LES PROPOSITIONS DE SOLUTION AUX PROBLEMES INDENTIFIES
Pour les problèmes financiers
Solution à proposer : Sur l’insuffisance de revenu ou le manque d’épargne causé par les diverses dépenses :
Augmentation des revenus des paysans (en augmentant les prix d’achat d’algue).
Il faut tenir compte du renforcement de l’accès et l’amélioration de l’accessibilité de l’alphabétisation, afin d’assurer la bonne gestion du monde rural par la mise en œuvre de l’utilisation d’une gestion durable des ressources financiers.
Donner des financements externes pour aider les paysans.
Sur le retard de paiement :
Le renforcement de l’objectif du service responsable, pour qu’il améliore le système de paiement lors de la livraison des produits ; Pour que la campagne ne traîne pas ; C’est-à-dire que le paiement des paysans ne doit pas excéder plus d’une semaine.
Promotion des produits de première nécessitée (PPN), des matériels didactiques, des matériels de pêches, des matériels usuels,…
Pour les problèmes naturels :
Solution à proposer : Premièrement, c’est le renforcement de l’utilisation périodique et réglementaire des traitements, par la mise en place de techniques modernes pour éviter l’attaque massive des insectes… Deuxièmement, concernant les dégâts cycloniques, c’est essayer de trouver les meilleurs sites pour les lieux de culture, en évitant d’être trop proche des rivières, des eaux naturelles, des lacs,…
Pour les problèmes sociaux :
Solution à proposer :
le renforcement d’un environnement juridique et réglementaire favorable par l’application d’un système DINA, caractérisé par une amande pour ceux qui commettent des infractions. Le DINA est un système plus rationnel dans un milieu rural, il a un effet de dissuasion en matière de prévention.
renforcement de la politique de sécurité
participation de la population à l’organisation de sa propre sécurité, à travers des plans locaux de sécurité (comité de vigilance).
coordination avec les paysans
formation, apprentissage des techniques modernes aux paysans
convaincre les paysans à consolider leurs solidarités
les populations doivent coopérer avec les gendarmes qui sont les représentants de l’Etat
Renforcement du système KALONE.
LE FINANCEMENT EXTERNE
Financement par des capitaux propres : Il s’agit de financement par emprunt auprès des organismes financiers ou bancaires (BOA Madagascar) ; Cet emprunt peut être à court, moyen et long terme, produisant des intérêts.
Conditions requises par la banque BOA Madagascar : La banque exige que l’emprunteur soit un client favorable ; Elle n’accepte pas de financer si l’entreprise n’a pas :
– de compte de moins de 6 mois,
– un numéro d’identification fiscal,
– un numéro statistique
– une carte professionnelle.
En général, l’agence BOA Toliara exige quatre (4) grandes conditions pour obtenir le crédit de financement:
– La relation bancaire : c’est-à-dire le mouvement de compte ; est-il bien mouvementé ? si oui le financement est possible, si non, on ne peut pas obtenir le financement.
– La connaissance de l’évolution des activités antérieures : À partir des états financiers : des bilans, des comptes de résultat, du plan de financement,….
– La prévision des activités par l’analyse du fond de roulement à fin de considérer l’évolution de la trésorerie du projet pour le futur (ou pour l’année à venir).
– La notion de garantie : la banque BOA n’accepte pas son aide sans notion de garantie ou sûreté ; soit par la garantie personnel, soit par le dépôt de fonds de garantie, soit par la garantie de l’immeuble.
Alors, quelles que soient la notion de garantie réalisée, la banque accepte de financer le projet. Pour notre projet, la seule garantie c’est un terrain qui se trouve à Toliara, il a une superficie de 65ha environ. En outre, la banque exige la moralité, le savoir faire et l’expérience du promoteur en technique et en gestion.
MESURES D’ACCOMPAGNEMENT
Vu la rentabilité de cette activité, deux choses sont demandées à l’Etat ainsi qu’au département ministériel du développement rural :
– La première chose concerne la communication routière : c’est le renforcement et l’amélioration des réseaux de transport, l’amélioration des réseaux (entretien des infrastructures routières), dans le but de faciliter le transport des productions. Un des grands problèmes dans ces zones touchent les infrastructures routières, surtout durant les saisons de pluie.
– La deuxième chose, c’est le renforcement et l’appui des secteurs privés et des ONG, en vue de financier les paysans.
Pour maximiser la rentabilité, il faut que ces deux choses mentionnées ci-dessus ne soient pas négligées, parce que les paysans participent beaucoup à cette activité. Si ces conditions sont réunies, le niveau de vie de la va s’améliorer et se développer normalement, le taux de la pauvreté va réduire suivant les stratégies du DSRP. Pour accroître et garder le maximum de rentabilité de production, il faut améliorer et renforcer les activités nécessaires à l’exploitation par l’application de techniques modernes, le suivi et le contrôle périodique de l’exploitation, et motiver les paysans,… En ce qui concerne les contraintes financiers, c’est-à-dire l’analyse des états financiers, l’entreprise se situe sur deux (2) niveau tels que la solvabilité et la rentabilité. La solvabilité : d’après cette analyse, l’entreprise réalise un résultat positif, et l’équilibre financière est atteint ; Elle ne serait pas exposée au risque de faillite. Elle est donc en mesure d’honorer ses engagements, de payer ses dettes, pour garder une solvabilité nécessaire dans le délai de ses exercices suivant les valeur du bilan, et pour assurer la croissance de sa rentabilité ; Elle peut encore participer au développement humain durable, c’est-à-dire aux œuvres sociales telles que : le don de médicaments, le ravitaillement de matériels de pêche et des produits de premier nécessité (PPN), et même l’installation de dispensaire,… La rentabilité : s’exprime par le rapport entre les moyens de résultat ; elle relate la mise en œuvre des moyens pour mesurer l’efficacité monétaire des capitaux investis. Alors, la mesure politique essentielle à prendre consiste à assurer :
– Le maintien du capital de l’entreprise,
– Les paiements des intérêts dus au prêteur, plus précisément au niveau de l’établissement financier (BOA),
– Les remboursements des emprunts,
– Les renouvellements des immobilisations.
LA PERSPECTIVE D’AVENIR
Ce projet prévoit surtout l’amélioration des revenus de la population du littoral du sudouest malgache, et la maintenance de l’équilibre entre l’offre et la demande des deux pays (donateur, demandeur). Ces objectifs généraux sont très pertinents pour la communauté rurale côtière :
– La création des activités génératrices des revenues ;
– la lutte contre la pauvreté ;
– la participation à l’amélioration de la balance de payement ;
– la participation à la conservation du patrimoine environnemental en diminuant les pressions anthropiques sur les ressources naturelles situées sur la zone littorale.
CONCLUSION
La culture ou la collecte d’algues est une activité économique qui consiste à favoriser le développement du monde rural et pour en tirer des substances utiles pour les industries, l’agriculture, l’alimentation, la pharmacologie,… Pour le projet, cette exploitation a pour ambition de développer notre économie rurale par la réduction du taux de la pauvreté dans ce milieu, en augmentant les quantités produites, les surfaces d’exploitation et les nombres des employés. Etant donné que le cycle de la génération des algues est immuable, les deux variétés sont bien protégées ; on ne doit pas craindre l’impact négatif de l’exploitation sur l’environnement marin. L’exploitation intensive des poissons, Laro, le Tarikaky, la maladie, la cassure et les broutages sont des facteurs pouvant affecter la croissance des algues et entraîner de graves problèmes pour l’exploitation. En outre, même si ce projet est confronté à beaucoup de problèmes, l’exploitation faite dans ce lieu permet de réaliser de grands rendements qui ont un taux de rentabilité de 64,517% ; la différence entre les recettes imputables au projet et les dépenses imputables au projet sont au tour de 89 320 470,00Ar (année N) et 263 527 500,00Ar (année), par l’investissement de 150 000 000.00Ar dont 50 000 000.00Ar est le capital et 100 000 000.00Ar est la somme de dettes ; notre projet est alors très compétitif par rapport aux autres projets. Les solutions proposées pour lutter contre les problèmes identifiés sont :
– sur le plan financier, le renforcement des ONG, des micros finances pour financier les producteurs ;
– sur le plan social, le renforcement du système de prévention de type DINA, le renforcement d’une politique de sécurité de proximité (KALONE), et la consolidation et la coopération intercommunautaire;
– en ce qui concerne le problème naturel : trouver les meilleurs sites, les surfaces d’exploitation appropriées, éloignées des rivières, d’eau douce.
– Pour le projet, la solution adéquate, c’est d’être vigilant en matière de gestion de ressource pour avoir une exploitation optimale assurant un développement durable.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: DESCRIPTION ET ETUDES PREALABLES
CHAPITRE I. L’ALGUE PROPREMENT DITE
SECTION .I : GENERALITE ET LOCALISATION
I.1. LES ALGUES MARINES
SECTION II. L’UTILITE DES ALGUES MARINES
II.1. CONTEXTE GENERAL
II.2. L’ HYDROCOLLOIDE
II.2.1- LES ALGINATES
II.2.2- LES CARRAGHENANES
II.2.3- LES AGARS-AGARS
II.3. UTILISATION DE CARRAGHENANE
II.3.1. PRODUITS LAITIERS
II.3.2. PRODUITS GELIFIES
II.3.3. PRODUITS POUDRES
II.3.4. ASSAISONNEMENT ALIMENTATION
SECTION III. TRAITEMENT D’ALGUES
III.1. METHODES DE PECHE
III.2. TRAITEMENT ET CONDITIONNEMENT
III.2.1. LE TRAITEMENT
III.2.1.1. TRIAGE
III.2.1.2. SECHAGE
III.2.2. LE CONDITIONNEMENT
III.3. CONGELATION
SECTION IV. MALADIES ET ENEMIES
IV.1. MALADIES ICE-ICE
IV.2. CASSURE
IV.3. BROUTAGE
SECTION V. IMPACTS DE L’EXPOITATION
V.1. IMPACTS AU NIVEAU DE LA BIODIVERSITE
V.2. IMPACTS SOCIO-ECONOMIQUES ET CULTURELS
V.2.1. IMPACTS SOCIAUX
V.2.2. IMPACTS ECONOMIQUES
V.2.3. IMPACTS CULTURELS
CHAPITRE II. LA CULTURE D’ALGUES
SECTION I. DIFFERANTS TYPES DE CULTURE
I.1. CULTURE EN PHILIPPINE
I.1.1. CULTURE SUR FILET
I.1.2. CULTURE MONOLIGNE
I.2. CULTURE EN INDONESIE
I.3. CULTURE EN CHINE
SECTION II. CULTURE A MADAGASCAR
II.1. HISTORIQUE DE LA CULTURE
II.2. DIFFERENCE ENTRE EUCHEUMA DENTICULATUM ET STRIATUM
II.2.1. EUCHEUMA DENTICULATUM
II.2.2. EUCHEUMA STRIATUM
III.1. LA SECTION DES SITES
III.1.1. SALINITE DE L’EAU
III.1.2. ZONE PROTEGEE
III.1.3. VITESSE DU COURANT DE LA ZONE
III.1.4. FOND
III.1.5. PROFONDEUR
III.2. LA PERIODE DES MAREES
III.2.1. LA MAREE HAUTE
III.2.2. LA MAREE BASSE
III.3. LES EQUIPEMENT ET ACCESSOIRES NECESSAIRES
III.3.1. LES BOUTURES
III.3.2. LES CORDES
III.3.3. LES TIES-TIES
III.3.4. LES PIQUETS
III.3.5. LA PIROGUE ET LE VEHICULE
III.3.6. LES CLAIES
III.3.7. LES SACS
III.4. MODULE DE CULTURE (VOIR ANNEXE 2)
III.5. REPRODUCTION ET CROISSANCE
III.5.1. MULTIPLICATION VEGETATIVE
III.5.2. REPRODUCTION SEXUE
III.6. FRAIS DE DEMARRAGE
CHAPITRE III. ANALYSE ET ETUDE DU MARCHE DU PROJET
SECTION I. L’ANALYSE DU PROJET
I.1. IDENTIFICATION DES PROBLEMES
I.1.1. PROBLEME FINANCIER
I.1.2. PROBLEME NATUREL
I.1.3. PROBLEME SOCIAL
I.2. CONTEXTE D’UN CENTRE DE CREATION ET JUSTIFICATION DU PROJET
I.2.1. LE CONTEXTE
I.2.2. JUSTIFICATION
I.2.2.1. Sur le secteur de l’éducation
I.2.2.2. Sur le secteur de production
I.2.3. LES PROPOSITIONS DE SOLUTION AUX PROBLEMES INDENTIFIES
I.2.3.1. Pour les problèmes financiers
I.2.3.2. Pour les problèmes naturels
I.2.3.3. Pour les problèmes sociaux
I.2.4. LES AVANTAGES DU PROJET
I.2.5. ETUDEDE LA FAISABILITE DU PROJET
I.2.5.1. Structure environnemental
I.2.5.2. Superficie d’exploitation
I.2.5.3. Planning du projet
I.2.5.4. Structure organisationnelle du projet
SECTION II. ETUDE DE MARCHE
II.1. DIFFERENTS TYPES DE DEMANDE
II.1.1. LA DEMANDE POTENTIELLE
II.1.2. LES NON COSOMATEURS ABSOLUS
II.2. STRUCTURE DE L’OFFRE
II.2.1. LES CONCURRENTS
II.2.3. PRODUCTION ENVISAGE DE LA COLLECTE D’ALGUES SAUVAGES SECHES
II.2.4. LA PRODUCTION FINALE
II.2.5. VALEUR DE PRODUCTION ENVISAGE
SECTION III. L’EXPLOITATION
III.1. L’AGREMENT
III.2. LA REDEVANCE
SECTION IV : L’EXPORTATION
IV.1. LE TRANSIT À L’EXPORTATION
IV.1.1. LES OPERATIONS DE VERIFICATION
IV.1.2. LES DOCUMENTS UTILISES POUR L’EXPORTATION DES ALGUES RELATIFS AU TRANSIT
IV.1.2.1 La facture ou fiche de collecte et fiche de commercialisation (Annexe 4)
IV.1.2.2. ERD
IV.1.2.3. La note de colisage
IV.1.2.4. Le certificat phytosanitaire
IV.1.2.5. Le CCCO ou certificat du contrôle de conditionnement et d’origine (Annexe 5)
IV.1.2.6. La déclaration d’exportation et le décompte de valeur
IV.1.2.7. Le certificat de circulation des marchandises
IV.1.2.8. Le certificat d’embarquement
IV.1.2.9. Le Bill of Lading ou connaissement maritime (Annexe 6)
IV.2. LES MODES DE TRANSPORT
IV.3. FINANCEMENT ET MODE DE REGLEMENT DES EXPORTATIONS
IV.3.1. LE FINANCEMENT
IV.3.1.1.Le préfinancement
IV.3.1.2. Le règlement des exportationt
IV.3.2. TECHNIQUES DE REGLEMENT EN EXPORTATION
IV.3.2.1. La remise documentaire ou REMDOC
IV.3.2.2. Le crédit documentaire ou CREDOC
DEUXIEME PARTIE :ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : POLITIQUE ASSOCIEE A LA GESTION FINANCIERE DU PROJET
SECTION I : LA DECISION D’INVESTISSEMENT
I.1. LES ELEMENTS CONSTITUTIFS
I.1.1. FRAIS D’ETABLISSEMENT
I.1.2. TERRAIN
I.1.3. MATERIAUX DE CONSTRUCTIONS
I.1.4. AGENCEMENT, AMENAGEMENT ET INSTALLATION (AAI)
I.1.5. MATERIELS ET MOBILIERS DE BUREAUX (MMB)
I.1.6. MATERIELS ET OUTILLLAGES (M&O)
I.1.7. MATERIEL ET INFORMATIQUE
I.1.8. MATERIEL DE TRANSPORT
I.1.9. AUTRE IMMOBILISATION CORPORELLE
I.2. L’AMORTISSEMENT
I.1.1. AMORTISSEMENT DE FRAIS D’ETABLISSSEMENT
I.1.2. AMORTISSEMENT DE MATERIEL DE TRANSPORT
I.1.3. AMORTISSEMENT D’AGENCEMENT AMENAGEMENT ET INSTALLATION
I.1.4. AMORTISSEMENT DE MATERIEL DE BUREAU
I.1.5. AMORTISSEMENT DES MATERIELS ET OUTILLAGES
I.1.6. AMORTISMENT DES MATERIELS INFORMATIQUES
I.1.7. AMORTISSEMENT DES MATERIELS DE TRANSPORT
I.1.8. AMORTISSEMENT DES GROUPES ELECTROGENES
SECTION.II. LE FINANCEMENT DU PROJET ET LE FONS DE ROULEMENT
II.1. LE FINANCEMENT PROPREMENT DIT
II.1.1. CONDITIONS D’OCTROI DE CREDIT
II.1.1.1. Pour le CIDR/VOLAMAHASOA
II.1.1.2. Pour l’établissement BOA Madagascar
I.1.2. LA DECISION DE FINANCEMENT DU PROJET
II.2. LES MODES DE FINANCEMENT
II.2.1. LE FINANCEMENT INTERNE
II.2.2. LE FINANCEMENT EXTERNE
II.2.2.1. Financement par des capitaux propres
II.2.2.2. Conditions requises par la banque BOA Madagascar
II.2.3. LES DIFFERENTS CREDIT BANCAIRES
II.2.3.1. Le crédit de fonctionnement
II.2.3.2. Le crédit d’équipement
II.2.3.3. Le crédit d’investissement
II.2.4. DETERMINATION DU MONTANT DE L’EMPRUNT ET DU REMBOURSEMENT DU CREDIT
SECTION III- LE FONDS DE ROULEMENT ( FR)
III.1. PRESENTATION SCHEMATIQUE DU BILAN
III.2. PRESENTATION ANALYTIQUE DU BILAN FINANCIER DU PROJET
III.2.1. LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DU PROJET
III.2.1.1. Les achats
III.2.1.2. Services Extérieur
III.2.1.3.Impôt et Taxes
III.2.1.4. Charge de Personnel
III.2.1.5. Autres charges de personnel
III.2.2. PRESENTATION DU BILAN D’OUVERTURE DU PROJET
SECTION IV. LES COMPTES DE GESTION
IV.1. LES COMPTES DES CHARGES
IV.1.1. LES CHARGES FIXES
IV.1.2. LES CHARGES VARIABLES
IV.2. LES COMPTES DES PRODUITS
CHAPITRE.II. PRESENTATION ET ANALYSE DES ETATS FINACIERS DU PROJET
SECTION I. PRESENTATION
I.1. LE COMPTE DE RESULTAT
I.1.1. PRESENTATION DE COMPTE DE RESULTATS PREVISIONNEL
I.2. TABLEAU DE GRANDEUR CARACTERISTIQUE DE GESTION
I.3.LE PLAN DE FINANCEMENT
I.4. LA CAPACITE D’AUTOFINANCEMENT (CAF)
I.4.1. Tableau de la Capacité d’Autofinancement
I.5. LE BILAN PREVISIONNEL
I.5.1. Bilan prévisionnel du 31-12-N
I.5.2. Bilan prévisionnel du 31-12-N+1
I.5.3. Bilan prévisionnel du 31-12-N+2
I.5.4. Bilan prévisionnel du 31-12-N+3
I.5.5. Bilan prévisionnel du 31-12-N+4
SECTION II. L’ANALYSE
II.1. LE SEUIL DE RENTABILITE DU PROJET (SR)
II.1.1. LES FACTEURS AFFECTES AU CALCUL DU SR
II.1.2. DETERMINATION DU CALCUL DANS UN TABLEAU
II.1.3. INTERPRETATION DU SR
II.2. LES RATIOS
II.2.1. LE RATIO DE STRUCTURE
II.2.2. LE RATIO DE SYNTHESE
II.2.3. RATIO DE RENTABILITE
SECTION III. LA NOTION DE LA VALEUR ACTUELLE NETTE DU PROJET (VAN)
III.1. LES CASH-FLOW
III.2. CALCUL DE LA VAN
SECTION IV : L’INDICE DE PROFITABILITE DU PROJET (IP)
SECTION V : TAUX DE RENTABILITE INTERNE (TRI)
SECTION.VI. LE DELAI DE RECUPERATION (D)
CHAPITRE III : MESURES D’ACCOMPAGNEMENT ET PERSPECTIVE D’AVENIR
SECTION I. MESURE D’ACCOMPAGNEMENT
SECTION II. PERSPECTIVE D’AVENIR
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
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