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ETUDE DE LA PLANTE : POUPARTIA CAFFRA
Historique et distribution
Des recherches archéologiques ont prouvé que les fruits de Sakoa ont été connus et consommés par les humains depuis près de 9000 à 10000 ans avant Jésus-Christ. A cette époque, ces fruits complétaient l’alimentation jusqu’à la récolte en Avril à Mai [9] .
Le nom « Sclerocary », synonyme de Poupartia, dérive de 2 mots grecs «skleros » qui signifie « dur » et « karyon » signifiant « noix » se référant au dur noix du ruitf. « Caffra » dérive de «Kaffaria » synonyme de « Birrea= birr », le nom commun de l’arbre au Sénégal.
En outre, « Caffra » vient du mot hébreux, «kafir » qui veut dire « paysan » [36].
Poupartia caffra , une plante introduite à Madagascar [17][20][33], est originaire d’Afrique australe et orientale [42]. Ceci explique sa présence dans certains pays comme le Botswana [4][17][26], le Zimbabwe, la Tanzanie, l’Angola, le Malawi, l’Ethiopie [16], où elle est connue sous le nom anglais « Marula » [18]. Elle est aussi plantée à Maurice [29] . A Madagascar, Poupartia caffra est très répandue dans tout l’Ouest en dessous de 500m d’altitude [44] et reçoit l’appellation de Sakoa.
Morphologie
Systématique
Règne : végétal
Embranchement : Gymnospermes
Classe : Dicotylédones
Sous-classe : Rosidées
Ordre : Sapendales [22]
Famille : Anacardiacées [36]
Genre : Poupartia ou Sclerocarya ou Shakua
Espèce : Poupartia caffra Sond. H. Perrier.[20]
Synonymes : Sclerocarya caffra Sonder [20]
Shakua excelsa Bojer [33]
Sclerocarya shakua Baker
Sclerocarya birrea Kalkm.[20]
Spondias birrea A. Rich.[20]
Poupartia birrea °
Commiphora subglauca Engl.
Sclerocarya schweinfurthiana Schinz [17]
Noms vernaculaires : Maroola ou Marula en République Sud Africaine
Sakoana dans le triangle Nord de Madagascar: DiégoSuarez, Majunga, Tamatave
Sakoa dans la partie sud Ouest et extrême Sud malgache[33]
Première partie : Contexte général de l’étude 7
Les références bibliographiques montrent que l’appellation de Poupartia caffra dépend des zones. Cependant, elle est connue spécifquement par « Sakoa » à l’échelle du territoire malgache.
Port
Poupartia caffra est un arbre de 10 à 15m, à port de grand pommier et à branches étalées. Les fleurs apparaissent souvent avant lesfeuilles et les rameaux sont épais (8 à 10mm de diamètre aux extrémités) [29] [44].
Feuilles
Les feuilles sont caduques et alternes sur les tiges en voie rapide de croissance. Les folioles sont minces et membraneuses et des inflorescences peuvent être groupées ou solitaires à l’aisselle de la pousse feuillée.
Fruits
Le fruit est sphérique ou un peu obovale, jaunâtre à maturité, assez variable de forme et de grosseur (4x3cm le plus souvent) ; peu charnu et de pulpe acidulé. Des mesures sur 30 fruits confondus ont permis de se rendre compte de la forme et de grosseur très variable du fruit de Poupartia. La taille varie de 10x10cm à 12x12cm. Le noyau tr ès dur, le plus souvent un peu obovale (3x2cm) renferme un embryon huileux, blanc, à cotylédons épais et charnus, linéaires et très allongés à la fin sur la jeune plantule.
Les fruits sont souvent décrits comme très parfumésen dégageant une odeur de térébenthine caractéristique de la famille, comestibles, acidulés et désaltérants [43].
Fructification
Evolution du fruit
La floraison apparaît aux mois de Septembre et Octobre tandis que la fructification aux mois de Janvier, Février et Mars [29]. Cette fructification ne concerne que les pieds femelles. Les pieds mâles fleurissent mais sont stériles.
Comme tous les fruits, Poupartia subit physiologiquement 3 phases:
la phase de développement pendant laquelle l’ovule fécondé se développe en fruit qui grossit progressivement ;
la phase de maturation durant laquelle des modifications biochimiques entraînent le changement de la couleur, de l’odeur, du goût et de l’aspect du fruit et ;
la phase de sénescence où les tissus du fruit vieilissent naturellement, se ramollissent et s’acheminent vers la décomposition. Cette désorganisation entraîne le pourrissement du fruit.
La figure 3 illustre la constatation de l’évolution de la coloration des fruits de Poupartia par rapport aux niveaux de maturation.
Milieu de développement de Poupartia caffra
Poupartia caffra pousse un peu partout, sur les plaines, les plateaux, les collines mais rarement sur les montagnes et les zones inondées. Cette plante craint les basses températures et s’adapte plus aux forêts sèches de l’Ouest qu’aux forêts tropicales de la côte orientale de l’île [36]. La région du Sud Ouest de Madagascar représente l’une des zones favorables à son développement.
Climat
Poupartia caffra se développe dans un climat semi-aride à longue période sèche (7 à 9 mois), à laquelle se succède une brève saison de pluies, parfois aléatoire, souvent très irrégulière et toujours pauvre en précipitations [41].
Température
La région de Betioky a une température moyenne annuelle de 24°6 où les mois les plus chauds se situent au mois de Janvier et Févrie et les mois les plus froids sont en Juin et juillet. Le grossissement et la maturité des fruitsde Poupartia nécessitent l’intervention de la chaleur (27°C) car la période de fructification est de Janvier à Mars [41][45].
Pluviométrie
La saison pluvieuse (Novembre à Mars) est favorable à la fructification de Poupartia ; la région connaît une pluviométrie entre 80 à 160mmpar an en moyenne [41].
Vent
Dans le sud ouest, l’alizé qui franchit la falaise orientale est sec, ce qui fait que la région n’est pas réellement une zone cyclonique. Ainsi, l’implantation d’une unité n’est pas à craindre. Cependant, des infrastructures doivent être envisagées pour faire face à de fortes précipitations entraînant des inondations catastrophiques [40].
Hydrographie et sols
La région du Sud Ouest est marquée entre autres parla présence de deux cours d’eaux : Sakamena et Sakoa. Les interactions locales de l’hydrographie avec le climat engendrent différentes sortes de sols :
sols ferrugineux tropicaux (beiges) qui sont de médiocre fertilité, caractéristiques de la pédologie de Betioky ;
sols ferralitiques (rouges) qui sont associés à une savane arbustive ; sols hydromorphes gorgés d’eaux en permanence ou temporaire [41].
Sclerocarya caffra peut se trouver sur tous les types de terrains [45] mais pousse abondamment sur les sols rouges calciques de l’Ouest et se plaît surtout sur les tanety. Le sol sous savane à Sclerocarya caffra contient de la montmorillonite, de la kaolinite et des traces d’illites. Ces argiles sont contenues dans le calcaire. [36].
Végétation
Dans le Sud Ouest, on trouve le Poupartia caffra sur les plateaux calcaires intérieurs ; notamment entre le fleuve Mangoky et la rivière Manombo et entre la rivière Manambo et le fleuve Onilahy. Il se développe avec des graminées :danga ou Ahidambo (Heteropogon contortus), vero( Hyparrhenia rufa) [41]. Les espèces suivantes sont souvent aussi inséparables de cette plante : tsingilofilo ou Gymnosporia linearis, Celastracées ; pisopiso ou Koehneria madagascariensis, Lytracées ; manjakambanikily ou Enterospermum sp, Rubiacées ; hafindrakemba ou Acacia fanersiana, Fabacées;
lamonty ou Flacourtia ramontchi, Flacourtiacées. [36]
Poupartia caffra s’adapte à la forêt sèche tropophile [45]. Les graminées se développent mal sous son ombrage [29].
Utilisations de Poupartia caffra
Une enquête a été menée auprès des villageois deségionsr de Beza-Mahafaly, de Betioky et d’Andranovory. Ces lieux ont été choisis par lefait qu’ils regorgent des pieds de Poupartia caffra. L’objectif de l’enquête est de faire une étude globale sur les utilisations empiriques des diverses parties de l’arbre.
L’enquête a révélé qu’il est possible d’utiliser utesto les parties de Poupartia caffra : le bois et l’écorce, les feuilles et les fruits ( pulpe et amandes). Par ailleurs, le sakoa compte parmi les rares plantes pouvant donner de l’ombrage important. Certains pieds, en général, pieds mâles, sont des arbres sacrés ou Sakoapahasivy, sur lesquels sont déposées des offrandes, suite à des vœux réalisés. [36]
La littérature [45] montre que ses vertus thérapeutiques l’orientent vers son utilisation médicinale : antiseptique, astringent, carie, dermatose, diarrhée, lavage gynécologique, piqûres d’insectes, prurit bilharzien, sédatif, uréthrite.Les racines en macéré permettent par exemple de lutter contre les caries, les maux de dents et de panser les plaies.
Le bois et l’écorce
Chez les Antandroy, le tronc de l’arbre sert à conserver le cadavre de leur proche lorsque la famille en deuil ne dispose pas de la somme indispensable pour l’enterrement.
Une enquête menée à Beza Mahafaly a permis de savoir que le bois du sakoa est très dur et tenace [45], et donc utilisé pour la confection de charrette, de piloir et même de cerceuils.. Au Zimbabwe, en Transvaal et au Kenya, c’est une matière première pour la fabrication d’assiettes, de bols, de tambours et de jouets [44].
Dans la région d’Andranovory, les branches sont couramment utilisées comme charbon de bois. Pourtant, elles ne donnent que des combustibles de mauvaise qualité [36]. L’arbre agit aussi contre la dégradation du sol [45] car les racines sont très ramifiées et peuvent atteindre 5m à la ronde.
A Madagascar, l’écorce de l’arbre contiendrait 3,5% de tanin [44] ce qui lui confère la propriété de coagulant [37] et d’être astringent. eDplus, le tronc abrite en abondance de la gomme et de la résine [45].
En outre, c’est un arbre qui résiste à la sécheresse et au feu [20][29]. En effet, son écorce subéreuse et tannifère est épaisse et le protège contre les feux de brousse. L’arbre constitue alors une essence possible de reboisement en tant que pare-feu [45].
La population locale utilise l’écorce des tiges en macéré ou décocté comme un remède contre l’angine, la dysenterie, l’eczéma, les maux de dents, et pour la toilette intime [36]. Elle est aussi employée pour le traitement du diabète etde la diarrhée. Elle est excellente pour les applications dermatologiques (piqûres, plaies, blessures…). Elle est également utilisée pour éviter de devenir chauve dans la médecine traditionelle. Pour cela, il faut laver quotidiennement les cheveux avec sa décoction. Une liste d’indications thérapeutiques est présentée en annexe II.
La teinturerie est un autre domaine d’utilisation de l’écorce, qui grâce au tannin, possède une propriété tinctoriale: elle permet d’obtenir une teinture de couleur kaki des tenues vestimentaires et des tissus de raphia.[34].
Les feuilles
Les feuilles et les bourgeons sont très riches en flavonosides.
La décoction des feuilles donne un produit agissantcontre la diarrhée, la dysenterie, la carie et l’infection transplacentaire [45]. L’usage des feuilles pilées permet de soigner les fièvres et le furoncle par voie orale.
Les feuilles sont également consommées par les lémuriens.
Les fruits
Les fruits sont très riches en Vitamine C car la pulpe contient 4 à 8 fois plus de vitamine C que le jus d’orange, soit 200 à 400 mg/1 00 g [38]. Ceci leur confère des propriétés diététiques et le pouvoir de compenser la déficienc nutritionnelle des enfants qui les consomment en abondance. Le sakoa est également plus riche en vitamine C que les agrumes et la goyave qui en contient 160 mg pour 100g. En Afrique.
En Afrique du Sud, le jus de fruits de Poupartia caffra est utilisé dans la cérémonie religieuse des Shangana.
Les fruits servent également à fabriquer de l’alcool. En Namibie, par exemple, les fruits séchés sont fermentés pour produire une forte liqueur appelée «ombike » ou « katsihipembe ». Les fruits frais sont pressés et donnent différentes catégories de vins et de bières, mais sont aussi aptes à la fabrication de boisson non alcoolique.
En Mozambique, ces fruits sont à l’origine de boiss on alcoolique nommée «ucanhe » ou « bucanhe »[28].
A Madagascar.
D’après nos observations, le fruit donne une très mauvaise odeur en pourrissant. Comme les feuilles, il est apprécié par les lémuriens [45].
Dans les villages d’Antevamena et de Bezaha, les fruits sont généralement consommés par les enfants. En fait, ils possèdent une épaisseexocarpe renfermant une chair mucilagineuse et juteuse adhérant étroitement au noyau. Le jus nepeut être récupéré que par la succion [20]. Ainsi, les fruits peuvent être consommés frais, juste après la collecte.
La noix
Les amandes contenues dans la noix sont comestibles et peuvent être utilisées en apéritif [45]. Dans les villages voisins de Beza Mahafaly, les noix séchées sont broyées à l’aide de pierre pour en extraire les amandes, qui sont alors consommées comme des pistaches. En Mozambique, les Ronga, les substituent réellement aux pistaches [13].
Dans le village d’Antevamena, les amandes broyées sont cuites à la poêle, puis ajoutées aux feuilles de manioc pilées. Dans la région de Betioky, un villageois affirme que la cuisson de l’amande permet d’extraire de l’huile se rvant à soigner les brûlés pour lesquels une nette amélioration peut être observée au bout de uxde jours.
L’huile de Poupartia caffra présente des propriétés cosmétologiques importantes. C’est à la fois un insecticide et un hydratant de l a peau [9]. La substance hydratante est obtenue par la cuisson des noix et est commercialisée sous le nom de «Sokoa oil » à Madagascar [37]. D’ailleurs il a déjà été démontréque l’huile possède des propriétés excellentes pour les applications dermatologiques [34] .Des formules de crème à base d’huile de Poupartia caffra sont présentées en annexe III.
Elle est riche en protéine et en iode [13]. L’huile du sakoa est également utilisée pour la cuisine et la médecine. L’insaponifiable de l’huile contient de la vitamine E agissant contre le vieillissement de la peau et comme toute huile végétale, l’huile peut contenir de la vitamine A ayant pour effet de traiter l’acné [34].
Multiplication de Poupartia caffra
Poupartia caffra est une plante dioïque très féconde dont les fruits sont très nombreux. La multiplication est assurée naturellement par la noix [37]. Les graines sont disséminées par les lémuriens et les Potamochères arp voie intestinale [29]. L’embryon contenu dans le fruit, grâce à ses réserves, s’allo nge pour former la jeune plantule qui sortira à la levée, en Octobre. Cette levée des graines correspond à la période de pratique de feux de brousse, durant laquelle les jeunes plantules sont encore vulnérables. Pour pallier à la difficulté de régénération qui en découle, le bouturage peut être réalisé (figure 4). Les conditions de culture de Poupartia caffra sont présentées en annexe IV.
Le rejet des souches est possible et observé sur les pieds abattus poussant sur les terrains de culture [37].
Un essai de culture a été effectué par un villageois de Betioky en adoptant le procédé suivant : les graines sont séchées, puis broyées,t eles amandes sont ensemencées sur un sol riche en matières organiques. Des jeunes pousses sont obtenues au bout de 15 jours. Ces pousses sont alors replantées.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : CONTEXTE GENERAL DE L’ETUDE
CHAPITRE1 : METHODOLOGIE DE RECHERCHE.
A- Problématique
B- Définition des objectifs.
C- Conduite de la recherche
D- Echantillonnage
1- Constitution de l’échantillon primaire
2- Réduction de l’échantillon
CHAPITRE 2 : ETUDE DE LA PLANTE : POUPARTIA CAFFRA
A- Historique et distribution
B- Morphologie
1- Systématique
2- Port
3- Feuilles
4- Fruits
C- Fructification
1- Evolution du fruit
2- Conservation du fruit
D- Milieu de développement de Poupartia caffra
1- Climat
1-1-Température
1-2- Pluviométrie
1-3 Vent
2- Hydrographie et sols
3- Végétation
E- Utilisations de Poupartia caffra
1- Bois et l’écorce
2- Feuilles
3- Fruits
4- Noix
F- Multiplication de Poupartia caffra
G- Ennemis de Poupartia caffra
H- Autres espèces du genre Poupartia
CHAPITRE 3 : SITUATION DE LA FILIERE FRUIT.
A- Zones de production de fruits
B- Situation de la transformation des fruits à Madagascar.
C- Marché des fruits de Madagascar.
D- Cas du jus de fruits
CHAPITRE 4 : SITUATION DE LA FILIERE OLEAGINEUX
A- Production d’oléagineux à Madagascar
B- Production d’huile
C- Industries des corps gras malgaches
CONCLUSION PARTIELLE I
DEUXIEME PARTIE : TECHNOLOGIE DE TRANSFORMATION
CHAPITRE 1 : CARACTERISTIQUES DU FRUIT FRAIS DE POUPARTIA CAFFRA
A- Matériels et méthodes
1- Acidité
2- Degré Brix
3- pH
4- Teneur en eau
5- Dosage des protéines
6- Dosage des matières grasses
7- Dosage des cendres brutes
8- Dosage des glucides totaux
9- Dosage de la vitamine A
B- Résultats et interprétations
1- Composition en poids.
2- Composition physico-chimique du fruit
3- Composition nutritionnelle du fruit
CHAPITRE 3 : TRANSFORMATION EN JUS DE FRUITS
I- Commerce mondial des jus de fruits
II- Dénominations
III- Qualités technologiques du fruit de Poupartia caffra à transformer
IV- Fabrication du jus de Sakoa
IV-1 Diagramme de fabrication
IV-2- Prétraitements
IV-2-1- Triage
IV-2-2- Découpage
IV-2-3- Lavage
IV-3- Extraction
IV-3-1- Extraction par hydrodiffusion
a- Définition
b- Principe
c- Rendement en jus
IV-3-2- Extraction par centrifugation
a- Définition
b- Principe
c- Rendement en jus
IV-3-3-Extraction par macération dans l’eau
IV-3-4- Extraction à l’eau
a- Généralités
b- Principe
V-4- Filtration
IV-5- Sucrage
IV-6- Mise en bouteilles
IV-7- Traitement thermique
IV-8- Refroidissement
V- Caractéristiques du jus
V-1- Matériels et méthodes
V-2-Résultats et interprétations
a- Eau
b- Matières sèches
c- Sucres
d- Cendres
VI- Analyses microbiologiques
VI-1- Buts
VI-2- Critères microbiologiques
VI-3- Résultats et interprétations
VII- Analyse sensorielle
VII-1-Buts
VII-2-Nature de l’épreuve
VII-3- Résultats et interprétations
CHAPITRE 4 : EXTRACTION DE L’HUILE.
I- Généralités sur les huiles
II- Caractéristiques de l’amande
III- Diagramme de fabrication
III-1- Séchage
III-2- Stockage
III-3- Concassage
III-4- Broyage
III-5- Extraction de l’huile
IV- Détermination des indices caractéristiques de l’huile
IV-1- Matériels et méthodes
IV-1-1- Indice d’acide
IV-1-2- Indice de saponification
IV-1-3- Indice de réfraction
IV-1-4- Densité
IV-2- Résultats et interprétations
V- Détermination de la composition en acides gras
V-1- Principe de la CPG
V-2- Préparation
V-3- Résultats et interprétations
CONCLUSION PARTIELLE II
TROISIEME PARTIE : ETUDE DE FAISABILITE TECHNIQUE ET ECONOMIQUE D’UNE UNITE DE TRANSFORMATION
I –IMPLANTATION.
I-1- Objectifs de l’implantation d’une unité
I-2- Choix du lieu d’implantation
II- L’UNITE DE TRANSFORMATION
II-1- Choix du type d’unité
II-2- Choix de la forme de l’unité
III- Prix des produits sur le marché
III-1- Jus de fruits
III-2- Huile
IV- Choix du procédé
IV-1- L’extraction de l’huile
V-3- Epuration
V- Ingénierie et technologie
V-1- Processus de production
V-2- Capacité de l’installation
VI- Liste des matériels
VII- Organisation
VIII- Etude de rentabilité
VIII-1- Investissement
VIII-2- Amortissement
VIII-3- Charges diverses
VIII-4- Charges du personnel
VIII-5- Charges prévisionnelles
VIII-6- Recettes prévisionnelles
VIII-7- Résultats d’exploitation
CONCLUSION PARTIELLE III
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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