MRNF 2009). Selon le MRNF (2008), cette région offre encore beaucoup de possibilités forestières (Tableau 1.2). Une analyse comparative des possibilités forestières et des attributions pour la région montre que pour les résineux, le thuya occidental présente encore des volumes importants (115 900 rn\ Les attributions ne représentent que 20% de sa possibilité forestière. Ce qui nous amène à réfléchir sur l’ importance de l’utilisation de ces volumes surtout dans des produits à valeur ajoutée.

Au Québec, le thuya occidental présente une importance limitée sur le plan économique si on le compare aux principales espèces commerciales qm sont les épinettes, le sapin, les feuillus nobles et les pins. Cependant, les nombreuses qualités de son bois et les multiples u sages potentiels font en sorte qu’il s’agit d’une essence recherchée par l’industrie forestière, particulièrement dans les régions où les volumes disponibles peuvent soutenir sa commercialisation. En raison de sa résistance naturelle aux caries exceptionnellement élevée, le bois du thuya occidental est principalement transformé en bois d’œuvre et utilisé dans des applications telles que des bardeaux, des panneaux, des bateaux, des serres et du mobilier d’extérieur.

Le bois: formation, qualité et complexité

Formation du bois

D’un point de vue biologique, le bois est un ensemble de tissus cellulaires, de consistance plus ou moins dure, formant la masse principale du tronc des arbres (Panshin et De Zeeuw 1980). Les tissus de bois sont constitués de cellules issues par divisions de l’assise génératrice libéro-ligneuse ou cambium (Fahn 1995; Ghouse et Hashmi 1983). C’est le fonctionnement de cette assise qui permet la croissance en diamètre de l’arbre (Fromm 2013). Les cellules cambiales donnent naissance, par division centrifuge, aux cellules du liber (phloème) et par division centripète, aux cellules du bois (xylème). Les couches de cellules les plus jeunes, c’est-à-dire les plus proches du cambium, forment le bois d’aubier (ou bois fonctionnel) (Fromm 2013). Les plus âgées situées dans la région interne constituent le duramen (ou bois de cœur), qui se forme à partir de l’aubier par la mort des cellules et l’accumulation de substances extractibles. Il existe évidemment une zone de bois intermédiaire entre le duramen et l’aubier (Panshin et De Zeeuw 1980).

Qualité du bois 

Il s’avère difficile, à priori, de définir précisément la qualité du bois puisqu’il s’agit d’une notion assez vaste, faisant intervenir de nombreux aspects. On peut cependant, retenir celle de Joza et Middleton (1994), qui définissent la qualité du bois comme étant «son aptitude à être utilisée pour un usage précis ». Cela dit, chaque caractéristique du bois contribue à sa qualité en fonction de l’application qu’on peut lui associer. Par conséquent, et bien qu’il soit parfois difficile de cerner le concept de qualité, plusieurs critères déterminent son aptitude à satisfaire les exigences d’une utilisation donnée. Certains sont liés à la structure même du bois (anatomie, chimie) et d’autres à l’expression des facteurs intrinsèques (c’est-à-dire, la morphologie des trachéides et les propriétés physiques et mécaniques). Toutefois, de nombreuses caractéristiques du bois sont héréditaires (Zhang et Morgenstern 1996), mais souvent contrôlées par les conditions de croissance de l’arbre (Taylor et al. 2006; Timell 1957; Zobel et Van Buijtenen 1989). Par ailleurs, les facteurs déterminants de la qualité du bois dépendent des variations internes dans l’arbre, dues à son caractère anisotrope qui est lié à la diversité des tissus et à leurs réponses aux changements des conditions extérieures (Zobel et Van Buijtenen 1989).

Particularité du matériau bois 

Étant donné son ongme biologique, le bois est anisotrope, hétérogène, hygroscopique, instable dimensionnellement et dégradable (Panshin et De Zeeuw 1980). Cette variabilité rend l’utilisation du bois plus complexe. Les principales caractéristiques du matériau bois sont :
• Matériau anisotrope
Les propriétés du bois varient selon la direction considérée. En effet, le bois est orthotrope et peut être défini par trois directions principales (longitudinale, radiale et tangentielle) ainsi que par trois plans ligneux qui désignent l’arrangement relatif des cellules : le plan transversal perpendiculaire à l’axe de la tige; le plan radial passant au centre de la tige et tangent aux cernes de croissance et le plan tangentiel parallèle aux cernes de croissance de la tige (Panshin et De Zeeuw 1980).
• Matériau hygroscopique
Le bois adsorbe et désorbe de l’eau en fonction de l’humidité relative et de la température de l’air qui l’entoure. Ce facteur influence ses dimensions et ses propriétés mécaniques. La stabilité dimensionnelle du bois est un facteur important lors de son utilisation (Panshin et De Zeeuw 1980). Un bois stable présente de faibles changements dimensionnels dans des conditions de variation de l’humidité et une faible tendance à se déformer. La stabilité dimensionnelle du bois augmente également sa résistance à la biodégradation. Le thuya occidental est connu pour sa très haute stabilité dimensionnelle et le bois sec ne bouge que très peu au cours du temps. La présence des extractibles confère à cette essence une meilleure stabilité dimensionnelle et augmente sa résistance à la biodégradation (Panshin et De Zeeuw 1980). Les changements de dimensions de cette essence dans les sens radial (0,001) et tangentiel (0,0023) figurent parmi les plus bas des résineux de l’est (Koubaa et Zhang 2008).
• Matériau hétérogène
Le bois est un matériau complexe comparativement aux matières synthétiques comme les plastiques ou les métaux. La structure du bois des conifères est relativement simple, uniforme, et régulière. Seulement, deux types de cellules forment le plan ligneux de celui-ci : les trachéides, qui représentent 90% de l’ensemble de cellules de bois, et les cellules parenchymes (Panshin et De Zeeuw 1980). Étant donné que le bois des résineux ne contient pas des éléments de conduction spécifiques, les trachéides remplissent le double rôle de conduction verticale de la sève brute et de soutien mécanique de la structure. Les parenchymes assurent la répartition et l’emmagasinement des substances nutritives (Core et al. 1979; Panshin et De Zeeuw 1980). La Figure 1.6 illustre d’une manière simple le bois de résineux à différents niveaux d’observation : les tissus, la cellule et la paroi cellulaire.

CONCLUSION

Le potentiel du bois du Thuja occidentalis L. a été étudié, en particulier les variations intra-arbres, intrasites et intersites des attributs de la qualité du bois du thuya occidental ainsi que l’impact de la présence de la carie sur ses caractéristiques. Des études de densitomètre à rayons X, d’analyse de la qualité de la fibre, de caractérisation anatomique par la microscopie électronique à balayage, de détermination de la composition chimique par des méthodes conventionnelles et la spectroscopie infrarouge à transformée de Fourier, couplée à la technique de réflectance diffuse et de caractérisation de propriétés mécaniques du bois ont été réalisées.

 

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Table des matières

INTRODUCTION GÉNÉRALE 
CHAPITRE I REVUE DE LITTÉRATURE 
1.1 Thuya occidental (Thuja occidentalis L.)
1.1.1 Biologie, distribution géographique et écologie
1.1.1.1 Caractéristiques de 1 ‘arbre
1.1.1.2 Reproduction et développement
1.1.1.3 Croissance et rendement.
1.1.1. 4 Distribution géographique
1.1.1.5 Exigences écologiques: climat, sol et association
1.1.1.6 Maladies, insectes et dégâts
1.1.1. 7 Pratiques sylvicoles
1.1.2 Disponibilité, utilisation et potentiel du thuya occidental
1.2 Le bois: formation, qualité et complexité
1.2.1 Formation du bois
1.2.2 Qualité du bois
1. 2. 3 Particularité du matériau ho is
1.2.4 Structure cellulaire des trachéides
1.2.5 Composition chimique du bois
1.2.5.1 Cellulose
1.2.5.2 Hémicellulose
1.2.5.3 Lignine
1.2.5.4 Les substances extractibles
1.2.5.5 Répartition des constituants chimiques et orientation des microfibrilles
dans les parois cellulaires
1.2.6 Propriétés chimiques, physiques et mécaniques du bois du thuya
occidental
1.2.6.1 Composition chimique du bois du thuya occidental
1.2.6.2 Propriétés physiques et mécaniques du bois du thuya occidental
1.3 Facteurs de variation de la qualité du bois
1.3 .1 Variations génétique et environnementale de la qualité du bois
1.3.1.1 Notion de phénotype
1. 3.1. 2 Variation phénotypique de la qualité du bois
1.3.2 Variations intra-arbre des propriétés du bois
1.3.2.1 Variation intraceme
1.3.2.2 Variation radiale
1.3.2.3 Variation longitudinale
1.3.2.4 Relation entre croissance et propriétés du bois
1.4 Durabilité naturelle du bois
1.4.1 Définition de la durabilité
1.4.2 Notion de duraminisation
1.4.3 Aubier/duramen: propriété, fonction et variation
1.4.4 Rôle des extractibles dans la protection naturelle
1.4.5. La pourriture cubique brune: causes et conséquences
1. 4. 5.1 Caractéristiques de la pourriture cubique brune
1.4. 5. 2 Conditions générales de développement
1.4.5.3 Conséquences sur la composition chimique du bois dégradé
1.4.5.4 Conséquences sur la structure cellulaire du bois dégradé
1.4.5.5 Conséquences de la carie sur les propriétés physiques et mécaniques
du bois
1.5 Objectifs et hypothèses du présent travail
1. 5.1 Objectifs généraux
1.5.2 Objectifs spécifiques
1.5.2 Hypothèses de recherche
CHAPITRE II MATÉRIEL ET MÉTHODES 
2.1 Matériel
2.1.1 Choix et localisation des sites expérimentaux
2.1.2 Analyse pédologique
2.1.2.1 Mesure du pH
2.1.2.2 Mesure de l’humidité du sol
2.1.2.3 Détermination des teneurs en carbone total et en azote
2.1.2.4 Analyse du phosphore
2.1.2. 5 Analyse granulométrique
2.1.3 Échantillonnage
2.2 Méthodologie
2.2.1 Caractérisation des propriétés physiques
2.2.1.1 Largeur et masse volumique des cernes
2.2.1.1.1 Préparation et extraction des échantillons
2.2.1.1.2 Mesure de la largeur et de la masse volumique des cernes par le
densitomètre à rayons X
2.2.1.2 Mesure des proportions du duramen, de l’aubier et de la carie
2.2.2 Caractérisation de la qualité des fibres
2. 2.2.1 Préparation des échantillons
2.2.2.2 Mesure de la morphologie des fibres par l’analyseur de la qualité des
fibres (FQA)
2.2.3 Caractérisation de la structure anatomique par la microscopie
électronique à balayage
2.2.4 Caractérisation des propriétés chimiques
2. 2.4.1 Préparation des échantillons
2.2.4.2 Analyses chimiques conventionnelles
2.2.4.2.1 Taux de lignine
2.2.4.2.2 Taux de cellulose
2.2.4.2.3 Taux des hémicelluloses
2.2.4.2.4 Taux des extractibles
2.2.4.2.5 Composition en carbohydrates
2.2.4.3 La spectroscopie infrarouge à transformée de Fourier (FTIR)
2.2.4.3.1 Principe
2.2.4.3.2 Mesure
2.2. 5 Caractérisation des propriétés mécaniques
2. 2. 5.1 Préparation des éprouvettes pour les tests mécaniques
2.2.5.2 Mesure des propriétés mécaniques
2. 2. 5. 2.1 Test de flexion à trois points
2.2.5.2.2 Test de compression parallèle au fil
2.2.5.2.3 Test de compression perpendiculaire au fil
2.2.5.2.4 Test de dureté
2.2. 6 Analyses statistiques des données
CHAPITRE III VARIATION IN RING WIDTH, RING DENSITY, AND TRACHEID PROPERTIES IN THUJA OCCIDENTALIS L
3.1 Abstract
3.2 Résumé
3.3 Introduction
3.4 Material and Methods
3.4.1 Study materia1
3.4.2 Ring width and wood density measurement
3.4.3 Measurement oftracheid properties
3.4.4 Statistical analysis
3.5 Results and Discussion
3. 5.1 Characteristics of eastern white ce dar wood
3.5.2 Radial variation in ring density, ring width, and tracheid morphological
properties
3.5.3 Longitudinal variation in ring density, ring width, and tracheid
morphological properties
3.5.4 Wood property interrelationships
3.6 Conclusions
3.7 Acknowledgements
CHAPITRE IV  INTER-SITE AND INTRA-SITE VARIATIONS OF RING WIDTH AND DENSITY COMPONENTS IN EASTERN WHITE CEDAR (THUJA OCCIDENT ALIS L.) 
4.1 Abstract
4.2 Résumé
4.3 Introduction
4.4 Material and methods
4.4.1 Study material
4.4.2 Collection and preparation ofwood samples
4.4.3 Ring-width and wood density measurements
4.4.4 Statistical analysis
4.5 Results and discussion
4.5.1 EWC wood density in Abitibi-Témiscamingue
4. 5.2 Regional variation of ring width and ring density
4.5.3 Inter-site, intra-site and with cambial age variations of ring width and
ring density components
4.6 Conclusions
4.7 ACKNOWLEDGEMENTS
CHAPITRE V  ARIA TI ON OF BROWN ROT DECA Y IN EASTERN WHITE CEDAR (THUJA OCCIDENTALIS L.) 
5.1 Summary
5.2 Résumé
5.3 Introduction
5.4 Material and Methods
5.4.1 Study material.
5.4.2 Statistical analysis
5.5 Results and Discussion
5.5.1 Macroscopic structure of sound and brown rot decayed wood
5.5.2 Microscopie structure of sound and decayed heartwood
5.5.3 Variations in sapwood, heartwood, and decay
5.5.4 Heartwood, sapwood, age, and brown rot decay correlations
5.6 Practical Implications
5. 7 Conclusions
5. 8 Acknowledgements
CHAPITRE VI EFFECTS OF BIODEGRADATION BY BROWN-ROT DECAY ON SELECTED WOOD PROPERTIES IN EASTERN WHITE CEDAR (THUJA OCCIDENTALIS L.) 
6.1 Abstract
6.2 Résumé
6.3 Introduction
6.4 Material and Methods
6.4.1 Study material.
6.4. 2 Wood density measurement
6.4. 3 Decay classification
6.4.4 Scanning electron microscopy (SEM) analysis
6.4. 5 Chemical analysis
6.4.6 Wood mechanical properties measurement
6.4. 7 Statistical analysis
6.5 Results
6. 5.1 Microscopie structure of sound and decayed heartwood
6.5.2 Effect ofbrown-rot decay on ring density
6.5.3 Effect of brown-rot decay on the chemical composition of
heartwood
6. 5.4 Effect of brown-rot de ca y on wood mechanical properties
6. 5. 5 Impact of che mie al changes on mechanical properties
6.6 Discussion
6.6.1 Decayed wood structure
6.6.2 Changes in physical, chemical, and mechanical properties
6.6.3 Re lationships between chemical changes and mechanical properties due
to decay
6.7 Conclusions
6.8 Acknowledgments
CHAPITRE VII CHEMICAL PROPERTIES OF SOUND AND DECAYED HEARTWOOD OF EASTERN WHITE CEDAR (THUJA OCCIDENTALIS L.) 
7.1 Abstract
7.2 Résumé
7.3 Introduction
7.4 Material and methods
7.4.1 Study material
7.4.2 Wood density measurements
7.4.3 Chemical analysis
7.4.4 DRIFTS experiments
7.5 Results and discussion
7.5.1 Changes in chemical composition of heartwood usmg conventional
methods
7.5.2 Chemical characterization by DRIFTS
7.6 Conclusions
CONCLUSION GÉNÉRALE

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