Caractéristiques spécifiques de chaque type d’exploitation agricole familiale

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Phase de conception et préparation techniqu

Élaboration du protocole de recherche

Avant de passer à la descente sur terrain, le prot ocole de recherche a été élaboré. Il contient : le contexte, la problématique, les questions de recherche, l’objectif global et les objectifs spécifiques, les résultats attendus, etesl différentes hypothèses de l’étude.

Préparation administrative

Dans cette étape, des lettres administratives ont été rédigées puis envoyées aux autorités du milieu d’étude pour les informer sur ’objectifl de la recherche, ainsi que les différentes opérations à effectuer sur terrain.

Phase de collecte des données sur terrain

La plupart des informations obtenues ont été collectées sur terrain. Dans cette phase, trois méthodes ont été utilisées, à savoir : l’enquête formelle auprès des exploitations agricoles familiales, l’entretien avec des personnes ressources et l’observation directe.

Elaboration du questionnaire

Le questionnaire a été conçu en fonction des objectifs de recherche, en tenant compte des hypothèses préétablies, les résultats attenduset la disponibilité des réponses de la part des exploitants agricoles. Toutes les informations à ch ercher sont placées sur la fiche d’enquête comportant quatre rubriques, à savoir : les membres de la famille, les facteurs de production, les productions agricoles, et les activités extra-agricoles (Annexe 12).

Echantillonnage et enquête auprès des EAF

L’échantillon est une fraction d’individus de la opulation (Brossier, 2004). La méthode d’échantillonnage retenue est aléatoiresimple. Les exploitations agricoles familiales à enquêter ont été choisies au hasard. esL critères de différenciation des EAF sont la pratique des activités de productions animales et végétales. Ensuite, en utilisant les fiches d’enquête préalablement élaborées, des enquêtesmellesfor auprès de 86 exploitations agricoles familiales ont été effectuées. L’effectifdes enquêtés parfokontany est présenté dans le Tableau 3.

Comparaison des moyennes

Dans la comparaison des moyennes par type d’exploitation, le test de normalité et l’analyse de variance (ANOVA) ou le test de Kruskall-Wallis ont été utilisés. Les résultats de test ont une signification avec une marge d’erreur de 5%. Le test de normalité permet de vérifier si un échantillon peut être considéré comme étant distribué suivant une loi normale. Si le test de normalité est vérifié, l’analyse de variance (ANOVA) a été faite. Dans le cas contraire, le test de Kruskall-Wallis a été utilisé.

Deuxième hypothèse : plus les exploitations agricoles familiales diversifient leurs activités, plus leurs revenus augmentent

Identification des activités génératrices de renusv

Avant d’analyser les activités des exploitations agricoles familiales, des étapes ont été jugées cruciales. D’abord, les activités génératrices de revenus existants dans la zone d’étude sont déterminées. Ensuite, sachant la production dechaque activité, la part de production par type d’exploitation a été calculée. Les résultatsbtenuso ont été rapprochés puis comparés afin de dégager lesquels de ces types d’exploitation ont une part de production la plus élevée pour chaque activité.

Calcul du revenu agricole

Le revenu agricole est obtenu à partir des activités agricoles : les productions animales et végétales. Pour calculer le revenu agricole parexploitation ou par activité, la formule suivante a été utilisée :
Revenu agricole = Valeur Ajoutée Brute – Amortissements et entretiens – Salaire de la main- d’œuvre extérieure – Rente foncière – Intérêts des emprunts – Impôts et taxes + Subventions Avec,
– Valeur Ajoutée Brute = Produit Brut – Consommations Intermédiaires de biens et de services
– Produit Brut = Quantité produite x Prix unitaire (sur le marché)
– Valeur Ajoutée Nette = Valeur Ajoutée Brute – Amortissements et entretiens
– Amortissement économique est le rapport entre la valeur neuve aujourd’hui et la durée d’utilisation réelle. Il est calculé à partir des actifs immobilisés tels que les matériels agricoles et le cheptel vif (les animaux reproducteurs ou de service) (Carles, 2004).
Dans les calculs, les intérêts des emprunts, impôts et taxes, et subventions ne sont pas pris en compte pour multiples raisons. Primo, les emprunts auprès des usuriers, bien qu’ils existent, sont strictement informels et confidentiels pour les agriculteurs. Par conséquent, il est difficile d’obtenir des chiffres précis. Secundo, depuis 2009, la population de cette commune ne paie pas des impôts et taxes. Et tertio, la subvention des activités agricoles n’existe plus dans la zone d’étude.
Après avoir calculé le revenu de chaque activitétede chaque exploitation, les résultats obtenus sont organisés dans une matrice pour êtrenalysés ultérieurement.

Diversification des activités et son effet surle revenu des EAF

Pour se développer, les exploitations agricoles familiales s’investissent dans plusieurs activités.

Activités génératrices de revenus des EAF

Les productions végétales et animales sont les principales activités génératrices de revenus des exploitations agricoles familiales.

Activités agricoles

La Figure 3 présente les différentes activités agricoles adoptées par les EAF (Annexe 5). Les activités principales pour le Type 1 sont : les cultures des agrumes, de la ciboule, du café, la pisciculture et l’élevage desvolailles ; pour le Type 2 : les cultures du riz, de la patate douce, du haricot, du soja, de l’ananas, de la vanille, des fruits et légumes, et l’élevage porcin ; et pour le Type 3 : les cultures du taro, de l’igname, du manioc, du concombre et du potiron.

Activités extra-agricoles

La Figure 4 présente les différentes activités extra-agricoles adoptées par les EAF. Elles sont dominées par le salariat agricole, la location de la maison et du terrain de cultures, et le petit commerce. Le salariat agricole concerne les travaux du sol, la plantation, l’entretien des cultures, la récolte et le transport des produits. Le petit commerce concerne la commercialisation des produits agricoles et produits non agricoles.
D’après la Figure 4, chaque type d’exploitation pratique le salariat agricole. La moyenne et la grande exploitation interviennent notamment sur les travaux du sol (labour et hersage) parce qu’elles ont les moyens attelés. Par contre, la petite exploitation travaille surtout sur la plantation, l’entretien des cultures, la récolte et le transport des produits.

Calendriers des activités agricoles

Les calendriers des activités agricoles donnent les renseignements sur l’organisation dans le temps des activités de production. Le Tableau 10 superpose deux calendriers. Le premier calendrier informe sur la période des récoltes des différentes cultures existantes dans la Commune Rurale de Tanandava. Le second renseigne sur la période des ventes des animaux d’élevage. Les ventes des animaux sont occasionnelles. Elles répondent aux besoins de liquidité des exploitants, c’est-à-dire, elles s’effectuent surtout dans les périodes de fêtes (la fête d’indépendance au mois de juin et la fêtede fin d’année au mois de décembre). Dans Tableau 10, on y observe également que les activités agricoles de la zone d’étude se divisent en deux périodes bien distinctes. La première période, de mois de mars au mois d’août, est marquée par une forte diversification des activités.Par contre, la seconde période, de mois d’octobre au mois de février, est marquée par une aiblef diversification des activités. Cette dernière s’explique par le fait que les exploitants sont occupés dans les productions du riz (vary jeby et vary an-tanety) et de la vanille.

Dépenses monétaires des activités de production

L’analyse des dépenses monétaires a permis de savoir lesquelles des activités qui nécessitent plus de financement.

Dépenses monétaires de chaque activité

La Figure 9 présente la comparaison des activitésdes EAF selon le critère des dépenses monétaires annuelles. On y observe que lescultures du riz et de la vanille, et l’élevage porcin et bovin ont des dépenses monétaires les plus élevées (Annexe 8).

Répartition des dépenses monétaires de chaque lturecu

La Figure 10 montre la réparation en pourcentage des dépenses monétaires de chaque culture par les opérations effectuées (achat des intrants, préparation du sol, plantation, travaux d’entretien, récolte et transport, paiement de la rente foncière, et règlement des frais de gardiennage).
D’après la figure 10, pour 100 % des dépenses monétaires de la culture du riz, la rente foncière représente 54 %, les intrants (6 %), la préparation du sol (10 %), le repiquage (10 %), l’entretien (11 %), et la récolte et transport (9 %). Pour la vanille, l’entretien représente 76 % des dépenses monétaires et le gardiennage (24 %). Pour les légumes comme la carotte, la ciboule et le concombre, la totalité (100 %) des dépenses monétaires est représentée par les intrants. Les autres ont des dépenses monétaires nulles, ce sont les cultures du : taro, igname, gros pois, potiron, aubergine africaine, sousoute, brède morelle, agrumes, ananas, avocat, mangue et letchi.

Effet de la diversification des activités sur el revenu des EAF

Diversification des activités : une stratégiede lutte contre la saisonnalité du revenu et de la consommation des EAF

La diversification des activités est une stratégiepermettant de pallier la saisonnalité du revenu et de la consommation des exploitations agricoles familiales. Les activités génératrices de revenus des EAF de la Commune Rurale de Tanandava sont diversifiées, mais d’une manière saisonnière (Tableau 10). Cette situation xplique la saisonnalité du revenu agricole et l’existence des périodes de soudure pour les EAF (Figure 5). Plusieurs auteurs ont affirmé également qu’en raison de l’inexistence d’assurance ou de crédit dans le monde rural, les exploitations agricoles adoptent la stratégie de diversification des activités pour lisser la fluctuation des revenus et de la consommation et pour réduire ou espacer les périodes de soudure (Paxson, 1993 ; Reardon et al., 2000 ; Sofer, 2001 ; Guye, 2003 ; Minten et al.,2003 ; Gondard-Delcroix et Rousseau, 2004 ; Shahidur ,2009). Pour atténuer les effets néfastes de la saisonnalité des revenus, les exploitants agricolesadoptent un large éventail de stratégies : la vente d’actifs, vente sur pieds des cultures, et les emprunts de sources formelles et informelles (Alderman et Paxson, 1992 ; Deaton, 1992 ; Jalan et Ravallion, 1999).

Diversification des activités : une stratégiede développement des EAF

Pour développer les exploitations agricoles familiales, il est indispensable de faire le choix stratégique. La stratégie de diversificationsoutenue est celle permettant d’obtenir à la fois un revenu élevé et permanent. Elle doit suivredeux orientations, à savoir :
– la diversification dans le temps : la pratique de plusieurs activités successives ;
– et la diversification dans l’espace : la pratique de plusieurs activités en parallèle.

Importance de la terre dans l’exploitation agricole familiale

La terre tient une place primordiale au sein de l’exploitation agricole familiale. Elle détermine non seulement la taille d’exploitation, mais également le niveau de diversification des activités (Tableau 9). Plus l’exploitation dispose une grande superficie du terrain à sa disposition, plus leur revenu agricole augmente, et plus elle peut s’investir dans divers types d’activités agricoles (Figure 7). Toutefois, la superficie du terrain à la disposition de chaque exploitation est très réduite (Tableau 11), d’où laprédominance des modes de faire-valoir indirect (Tableau 12). Selon Gueye (2003), la réduction de la superficie de l’exploitation a pour cause la forte croissance démographique qui entraîne une augmentation de la demande en terres ainsi que ses valeurs, et a pour conséquence chez les exploitations les plus pauvres, une décapitalisation progressive et à un recyclage dans d’autres activités comme ouvriers agricoles. Cette réduction de la superficie constitue un obstacle à la mécanisation de l’agriculture et à l’utilisation efficiente des fac teurs de production (Minten et al., 2003). De plus, l’élevage de zébu ne se développe pas aussi ansd la zone d’étude à cause de l’insuffisance des espaces pour le pâturage. Selon Ranaivoson (2006), l’espace de pâturage limité n’est pas une condition favorable à l’élevag bovin. La réduction de la superficie du terrain constitue ainsi un facteur limitant pour le développement des exploitations agricoles familiales. Par ailleurs, l’acquisition de la terre minimise les dépenses de production et maximise le revenu agricole. En effet, la rente foncière qui représente plus de 10 % de produit brut (Tableau 16), qui représente des dépenses énormes pour les grandes cultures sur le bas-fond telles que les cultures du riz, du haricot, de l’arachide, de la tomate et du chou pommé (Figure 10). Sa diminution va entraîner une augmentation du revenu agricole. Selon la FEKRITAMA (2008), une augmentation de la rente foncière constitue un blocage au développement de l’exploitation agricole qui pratique le métayage et le fermage. Selon Bélièreset al. (2002), la viabilité des exploitations agricolesfamiliales dépend essentiellement de la levée de la contrainte foncière. Le principalproblème est non seulement la sécurisation foncière, mais également l’accès aux nouvelles terres irriguées. Mais, pour la sécurisation et la mise en valeur d’une manière rationnelle de la terre, la détention d’un titre de jouissance sur les biens fonciers est indispensable (Cornu, 2004 ; Ramilamanana, 2012).

Importance du zébu dans l’exploitation agricole familiale

L’élevage bovin a un triple avantage au sein de l’exploitation agricole familiale. D’abord, les zébus ont de prix de vente élevé (Annexe 4) qui permet à l’exploitation agricole d’acquérir les biens de hautes valeurs tels que le terrain de cultures, les matériels agricoles, et de construire des maisons familiales. Ensuite, les zébus minimisent les dépenses de production. Ils constituent une force de travail pour la préparation du sol et le transport des produits. Ils fournissent également des engrais organiques (fumiers) améliorant la fertilité du sol. Enfin, sur le plan socio-culturel, les zébus sont des animaux de sacrifices en cas de décès d’un membre de la famille et en cas de famadihana. Son importance varie d’une activité à l’autre, en effet, les activités de production sur le bas-fond (riziculture irriguée, les cultures du haricot, et de l’arachide) sont fortement dépendant des zébus de trait, que les activités sur le tanety (culture du café, de la vanille et la culture des arbres fruitiers). Son importance varie également d’une région à l’autre. Dans la partie Sud de la Grande Île, Ex-Provinces de Fianarantsoa et de Tuléar, la possession d’un troupeau de bovidés est considérée comme un signe plus important de richesse que la possession de terre (Freudenberger, 1998 ; Ranaivoson, 2006). Alors dans la Région SAVA, les zébus occupent le troisième rang de spéculations après le riz et la vanille (MAEP, 2003).

Importance des matériels agricoles dans l’exploitation agricole familiale

Les exploitations agricoles familiales dépendent fortement des petits matériels traditionnels, moins performants et moins chers tels que l’ angady, le coupecoupe, et les moyens attelés (Tableau 14). L’importance des matériels agricoles dépend de la nature d’activités. Il y a des activités qui dépendent peudes matériels agricoles comme la plupart de cultures annuelles sur les tanety telles que les cultures de la vanille, du café, des arbres fruitiers, et quelques cultures sur le bas-fond telles que les cultures maraîchères et les tubercules, ainsi que les élevages. Par contre, il y a également des activités qui dépendent fortement des matériels agricoles tels que la culture des céréales (le riz et le maïs) et des légumineuses (le haricot, l’arachide et le soja). Et enfin, les grandes exploitations dépendent fortement des matériels que les petites xploitationse (Tableau 14). L’étude de Randrianomanana (2013) a montré que les exploitations riches sont fortement dépendantes des matériels agricoles que les exploitations pauvres.

Importance de la main-d’œuvre salariée dans l’exploitation agricole familiale

L’importance de la main-d’œuvre salariée dépend de la taille de l’exploitation et de la nature d’activité. Pour une petite exploitation, la main-d’œuvre est constituée quasi exclusivement de la main-d’œuvre familiale qui est formée par les membres actifs de la famille. Tandis que pour une exploitation de taille moyenne ou une grande exploitation, la main-d’œuvre familiale ne suffit plus. Le recours à la main-d’œuvre extérieur qu’elle soit salariée ou entraide est indispensable pour réalise la plupart des travaux au sein de l’exploitation (Tableau 13). Cependant, le besoin en main-d’œuvre salariée dépend également de la nature d’activité. Les grades cultures de superficie élevée telles que les cultures du riz, de la vanille, du haricot et du chou pommé, dépendent fortement de main-d’œuvre salariée que les petites cultures de faible superficie comme les cultures des fruits et légumes, et les élevages (Figure 9). L’étude de Ralaivaohita (1969)a trouvé qu’une augmentation de la superficie cultivée de l’exploitation entraine une augmentation du besoin en mains-d’œuvre salariées. Sans le salariat agricole, un exploitantne peut cultiver qu’une superficie moyenne de 2 ou 3 hectares ; avec le salariat agricole, elle peut cultiver jusqu’à 8 à 10 hectares. La recherche de Randrianomanana (2013) a démontré quel’utilisation de la main-d’œuvre familiale diminue en fonction de la richesse de l’exploitation.

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Table des matières

INTRODUCTION
1 MATERIELS ET METHODES
1.1 Concepts et Etat de l’art
1.1.1 Exploitation agricole familiale
1.1.2 Différence entre agriculture familiale et agriculture commerciale
1.1.3 Situation actuelle de l’agriculture familiale dans le monde
1.1.4 Revenu de l’exploitation agricole familiale
1.1.5 Diversification des activités
1.2 Matériels
1.2.1 Justification du thème
1.2.2 Présentation de l’organisme d’accueil
1.2.3 Présentation de la zone d’étude
1.3 Méthodes
1.3.1 Démarche commune aux hypothèses
1.3.2 Démarches spécifiques pour la vérification de chaque hypothèse
1.4 Limites du travail
1.5 Chronogramme des activités
2 RESULTATS
2.1 Caractérisation des exploitations agricoles familiales
2.1.1 Typologie des exploitations agricoles familiales
2.1.2 Caractéristiques spécifiques de chaque type d’exploitation agricole familiale
2.2 Diversification des activités et son effet sur le revenu des EAF
2.2.1 Activités génératrices de revenus des EAF
2.2.2 Calendriers des activités agricoles
2.2.3 Effet de la diversification des activités sur le revenu des EAF
2.3 Analyse des facteurs de diversification des activités des EAF
2.3.1 Analyse des facteurs de production
2.3.2 Analyse des risques pour les activités agricoles
2.3.3 Analyse économique des activités des exploitations agricoles familiales
3 DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
3.1 Diversité des exploitations agricoles familiales
3.2 Effet de la diversification des activités sur le revenu des EAF
3.2.1 Diversification des activités : une stratégie de lutte contre la saisonnalité du revenu et de la consommation des EAF
3.2.2 Diversification des activités : une stratégie de développement des EAF
3.3 Facteurs de réussite de la diversification des activités
3.3.1 Disponibilité des facteurs de production : un atout de la diversification des activités
3.3.2 Choix des activités lucratives : une condition de la réussite économique de la diversification
3.4 Recommandations
3.4.1 Facilitation de l’accès des agriculteurs aux facteurs de production
3.4.2 Promotion des activités génératrices de revenus
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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