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Caractéristiques de l’aviculture semi-industrielle
Ce type d’aviculture se caractérise par l’élevage des volailles de souches exotiques ; les plus fréquentes au Sénégal sont pour la filière ponte : Lohman Blanche et Rouge, Hy Line Blanche et Rouge, Harco, Gold Line, Shaver et Star Cross ; et pour la filière chair : Cobb 500, Hubbard, Ross 208, Vedette. Ces souches sont génétiquement améliorées et douées de bonnes performances, ce qui permet l’accroissement rapide du cheptel de la volaille industrielle. (Traoré, 2006). L’aviculture semi-industrielle est surtout concentrée dans la zone agro-écologique ou géo-écologique dite des Niayes : la région de Dakar abrite plus de 80 % des activités, la région de Thiès environ 15 % et la région de Saint-Louis 3 % (Traoré, 2006) . Elle enregistre de bonnes performances comparables, chez certains éleveurs, à celles obtenues dans les pays développés à climat tempéré: (i) un poids moyen de 1,5 à 2 kg en 45 jours d’élevage pour les poulets de chair et (ii) une ponte annuelle qui varie entre 260 et 280 œufs par poule et par année de ponte (RIDAF, 2006). La zone des Niayes présente, durant certaines périodes de l’année, des conditions climatiques favorables à l’élevage des souches exploitées.
L’aviculture moderne se caractérise par le fait que la vie de l’oiseau est réglée dans les moindres détails par l’aviculteur. Celui-ci utilise des races améliorées qui reçoivent un aliment complet en quantité bien définie, bénéficient d’une protection sanitaire et médicale et sont logées dans des conditions régulièrement contrôléesEn. fonction des objectifs, l’aviculture moderne connaît quatre types d’organisation :
la production de poulets de chair,
la production « ponte », qui représente des élevages ne produisant que des œufs de consommation,
la production mixte, représentant l’association des deux productions précédentes. L’élevage de reproducteurs (souches parentales).
Les lignées génétiques de poulets de chair et de pondeuses sont tout à fait distinctes. L’élevage mixte induit une difficulté sanitaire supplémentaire, du fait de la différence du mode d’élevage (élevage uniquement pendant la croissance de l’animal dans un cas, ou élevage prolongé pendant l’âge adulte dans l’autre).
Performances zootechniques des poulets de chair
Les performances zootechniques de croissance enregistrées chez les poulets de chair au Sénégal et en Afrique subsaharienne sont rapportées dans tableau V. Ces performances sont meilleures par rapport à celles enregistrées chez les poulets locaux.
Poids vif et vitesse de croissance
La croissance constitue l’ensemble des manifestations qui se produisent entre la fécondation et l’épanouissement complet •de l’oiseau. Elle comporte le processus de multiplication et d’extension des cellules, qui se traduit du point de vue macroscopique par une augmentation de la taille et du poids de l’animal, dédoublée d’une différentiation des éléments de l’organisme (Sall, 1990).
Chez le poulet de chair, la croissance est très rapide, le poussin pouvant passer de 38 g à 1 jour à 2 kg voir plus à 7 semaines d’âge ( Smith, 1990). Les poids vifs obtenus dans divers pays de l’Afrique subsaharienne sont enregistrés dans le tableau V. Le poids vif à la naissance enregistré chez les poussins varie de 39,5 à 43 g, avec un poids moyen autour de 41g. Ces résultats sont supérieurs à ceux obtenus parMissohou et al., (1996) au Sénégal , qui ont rapporté un poids de 38,2 g. A l’opposé,Andela (2008) avait rapporté un poids vif moyen de 44,7 g au Sénégal.
Les poulets de chair de 03, 04, 05 et 06 semaines d’âge, pèsent respectivement autour de 353-905 g, 705,08-1312 g, 1200-1700 g et 991-2210 g (TableauV). A ces âges respectifs, des poids moyens de 475,76 g, 877,69 g, 1292,10 et 1871,91 g ont été obtenus par Ayssiwèdé etal., (2009). De pareils résultats ont été obtenus parKone (2010) au Sénégal où les poulets ont pesé respectivement à ces mêmes âges, 694,07 g, 1121,04 g, 1469,7 g et 1648,26 g. Chez les poulets de chair au Soudan, le GMQ est de 32,30 g durant les 42 premiers jours (Mukhtar, 2007). De 3 à 6 semaines d’âge, les GMQ obtenus dans différents pays africains varient entre 30,4 et 67,08 g (tableau V). Cependant, Sagna (2010) a rapporté au Sénégal des poids vifs légèrement supérieurs, qui sont de l’ordre de 341,99 g et 2271,91 g respectivement à 2 et 6 semaines d’âge ainsi que des GMQ de 73,38 g et 77,39 g respectivement à 4 et 6 semaines d’âge.
En effet, cette forte croissance va de paire avec une efficacité alimentaire élevée. La croissance du poulet de chair dépend aussi bien des facteurs intrinsèques que des facteurs extrinsèques.
Ainsi, la plupart des études réalisées dans ce domaine semblent montrer l’existence d’une variabilité génétique.Giordani et al., (1993) ont montré en comparant 3 souches commerciales (Cobb 500, Ross 208, Ross 308), qu’il existe des différences significatives de poids à 8 semaines ; c’est ainsi qu’ils ont obtenu chez les mâles des poids de 3,23 kg, de 3,36 kg et de 3,45 kg et chez les femelles des poids de 2,60 kg, de 2,80 kg et de 2,92 kg, respectivement, pour Cobb 500, Ross 208 et Ross 308. Ces résultats sont corroborés par les travaux de Marks (1980); Ousséini (1990) et Ledur et al., (1992). Pour Marks (1980), les potentialités génétiques de croissance de chaque souche ne s’expriment qu’à partir de la première semaine de vie. Selon Rekhis (2002), les mâles ont un niveau de croissance supérieur à celui des femelles et il estime cette différence de 10 à 15% à 42 jours d’âge. Pour Smith (1990), cette différence de poids à 8 semaines est faible, elle est de 200 g environ, ce qui peut justifier la pratique de l’élevage mixte (mâles et femelles élevés ensemble) dans cette filière.
Consommation et efficacité alimentaire
La consommation alimentaire constitue un élément clé dans la réussite de tout élevage. En aviculture, l’aliment influence par sa quantité mais surtout par sa qualité les performances de croissance du poulet de chair. L’efficacité alimentaire est l’aptitude de la volaille à transformer les aliments en production (croit, œufs).
La consommation alimentaire obtenue par divers auteurs chez les poulets de chair de 3 à 6 semaines d’âge varie de 82,51 à 158,4 g/jr (tableau V). Sur les 42 premiers jours d’âge, la consommation alimentaire est de 59,42g/jr au Soudan (Mukhtar, 2007). Pour Missohou et al., (1996), la consommation alimentaire est de 42,1 g/j en croissance et de 116,1g/j en finition chez les cobb 500.
La consommation alimentaire présente de variations saisonnières et devient plus élevée pendant la saison sèche et froide. Beaucoup d’auteurs ont rapporté un effet significatif du génotype sur la consommation alimentaire (Okwuosa et al., 1990, Garcia et al., 1992), sur l’efficacité alimentaire (Malone et al., 1979 ; Stewart et al., 1980; Leclercq, 1989;
Giordani et al., 1993). Selon Marks (1980), des différences de consommation alimentaire sont décelables à l’âge d’un jour et détermineraient la croissance de chaque souche. Il existe donc selon lui une relation directe entre l’appétit et le poids corporel.
En effet, au cours des premières semaines d’élevage, les poulets de chair ont une croissance rapide et un indice de consommation (rapport entre le poids de l’aliment consommé et le gain de poids de l’animal) faible. Cet indice de consommation chez les poulets de chair de 0 à 42 jours est de 1,8 au Soudan (Mukhtar, 2007) et de 1,95 au Sénégal(Ciewe, 2006). Les résultats des différents travaux en Afrique subsaharienne rapportent un indice qui varie entre 2,01 et 2,72 de 3 à 6 semaines d’âge avec donc une moyenne de 2,36 (Tableau V). Ces résultats sont corroborés par ceux obtenus parSagna (2010) et Andela (2008) au Sénégal.
En effet, l’indice de consommation (IC) est compris entre 1 et 2 avant 3 semaines d’âge et peut dépasser 3 en fin de croissance (IEMVT, 1991). Cette détérioration de l’indice de consommation est due, entre autres, à l’augmentation de la part relative du gras dans le croît (Leclercq, 1989) et explique les abattages précoces (6-8 semaines d’âge) dans les élevages de poulets de chair.
Caractéristiques de la carcasse et des organes
Le tableau V présente les rendements carcasses obtenus par divers auteurs. Au Sénégal, Ayssiwèdé etal., (2009) et Ayessou et al., (2009) ont obtenu respectivement des rendements carcasse de 84,5% et de 88,7%. Ces résultats sont similaires à ceux obtenus par Andela, (2008) et Kone (2010) qui ont obtenu respectivement des rendements carcasse de 87% et 87,57%. Contrairement à ceux-ci, Missohou et al., (1996) ont obtenu un rendement carcasse nettement inférieur et qui est de l’ordre de 78,4%. Egalement pour ces derniers, le gésier, le foie et le cœur ont pesé respectivement 62,9 g ; 49,9 g et 12,1 g pour des proportions respectives de 4,0%, 2,72% et 0,8% du poids avec une quantité de gras de 53,2g soit 3,1%. Ces résultats sont contraires à ceux obtenus par Mukhtar, (2007) au Soudan : 2,22% pour le foie, 1,21% pour le gras abdominal et 0,16 % pour le pancréas.
En effet, Garcia (1992) n’a pas observé d’effet souche ni sur le rendement d’abattage ni sur la composition corporelle alors que Giordani et al., (1993) ont montré des différences significatives de poids de gras abdominal entre trois (3) génotypes de poulets de chair.
A partir de races pures, différents auteurs ont pu obtenir par sélection divergente des lignées maigres et grasses qui différent par leur composition corporelle. Les lignées maigres ont plus de muscle et moins de gras que les lignées grasses (Ricard et al., 1982 ; Leclercq, 1989) parce qu’elles orientent préférentiellement l’énergie métabolisable des aliments vers la synthèse des protéines.
CONTRAINTES MAJEURES DE L’AVICULTURE MODERNE AU SENEGAL ET EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE
Le développement de l’aviculture est essentiellement limité par des contraintes alimentaires, technico-économiques et pathologiques.
Contraintes alimentaires
Les volailles améliorées sont de grandes consommatrices de céréales, lesquelles constituent également la base de l’alimentation humaine. Cela se traduit par une sérieuse concurrence homme – volaille pour les céréales vivrières. En effet, l’alimentation représente plus de la moitié des coûts de production en aviculture moderne et cette alimentation n’est pas maîtrisée et reste tributaire de la production du maïs qui en est sa principale composante, mais aussi du prix et de la qualité des intrants (son de blé, prémix, etc). La jeune industrie sénégalaise de l’alimentation animale est confrontée en permanence à des problèmes d’approvisionnement en céréales. Une proportion importante des matières premières entrant dans la fabrication des aliments des volailles (le maïs par exemple), est donc importée, ce qui constitue une entrave au développement de l’aviculture moderne du fait de l’augmentation sans cesse du prix des matières premières (Etienne, 2002). En conséquence, les contraintes relevées portent essentiellement sur le coût élevé des ressources protéiques et les difficultés d’approvisionnement en matières premières, la rupture de l’approvisionnement des intrants (aliments volaille, produits vétérinaires) et l’étroitesse du marché.
Contraintes technico-économiques
On note une absence de professionnalisation dans la filière, car la plupart des employés des élevages avicoles ne sont pas qualifiés(Biagui, 2002). Ceci entraîne des défaillances observées dans l’application des normes techniques d’élevage qui sont à l’origine de mauvaises performances. A ceci s’ajoute la mauvaise conception des bâtiments, les vides sanitaires mal effectués et l’absence d’hygiène souvent constatée dans les fermes et qui ont des conséquences néfastes en élevage intensif(Biaou, 1995). En effet, la mauvaise conception des bâtiments ne favorise pas la maîtrise des facteurs de risque liés à l’environnement tels que la température, l’hygrométrie, les vents, gaz
Du point de vue économique, les producteurs éprouvent d’énormes difficultés pour obtenir des financements nécessaires à l’achat des équipements avicoles (Habamenshi, 1994). La mauvaise organisation du marché et les problèmes de commercialisation sont liés à l’absence chez l’éleveur d’une politique de vente du type « vendre avant de produire ». Ainsi, l’éloignement entre lieu de production et lieu de consommation, l’inexistence d’une chaîne du froid et de moyens de conservation au niveau des éleveurs, le non respect de contrats de livraison sont autant de points faibles qui fragilisent la filière. En conséquence, beaucoup d’aviculteurs sénégalais se limitent à des opérations ponctuelles liées à des festivités d’origine religieuse, coutumière ou familiale (SENEGAL/MA/DIREL, 1995).
Contraintes pathologiques
La figure 3 présente les pathologies les plus fréquentes en aviculture semi-industrielle au Sénégal. L’aviculture moderne est soumise à une forte pression pathologique qui limite son épanouissement. Cette forte pression est due principalement aux mauvaises conditions d’élevage et à des mesures sanitaires insuffisantes. Les affections les plus fréquentes sont la maladie de Gumboro, la maladie de Newcastle, la bronchite infectieuse, la maladie de Marek, les colibacilloses, la pullorose typhose (Salmonella gallinarum pullorum), les coccidioses, la mycoplasmose (Mycoplasma gallisepticum et M. synoviae) et certaines parasitoses. Les pathologies virales sont également fréquentes. Le tableau suivant présente la répartition des trois principales viroses dans les cheptels en fonction de leur nature (Arbelot et al. 1997).
ALIMENTATION ET UTILISATION DES RESSOURCES NON CONVENTIONNELLES : CAS DES GRAINES D’HIBISCUS SABDARIFFA
ALIMENTATION DE LA VOLAILLE
Rappel anatomo-physiologique de la digestion chez la volaille
L’appareil digestif des volailles est relativement court et apparaît très adapté pour transformer les aliments concentrés en éléments nutritifs. L’appareil digestif des oiseaux possède une grande efficacité digestive et d’absorption. Cela lui permet de bien valoriser la ration qui séjourne à peine 10 heures dans le tube digestif (Larbier et Leclercq, 1992). A comparer au tube digestif des monogastriques, ruminants, carnivores et autres, l’appareil digestif des oiseaux se distingue principalement par (figure 4) :
La présence d’un bec (constitué de 2 étuis cornés qui recouvrent les mandibules) en remplacement des lèvres chez les mammifères. Il sert à la préhension de l’aliment ; il est suivi d’une cavité buccale où se déverse le suc salivaire pour assurer la lubrification du bol alimentaire, faciliter son passage dans l’œsophage et humidifier en permanence la cavité bucco-pharyngée,
Le jabot est situé au point de départ de la partie intra-thoracique de l’œsophage. Il n’est qu’une simple dilatation œsophagienne et constitue un réservoir régulateur du transit digestif lorsque l’animal est conduit à ingérer une quantité importante d’aliment en peu de temps. Dans cette partie du tube digestif, l’aliment peut être humecté et ramolli sous l’effet des contractions plus ou moins rapides selon la région considérée. A l’exception, le jabot du pigeon produit le « lait de jabot »,
L’existence de deux estomacs successifs et distincts ; le ventricule succenturier encore appelé proventricule ou estomac chimique qui est le lieu de production du suc gastrique et du pèpsinogène grâce aux glandes tubulaires oxyntioc-peptiques logées dans sa paroi ; et le gésier ou l’estomac mécanique très musclé qui assure
l’homogénéisation, le broyage et le brassage du chyme alimentaire,
L’originalité de la partie terminale encore appelée cloaque est l’aboutissement à la fois du rectum et des voies uro-génitales. Cette particularité anatomique rend difficile la détermination de l’énergie digestible chez les oiseaux, conduisant ainsi dans la pratique à la mesure de l’énergie métabolisable. (Villate, 2001)
Besoins nutritionnels et recommandations alimentaires du poulet de chair
L’alimentation de base de laa volaille doit lui permettre de couvrir ses besoins d’entretien et de production et lui apporter en proportions convenables les différents minéraux, acides aminé et vitamines indispensables. Cette notion de besoin n’est pas absolue,, elle fait obligatoirement référence à un critère ou à un objectif : gain de poids recherché,, indice de consommation souhaité, qualité de carcasse désiré
Besoins en eau
Le corps de la poule et les œufs sont constitués respectivement de 60 et 65% d’eau. Les oiseaux régulent leur température corporelle par évaporation d’eau via le tractus respiratoire Les besoins en eau pour la thermorégulation sont donc élevés en milieu tropical. Ces besoin en eau sont de 0,5 à 1 ml/kc al de besoin énergétique chez la volaille,, soit 25-300 ml d’eau par jour (Larbier et Leclerc, 1 992). En général, les volailles consommmeraient environ deux foi plus d’eau que d’aliments, comme le montre le tableau VII.
En effet, l’eau d’abreuvemeent permet l’absorption d’éléments nutritifs et l’élimination de matières toxiques et son absence a des répercussions négativessuur les performances des oiseaux. Il est donc indisspensable qu’une eau propre et fraîchee leur soit apportée en permanence. Par ailleurs, la consommation d’eau augmente avec l’âge, le type de production et la température ambiante du poulailler(Bastianelli et Rudeaux, 2003). De même,Larbier et Leclerc (1992) rapportaient que les aliments riches en protéines conduisent à une légère surconsommation d’eau qui s’expliquerait par les mécanismes de digestion protéique et d’excrétion rénale d’acide urique. En effet, les oiseaux ont la particularité physiologique de résorber l’eau des urines lorsqu’ils n’en disposent pas en abondance dans leur abreuvement. Cette eau remonte le long du colon, provoquant la précipitation de l’acide urique sous forme d’urates.
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Table des matières
NTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : GENERALITES SUR L’AVICULTURE AU SENEGAL ET EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE
1.1 PRESENTATION DU SENEGAL
1.1.1 Données géographiques et climatiques
1.1.2 Données démographiques et administratives
1.1.3 Données socio – économiques
1.2 CARACTERISTIQUES DES ELEVAGES AVICOLES AU SENEGAL ET EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE
1.2.1 Système avicole traditionnel
1.2.1.1 Importance de l’aviculture traditionnelle
1.2.1.2 Caractéristiques et production de la volaille traditionnelle
1.2.2 Système d’élevage avicole moderne
1.2.2.1 Importance socioéconomique et nutritionnelle
1.2.2.2 Production avicole semi-industrielle
1.2.2.3 Caractéristiques de l’aviculture semi-industrielle
1.2.2.4 Performances zootechniques des poulets de chair
1.2.2.4.1 Poids vif et vitesse de croissance
1.2.2.4.2 Consommation et efficacité alimentaire
1.2.2.4.3 Caractéristiques de la carcasse et des organes
1.3 CONTRAINTES MAJEURS DE L’AVICULTURE MODERNE AU SENEGAL ET EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE
1.3.1 Contraintes alimentaires
1.3.2 Contraintes technico-économiques
1.3.3 Contraintes pathologiques
CHAPITRE II : ALIMENTATION ET UTILISATION DES RESSOURCES NON CONVENTIONNELLES : CAS DES GRAINES D’HIBISCUS SABDARIFFA
2.1 ALIMENTATION DE LA VOLAILLE
2.1.1 Rappel anatomo-physiologique de la digestion chez la volaille
2.1.2 Besoins nutritionnels et recommandations alimentaires du poulet de chair
2.1.2.1 Besoins en eau.
2.1.2.2 – Besoins en énergie
2.1.2.3 Besoins en protéines et en acides aminés essentiels
2.1.2.4 – Besoins en minéraux et en vitamines.
2.2 UTILISATION DES GRAINES D’HIBISCUS SABDARIFFA EN ALIMENTATION AVICOLE
2.2.1 Contexte d’utilisation de ressources alimentaires non conventionnelles (RANC)
2.2.2 Caractéristiques botaniques et agronomiques du Bissap (Hibiscus sabdariffa)
2.2.2.1 Caractéristiques botaniques
2.2.2.2 Caractéristiques agronomiques
2.2.3 Production et importance du bissap au Sénégal et en Afrique subsaharienne
2.2.3.1 – Importance d’Hibiscus sabdariffa
2.2.4 Valeurs nutritives et principales utilisations des graines de bissap
2.2.4.1 Composition nutritive
2.2.4.2 Facteurs antinutritionnels contenus dans les graines d’H. sabdariffa et principales méthodes de détoxification
2.2.4.3 – Utilisation des graines de bissap en alimentation avicole ou animale
2.2.5 Autres ressources non conventionnelles utilisables en aviculture
2.2.5.1 Feuilles de légumineuses
2.2.5.2 Graines de légumineuses utilisées en alimentation animale
2.2.5.3 Invertébrés et insectes utilisés en alimentation animale
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
1.1 INGREDIENTS ET FORMULATION DES RATIONS EXPERIMENTALES
1.1.1 Ingrédients utilisés.
1.1.2 Formulation et préparation des rations expérimentales
1.1.3 Analyses bromatologiques des aliments
1.2 CHEPTEL EXPERIMENTAL
1.2.1 Période et lieu de l’étude
1.2.2 Conduite d’élevage
1.2.2.1 Préparation du bâtiment et du matériel d’élevage
1.2.2.2 Réception des poussins
1.2.2.3 Transfert, identification et mise en lots des poussins
1.2.2.4 Programme d’alimentation et d’abreuvement
1.3 COLLECTE DES DONNEES
1.3.1 Consommation alimentaire et paramètres d’ambiance
1.3.2 Poids vif à âge type
1.3.3 Caractéristiques de la carcasse et des organes
1.4 CALCUL DES VARIABLES ZOOTECHNIQUES
1.4.1 Consommation Alimentaire Individuelle (CAI)
1.4.2 Gain Moyen Quotidien (GMQ)
1.4.3 Indice de Consommation (IC)
1.4.4 Rendement Carcasse (RC)
1.4.5 Rendement Organe (RO)
1.4.6 Taux de Mortalité (TM)
1.5 EVALUATION ECONOMIQUE
1.6 TRAITEMENT ET ANALYSE STATISTIQUES DES DONNEES
CHAPITRE 2 : RESULTATS ET DISCUSSION
2.1 RESULTATS
2.1.1 Paramètres d’ambiance
2.1.2 Résultats de l’analyse bromatologique des rations expérimentales
2.1.3 Effets de l’incorporation des graines d’H. sabdariffa dans la ration sur les performances de croissance et les caractéristiques de la carcasse et des organes des poulets de chair
2.1.3.1 Effet sur l’état sanitaire et la mortalité des poulets de chair
2.1.3.2 Effet sur le Poids vif
2.1.3.3 Effets sur le Gain Moyen Quotidien (GMQ)
2.1.3.4 Effet sur la Consommation Alimentaire individuelle
2.1.3.5 Effet sur l’Indice de Consommation (IC) alimentaire
2.1.3.6 Effet sur les caractéristiques de la carcasse et des organes
2.1.3.7 Résultats économiques de l’utilisation des rations expérimentales
2.2 DISCUSSION
2.2.1 Paramètres d’ambiance et composition en éléments nutritifs des rations expérimentales
2.2.2 Effets de l’incorporation de la farine des graines de bissap sur les performances de croissance
2.2.2.1 Poids vifs
2.2.2.2 Gain Moyen Quotidien (GMQ)
2.2.2.3 Consommation alimentaire
2.2.2.4 Indice de consommation
2.2.2.5 Effets de l’incorporation de la farine des graines de Hibiscus sabdariffa sur le rendement et les caractéristiques de la carcasse
2.2.2.6 Analyse économique
2.3 RECOMMANDATIONS
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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