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Caractéristiques botanique et agronomique
Il pousse généralement sous une altitude de 2100m, a besoin d’un climat chaud et humide avec une précipitation annuelle de 650-2500mm (FAO, 2011). Il peut pousser sur une large gamme de sol depuis le sable jusqu’au gravas mais a besoin d’un sol bien drainé et acide d’un pH compris entre 5 et 7 (WEBER et al., 1997 ; PENGELLY et al., 2004).
C’est une plante de couverture qui améliore la fertilité du sol. Il fournis plus de 10 tonnes de MS de biomasse/ha au dessus du sol et fixe aux environs de 331kg d’azote/ha en dessous du sol par année, pousse rapidement sur le sol même sans préparation au préalable le protégeant ainsi des érosions (ANKLAMAVO et MENSAH, 1997 ; BUCKLES et al., 1998 ; COOK et al., 2005).
La variété utilisée dans l’expérience est le mucuna noir « garadake » qui est une plante annuelle herbacée à port rampant d’un cycle de floraison de 80-90 j et d’un cycle de maturité de 150 j. Sa tige est de couleur verte, ses feuilles sont de couleur verte trifoliolé sans pilosité avec de très petites stipules avec des fleurs en grappe de 2-3 fleurs à étendard peu développé de couleur violet aubergine, les gousses sont de couleur noir à maturité et ont une forme cannelé cylindrique avec déhiscence et possédant 3-5 loges, les graine sont de couleur noir réniforme avec des caroncules très développé (ANCOS, 2016).
Valeur nutritionnelle du mucuna
De manière générale le genre Mucuna (Adans, 1763) possède des taux protéiniques compris entre 22-35% MS (COSTA et al., 2006) avec un profil en acide aminé similaire à ceux des autres légumineuses mais déficient en acide aminé soufré, en lysine et méthionine (MOHAN et JANARDHANAN, 1995 ; RAVINDRAN et RAVINDRAN, 1998) ; un taux modeste en lipides (4-7% MS) et en fibre brute situé entre 4% MS (EZEAGU et al., 2003) et 8% MS (EMENALOM et UDEDIBIE, 2005) dont 2% MS étant la pellicule des graines (AGBEDE et ALETOR, 2005) ; un taux glucidique entre 50-70% MS (EZEAGU et al., 2003 ; PUGALENTHI et al., 2005) qui est en majeur partie non pariétale chez les légumineuses (AGBEDE et ALETOR 2005 ; TULEUN et al., 2008) ; un ratio Ca/P compris entre 0,44-1,56 qui en fait une bonne source de minéraux pour la formation osseuse (DAFFODIL et al., 2016).
Facteur antinutritionnel du mucuna
La graine de mucuna contient de la L-dopa, de l’acide cyanhydrique (HCN), des inhibiteurs de trypsines, des composés phénoliques, des tannins, de l’acide phytique, de l’oxalate, de la saponine et des alcaloïdes (EZEAGU et al., 2003 ; TULEUN et al., 2008).
La L-dopa ou 3,4-dihydroxyphenylalanine est un acide aminé non protéique intermédiaire dans la synthèse des catécholamines tel que la dopamine. Elle se trouve sous forme libre ou liée à d’autres molécules pour former un complexe. Elle provoque des troubles gastro-intestinaux (nausée, vomissement et anorexie) et neurologiques tels que des délires paranoïdes, des hallucinations, de la démence et une sévère dépression (LORENZETTI et al., 1998 ; DAHOUBA et al., 2009). Sa concentration dans les graines de mucuna varie entre 2-9% MS selon les conditions agro-écologiques et environnementales comme son augmentation lorsqu’il est cultivé près des équateurs ou sa diminution lorsqu’il est cultivé en altitude (LORENZETTI et al., 1998 ; St-LAURENT et al. 2002), mais aussi selon les variétés de mucuna. Dans les autres parties de la plante, les concentrations en L-dopa sont comprises entre 0,17-0,35% MS dans les feuilles, entre 0,19-0,31% MS pour les pétioles et entre 0,12-0,16% MS pour les racines (PUGALENTHI et al., 2005).
L’acide cyanhydrique (HCN) ou cyanure d’hydrogène provoque une anoxie en empêchant l’utilisation du dioxygène dans le sang par l’organisme. Il varie de 1,0 mg/kg de MS (EZEAGU et al., 2003) à 13,4mg/kg de MS (TULEUN et al., 2008) selon le lieux de culture et les variétés cultivées. Les inhibiteurs de trypsines qui empêchent l’activité protéolytique digestive en formant des complexes avec la trypsine (SRIDHAR et BHAT, 2007). Leurs valeurs varient de 8,25 unités de trypsine inhibé/mg de protéine (TULEUN et al., 2008) à 50 unités de trypsine inhibée/mg de protéine (GURUMOORTHI et al., 2003).
Les composés phénoliques et les tannins réduisent la biodisponibilité des protéines, des hydrates de carbone et des minéraux en provoquant une diminution des activités enzymatiques et peuvent parfois entraîner une érosion de la muqueuse digestive chez les ruminants et les monogastres (LIENER, 1994). Le taux des composés phénoliques dans les graines varient entre 3-5% MS (GURUMOORTHI et al., 2003), les tanins sont compris entre 0,14% MS (GURUMOORTHI et al., 2003 ; TULEUN et al., 2008) et 1,7% MS (EZEAGU et al., 2003).
Les teneurs en acide phytique (0,08%-0,22% MS), en oxalate (0,018% MS), et en saponine (0,21-0,74% MS) sont généralement faibles dans la graine de mucuna et sont en dessous du niveau toxique (TULEUN et al., 2008). Néanmoins les oxalates solubles ont un effet néfaste sur l’absorption des ions Ca2+ et Mg2+ contenus dans l’aliment. L’oxalate insoluble se lie à l’ion Ca2+ dans l’aliment et le rend indisponible pour l’organisme.
Les alcaloïdes sont des composés azotés faiblement alcalins contenus dans la plupart des plantes et qui potentiellement peuvent être extrêmement toxiques mais peuvent aussi servir de substance médicinale. Les graines de mucuna en contiennent entre 1,22-2,44% MS (EZEAGU et al., 2003). Malgré toutes ces substances antinutritionnelles il est possible d’utiliser le mucuna dans l’alimentation que ce soit humaine ou animale par le biais de différent traitements physico-chimiques qui varient selon le type et la durée du traitement et/ou l’utilisation d’additifs chimique, il y a le trempage, le traitement dans l’eau bouillante, la torréfaction, l’auto-clavage, la fermentation et la germination (DIALLO et al., 2003 ; GURUMOORTHI et al., 2003 ; WANJEKECHE et al., 2003 ; VADIVEL et PUGALENTHI, 2007 ; DAHOUBA et al. 2009), à noter que ces traitements modifient aussi la composition des nutriments des graines (BRESSANI et al., 2003 ; RAZAFINDAHY, 2016).
Le niébé
De nom binomial Vigna unguiculata (L.) Walp, il est communément appelé cowpea en anglais, niébé en français, voanemba/vagnemba ou lojy en malgache. C’est une plante de la famille des fabacées (HEUZE et TRAN, 2015).
Origine et distribution
Native de l’Afrique centrale, elle a en suite été dispersé sur tout le long des tropiques (FAO 2009). A Madagascar, trois (03) variétés de niébé sont actuellement caractérisées et vulgarisées dans le SUD: Vigna unguiculata (vagnemba baboke), Vigna unguiculata (Farimaso ou vagnemba SPLF2) et Vigna radiata (Moramasake CTAS Antsoroke) (ANCOS, 2016).
Caractéristiques botanique et agronomique
Il pousse généralement sous une altitude de 2000m (FAO, 2009), sous une température entre 25-35°C, et une pluviométrie annuelle de 750-1100mm (MADAMBA et al., 2006). Il est tolérant aux sols pauvres et pousse dans des sols à pH acide ou neutre, tolère l’ombrage et peut être combiné avec des plantes céréalières telles que le sorgho et le maïs (FAO, 2013).
C’est une légumineuse fixatrice d’azote atmosphérique à raison de 20-140kg d’azote résiduel/ha ce qui en fait une plante très pratique pour améliorer la fertilité du sol avec des cultures uniques ou bien dans les rotations ou association culturale avec des graminées (MULLEN, 1999).
La variété utilisée dans l’expérience est le niébé rouge « vagnemba baboke » qui est une plante annuelle herbacée à germination épigée d’un cycle de floraison de 50 j et d’un cycle de maturité de 90 j. Sa tige est de couleur verte d’une hauteur de 30-55cm et de port rampante ou semi-volubile, ses feuilles sont composées trifoliées sans pilositées de couleur verte et de dimension 6-13cmx3-9cm avec des fleurs de couleur violet claire à rose, les gousses sont de couleur beige avec des tâches grenats (à maturité) et rouge grenat (à l’état frais)de forme cylindrique sans déhiscence et d’une longueur de 7-28cm, les graines ont une forme réniforme et ont une couleur marron clair à hile blanc pour une longueur de 5-10mm. (ANCOS, 2016).
Valeur nutritionnelle du niébé
De manière générale le niébé (L.Walp.) possède des valeurs protéiniques comprises entre 20,82-25,74% MS (MEBDOU S., 2011) avec un profil en acide aminé similaire à ceux des autres légumineuses mais déficient en acide aminé soufré (PLAHAR et al., 1997 ; ONWULIRI et OBU, 2002) et possède un taux nettement élevé en méthionine (MEBDOU S., 2011) ; un taux bas en lipides qui est de 1,4-2% MS (MEBDOU S., 2011) ; un taux en fibre compris entre 1,56-4,47% MS (AARON et al., 2013) ; un taux glucidique entre 53,56-57,36% MS (HAMA-BA et al., 2017) dont 5,5-7,25% MS sont des sucres solubles (ADEBOOYE et SINGH, 2008).
Facteur antinutritionnel du niébé
La graine de niébé contient des inhibiteurs de trypsines, des composés phénoliques, des tannins, de l’acide phytique, etc. (TSHOVOTE et al., 2003), néanmoins la majeur partie de ces éléments sont thermolabiles donc un procédé à base de chaleur permet de les dénaturer (EMIOLA et OLOGHOBO, 2006).
Performance de ponte
La ponte peut être appréciée par son aspect quantitatif qui est le taux de ponte mais aussi par son aspect qualitatif qui est la dimension des œufs.
Le taux de ponte
L’entré en ponte s’est déroulée lors de la 33ème semaine d’élevage. La ponte a durée 6 semaines et 4j soit 46j en totalité. Elle a été discontinue alternant des jours sans ponte et des jours avec des pontes. Les lots nourris avec la ration PT se sont démarqués des autres lots avec un taux de ponte de 9,02% pour un nombre moyen d’œuf pondu en totalité de 71 avec une durée moyenne de 30j sur 46j. Les lots nourris avec les rations de type PA et PB ont été les moins productifs avec un taux respectif de 5,17% et 5,91%. Hormis ceux des lots nourris avec la ration de type PT, au fur et à mesure que le taux de mucuna augmente, le taux moyen de ponte, le nombre moyen d’œuf pondue en totalité et le nombre moyen de jours de ponte a augmenté.
Performance économique
Elle peut être appréciée de manière générale par la valeur économique des rations utilisées, mais pour apprécier les performances économiques réel d’un aliment il faut mettre cette valeur en relation avec la quantité de kg de viande ou d’œufs produits d’où la nécessité de l’appréciation du coût alimentaire.
La valeur de l’aliment utilisée
La variation du prix des matières premières, couplé à la limite de stock pour une durée de 1 mois a changé graduellement le prix des aliments, il a donc fallu utiliser un prix fixe utilisé lors de l’élaboration de la composition des rations alimentaires. Le prix du maïs a été fixé à 1250 Ar/kg et celui de la farine de poisson et de tourteaux d’arachide à 2500 Ar/kg ces trois matières premières étant les plus enclins à la variation saisonnière du prix. Le prix du mucuna a été de 800Ar/kg. Pour toute l’expérience la valeur des rations alimentaires a varié entre 1200 Ar à 1500 Ar.
Les rations témoin ont été les plus onéreuses, au fur et à mesure qu’il y a substitution du niébé par le mucuna le prix de l’aliment diminue progressivement. Avec l’augmentation progressive du taux d’incorporation de mucuna dans la ration alimentaire par stade de développement, le prix de l’aliment a encore plus diminué par rapport à ceux des rations témoin.
DISCUSSIONS
Caractéristiques des aliments utilisés
Aucune différence significative n’a été observée entre les différents types de ration pour chaque stade de développement que se soit entre terme de valeurs alimentaires ou en termes d’efficacité alimentaire.
Valeurs alimentaires des rations
Le taux moyen de MS par kg de MF pour tous les types de ration quelque soit le stade de développement a été de 94,47%, ce taux est élevé par rapport aux taux des aliments expérimentaux utilisé par ANI en 2008 et OUATTARA et al. en 2014. Ceci pourrait s’expliquer par le fait que les stocks de matière première étaient toujours en faible quantité et fréquemment renouvelé ce qui a empêché l’humidité de se fixer.
L’énergie brute des aliments expérimentaux pour tous les types de ration quelque soit le stade de développement a varié entre 3522 à 4198 KCal/kg de MS, ces valeurs sont assez similaire à ceux de RATSIMBA en 2017, ceci pourrait être due au fait de la cohabitation des deux expérimentations.
Le taux de MAT des aliments expérimentaux pour tous les types de ration quelque soit le stade de développement a varié entre 10,69 à 13,47% MS à l’exception de ceux du stade de pré-croissance qui n’a varié que de 8,35 à 8,79% MS, quelque soit le stade et le type de ration ces proportions sont toujours inférieur à ceux recommandé par l’INRA en 1989 et aussi aux résultats de TULEUN et al. en 2008. Cette différence pourrait s’expliquer par la différence entre le type et l’origine les matières premières utilisées dans l’expérimentation.
Efficacité de l’énergie et de l’azote alimentaire
L’efficacité de l’énergie a eu une moyenne de 72,50% et celle de la matière azotée totale une moyenne de 49,70% ce qui est assez faible, au stade de ponte, l’énergie métabolisable des rations alimentaires (2449 Kcal/kg de MS) a été inférieure aux recommandations d’apport de l’INRA en 1989, d’après HASSAN et DELPECH en 1986 la souche ISA Brown métabolise mal l’énergie et la matière azotée totale, de manière générale ces résultats sont grandement inférieur à ceux obtenue par RATSIMBA en 2017 pour des poulets de chair nourrit avec du mucuna, la différence du rythme biologique des souches pourrait en être la cause.
La tendance de variation apparente entre l’énergie et la matière azotée totale, même si il n’y a pas de différence significative entre les différents type de ration, semble les mêmes, d’après MÉTAYER et al. en 2015 la digestibilité de l’énergie et l’azote sont fortement corrélée donc la variation de l’un entraine la variation de l’autre.
Performances zootechniques des poules pondeuses
Aucune différence significative n’a été observée sur les animaux expérimentaux nourris avec les différents types de ration alimentaire à part les performances de ponte.
Consommation alimentaire
La consommation alimentaire a été de 10,5g à 137g par individus par jours lors de l’expérimentation et n’a pas présenté de différence significative à chaque stade entre les quatre types de ration, pour le stade de démarrage ces résultats ont été conforme à ceux de NJEHOYA et al. en 2013 car les rations ont un taux de distribution identiques. La présence de mucuna dans la ration alimentaire n’a pas dérangé les animaux ce qui a été conforme avec les résultats de ANI en 2008, néanmoins ces résultats ont différé avec ceux d’IYAYI et TAIWO en 2003 qui dit que l’incorporation de mucuna dans la ration alimentaire réduit l’ingestion alimentaire des poules, de plus TULEUN et al., 2008 affirme que l’utilisation de graines de légumineuse grillé permet de réduire la consommation alimentaire, ceci pourrait être dû à la différence de traitement du mucuna.
Evolution pondérale des animaux
Le poids des animaux a varié de 39g à 1500g lors des 39 semaines d’expérimentation. Lors de toute l’expérience l’incorporation de farine de mucuna n’a eu aucun effet sur la croissance pondérale par rapport au lot nourris avec les rations témoin ce qui contredit les résultats de ANI en 2008 et NJEHOYA et al. en 2013, mais en accord avec ceux de IYAYI et TAIWO en 2003. Le taux d’incorporation maximum (12,5%) en farine de mucuna étant plus proche de ce dernier (18%) par rapport aux deux précédents (respectivement 20% et 50%) indique peut-être qu’à faible dose la farine de mucuna influe pas ou peut sur la croissance pondérale des poules pondeuses par apport en protéine d’origine végétale.
Le poids moyen des animaux à la fin de chaque stade a été largement inférieur à ceux proposé par l’AVITECH avec un manque de plus de 500g de poids vif, après enquête leur chiffre se base surtout pour les élevages en batterie, en cage, ou confiné ce qui est en contradiction avec l’élevage au sol de l’expérience. La perte d’énergie due au déplacement pourrait en être la cause d’après HOCQUETTE et al. en2000.
Même si le mucuna présente plus de MAT que le niébé (RAKOTONDRASOA, 2018) son effet améliorateur ne s’est pas manifesté mais n’a aussi eu aucun impacte négat if comme dans le cas de FERRIERA et al. en 2003 où l’augmentation du taux de mucuna dans la ration a provoqué une baisse de performance.
Le gain moyen quotidien des individus a eu une moyenne de 5,37g/j pour toute la durée de l’expérience, il ne présente pas de différence significative entre chaque lot de différent type de ration quelque soit le stade de développement. Ces résultats sont en contradiction avec ceux de NJEHOYA et al. en 2013 qui stipule que le fait d’augmenter le taux de mucuna dans les rations diminue le GMQ des poussins, possiblement à cause de l’indisponibilité de certains acides aminés, surtouts pour les poussins.
Le GMQ des lots nourris avec les rations de type A, B, et C ont été largement inférieur aux résultats d’ANI en 2008 qui stipule que faire monter le taux d’incorporation jusqu’à un taux de 15% augmente significativement le GMQ, la faible valeur nutritive des rations alimentaire pourrait en être la cause.
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Table des matières
INTRODUCTION
Partie I : ÉTUDE BIBLIOGRAPHIQUE
I. Les légumineuses dans l’alimentation animale
II. Le mucuna
1. Origine et distribution
2. Caractéristiques botanique et agronomique
3. Valeur nutritionnelle du mucuna
4. Facteur antinutritionnel du mucuna
III. Le niébé
1. Origine et distribution
2. Caractéristiques botanique et agronomique
3. Valeur nutritionnelle du niébé
4. Facteur antinutritionnel du niébé
IV. Comparaison du mucuna et du niébé
Partie II : MATÉRIELS ET MÉTHODES
I. Matériels
II. Méthodes
1. Collecte des données
2. Traitement des données
Partie III : RÉSULTATS
I. Caractéristiques des rations utilisées
1. Valeurs alimentaires des rations
2. Efficacité de l’énergie et de l’azote alimentaire
II. Performances zootechniques des poules pondeuses
1. Consommation alimentaire
2. Evolution pondérale des animaux
a. Gain de poids lors de l’expérience
b. Gain moyen quotidien
3. L’indice de consommation
4. Le taux de mortalité
5. Performance de ponte
a. Le taux de ponte
b. La dimension des œufs :
III. Performance économique
1. La valeur de l’aliment utilisée
2. Le coût alimentaire
Partie IV : DISCUSSIONS
I. Caractéristiques des aliments utilisés
1. Valeurs alimentaires des rations
2. Efficacité de l’énergie et de l’azote alimentaire
II. Performances zootechniques des poules pondeuses
1. Consommation alimentaire
2. Evolution pondérale des animaux
3. L’indice de consommation
4. Le taux de mortalité
5. Performance de ponte
III. Performance économique
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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