Caractéristiques de l’échantillon d’enquête et choix des questions

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Le processus d’appropriation de l’espace

L’appropriation est une dimension essentielle de notre relation à l’espace. Elle renvoie au processus par lequel les lieux deviennent signifiants en raison des activités, du travail et des éléments d’attachement qu’ils contiennent. À travers différentes interventions, il s’agit de créer un système d’emprise sur les lieux, que l’individu interprète en termes de possession et d’attachement. Il ne s’agit pas seulement ici d’une possession au sens légal et juridique du terme mais aussi d’une possession « d’ordre moral, psychologique et affectif » (Perla Serfaty). Fisher voit dans le processus d’appropriation l’expression d’un style d’occupation de l’espace qui correspond à une sorte de langage assimilable à une communication non verbale, un langage symbolique qui nous informe sur la façon dont l’espace est vécu.
Dans un premier temps, l’appropriation permet d’envisager l’espace comme le lieu par excellence de l’appartenance exprimant un mode de vie spécifique. En ce sens, l’appropriation s’exprime par diverses attitudes et comportements dont les plus étudiés sont le contrôle, le marquage et la personnalisation (Perla Serfaty).
S’approprier l’espace renvoie à la notion de territoire et de zone contrôlée ou défendue dans laquelle l’intrus ne peut pénétrer autrement que par la violation. L’exercice de ce contrôle s’exprime à travers l’utilisation d’indices lisibles : installation de frontières physiques ou symboliques, présence de règles qui régissent par exemple la perméabilité des lieux…

la population

L’étude de la répartition, évolution de la population est nécessaire dans la présente étude du fait que l’accroissement permanant de la population a une relation étroite avec le développement du processus de l’appropriation de l’espace.

La répartition de la population

La population de la commune de Besbes qui atteint 46341 habitants en 2008 se répartit dans trois zones essentielles.
– l’agglomération chef-lieu
La principale agglomération de cette zone est l’agglomération chef-lieu de la commune avec une population de 14094 habitants selon le dernier recensement général de l’habitat et de la population du 2008.
– les agglomérations secondaires
Cette zone correspond aux agglomérations secondaires de Daghoussa et Ain Touila et cité Daoui avec une population de 28017 habitants.
– La zone éparse
La zone est occupée par la population éparse qui atteint les 4051 habitants.

Evolution de la population

Selon les statistiques de l’ONS12 d’el-Tarf, Besbes a connu une croissance démographique remarquable et une urbanisation rapide la commune n’abritait que 20453 habitants en 1966, sa population a doublé en 40 ans, passant de 20453 d’habitants dans les années 60 à 46341 d’habitants en 2008. Cependant, depuis une dizaine d’années, la croissance démographique s’est ralentie avec un taux d’accroissement de 0,75 % par an.

Présentation des quartiers d’étude

Les cités 200 logements et 40 logements objet de cette étude sont des groupements résidentiels de l’Agglomération chef-lieu de Besbes (voir carte n° 02). La cité 200 logements se situe à l’ouest de l’Agglomération chef-lieu de Besbes, d’une superficie de 9 hectares et qui abrite 9000 habitants. Les quartiers aires d’étude sont construits par L’OPGI d’Annaba en 1970. Les deux ensembles résidentiels ressemblent par leurs caractéristiques physiques (plan de masse, taille et superficie des logements, à tous les ensembles résidentiel construits par l’état dans les années 70. Ils se composent de blocs de bâtisses de 04 appartements sur deux niveaux regroupant des appartements de type F3 d’une superficie de 64m² et de type F4 d’une superficie de 79m². L’espace intérieur de ces appartements disposent d’une salle de séjour, d’une cuisine, de deux chambres ou trois, d’une salle de bain, de sanitaire, d’un séchoir et un balcon et une petite cour pour les appartements du rez de chaussé.
L’étude du plan de masse du quartier permis de révéler l’importance des espaces extérieurs qui constituent des vides sans plantations
Description du quartier 200 logements
– Habitat semi collectif : leur style qui ressemble a des habitations individuelles, de hauteur (R+1) ; les espaces qui l’entourent sont clôturés.
– Habitat individuel : de différentes hauteurs. R+1, R+2 avec des dalles plates
De 1970 à 1984 : les habitations sont de qualité soignée et particulièrement esthétique : des ensembles d’habitations semi-collectives de quatre logements et des habitations mitoyennes entourées d’un jardin,
Accès entre les bâtis : chaque ensemble profite d’un espace vert, parking pour le stationnement des voitures, une aire de jeu, deux jardins résidentiels.

l’appropriation de l’espace

Selon Henry Raymond17F18 l’appropriation de l’habitat est définit comme l’ensemble des pratiques et, en particulier, des marquages qui lui confèrent les qualités d’un lieu personnel.
En s’intéressant à l’habitat, il nous faut donc favoriser le rapport que l’individu entretient avec son espace proche. Alors, notre souci dans ce chapitre est de dévoiler les formes diverses d’investissement de l’espace qui se résume ici par le vocable habitat. Habiter un espace implique qu’un rapport s’est établi entre un être humain et un milieu donné, ce rapport consiste en un acte d’identification, c’est-à-dire à reconnaitre son appartenance à un certain lieu .par cet acte l’habitant s’approprié d’un monde (Norberg-Schultz, 1985)18F19.Habiter implique donc un rapport avec l’environnement lequel se structure sur plusieurs sphères (Ekambi-Schmidt, 1986). Selon Ekambi-Schmidt, la sphère par laquelle l’homme s’approprié l’espace est la sphère d’appropriation personnelle qui est « coquille individuelle, inviolable, ouverte par une clef, le refuge où l’être n’est entouré que par les objets familiers.
Il est intéressant de débuter les manières de la réappropriation de l’espace par l’unité la plus réduite de l’espace qui est le logement Certes, le logement est l’espace privilégié pour étudier et analyser les manières d’appropriation où l’homme exerce une sorte d’autorité sur cet espace. Avant d’analyser les cas où règne le phénomène d’appropriation de l’espace habité, il est préférable de donner une définition claire du concept qu’on va confronter le long du chapitre qui est « manières d’appropriation » ce concept renvoie à l’ensemble des gestes que l’habitant du logement de type social développe, au parcours qu’il balise et aux projets qu’il envisage. Ces manières d’appropriation s’expriment concrètement à travers les méthodes et les attitudes que l’habitant adopte en vue d’adapter une ou plusieurs parties du logement, voire l’ensemble de l’espace qui lui a été proposé/imposé y compris l’environnement immédiat. (Tebib el Hadi, 2002)19F20

La réappropriation de l’espace intérieur 20F21

Le statut du logement

On veut dire par statut de logement sa nature juridique « propriété privée, logement locatif auprès de l’Etat ou auprès d’un individu ». Le statut de logement constitue un élément essentiel pour voir s’il a une influence sur l’existence des réappropriations ou non.
Selon l’acte de la location, le règlement les locataires auprès de l’OPGI21F22 n’ont aucun droit d’entreprendre des modifications aux logements. (Voir annexe : acte de propriété)
Les enquêtés déclarent être propriétaires de leurs logements représentent un pourcentage de 30,56 %. Et 59,72% des enquêtés sont des locataires auprès de l’OPGI. C’est le pourcentage le plus important, 9,72% sont locataires auprès d’un particulier. Bien que la loi interdit tous genres de changement au cadre bâti des logements qui appartiennent à l’Etat ceci reste encore très loin.

L’appropriation des espaces publics

Les espaces publics qu’on va exposer sont : les espaces extérieurs, les trottoirs, parkings, espaces vert, aires de jeu, et la rue. Les habitants des quartiers enquêtés n’ont pas freiné le désir d’approprier l’espace habité mais ils ont prolongé leur désir sur l’espace public. Pour cela une étude sur les actes appropriatifs de cet espace est nécessaire. On va voir l’état des espaces publics au sein des quartiers d’étude ainsi leur usage, leur investissement, leur consommation. Bien qu’il existe beaucoup de lois et sanctions qui empêchent l’appropriation de ces espaces sa pratique reste un peu loin.

L’appropriation de l’espace extérieur

Dans la présente étude nous désignons par espace extérieur l’espace public entre les bâtiments qui permet la souple et libre circulation des citoyens du quartier et même les étrangers.

l’attachement du logement à un espace extérieur

Les résultats de l’enquête montrent que 90,3% de la population enquêtée dispose d’un espace extérieur attaché à leur logement. Ainsi que 9,7% de la population n’a pas un espace extérieur. Les enquêtés ont un espace extérieur attaché de leurs logements et même l’habitant de l’étage premier. (Voir carte n° 05, 06).

La dimension des espaces appropriés et leur répartition

Lors de la lecture du plan du quartier, la première chose qui attire l’attention est la consommation non rationnelle de l’espace. La configuration spatiale montre bien cette carence. De ce fait, on à faire à des distances très importantes entre les différentes constructions. Ces espaces ne bénéficient, souvent, d’aucun traitement spécifique. Leur fonction n’est pas nette.
L’organisation des constructions d’habitations qu’on peut juger d’aléatoire a donné lieu à des espaces interstitiels entre ces immeubles. Souvent, ces lieux ont des formes et des dimensions différentes.
Une appropriation illégale de cet espace est figurée par l’ignorance des habitants enquêtés de la surface exacte de cette espace approprié qui prouve qu’elles ne sont pas inscrites et n’ont pas un acte de propriété. Cette ignorance est due essentiellement que ces espaces appropriés sont de statut domanial .Pour cela on a pensé à proposer les réponses précitées pour que l’enquêté nous donne une information proche à la réalité. Puis on a réalisé une carte qui nous rapproche de la réalité de ces surfaces appropriées.
Les enquêtés qui ont donné autres réponses, nous ont donné des surfaces approximatives. D’après la carte de la répartition des surfaces appropriées qu’on a réalisé au niveau des deux quartiers, il est clair que les espaces extérieurs sont irrégulièrement répartis. En matière de taille (dimension) et en matière de forme géométrique différentes qui démontre l’anarchie et la non organisation…

Le type de la délimitation de l’espace extérieur

Tout être humain éprouve le besoin de s’abriter. Et pour preuve, le premier souci de l’homme en créant des frontières symboliques ou réelles à son habitation a été de se protéger contre le dehors et ses dangers. L’habitant des quartiers 200 et 40 logements marque l’espace dont il vit utilisant un certain type de limites. L’appropriation de l’espace ici renvoie à la notion de territoire et de zone contrôlée ou défendue dans laquelle l’intrus ne peut pénétrer autrement que par la violation. L’exercice de ce contrôle s’exprime à travers l’utilisation d’indices lisibles : installation de frontières physiques ou symboliques, présence de règles qui régissent par exemple la perméabilité des lieux…
Le marquage de l’espace
Le marquage doit s’entendre comme la manière de signer un espace par des inscriptions ou des objets évoquant ainsi une identification psychologique de l’individu à son territoire. Le marquage a pour fonction la prise de possession matérielle ou psychologique d’un espace et par là même la définition d’une place.
Pour Amphoux et Mondada (1989), l’appropriation ne concerne pas seulement le marquage ou les signes que l’occupant des lieux appose, mais aussi la façon de les poser ou de les reconnaître. L’appropriation renvoie alors à l’identification du sujet ou du groupe à l’espace, c’est-à-dire à son investissement singulier, à la façon dont il s’en fait un référentiel. Dans cette perspective, ce n’est plus seulement l’espace dans sa conception matérielle qui est approprié par le sujet mais aussi le sens particulier qu’il revêt et les modes de relations à lui.
L’occupation d’un espace n’équivaut donc pas au simple remplissage d’un volume mais se traduit par l’expression des émotions et du vécu propre à un individu. L’espace ainsi approprié devient en quelque sorte une extension ou le prolongement de soi, particulièrement dans le cas du chez-soi. Enfin, la personnalisation quant à elle met l’accent sur l’identité personnelle qui va se refléter à travers diverses modifications ou transformations de l’espace par l’individu.
Avant d’entamer la question des types de limite, il est nécessaire de définir la limite en géographie.
La limite est une barrière, une frontière, une séparation entre espaces au sens géographique comme elle peut avoir aussi d’autres sens culturels, psychologiques, …etc.
Dans le domaine de l’anthropologie de l’espace, le recueil de textes présenté par Paul-Levy et Segaud sous le titre « anthropologie de l’espace », (1983) abordent les éléments de comparaison sur les multiples dimensions et les formes différentielles que prend l’espace selon les organisations, les habitudes sociales et les identités locales, les manières dont il est préparé par les pratiques sociales quotidiennes et présentent également des principes organisateurs de relations entre la position des lieux et des groupes, affirmant que « dès l’origine des groupes humains ont donné à leur établissement spatial un ensemble de significations et d’attributions liées à un ensemble de pratiques et représentations sociales et symboliques »
Les habitants ici sont en train d’instituer des frontières, de construire des sous espaces propre à eux, de décorer, ou de déposer des affaires personnelles dans un espace.il existe plus d’une façon de transformer l’espace et d’y inscrire sa marque durable ou éphémère, volumineuse visible ou plus réduite et discrète.
Une limite en géographie permet de circonscrire un ensemble spatial donné. Elle est également la ligne de délimitation ou de démarcation entre unités géographiques de tous types, qu’elles soient physiques ou humaines J.-P. Renard 2002. À l’origine, elle sépare l’espace connu du monde inconnu.
Une limite est considérée comme une discontinuité lorsque les espaces de part et d’autre sont dissymétriques. La limite d’un espace géographique est désignée par le terme de frontière lorsque des conflits de territoire et de pouvoir apparaissent.
« Une limite est un agencement mettant en contact deux espaces juxtaposés et permettant leur interface » 22F23
La construction des limites renvoie à une action pratico-symbolique humaine qui définit l’espace.
Claude Raffestin, dans sa réflexion sur les frontières propose quatre mégafonctions que peuvent assumer un système de limites. D’une part, la limite traduit des valeurs, des informations et des intentions des groupes qu’elle délimite. Selon si l’on se situe à l’intérieur ou à l’extérieur d’un système, son appréciation en sera différente.
La limite est aussi un instrument de régulation (politique, économique, sociale et culturelle) et offre à ceux qui l’ont établie une aire d’autonomie. Elle a également une fonction de différenciation indispensable entre deux espaces. Selon l’auteur, le franchissement d’une limite ou sa disparition conduit à la crise. Car elle a pour objet de séparer deux fonds voisins, d’obscure un passage ou d’enclore un espace.
La forme de délimitation de l’espace extérieur la plus répondue est la clôture en dur (figure n° 03), avec un pourcentage de 72 ,2%, puis la délimitation par le grillage (figure n° 02), avec un pourcentage de 15,3%.la délimitation à l’aide de plantations (figure n° 05), représente le plus faible pourcentage qui est de 6,9%.

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Table des matières

Introduction Générale
1/ Problématique
2/ Méthodologie d’approche : méthodes, outils et techniques d’analyse
2.1 / Revue documentaire
2.2 / L’observation directe de terrain
2.3 / Enquête et entretiens informels
2.3.1 / L’enquête
2.3.2 / Caractéristiques de l’échantillon d’enquête et choix des questions
2.3.3 / Le type de questions
2.3.4 / Analyse et interprétation des résultats
2.4 / Difficultés rencontrées au cours de la réalisation du travail de magistere
2.5 / Le traitement cartographique et statistique des données recueillies
2.6 / La photographie
3/ Structure de travail
Chapitre 01 : Cadre théorique et conceptuel
1 / Définition du concept d’appropriation de l’espace
1.1 / La notion d’appropriation dans les différentes disciplines
1.2 / Types d’appropriation
1.3 / Formes d’appropriation
2 / La Propriété
3 / L’espace
4/ Quartier
5 / L’habitat
6 / Le logement
7 / Le processus d’appropriation de l’espace
Chapitre 02 : Présentation de la commune de Besbes
1/ Situation administrative
2/ Situation géographique
3/ Le climat
4/ La population
4.1/ La répartition de la population
4.2 / Evolution de la population
4.3/ La densité de la population
4.4 / Structure de la population par groupes d’âge et sexe
4-5/ L’activité économique dans la commune
4.5.1/ La population en chômage
4.6/ L’habitat
4.6.1/ Evolution du parc logements dans la commune
4.6.2/ Types de constructions
Conclusion
Chapitre 03 : L’appropriation de l’espace dans les quartiers étudiés
1 / Présentation des quartiers d’étude
2 / Caractéristiques des ménages enquêtés
3 / l’appropriation de l’espace
3-1 / La réappropriation de l’espace intérieur
3-1-1 / Le statut du logement
3-1-2 / l’ampleur de degrés de modification et leurs types
3-1-2-1/ l’existence de modifications
3-1-2-2/ Type de modifications
3.2/ L’appropriation des espaces publics
3.2.1/ L’appropriation de l’espace extérieur
3.2.1.1/ L’attachement du logement à un espace extérieur
3.2.1.2/ La dimension des espaces appropriés et leur répartition
3.2.1.3/ Le type de la délimitation de l’espace extérieur
3.2.1.4/ Le choix de type de la délimitation de l’espace extérieur
3.2.1.5/ La gestion des espaces extérieurs
3.2.2/ L’appropriation des trottoirs, parkings, aires de jeux
3.2.2.1/ Usage et détournement d’usage
3.2.2.2 / Le marquage symbolique des espaces publics par l’instauration des frontières 72124
3.2.2.3/ Le marquage symbolique par l’instauration des objets
Conclusion
Chapitre 04 : Les facteurs explicatifs de l’appropriation de l’espace
1 / Facteur social
1.1 / Le surpeuplement du quartier
1.2 / L’exiguïté du logement
1.3 / Relation et interprétation
1.3.1/ Le nombre de ménage par logement
2 / Les facteurs culturels
2.1/ Les origines géographiques des occupants 82
2.2/ La Horma de la maison
2.3/ Le retour à la maison individuelle traditionnelle
3 / Facteurs d’ordre économiques
3.1 / Les caractéristiques socioprofessionnelles de la population enquêtée
3.2 / L’activité de l’épouse
3.3 / Enfants travailleurs
4 / Les facteurs d’ordre juridique
4.1/ L’espace public est géré par qui ?
4.2/ L’intervention de l’autorité locale
4.3/ L’acte de la propriété des espaces extérieurs
4.4/ Espace enjeu
5/ La sécurité
6 / Le facteur temps
6.1/ Le passage et l’évolution du processus d’appropriation de l’espace
6.1.1/ Le rapport : durée de résidence / appropriation de l’espace
6.1.2/ Le passage du mode de la délimitation de l’espace
Conclusion
Chapitre 05 : L’impact du processus d’appropriation de l’espace
1/ Impact visuel
1.1/ La réappropriation des façades
1.2 / La prolifération des constructions illicites
1.3/ Le type de délimitation de l’espace extérieur
2/ Impact sur le fonctionnement de l’espace
2.1/ Impact sur la circulation des piétons et automobiles
3/ Impact d’ordre social
3.1/ Bruit et nuisance
3.2/ Le processus d’appropriation de l’espace public et la femme
3.3/ Le processus d’appropriation de l’espace public et les enfants
4/ Détérioration de la rue et des trottoirs
Conclusion
Conclusion générale
Bibliographie

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