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Milieu Biologique
Le district d’Andapa est réputé pour sacouverture forestière abritant une richesse biologique importante en faune et en flore. On peut citer par exemple :
Marojejy nord, avec une superficie de 1001 ha, dans la commune rurale Belaoko lokoho ;
Réserve d’Anjanaharibe sud, située dans la commune rurale de Bealampona, avec une superficie de 150 ha ;
Ranomafana d’Ambodihasina, situé à Ouest dans la commune rurale d’Ambodiangezoka ; Ranomafana d’Ambaliha-be situé au nord- ouest dans la commune rurale de Doany. Malheureusement, les pratiques telles que les feux de brousses, la fabrication de charbon de bois et diverses pratiques culturales surbrûlis, sont les principaux facteurs réduisant, chaque année, ces ressources forestières.
Milieu Géologique
La potentialité des ressources minièresa une valeur importante dans ce district, la majorité de l’exploitation reste encore informel. Tous les operateurs doivent payer les taxes exigées par l’administration, au niveau de cette commune, pour renforcer la caisse communale. Par conséquent, cette sorte d’exploitation assure l’augmentation du revenu pour chaque ménage et pour les Fokontany, jusqu’au niveau de la commune. Cela va permettre de développer le milieu rural en infrastructures telles que: la construction de route pour accéder au centre ville, école, bazar.
Par exemple, l’exploitation de l’or d’Ampontsilahy qui se trouve au sud de la commune rurale d’Ambodimanga I ;
L’exploitation de pierre précieuse d’Andranomena-be qui se trouve à l’ouest, dans la commune rurale d’Ambodiangezoka. Malheureusement, les méthodes d’exploitation nécessitent des matériels traditionnels comme la hache, la bêche pour abattre les grands arbres.
Etude Démographique
Par définition, la démographie est unescience qui étudie les populations humaines du point de vue quantitative. En effet, la population évolue chaque année.
Elle se multiplie plus rapidement que le niveau de subsistance. Cette étude est très importante. Elle est traitée dans la partie suivante.
Historique
Les premiers habitants d’Andapa sont des tsimihety, venus des régions voisines : Mananara, Maroantsetra, plus précieusement de Mandritsara1. Les ethnies tsimihety constituent les principales populations dans le District d’Andapa. Ils atteignent 75%, sans doute parce qu’ils sont installés depuis longtemps dans la région.
Les tsimihety prennent part à l’exploitation des cu ltures de rentes et du riz. Ils ont comme dénominateurs communs : la hardiesse, l’esprit d’entreprise et la volonté de réussir.
Evolution de la Population
Cette étude semble difficile car chaque année, il ya un fort bouleversement du nombre de la population globale. Nous avons pris connaissance avec cette situation suivant les données au niveau de la direction de la santé,dans le district d’Andapa, en l’année 2008. Il y a une augmentation du taux d’accroissement naturel de 4,2%. L’étude de la population globale n’est pas suffisante pour connaitre la situation réelle. Elle est importante, afin de connaitre le nombre de la population résidente pour chaque commune.
Géographie Administrative
Le District d’Andapa a 207 502 habitants en 2007, sa superficie est de 60 0001km2.
Il a environ une densité de 62,5 habitants par km. C’est une zone distinctivement peuplée. Si on la compare à la moyenne des Districts (40,33h ab/km2), cette densité est très élevée. Cela peut s’expliquer par la nature du sol qui est favorable aux cultures de rentes, qui sont bien rentables. Il se divise en dix-huit communes, l’une est une commune Urbaine et les autres sont des communes rurales. Le tableau ci-après présente sa répartition spatiale.
Les différentes Catégories de la populationet leurs Evolutions
La Population, dans le District d’Andapa, est composée des trois classes .
Ces trois classes de la population sont différentes, selon leurs définitions. La Population rurale, la Population agricole, la Population Urbaine.
La Population Rurale
Selon la définition, la population rurale se définit comme étant la population totale du District, détachée de la population citadine ouurbaine1. Elle est composée d‘individus de différentes catégories socio- professionnelles. Cette population pratique diverses activités, or la majorité sont des agriculteurs.
La Population Agricole
La Population Agricole c’est l’ensembl e des individus qui forment les ménages de l’exploitation. L’exploitation agricole est définie comme une unité technico-économique de production agricole. En général, on y utilise presque tous les animaux et toute la terre, entièrement ou en partie, pour la production. Par ailleurs, certaines parties de la production agricole sont destinées à financer les besoins de la population urbaine.
Population Urbaine
La Population Urbaine se définit comme l’ensemble des personnes qui résident en ville, et qui y exercent de nombreuses activités .Par ailleurs, l’effectif de la population en milieu rural est supérieur à la population citadine, même en ce qui concerne la densité.
La taille des ménages est constituée de 7à 8 personnes. Mais suivant la moyenne nationale, la taille varie entre 4, à 6 personnes p ar ménage. Cette taille des ménages est trop élevée par rapport à la moyenne nationale, à cause du retard des informations sur la technique de l’utilisation du planning familial et le non maitrisent de la méthode naturelle pour éviter le taux de fécondité élevée, plus prsémentci dans le milieu rural. Le tableau suivant montre le pourcentage de la population dans chaque catégorie.
Service éducatif
L’éducation fait partie d’un des facteurs de la croissance économique et le moteur du développement ; elle est à la disposition de toutes les personnes. L’Etat doit prendre sa responsabilité en matière d’amélioration, de lamise en place des infrastructures, et de la répartition du personnel à son poste, par chaque catégorie, près ou loin de la ville.
De nos jours, la population dans le District d’Andapa est consciente de l’importance de l’éducation. En effet, les parents sont motivéspour scolariser leurs enfants.
Mais le nombre d’établissement n’est pas suffisant, face aux besoins de la population, surtout l’enseignement de base (l’EPP), ou l’enseig nement primaire. Le nombre de Fokontany est vraiment supérieur par rapport aunombre des établissements, surtout dans les milieux ruraux. Cette situation est causée par le mauvais état, l’ancienneté des infrastructures scolaires et l’insuffisance du personnel.
Par conséquent, le résultat de la valeuréducative n’atteint pas la norme nationale, car un personnel s’occupe, au minimum, de 70 élèves. Presque la majorité des communes rurales est concernée par cette situation, par exemple la commune rurale d’Agnoviara qui se trouve au sud-est de la ville, et la commune rurale d’Anjialavabe qui se trouve au nord de la ville, c’est la limite entre le District d’An dapa et le District de Sambava. Ce chiffre est important, par rapport à la situation normale q ui est de 50 élèves pour un enseignant.
Face à ce problème, les parents d’élèves prennent des mesures pour renforcer la capacité du FRAM pour résoudre leurs problèmes etvalueré la valeur éducative. En ce qui concerne l’établissement secondaire niveau II (CEG), et niveau (III) Lycée, ce district ne dispose que d’un Lycée et de 8 CEG. L’un se trouve dans la ville et le reste est éparpillé dans les communes rurales. Le taux de réussite aux examens CEPE varie entre 50% et 55%, au BEPC, 60% et celui du BACC était de 40%, en année 2009. Ces taux sont moyens par rapport aux années passés. En général,e crésultat exprime la faiblesse de la capacité intellectuelle, tous les responsables doivent produire des efforts. Le proverbe nous dit : « Tsy misy ny mafy tsy laitrin’ny zoto » c’es t-à-dire « À cœur vaillant, rien d’impossible».
Le tableau suivant présente l’effectif des élèves,les infrastructures publiques et privées, et l’enseignement par niveau, durant les trois années passées (2007, 2008, 2009), dans le District d’Andapa.]
Infrastructures Publiques
Le District ne dispose pas beaucoup de matériels sanitaires, sauf en milieu urbain. Il dispose d’un hôpital principal et d’un hôpital p rivé Adventiste; ces derniers offrent des services de médicine générale, ils sont équipés pharmacie,de de maternité et d’un bloc opératoire. Les infrastructures et le personnel sont plus ou moins satisfaisants en ville. Le milieu rural est victime de l’insuffisance de personnel qui peut traiter les maladies diverses, dans les CSB I et CSB II1. Heureusement, des médecins privés, aident plusou moins les habitants dans les zones enclavées.
Les maladies les plus fréquentes
La cuvette bénéficie d’un climat chaud te humide, cette situation est favorable à la propagation des moustiques qui provoquent la fièvre. Ensuite, l’infection respiratoire, les diarrhées, les tuberculoses, les infections sexuellement transmissibles figurent parmi les pathotologies principales existantes.
POTENTIALITES ECONOMIQUES
Les moyens de communication
Seule la commune Urbaine d’Andapa et la commune rurale d’Ambodiangezoka disposent de bureau de poste. Les réseaux téléphoniques mobile Orange, Zain, Telma fonctionnent bien dans le centre ville du district et dans la commune rurale de Tanandava. La commune rurale de Bealampona est quant-à elle, c ouverte par Zain et Orange2. La commune rurale d’Ambodiangezoka est uniquement couverte par Zain seulement. Pour le district d’Andapa, l’information et la communicatio n sont insuffisantes. Dans la ville d’Andapa, on peut respectivement trouver : une radio publique locale dénommée « Radio Varimanitra », une télévision publique locale ou «Télé mparitra », une Radio privée RTA (Radio Tiako Andapa), RFF (Radio Feon’ny Fampandrosoana). Les dix huit (18) communes rurales sont couvertes par les radios (RTA, RFF, Varimagnitry) et RNM (Radio Nationale Malagasy).
Electrification rurale
Seule la commune Urbaine est électrifiée par laJIRAMA. Les autres communes rurales ne sont pas encore électrifiées, et les autres sources d’énergie n’y sont pas vulgarisées. Cependant, on utilise le groupe électrogène dans la plupart des centres de santé de base niveau II.
Les infrastructures routières et les voies de communication
La route est à la base du développement économique d’un pays, et même d’une région. Elle résout les obstacles qui empêchent écoulementl’ de la production dans les zones enclavées et facilite les échanges entre leszones. C’est pourquoi il faut améliorer les routes pour faciliter l’évacuation de la production agricole. Concernant le District d’Andapa, la route RN5 B reliant les deux Districts d’Andapa et de Sambava est en bon état, c’est une route côtière et sinueuse de 105 km.
Elle assure les échanges locaux routiers de Madagascar, garantit la communication des populations. Les routes qui relient les communes rurales au centre ville sont secondaires et sont sur le point de se détériorerLes. moyens de communications puissantes telles que les camions, tracteurs peuvent accéder dans ces zones, mais ils sont rares. Par conséquent, les populations doivent chercher des moyens de transport pour évacuer leurs productions. Prenons comme exemple, les routes qui relient les communes d’Andrakata et d’Anoviara, de Doany et d’Ambalamanasy II ; les pop ulations dans ces zones font les « Dabalava » et vas et vient pour transporter leurs marchandises. Cette situation entraine la hausse des prix des produits dont les populations rurales ont besoins. Par contre, le prix de vente de la production agricole n’est pas proportionnel au prix de revient, c’est pour cela que les paysans ne sont pas motivés pour produire.
L’agriculture
L’existence d’une bonne pluviométrie annuelle et de vastes plaines dans la cuvette d’Andapa améliore la production agricole. Le climat est favorable à différents types de cultures tropicales. L’agriculture constitue la principale activité de la population dans la cuvette d’Andapa, elle garantit la source de leur alimentation et de leur revenu. On estime que 95% de la population vit de l’agriculture, c’es t-à dire que cette dernière joue un rôle très important pour la survie de la population. La possession du sol à cultiver provient de l’héritage. Diverses cultures tropicales sont pratiquées dans cette zone à savoir la culture vivrière, la culture maraîchère, la culture de rente, la culture industrielle et la culture d’exportation.
La riziculture : La prédominance de la riziculture par rapport aux autres cultures vivrières s’explique par la tradition de la population locale et la vocation naturelle de la région. La riziculture est la base de la culture .Elle occupe 75% de la superficie cultivable du district et constitue 65% de la production totale, en 2008. Le rendement varie entre 02 à 2.5 tonnes par hectare, chaque année. Culture vivrière : les cultures vivrières, le manioc, le maïs, la patate douce, etc. Occupent une place importante dans le développement économique, 88,60% de la population locale effectuent cette culture.
Culture maraichère : Les légumineuses comme l’Arachide, les Haricots, le concombre, la pomme de terre, la carotte sont généralement cultivées, en association avec le riz ; on les cultive sur les bordures des terrains de culture. On cultive aussi les légumes vertes telles que : « l’Anambe, le pongy ou le tsirebika, le Sakaitany » ou Gingembre, dans les jardins potagers, près des villages ou des ruisseaux.
Culture des productions Industrielles : Le Café, la canne à sucre sont des cultures industrielles dans ce district. La canne à sucre tient une place importante dans la vie des « Tsimihety ». Elle peut être transformée en produits finis, jus de canne à sucre « Betsabetsa ».
La population effectue des travaux collectifs traditionnels, comme « le findramana », « le lampona », « le tambirô », qui nécessite l’utilisation du « Betsabetsa » pour témoigner la politesse et pour gratifier les invités. Cette boisson ne coûte pas cher, son prix est à la portée de la population. Culture des produits d’exportation : la plantation de la vanille se fait par bouturage, durant la saison humide. C’est une culture qui est assez pénible à faire. La pollinisation des fleurs s’étale du mois d’octobre au mois de novembre. On la fait dans la matinée, car la haute température dans la journée détruit les fleurs. Larécolte s’effectue au mois de juin. La production atteint 1500 kg. Pourtant, ce rendement est insuffisant (1 ,5 t/ha). Les vanilles préparées sont expédiées à Antalaha et à Tamatave,pour être exportées.
L’agriculture et l’élevage sont inséparables.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE ANALYSE DES PROBLÈMES DE LA RIZICULTURE
CHAPITRE I : MONOGRAPHIE DU DISTRICT D’ANDAPA
SECTION I : DESCRIPTION DU MILIEU
I. Localisation de la zone
I.1) Milieu physique
I.2) Climat
I.2.1) Température
I.2.2) Pluviosité
I.3) Relief
I.4) Hydrographie
I.4.1) Rivière
I.4.2) Lac
I.5) Milieu Biologique
I.6) Milieu Géologique
II. Etude Démographique
II.1) Historique
II.1.1) Evolution de la Population
II.1.2) Géographie Administrative
II.1.3) Croissance Démographique
II.1.4) Taux de Mortalité (TM)
II.1.5) Taux de Natalité (TN)
II.2) Les différentes Catégories de la population et leurs Evolutions
II.2.1) La Population Rurale
II.2.2) La Population Agricole
II.2.3) Population Urbaine
II.3) Services Sociaux
II.3.1. Service éducatif
II.3.2) Service Sanitaire
II.3.3) Disposition Sanitaire
II.3.4) Infrastructures Publiques
II.3.5) Les maladies les plus fréquentes
SECTION II : POTENTIALITES ECONOMIQUES
I. Les moyens de communication
I.1) Electrification rurale
I.2) Les infrastructures routières et les voies de communication
I.3) L’agriculture
I.4) L’élevage
I.4.1) Pèche
II. Secteurs Secondaires
II.1) L’industrie
II.1.1) Artisanat
II.2) Secteurs Tertiaires
II.2.1) Tourisme
II.2.2) Transport
II.2.3) Répartition des ménages par secteur d’activités
CHAPITRE II : CARACTERISTIQUES DE L’EXPLOITATION RIZICOLE
SECTION I : CARACTERISTIQUES GENERAUX DE L’EXPLOITATION RIZICOLE
I) Le mode de faire valoir direct
II) Le mode de faire valoir indirect
II-1) Le Fermage
II-2) Le Métayage
III) Les Facteurs de Production
III-1) La Terre ou le Capital Foncier
III-2) Le Capital d’Exploitation
III-3) Le Capital financier
III-4) Le Capital Technique
III-4-1) Le Capital Vif
III-4-2) Le Capital Mort
III-4-3) Le Travail
SECTION II : ANALYSE DE LA PRODUCTIVITE RIZICOLE
I. Le Riz
I.1) Riz cultivé par la pratique du Tavy
I.2) Approche Statistique
I.2.1) Evolution de la Superficie et de la Production
I.2.2) Analyse de la Consommation Globale du District
I.3) Riz cultivé par d’irrigation
SECTION III : OBSTACLES AU DEVELOPPEMENT DE LA PRODUCTION
I. Blocages naturels
I.1. Obstacles Sociaux
I.1.1) L’insécurité foncière
I.1.2) Les Croyances et les traditions
I.2) La déficience de la vulgarisation
I.3) Les Contraintes physiques
I.3.1) Vétusté des infrastructures hydroagricoles
I.4) Contraintes Techniques
I.4.1) Insuffisance des moyens de production
I.4.2) Mode de défrichement du sol
I.4.3) Ignorance de la variété de semence
I.5) Types de Crédit (conséquences positives et ses impacts)
II. Marchés ruraux
II.1) Pratiques traditionnelles
II.1.1) La formule relative au défrichement du sol
II.1.2) Fumure utilisée
II.1.3) L’ignorance du calendrier cultural
II.1.4) Repiquage
II.1.5) Mode de sarclage
DEUXIÈME PARTIE PERSPECTIVES D’AMÉLIORATION DE LA RIZICULTURE
CHAPITRE I : LES VARIABLES DETERMINANTES DE LA PRODUCTIVITE RIZICOLE
SECTION I : ÉTUDE DES TYPES DE RIZICULTURE
I. Système de riziculture traditionnelle (SRT) ou extensive
I.1) Caractéristiques du SRT
I.2) Comparaison des dépenses et rendement par hectare du SRT
II) Le système de riziculture intensive (SRI)
II.1) Historique
II.1.1) Définition
II.2) Origine
II.2.1) Les besoins fondamentaux
II.2.2) Facteur de production
II.3) Les techniques culturales à suivre
II.3.1) La prégermination
II.3.2) Pépinières
II.3.3) La préparation de la rizière
II.3.4) Les techniques de repiquages
II.3.5) Stratégie de sarclage
II.3.6) Les stratégies qui consistent à maitriser l’eau
II.3.7) Progression du tallage
II.3.8) Traitement
III. La méthode du système Riziculture Améliorée (SRA
III.1) Définition
III.1.1) Aperçu général sur SRA
III.1.2) Le calendrier cultural
III.1.3) La préparation de la semence
III.1.4) La mise en œuvre des pépinières
III.1.5) Aménagement du sol ou (la rizière)
III.1.6) L’âge des plantes
III.1.7) Traitement de Sarclage à temps
III.1.8) Avantage des deux systèmes (SRI et SRA)
III.2. Etude des coûts de revient de la production de paddy et du rendement Rizicole du SRA et SRI
III.2.1) Récapitulation du coût de Rendement obtenu par les systèmes de riziculture
III.2.2) Détermination du coût pour chaque système de riziculture
III.2.3) Estimation de la production pour les rizicultures
III.3) L’orientation des producteurs par rapport aux nouveaux systèmes
III.3.1) Généralité
III.4) Les différents obstacles à l’intégration des nouvelles techniques
III.4.1) L’absence de réhabilitation du barrage d’irrigation d’Ankaibe
III.4.2) L’absence de système efficace de crédit agricole
III.4.3) Le changement climatique
III.4. 4) L’inefficacité du transfert de technologie et de communication
III.4. 5) L’insécurité foncière
III.4.6) Destruction des bassins versants
SECTION II : MESURES D’ACCOMPAGNEMENT
I.1) Historique
I.2) Généralité
I.2.1) Création et aménagement des infrastructures agricoles
I.2.2) La facilité d’accès aux institutions agricoles
I.2.3) Facilité d’accès au niveau des intrants agricoles et des matériels
I.2.4) Effets attendus de l’aménagement foncier dans les milieux ruraux
CHAPITRE II : RECOMMANDATIONS
SECTION I : L’AMÉNAGEMENT DES BASSINS VERSANTS
I.1) Définition
I.1.1) Les types de sols
I.1.2) L’utilisation des terres dans le domaine de l’agriculture pluviale et la technique de mise en œuvre
I.1.3) L’intensification des techniques de production de l’exploitation de la riziculture irriguée
I.2) Mise en œuvre des techniques
II.1) Secteur environnemental
II.2) Secteurs sociaux
II.2.1) Le renforcement et l’évaluation des services d’aide à la production
II.2.2) Renforcement du service PLAE en vue des l’aménagement des bassins versants
SECTION II : STRATÉGIE AGRICOLE ET MISE EN ŒUVRE
I) Le renforcement de la capacité de vulgarisation
I.1) Définition
I.1.1) Objectifs de la sensibilisation (vulgarisation)
I.1.2) Changement d’esprit des cultivateurs
I.1.3) L’amélioration de la gestion familiale
II) Opération prioritaire
II.1) Opération secondaire
II.1.1) Les Problèmes de la vulgarisation
II.2) Perspectives d’amélioration
II.2.1) Les conditions de la vulgarisation et ses efficacités
II.3) L’animation rurale
II.3 .1) la coopération agricole et Grenier Commun Villageois
II.3.2) assurance agricole
III.1) La réforme agraire
III.1.1) Le système efficace de crédit agricole
III.1.2) Les interventions directes de l’Etat
SECTION III : AUTRES MESURES
I. Objectif
I.1) Modalité de la création d’OP
I.1.1) Enquête sur terrain
I.1.2) Exécution
I.1.3) Constitution proprement dite
I.1.4) La Structure et les fonctionnements de l’OP
I.1.5) Règlement intérieur
I.1.6) Structures de l’OP
I.1.7) Pérennisation des activités
I.2.) Les mesures d’ordres techniques
I.2.1) Stratégie générale
I.2.2) Les mesures organisationnelles et logistiques
I.2.3) Mesure d’ordre social
I.2.4) Reformulation du système éducatif
I.2.5) Objectif
I.2.6) Le service de proximité
I.2.7) Amélioration de la santé publique
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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