La description d’une automobile ou d’un véhicule à moteur
En général, l’automobile est la combinaison de deux mots : auto et mobile ; Elle est un véhicule qui se déplace sur la route par ses propres moyens en utilisant généralement l’énergie combustible. Pour la description d’une automobile, elle est composée de la carrosserie qui renferme les protèges, les passagers ou les marchandises.
– du moteur qui fournit l’énergie mécanique
– de la transmission qui a pour rôle de communiquer cette énergie aux roues motrices.
– des roues qui prennent appuis sur le sol et permettent au véhicule de se déplacer.
– de la suspension qui absorbe les chocs dus aux inégalités de la route et transmis par les roues.
– de la direction qui permet d’agir sur les roues pour que le véhicule suive le profil de la route.
– du système de freinage qui permet d’arrêter rapidement le véhicule sur une distance déterminée.
– de l’équipement électrique qui est indispensable pour le fonctionnement du moteur, l’éclairage et la commande des divers accessoires.
– du châssis qui constitue l’ossature du véhicule, lequel supporte et rassemble les différentes parties.
Les buts et les intérêts du projet
Le but de ce projet sera de réduire le nombre des véhicules en panne le long des rues dans la ville d’Antananarivo. Il est évident alors que les trottoirs seront squatte par ces véhicules, ceux qui poussent les piétons vers la chaussée, avec les risques que cela comporte. De plus, quand ce projet sera établi, presque les voitures de la ville seront bien entretenues. Cette disposition résoudra le problème d’embouteillage qui sera généré éventuellement par l’arrêt fréquent des voitures sur les endroits parfois interdits. Quant aux intérêts de ce projet, il augmenterait les taxes au niveau de la commune urbaine d’Antananarivo. L’existence de ce centre accroîtrait aussi le nombre des opérateurs économiques puisque la ville d’Antananarivo serait au même titre que d’autres villes étrangères suite aux actions menées pour le développement. Enfin, la réalisation de ce projet pourra aboutir à la création d’emploi pour les jeunes actifs et les promoteurs du présent projet bénéficieront davantage financièrement en analysant ses outils d’évaluation.
Le moteur
Le moteur est le groupe d’organe qui fournit l’énergie mécanique nécessaire à la marche du véhicule. On utilise la détente des gaz portés à haute température et à haute pression par la combustion d’un carburant dans l’ensemble de l’air comprimé. Les moteurs de l’automobile font partie des moteurs à combustion interne : les réactions chimiques de combustion interne : les réactions chimiques du combustible et de l’air ainsi que la transformation de l’énergie produite en travail, ont lieu au sein d’un même organe selon la manière dont le mélange combustible est réalisé. On distingue deux types de moteur :
-les moteurs à explosion (essence) qui exigent un carburateur.
-les moteurs diesel qui sont alimentés en combustible par injection.
L’évolution des gaz de combustion peut s’effectuer avec plus ou moins de rapidité, ce qui conduit à deux (02) classifications :
a)les moteurs à deux temps
b) les moteurs à quatre temps.
La capacité du mécanicien à l’embrayage
Au démarrage du véhicule, lorsque la pédale est ramenée à sa position embrayée, des à coups se manifestent. En dehors d’un manque d’habilité du conducteur, le mécanicien réparateur pourra penser au mauvais état du mécanisme : soit le broutement, soit le patinage, soit l’adhérence après débrayage. Pour le broutement, ce phénomène est dû à la :
-pression d’application des surfaces de friction mal repartie ou trop élevée à cause des ressorts non conformes ;
-défaut de parallélisme des surfaces de friction :
*mauvais réglage des leviers ou doigts
*fourchette d’embrayage faussée
*déformation du plateau presseur
*jeu anormal dans des cannelures de l’arbre ou la liaison avec la toile du disque
-usure irrégulière des garnitures ou disque voilé ;
-défaut d’alignement de l’arbre primaire par mauvaise fixation de la boite de vitesse.
-taux de travail sanitaire trop élevé :
*garniture non conforme
*surcharge du véhicule, trop grand côté, frein de stationnement serré.
Pour le patinage, au démarrage, la pédale d’embrayage étant relâchée, le véhicule n’avance pas proportionnellement à l’accroissement de la vitesse du moteur. Le véhicule ne reprend pas son allure normale. Les patinages sont dus à des fréquentes utilisations de l’embrayage qui produisent un échauffement dont les raisons sont les suivantes :
– jeu de garde à la pédale inexistant ou insuffisant,
– levier faussé ou mal réglé.
– ressort trop faible ou déformé
– garniture grasse ou usée
– plateau presseur déformé ou coincé.
Le pied du conducteur-mécanicien ne doit jamais reposer sur la pédale de débrayage en dehors des manœuvres. Cette pratique contribue à mettre rapidement l’embrayage hors d’usage par manque d’adhérence. Pour l’adhérence après débrayage, bien qu’une action soit exercée sur la pédale pour débrayer, la manœuvre du levier de changement de vitesse est difficile, sinon impossible. Des bruits caractéristiques se font entendre :
– jeu de garde trop important ou fourchette déterminée
-éléments d’assemblage déchiré ou rompu
-levier mal réglé ou accidenté.
-carter d’embrayage mal fixé ou fondu
-mauvais alignement de l’arbre primaire
-parfois, garniture humide restant en contact permanent sur le volant
D’après ces incidents de fonctionnement, le mécanicien du centre mettra en exergue sa capacité aux travaux de réparation sur le disque, les ressorts et les plateaux.
a) Le disque : Tout disque voilé ou ayant les garnitures arrachées, grasses, rayées ou fondement rayé est à remplacer. L’amortissement de la vibration doit comporter des ressorts en bon état ainsi que les rondelles qui assurent leur logement. On doit s’assurer également de la qualité du rivetage, et de la valeur du jeu des cannelures ; Lors que les garnitures sont à remplacer, il est préférable de procéder à un échange standard du disque.
b) Les ressorts : Les faces d’appuis des ressorts doivent être parallèles et les spirales doivent être régulières. Le fil du ressort doit être aussi lisse que possible, sans crique, ni rouille, ni rayures profondes qui peuvent provoquer des amorces de rupture. On procède enfin au barrage pour éliminer les ressorts affaiblis.
c) les plateaux : On vérifie les états de surface des glaces, la position en retrait des têtes de guide par rapport à la glace, et la régularité de l’épaisseur du plateau. La rectification des plateaux se fait au tour ou à la rectifieuse. Il ne faut pas enlever plus de 5 à 10 % de l’épaisseur d’origine afin de ne pas affaiblir dangereusement la résistance des organes.
L’acquisition des investissements en nature
Le centre aura acquit des investissements en nature lesquels seront destinés pour l’implantation du projet et pour leur construction. Ainsi, nous avons alors deux sortes de bâtiments dont l’un pour l’administration (Gérant, Secrétaire comptable, …) et l’autre pour le magasin de stockage des matériels d’exploitation utilisée et celui du gardien. La surface nécessaire pour la construction de ces bâtiments serait au total de 2 500 m². Pour l’acquisition des matériels d ‘exploitation, on citera deux ( 02 ) types des matériels à savoir les matériels et mobiliers de bureau pour l’administration et les matériels d’exploitation du centre notamment le pompe à air pour le gonflage pneumatique, les matériels de lavage, un poste de soudure… Mise à part le terrain, ces matériels sont amortissables suivant leur durée de vie respective.
Les aspects qualitatifs
Pour la vente de prestation de service, ces aspects qualitatifs représentent la réussite du projet au moyen de la satisfaction de nos clients. Nous rendrons alors deux genres de services : entretenir et assurer le gardiennage de biens des personnes en lui donnant une satisfaction pour une meilleure réception et la qualité de service. Pour la formation, c’est la compétitivité de nos stagiaires de réparer et entretenir n’importe quelles pannes sur une voiture. Notre but sera de rehausser l’image de marque de notre centre au moyen de la qualité des services rendus et la capacité de servir de nos élèves stagiaire.A Antananarivo ville, il vaut mieux implanter des panneaux publicitaires pour lancer notre centre pour que les clients ne rencontrent pas de difficulté pour le trouver.
Les différentes sortes d’organisation
Au sein d’une entreprise, nous rencontrons trois sortes d’organisation telles que l’organisation stratégique, l’organisation politique et l’organisation opérationnelle.
– Pour l’organisation stratégique, c’est le poste de direction qui doit surmonter ses connaissances face à ses directives. Sur ce point, toute information venant du poste de gestion devra lui être transformée en décision. L’organisation stratégique n’en concerne que l’aspect et le pivot d’une entreprise.
– Pour l’organisation politique, elle est le centre de tout flux d’information et de décision. Elle est réservée pour le gestionnaire qui élucidera la synthèse de fonction administrative de l’entreprise. Elle poussera le dirigeant à prendre une décision.
– Pour l’organisation statique ou opérationnelle, les exécutants ou les équipes sur terrain fourniront, analyseront et donneront des informations primaires envers ses fonctions. Ainsi, ils transmettront ces informations au poste de gestion. De même, l’organisation opérationnelle est aussi l’objet d’une telle décision venant de l’organisation stratégique car, à partir de l’organisation opérationnelle, on pourra modifier la situation d’une entreprise.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : LA DESCRIPTION DU PROJET
SECTION 1 : LA PRESENTATION DU PROJET
1.1 – La description d’une automobile ou d’un véhicule à moteur
1.2 – La nécessité d’une automobile dans la vie quotidienne
1.3- Le choix du cible ou du créneau
SECTION 2 : LES CARACTERISTIQUES DU PROJET
2.1 – Les buts et les intérêts du projet
2.2 – La situation juridique du projet
SECTION 3 : LA SITUATION GEOGRAPHIQUES ET DEMOGRAPHIQUE DE LA REGION
3.1- Le choix de la région
3.2- La présentation de la région
CHAPITRE II : L’ETUDE DE MARCHE
SECTION 1 : L’ENVIRONNEMENT GENERAL DU MARCHE
1.1- L’identification du marché à affronter
1.2- L’analyse environnementale du marché
SECTION 2 : ANALYSE DE L’OFFRE
2.1- La situation de l’offre globale
2.2- La situation de l’offre locale
SECTION 3 : ANALYSE DE LA DEMANDE
3.1- La situation de la demande globale
3.2- La situation de la demande locale et les clients cibles
SECTION 4 : L’ANALYSE DE LA CONCURRENCE
4.1- Les concurrents existants
4.2- La part de marché Mécanique
CHAPITRE III: LA THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET LES CRITERES D’EVALUATION
SECTION 1: LA THEORIE D’EVALUATION SELON LES CRITERES
1.1- La pertinence
1.2- L’efficacité
1.3- L’efficience
1.4- La durabilité du projet
1.5- Les impacts du projet
SECTION 2: L A THEORIE D’EVALUATION SELON LES OUTILS
2.1- La Valeur Actuelle Nette
2.1.1- Définition
2.1.2- Formule
2.1.3- Interprétation
2.2-Le Taux de Rentabilité Interne
2.2.1- Définition
2.2.2- Formule
2.2.3- Interprétation
2.3- L’Indice de profitabilité
2.3.1- Définition
2.3.2- Formule
2.3.3- Interprétation
2.4-La Durée de Récupération des Capitaux Investis
2.4.1- Définition
2.4.2- Formule
2.4.3- Interprétation
SECTION 3- LA POLITIQUE ET STRATEGIE DE MARKETING ENVISAGEE
3.1- La politique de marketing mix
a- La politique de produit
b- La politique de prix
c- La politique de distribution et vente
d- La politique de production et de communication
3.1- La stratégie marketing adoptée
a- La stratégie pull
b- La stratégie push
DEUXIEME PARTIE : LA CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : LA TECHNIQUE DE REALISATION
SECTION 1: LES REGLES DE DEMONTAGE ET DE REMONTAGE
1.1- La précaution primordiale des symptômes externes
1.2- Les règles de démontage
1.3- Les règles de remontage
SECTION 2 : LES ACCESSOIRES AUTOMOBILES A REALISER
2.1- Le point d’allumage
2.1.1 – Le contrôle du circuit d’allumage primaire
2.1.2 – Le contrôle du circuit d’allumage secondaire
2.2- Le circuit du graissage
2.2.1 – Les principaux lubrifiants utilisés
2.2.2 – Le rôle du graissage
2.2.3 – Les modes de graissage
2.3 – La situation de refroidissement
2.3.1 – Le refroidissement par air
2.3.2 – Le refroidissement mixte par eau et air
2.4 – Leur freinage
2.5 – Les pneumatiques
CHAPITRE II: LA CAPACITE DE REALISATION
SECTION 1 : LA CAPACITE DU CENTRE EN ENSEMBLE MOBILE
1.1- Le moteur
1.2 – La capacité du mécanicien au carburateur
1.3 – La capacité du mécanicien à l’embrayage
1.4 – La boite de vitesse
1.4.1 –Pour le démontage et révision
1.4.2 – Le réglage après montage
1.5 – La suspension
SECTION 2 : LA CAPACITE D’ACQUISITION ET L’EVALUATION DU CHIFFRE D’AFFAIRES
2.1- L’acquisition des investissements en nature
2.2- L’évolution du chiffre d’affaires
SECTION 3 : LES ASPECTS QUALITATIFS ET QUANTITATIFS
3.1 – Les aspects qualitatifs
3.2 – Les aspects quantitatifs
SECTION 4 : LES DIFFERENTS FACTEURS DE REALISATION
4.1- Les facteurs humains
4.2- Les facteurs matériels
4.3- Les facteurs financiers
CHAPITRE III: L’ETUDE ORGANISATIONNELLE
SECTION 1 : LES SPECIFICITE DEL’ORGANISATION
1.1- Généralité sur l’étude organisationnelle
1.2- Les différentes sortes d’organisation
SECTION 2: L’ORGANIGRAMME ENVISAGE
2.1- La présentation de l’organigramme
2.2- Les différentes fonctions du centre
SECTION 3: LE CHRONOGRAMME
3.1- Les spécificités du chronogramme
3.2- La présentation du chronogramme
TROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : LESCOUTS DES INVESTISSEMENTS
SECTION 1 : LES INVESTISSEMENTS NECESSAIRES
1.1- Les Immobilisations Incorporelles
1.2- Les Immobilisations corporelles
1.2.1- Le terrain
1.2.2- Le coût de construction d’un bâtiment
1.2.3- Les matériels et mobiliers de bureau
1.2.4- Le coût des installations électriques et téléphoniques
1.2.5- Les matériels de transport
1.2.6 – Les matériels d’exploitation
SECTION 2 : L’AMORTISSEMENT DES BIENS
2.1- Les principes d’amortissement
2.2- Tableau d’amortissement des biens
SECTION 3: LE PLAN DE FINANCEMENT
3.1- Le Fonds de Roulement Initial
3.2- La répartition du plan de financement
3.3- Le remboursement des dettes
SECTION 4: LES COMPTES DE GESTION
4.1- Les comptes des produits
4.1.1 – Pour la prestation
4.1.2 – Pour la formation
4.2- Les charges
4.2.1 – Les dotations aux amortissements et prévisions
4.2.2- Les charges externes
4.2.3- Les autres charges d’exploitation
4.2.4- Les fournitures consommables
4.2.5- Les charges salariales
4.2.6 – Les charges sociales et patronales
4.2.7- Les charges financières
4.2.8- Les impôts et taxe
4.2.9 – Les charges de personnel
CHAPITRE II :L’ETUDE DE LA FAISABILITE
SECTION 1: LES COMPTES DE RESULTATS PREVISIONNELS
1.1- Le compte de résultat après charge financière
1.2- Le compte de résultat par nature
1.3- Le compte de résultat par fonction
SECTION 2: LES BILANS PREVISIONNELS
2.1- Le bilan d’ouverture
2.2- Le bilan de clôture
2.3- Les bilans prévisionnels durant les cinq années d’exploitation
2.4 – Le flux de trésorerie directe
2.5 – Le flux de trésorerie indirecte
CHAPITRE III: L’EVALUATION ET IMPACTS DU PROJET
SECTION 1: LES EVALUATIONS ECONOMIQUES
1.1- Les valeurs ajoutées
1.2- Les structures financières
SECTION 2 : LES EVALUATIONS FINACIERES
2.1- Les critères d’évaluation selon les critères du projet
2.1.1- La pertinence
2.1.2- L’efficacité
2.1.3- L’efficience
2.1.4- La durabilité du projet
2.1.5- Les impacts du projet
2.2- Les évaluations selon les outils du projet
2.2.1- La valeur actuelle nette (VAN)
2.2.2- Le Taux de rentabilité interne (TRI)
2.2.3- L’Indice de Profitabilité (IP)
2.2.4- La durée de récupération des capitaux investis (DRCI)
2.2.5- Le seuil de rentabilité
SECTION 3 :LES IMPACTS DU PROJET
3.1- La création d’emploi
3.2- L’amélioration du niveau de vie
3.3- Sur le plan économique
3.4 – Sur le plan socioculturel
3.5- Viabilité du projet
SECTION 4 : LE CADRE LOGIQUE DU PROJET
CONCLUSION GENERALE
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