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Offre d’énergie électrique à Madagascar
La JIRAMA, la compagnie nationale d’électricitéet d’eau créée en 1975, est chargée de distribuer l’électricité sur tout le territoireà un prix abordable pour ses abonnés. Elle gère l’ensemble des infrastructures. Cependant, de faibles capacités d’investissement ainsi que le nécessaire renouvellement de son parc de production ne lui permettent plus, depuis quelques années, d’assurer l’électrification de l’ensemble du pays et notamment des zones rurales. Le Tableau 2 montre les parcs de production d’électricité de la société JIRAMA en mars 2006.
Produit Pétrolier à Madagascar
Les prévisions en gaz oïl soute ont été réviséeàla baisse, avec la fin de la campagne de pêche thonière à Antsiranana. Les prévisions en Gaz d’Ambatovy ont été également révisées à la baisse, suite aux informations reçues sur le report des livraisons à des dates ultérieures. Inversement, les prévisions du pétrole lampant ontété révisées à la hausse suivant les estimations de l’OMH sur son évolution. Une augmentation significative de la consommation de gaz oïl a été notée en 2010 comparativement à l’année 2009. Cette hausse est liée aux travaux d’entretien et d’extension d’Andekaleka (et dont une grosse partie à été reportée pour 2011).
Cette section présente l’offre, la demande, la facture pétrolière et la distribution des produits pétroliers à Madagascar.
Problèmes de Madagascar en Matière de Fourniture Energétique
Après avoir vu la situation du secteur énergétique à Madagascar, ce Chapitre 2 va dégager et étudier les problèmes de Madagascar en matière de fourniture énergétique. Ces problèmes sont notamment : (i) la dépendance et la vulnérabilité de Madagascar vis-à-vis des importations d’hydrocarbures, (ii) les problèmes de distribution intérieure, (iii) les problèmes de la compagnie nationale d’électricité : la JIRAMA.
Ces différents points seront respectivement l’objet des trois sections que nous allons exposées dans le présent chapitre.
Dépendance vis-à-vis des Importations d’Hydrocarbures
Le cas malgache apparaît comme un exemple stimulant car il permet de s’intéresser à la question de la dépendance énergétique dans les aysp pauvres, à celle de la distribution de l’énergie dans une situation insulaire et qui plusest d’enclavement très marqué, tout comme à celle des impacts de ces contraintes sur la vie quotidienne des habitants des pays pauvres. Madagascar constitue une bonne illustration de la situation complexe de nombreux pays en développement par rapport à la question de l’énergie, la rareté de celle-ci pénalisant fortement son développement économique tout en accentuant des déséquilibres environnementaux, spatiaux et sociaux déjà conséquents. Comme la plupart des pays en développement ne disposant pas de source d’énergie sur son territoire, Madagascar est contraint d’importer la totalité de sa consommation en hydrocarbures. De ce fait, le pays est soumis aux fluctuations des cours internationaux de ces produits et sa balance commerciale souffre du poids des produits pétroliers : ceux-ci représentent environ 20 % des importations en valeur.
Dans le contexte international de cours élevés du étrolep depuis le début des années 2000, deux secteurs sont particulièrement affectéspar cette hausse du coût de l’énergie importée : les carburants – et par conséquent les transports -et l’électricité. En effet, Madagascar compte 95 centrales thermiques, dont la part dans la production d’électricité ne cesse d’augmenter en raison de l’absence d’investissements depuis vingt-cinq ans dans les centrales hydroélectriques : les centrales thermiques représentent désormais 63 % de la puissance installée. Pour produire son électricité, le pays doit donc importer des quantités croissantes de pétrole, ce qui pèse fortement sur les comptes de la compagnie nationale d’électricité, la JIRAMA. Ainsi, en 2006, la JIRAMA cherchait comment payer le carburant qu’elle avait en stock. Qui plus est, de nombreuses régions du pays sont alimentées exclusivement grâce à ces centrales thermiques : il existe en effet seulement trois réseaux connectés aux centrales hydroélectriques dans le pays, celui de Tamatave (Toamasina), de Tananarive (Antananarivo) et de Fianarantsoa ; les autres régions ne peuvent bénéficier d’aucun transfert d’électricité et sont donc entièrement dépendantes de petites unités thermiques souvent vétustes et au rendement très mauvais. De ce fait,depuis quelques années, ce sont ces régions qui subissent le plus les coupures de courant auxquelles procède la JIRAMA : il s’agit des fameux délestages. Dans le même temps, l’électricité produite à Madagascar est très chère : le kWh y est deux fois plus cher qu’à Maurice ou qu’en Afrique du Sud. Il s’agit là d’une conséquence directe de l’utilisation croissante du gasoil dans la production électrique et de la dépendance de Madagascar à l’égard des produits pétroliers. Pour tenter de miterli le coût du carburant dans le fonctionnement des centrales thermiques, plusieurs d’entre elles vont désormais avoir recours au fuel lourd à la place du gasoil, beaucoup moins cher. L’entreprise est toutefois délicate notamment car cela nécessite des investissements coûteux dans de nouveaux moteurs et parce que l’utilisation du fuel lourd exige un entretien plus attentif.
Problèmes de la Compagnie Nationale d’Electricité : La JIRAMA
La JIRAMA est confrontée à divers obstacle notamment : (i) la production en électricité limité et la demande qui ne cesse d’augmenter, (ii) le prix de l’électricité élevé, etii)(i le faible pouvoir d’investissement.
Production qui n’arrive pas à satisfaire une d emande croissante
La JIRAMA rencontre de nombreuses difficultés à satisfaire une demande de plus en plus grande. Le parc hydroélectrique ne s’est pas développé depuis 1982, date de la mise en œuvre de la centrale d’Andekaleka (58 MW). Et dans les centres autonomes, la production est constituée majoritairement de centrales thermiques. De plus, les réseaux de distribution sont vétustes. Ainsi, le système n’arrive plus à satisfaire la demande en pointe et des délestages tournants interviennent régulièrement.
Prix élevé
Le prix du KWH est relativement cher à Madagasc ar, en raison notamment de la part devenue de plus en plus importante du parc thermique utilisant du gasoil comme combustible : le prix est près du double de celui de l’île Maurice et de l’Afrique du Sud comme nous avons déjà dis dans la section précédente. Ce coût élevé ralentitl’accès de la population à l’électricité et ne favorise pas le développement industriel de Madagascar. De plus, le tarif n’est pas totalement unifié : le coût de l’énergie dans les zones qui nesont pas interconnectées est plus élevé que danse l centre.
Faible pouvoir d’investissement
Le faible pouvoir d’investissement constitue un des problèmes déterminants de la JIRAMA et cela a des répercutions sur la quantité tela qualité de sa production électrique. En effet, l’insuffisance d’investissement ne permet pas à la JIRAMA d’entretenir, d’améliorer ou d’étendre ses sites d’exploitation afin de satisfaire la demande croissante des Malgaches.
Le faible pouvoir d’investissement de la JIRAMA, est la conséquence de plusieurs facteurs dont nous allons exposés dans le chapitresuivant.
Très faible électrification du pays et ses conséquences multiples
Madagascar fait partie des pays du monde où le taux d’électrification est le plus faible : il n’est en moyenne que de 16 %8 alors que ce taux témoigne pourtant de progrès importants ces dernières années, puisqu’en 1999 il était inférieur à 10%. Toutefois, cette moyenne cache de profondes disparités entre les villes et les campagnes, puisque l’accès à l’électricité s’élève à 72%en ville mais seulement à 5% dans le milieu rural. 9 Rien n’est plus frappant que de circuler en véhicule dans la campagne malgache à la nuit tombée : aucune lumière n’y est perceptible.
La très faible électrification du pays ainsi que la médiocrité de l’approvisionnement électrique pénalisent fortement de nombreux secteur d’activités, entravant ainsi l’essor économique de Madagascar. La puissance électrique installée otale de Madagascar s’élève à 287 mégawatts (MW) ; à titre de comparaison, une seule tranche nu cléaire en France représente 1 300 MW et la centrale thermique de Porcheville à l’ouest de Paris possède quatre tranches de 600 MW chacune :10 ces chiffres illustrent bien la grande faiblesse du secteur électrique à Madagascar et plus largement du développement économique. Quatre domaines d’activités sont particulièrement handicapés par le manque d’énergie notamment : l’industrie, le tourisme, les services hospitaliers et les universités.
Intensification des Problèmes dans le Monde Rural
L’électrification est extrêmement faible dansesl campagnes malgaches, on l’a vu : environ 5% des ruraux en bénéficient et cela va s’intensifier. La vie dans les villages s’organise donc en fonction du rythme solaire : les ruraux dînent à la nuit tombée, vers 18 h, et se couchent bien souvent juste après. Ils se lèvent très tôt, avant le lever du soleil. L’accès à l’audiovisuel est pour ainsi dire inexistant, à la différence d’autres pays en développement où la télévision connaît une relative diffusion en milieu rural. Certaines campagnes privilégiées ont accès à une liaison par radio, ce qui constitue un élément de sécurité (alert s cycloniques notamment). Toutefois, l’usage d’une radio nécessite l’achat de piles, souvent onéreuses pour les ménages. Néanmoins, dans n’importe quelle épicerie de village, même très isolé, des piles sont en vente, si bien qu’elles font partie des produits de base que l’on trouve absolument partout. Le sous-équipement des campagnes malgaches porte aussi la marque de la faible électrification. Ainsi, dans les bourgs ruraux, les centres de soins ne sont pas du tout équipés en électricité.
Par ailleurs, le coût élevé des produits pétroliers se répercute sur le développement des campagnes. L’agriculture souffre ainsi d’une mécanisation infime ; les productions subissent des surcoûts considérables en raison de l’enclavement et du prix des transports. Les paysans sont en effet le plus souvent dépendants d’un collecteur, euls disposant d’un véhicule et fixant donc les prix
à sa guise. Il est souvent trop coûteux pour un pa ysan d’aller lui-même au marché vendre ses produits. Tout déplacement motorisé constitue unelourde charge pour les budgets et ce d’autant plus que les transports en taxi-brousse, les seuls existant dans toute l’île, ont connu un renchérissement spectaculaire depuis la libéralisation du marché des carburants au début des années 2000.
Difficultés Multiples dans les Grandes Villes
Les citadins sont eux aussi particulièrement frappés par la pénurie énergétique et par le coût des différentes sources d’énergie.
C’est tout d’abord le coût des carburants qui pèse sur les budgets des citadins. Depuis la privatisation de la compagnie nationale des pétroles, et donc la libéralisation du marché des carburants, le prix pour les particuliers a plus que quadruplé (et depuis le début des années quatre-vingt-dix, époque où le carburant était fortement ubventionné,s il a été multiplié par huit). Le taux de motorisation étant extrêmement faible, c’est surtout pour les transports en commun que la question du prix est sensible. Les minibus privés qui monopolisent le transport de passagers à Tananarive facturent ainsi le trajet à Ar 300, soit un peu plus de 10 centimes d’euros, ce prix ayant doublé du jour au lendemain en 2001. A raison d’unaller-retour par jour ouvrable, le coût mensuel pour un écolier ou pour un employé s’élève à Ar 12000, alors que le salaire minimum est fixé à Ar 50 000 (20 euros) : la charge est considérable, contraignant de nombreux citadins à marcher plusieurs heures par jour pour éviter d’emprunter esl transports en commun.
Signalons que le coût élevé des transports motorisés conjugué à la très faible motorisation des ménages conduit au maintien d’un mode de transport de passagers devenu rare de par le monde : les pousse-pousse à bras. Ils const ituent le mode de transport très largement dominant dans les villes littorales ainsi qu’à Antsirabe, ville plate, à la différence de Tananarive. Dans la capitale toutefois, ces pousse-pousse sont toujours utilisés par les entreprises et les particuliers pour le transport de marchandises, tant le coût de cette main-d’œuvre de portefaix est dérisoire et revient beaucoup moins cher que le recours à un véhicule motorisé.
Les citadins doivent également faire face aux dépenses consacrées à l’achat de charbon de bois, ressource dominante pour cuisiner. Son coût est également élevé (Ar 12 000 un sac standard, soit 4,70 euros ; une famille de 5 à 6 personnes en consomme un par semaine, soit l’équivalent d’un SMIC par mois…). L’alternative au bois de chauffe en ville est le gaz domestique, distribué sous forme de bouteilles individuelles. Significativement, le marché du gaz demeure extrêmement faible à Madagascar, la consommation par habitant étant dix fois inférieure à la moyenne africaine.13 Cela s’explique par le prix très élevé de la bouteille de gaz : celle de 12,5 kg vaut Ar 44 000, soit plus de 17 euros.
Les citadins doivent par ailleurs faire face à de fréquents délestages. A Tananarive, la JIRAMA les organise par quartiers, selon des durées de coupure variables et dans la mesure du possible annoncée à l’avance dans la presse. Dans la capitale, les délestages tournants sont essentiellement liés à l’incapacité de la JIRAMA derépondre à la demande. Mais dans les grandes villes de province, ces délestages peuvent durer jusqu’à vingt heures par jour et suscitent un vif mécontentement populaire. C’est ainsi qu’en 2007 ed nombreuses manifestations prenant pour cible les locaux de la JIRAMA ont eu lieu dans ces villes : des émeutes sporadiques mais parfois violentes ont été dirigées par des étudiants souhtanti attirer l’attention des médias sur leur colère.
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Table des matières
Généralités
I. Informations Générales sur Madagascar
II. Notion d’Energie
1. Différentes formes d’énergie
2. Définition et classification des énergies renouvelables
Partie 1. Etat des Lieux et Analyse de la Fourniture d’Energie à Madagascar
Chapitre 1. Situation du Secteur Energétique à Madagascar
Section 1. Postes de Consommation Energétique à Madagascar
Section 2. Electricité à Madagascar
2.1. Offre d’énergie électrique à Madagascar
2.2. Demande d’énergie électrique
2.3. Distribution
Section 3. Produit Pétrolier à Madagascar
3.1. Offre
3.2. Demande
3.3. Facture pétrolière
3.4. Distribution
Section 4. Gaz à Madagascar
Chapitre 2. Problèmes de Madagascar en Matière de Fourniture Energétique
Section 1. Dépendance vis-à-vis des Importations d’Hydrocarbures
Section 2. Problème de Distribution Intérieure
Section 3. Problèmes de la Compagnie Nationale d’Electricité : La JIRAMA
3.1. Production qui n’arrive pas à satisfaire une demande croissante
3.2. Prix élevé.
3.3. Faible pouvoir d’investissement
Chapitre 3. Facteurs à l’Origine des Problèmes Energétiques à Madagascar
Section 1. Politique Energétique Malagasy et Insuffisance de Moyens
Section 2. Prépondérance des Centrales Thermiques
Section 3. Facteurs à l’Origine du Faible Pouvoir d’Investissement de la JIRAMA
Partie 2. Perspectives
Chapitre 1. Perspectives si Aucune Action n’Est Entreprise pour Remédier aux Problèmes Energétiques de Madagascar
Section 1. Manque d’Energie Va se Renforcer à Madagascar
1.1. Très faible électrification du pays et ses conséquences multiples
1.1.1. Industrie
1.1.2. Tourisme
1.1.3. Services hospitaliers
1.1.4. Universités
Section 2. Intensification des Problèmes dans le Monde Rural
Section 3. Difficultés Multiples dans les Grandes Villes
Section 4. Augmentation des Atteintes à l’Environnement, à la Vie et la Santé des Malgaches
Chapitre 2. Options qui s’Offrent à Madagascar en Matière de Fourniture Energétique
Section 1. Politique Energétique Malagasy
1.1. Objectif spécifique 1 : Renforcer la bonne gouvernance et sécuriser les investissements privés
1.2. Objectif spécifique 2 : Augmenter l’accès à l’électricité
1.2.1. Orientations stratégiques
1.2.2. Programmes et activités
1.3. Objectif spécifique 3 : Satisfaire durablement les besoins en bois énergie
1.4. Objectif spécifique 4 : Améliorer l’exploitation des ressources d’énergie locales
1.4.1. Axes stratégiques
1.4.2. Programmes / Activités
1.5. Objectif spécifique 5 : Renforcer l’appui au développement du secteur énergie
1.6. Objectif spécifique 6 : Promouvoir l’économie d’énergie / Efficacité énergétique .
Section 2. Energies Renouvelables
2.1. Avantages et limites de l’énergie solaire
2.1.1. Quels sont les avantages de l’énergie solaire ?
2.1.1.1. Avantages économiques
2.1.1.2. Avantages environnementaux
2.1.1.3. Avantages sociaux
2.1.1.4. Avantages techniques
2.1.2. Quels sont les limites de l’énergie solaire ?
2.1.3. Les enjeux de l’énergie solaire à Madagascar
2.2. Atouts et désavantages de l’énergie éolienne
2.2.1. Quels sont les atouts de l’utilisation de l’énergie éolienne ?
2.2.2. Les inconvénients de l’énergie éolienne
2.2.3. Les enjeux de l’utilisation de l’énergie éolienne à Madagascar
2.3. Energie hydraulique : avantages et inconvénients
2.3.1. Quels sont les avantages de l’utilisation de l’énergie hydraulique ?
2.3.2. Quels sont les inconvénients de l’utilisation de l’énergie hydroélectriques ?
2.3.3. Quels sont les enjeux de l’utilisation de l’énergie hydroélectrique à Madagascar ?
2.4. Avantages et inconvénients de l’énergie géothermique
2.4.1. Avantages
2.4.2. Inconvénients
2.4.3. Enjeux de l’énergie géothermique à Madagascar
2.4.3.1. Résumé des résultats
2.4.3.2. Recommandations pour des recherches géothermiques ultérieures
2.4.3.3. Zones de Protection – Discussion
2.4.3.4. Températures souterraines dans les différentes zones géothermiques de Madagascar
2.5. Energies biomassiques
2.5.1. Bagasse
2.5.2. Mélasse
2.5.3. Biocarburant et biocombustible
2.5.4. Balle de riz
2.5.5. Biogaz et déchets
2.5.6. Bois énergie
Section 3. Autres Sources Potentielles d’Energies à Madagascar : les Ressources en Energie Fossile
3.1. Pétrole : ces points forts et ses points faibles
3.1.1. Quels sont les avantages et les inconvénients de l’exploitation du pétrole ?
3.1.2. Situation et perspectives de l’exploitation du pétrole à Madagascar
3.2. Charbon : enjeux au niveau mondial et perspectives à Madagascar
3.2.1. Quels sont les avantages et les désavantages de l’exploitation du charbon ?
3.2.2. Perspectives d’avenir de l’exploitation du charbon à Madagascar
3.3. Lignite et tourbe
3.4. Uranium : enjeux et perspective de l’énergie nucléaire
3.4.1. Les aspects techniques et les moyens de production
3.4.2. La sécurité et les risques nucléaires
3.4.3. Le débat nucléaire : enjeux et perspectives
3.4.4. Les facteurs influant sur l’expansion de l’énergie nucléaire
3.4.4.1. Sécurité d’approvisionnement
3.4.4.2. Caractéristiques économiques de la production d’électricité d’origine nucléaire
3.4.4.3. Confiance du public
3.4.4.4. Confiance des compagnies d’électricité
3.5. Nécessité d’une complémentarité entre les énergies renouvelables et nucléaires ?
Conclusion
Bibliographie
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