Caractéristique mécaniques des matériaux

Présentation du projet et caractéristique des matériaux 2018/2019

Introduction

En génie civil, l’étude d’un bâtiment en béton armé nécessite des connaissances de base sur lesquelles l’ingénieur va prendre appui pour répondre à certaines exigences indispensables à son exploitation, afin d’assurer la sécurité, la durabilité, ainsi que le facteur d’économie qui doit être pris en compte. I.2. Présentation du projet : I.2.1. Présentation de l’ouvrage : Notre travail consiste à étudier un bâtiment (bloc B) de R+12 en béton armé de type voile-dalle, choisit parmi les 7 blocs d’un projet de 186 logements promotionnels situé à EL KOUDIA SECTION 271, LOT N°14 à TLEMCEN. Le bâtiment à usage mixte (habitation et commercial), constitué de : – Deux sous-sols destinés à être comme parking sous-terrain. – Un rez-de-chaussée (RDC) composé à des locaux commerciaux. – Une mezzanine est utilisée comme des dépôts de stockage. – Du 1ére à 12éme à usage d’habitation avec 3 logements par niveau : 2F3, F4.

Paramètres du bâtiment et caractéristiques géotechniques du sol

D’après la classification de règlement parasismique Algérienne « RPA99 –v 2003 » et l’étude géotechnique :
– Zone de sismicité : Zone I.
Le bâtiment est implanté dans une zone de faible sismicité.
– Classe de bâtiment : Groupe 1B.
Bâtiment d’habitation collective dans la hauteur dépasse 48 m.
– Classification de site : S2 (site ferme).
– La contrainte admissible du sol :σ? = 2 bars.

Conception de l’ouvrage 

Ossature 

C’est une structure auto-stable réalisé en système des voiles porteurs pour assurer la stabilité du bâtiment sous l’effet des actions verticale et horizontale.

Escalier 

Le bâtiment présente deux types d’escaliers :
– Escalier à trois volées avec deux paliers intermédiaires.
– Escalier balancé à cartier tournant.

Caractéristique mécaniques des matériaux

Les caractéristiques des matériaux utilisés dans la construction seront conformes aux règles techniques de conception et de calcul des structures en béton armé CBA 93, le règlement du béton armé aux états limites à savoir le BAEL 91, ainsi que le règlement parasismique Algérien RPA 99/2003.

Béton 

Le béton est un mélange des matériaux inertes (granulat) avec un liant hydraulique (ciment) et de l’eau et des adjuvants, il est destiné essentiellement à équilibrer les efforts de compression.

Résistance du béton

Résistance du béton à la compression

Le béton est caractérisé par sa résistance à la compression «J» jours, généralement à 28 jours. Cette valeur est déterminée à partir d’essais sur des éprouvettes normalisées de 16 cm de diamètre et de 32cm de hauteur.

Déformation et contraintes de calcul 

Etat limite ultime (ELU) en compression 

Dans les calculs relatifs à l’état limite ultime de résistance, on utilise pour le béton un diagramme conventionnel dit parabole- rectangle, et dans certains cas par mesure de simplification un diagramme rectangulaire.

Pré-dimensionnement des éléments

Introduction

Le Pré-dimensionnement des différents éléments de la structure est une étape régie par des lois empiriques. Cette étape représente le point de départ et la base de la justification à la résistance, la stabilité et la durabilité de l’ouvrage aux sollicitations suivantes :
 Sollicitations verticales : Elles sont dues aux charges permanentes et aux surcharges d’exploitation de plancher, bandes noyées et les voiles et finalement transmises au sol par les fondations.
 Sollicitations horizontales : Elles sont généralement d’origine sismique et sont requises par les éléments de contreventement. Le Pré-dimensionnement est réalisé selon les règlements en vigueur notamment, « RPA 99 – version 2003 », et le « BAEL91 modifier 99 ».

Plancher (dalle pleine)

Définition

Ce sont des planchers totalement en béton armé coulé sur place. Elles reposent sur des appuis constitués par des poutres en béton armé.

Etude dynamique

Introduction

Parmi les catastrophes naturelles qui affectent la surface de la terre, les secousses sismiques sont sans doute celles qui ont le plus d’effets destructeurs dans les zones urbanisées. Face à ce risque et à l’impossibilité de le prévoir, il est nécessaire de construire des structures pouvant résister à de tels phénomènes, afin d’assurer au moins une protection acceptable des vies humaines, d’où l’apparition de la construction parasismique. Cette dernière se base généralement sur une étude dynamique des constructions agitées.

Objectif de l’étude dynamique

L’objectif initial de l’étude dynamique d’une structure est la détermination de ses caractéristiques dynamiques propres qui nous permettre de connaitre son comportement vis-à-vis de l’excitation sismique pour calculer les efforts et les déplacements maximums lors d’un séisme.

Présentation de logiciel « SAP2000 »

« SAP 2000 » est un logiciel de calcul des structures de génie civil (bâtiment, château d’eau…) et des travaux publics (pont, tunnels…), il offre de nombreuses possibilités d’analyse des effets statique et dynamique avec des compléments de conception .il permet la vérification des structure (en béton armé ,en charpente métallique) et l’exploitation des résultats, son interface graphique disponible est facilite.

Modélisation de la structure

Avec une modélisation adéquot de la structure, on peut aboutir à une meilleure définition des caractéristiques dynamiques propres d’une structure donnée. Dans cette étude nous allons utiliser le logiciel « SAP2000 v14.2.4 » pour la modélisation et l’analyse de l’ouvrage qui permettent de simplifier suffisamment le problème.

Méthode de calcul

Selon les règles parasismiques Algériennes « RPA 99 version 2003 », le calcul des forces sismiques peut être mené suivant trois méthodes :
• La méthode statique équivalente ;
• La méthode d’analyse modale spectrale ;
• La méthode d’analyse dynamique par accélérogramme.

Méthode statique équivalente 

Principe de la méthode 

Les forces réelles dynamiques qui se développent dans la construction sont remplacées par un système de forces statiques fictives dont les effets sont considérés équivalents à ceux de l’action sismique.

Le mouvement du sol peut se faire dans une direction quelconque dans le plan horizontal. Les forces sismiques horizontales équivalentes seront considérées appliquées successivement suivant deux directions orthogonales caractéristiques choisies par le projeteur. Dans le cas général, ces deux directions sont les axes principaux du plan horizontal de la structure.

Modélisation

Le modèle du bâtiment à utiliser dans chacune des deux directions de calcul est plan, les masses sont supposées concentrées au centre de gravité des planchers présentant un seul degré de liberté en « translation horizontale » par niveau.
La rigidité latérale des éléments porteurs du système de contreventement est calculée à partir des sections non fissurées pour les structures en béton armé ou en maçonnerie. Seul le mode fondamental de vibration de la structure est à considérer dans le calcul de la force sismique totale.

Domaine d’application

La méthode statique équivalente peut être utilisée dans les conditions suivantes :
 Le bâtiment ou bloc étudié, satisfaisait aux conditions de régularité en plan et en élévation prescrites avec une hauteur au plus égale à 65m en zones I et II et à 30m en zones III
 Le bâtiment ou bloc étudié présente une configuration irrégulière tout en respectant, outres les conditions de hauteur énoncées, les conditions complémentaires suivantes :
Zone I : Tous groupes
Zone II : Groupe d’usage 3
Groupe d’usage 2, si la hauteur est inférieure ou égale à 7 niveaux ou 23m.
Groupe d’usage 1B, si la hauteur est inférieure ou égale à 5 niveaux ou 17m.
Groupe d’usage 1A, si la hauteur est inférieure ou égale à 3 niveaux ou 10m.
Zone III : Groupes d’usage 3 et 2, si hauteur est inférieure ou égale à 5 niveaux ou 17m.
Groupe d’usage 1B, si la hauteur est inférieure ou égale à 3 niveaux ou 10m.
Groupe d’usage 1A, si la hauteur est inférieure ou égale à 2 niveaux ou 08m.

Méthode d’analyse modale spectrale

Principe de la méthode

Le principe de cette méthode réside dans la détermination des modes propres de vibrations de la structure et le maximum des effets engendrés par l’action sismique, celle-ci étant représentée par un spectre de réponse de calcul. Les modes propres dépendent de la masse de la structure, de l’amortissement et des forces d’inerties.

Domaine d’application

La méthode d’analyse modale spectrale est une méthode générale et plus particulièrement quand la méthode statique équivalente ne s’applique pas.

Méthode d’analyse dynamique par accélérogramme

Le principe de la méthode d’analyse spectrale est d’ au lieu d’utiliser un spectre de réponse de forme universellement, on utilise des accélérogramme réels.
Cette méthode repose sur la détermination des lois de comportement et la méthode d’interprétation des résultats. Elle s’applique au cas par cas pour les structures stratégiques (exemple : centrales nucléaires) par un personnel qualifié.

Etude des éléments structuraux

Introduction

Les éléments principaux sont les éléments qui interviennent dans la résistance aux actions accidentelles. Dans ce chapitre on va calculer des éléments ci-après :  Plancher (dalle pleine)  Poutre (poutre noyée, ceinture dans les deux sens « xx » et « yy »)  Voile de contreventement et linteau V.2. Combinaison de calcul : Selon le « RPA 99 – version 2003 », les combinaisons des actions à considérer pour la détermination des sollicitations et de déformations de calcul sont : Etat limite ultime « ELU »  Etat limite service « ELS »

Ferraillage des voiles

Le ferraillage des voiles s’effectuera selon le règlement « BAEL91 modifier 99 » et les vérifications selon le règlement parasismique Algérien « RPA 99 – version 2003 ».

Prescription pour les aciers verticaux

Le ferraillage vertical sera disposé de telle sorte qu’il reprendra les contraintes de flexion composée en tenant compte des prescriptions imposées par le « RPA 99 – version 2003 » décrit ci dessous :
 L’effort de traction engendré dans une partie du voile doit être repris en totalité par les armatures dont le pourcentage minimal est de 0.20% de la section horizontal du béton tendu.
 Les barres verticales des zones extrêmes devraient être ligaturées avec des cadres horizontaux dont l’espacement ne doit pas être supérieur à l’épaisseur du voile.
 A chaque extrémité du voile l’espacement des barres doit être réduit de moitié sur (1/10) de la largeur du voile, cet espacement doit être au plus égal à 15cm.
 Les barres verticales du dernier niveau doivent être munies de crochets à la partie supérieure. Toutes les autres barres n’ont pas de crochets (jonction par recouvrement).

Prescription pour les aciers horizontaux

 Les armatures horizontales parallèles aux faces du mur sont disposées sur chacune des faces entre les armatures verticales et la paroi de coffrage la plus voisine.
 Les barres horizontales doivent être munies de crochets à 135° ayant une longueur de 10.

Etude de l’infrastructure

Introduction

Les fondations d’une construction sont constituées par les parties de l’ouvrage qui sont en contact avec le sol auquel elles transmettent les charges de la superstructure, elles constituent donc la partie essentielle de l’ouvrage puisque de leurs bonnes conception et réalisation découle la bonne tenue de l’ensemble.

Les déférents types de fondations

Il existe plusieurs types de fondation telle que  Fondation superficielle (Semelle isolée, filante, radier) ;  Fondation semi profondes (les puits) ;  Fondation profondes (les pieux) ;  Fondation spéciales (les parois moulées et les cuvelages…).

Choix de type de fondation

Le choix du type des fondations dépend essentiellement des facteurs suivants :  Le type et l’importance de la structure ;  Les caractéristiques du sol ;  La facilité de réalisation. Pour notre cas (structure en R+12 de type voile-dalle), on a deux types de fondations à choisir :  Semelles filantes ;  Radier nervuré. Pour éviter le chevauchement des semelles filantes et facilité la réalisation on choisit la fondation par radier nervuré.

Calcul de l’infrastructure 

Définition de radier nervuré 

Les radiers nervurés sont constitués de poutres et de poutrelles croisées qui ont pour fonction de raidir la dalle. Ce type de radier est préconisé lorsque la dalle plate n’est pas suffisamment rigide en raison de son épaisseur pour supporter des charges conséquentes.

Analyse statique non linéaire

Introduction 

La construction parasismique a pour but d’assurer une protection des vies et des biens vis-à-vis des actions sismiques. Une bonne description du comportement réel d’une structure se base en particulier sur une modélisation qui prend en considération le maximum de phénomènes qui pourront se produire dans une structure pour prédire le maximum de risque afin de se mettre en sécurité. Trois caractéristiques mécaniques sont couramment considérées dans le dimensionnement parasismique : rigidité, résistance et ductilité. La méthode de « Pushover » est une nouvelle méthode pour l’évaluation et la conception sismique des structures, elle est basée sur différents niveaux de performance qui représentent l’état de la structure après l’endommagement. Dans ce chapitre, nous procédons à une description de la méthode de conception basée sur la performance « Pushover » et on va exécuter cette méthode sur notre structure à l’aide de logiciel SAP2000.

Définition de l’analyse de « Pushover » 

 » Pushover » est une procédure statique non linéaire dans laquelle la structure subite des charges latérales suivant un certain modèle prédéfini en augmentant l’intensité des charges jusqu’à ce que les modes de ruine commencent à apparaître dans la structure. Les résultats de cette analyse sont représentés sous forme de courbe qui relie l’effort tranchant à la base en fonction du déplacement au sommet de la structure.
 Niveau 1 : la structure et dans le domaine élastique (non endommagement).
 Niveau 2 : la structure a un endommagement mineur est susceptible de se développer
 Niveau 3 : la structure présente un endommagement avancé (aucune capacité de résistance).
 Niveau 4 : effondrement totale de la structure

But de l’analyse « Pushover »

L’analyse de « Pushover » consiste à :
 Décrire le comportement réel de la structure
 Evaluer les sollicitations et déplacement des éléments de la structure
 Fournir des informations sur plusieurs caractéristiques de la réponse qui ne peuvent être obtenues par une simple analyse élastique, on cite :
• l’estimation des déformations inélastiques afin de dissiper de l’énergie
• détermination des sollicitations réelles sur les éléments fragiles
• conséquences de la détérioration de la résistance des éléments
• l’identification des zones critiques siège être grandes

Origine de l’analyse « Pushover »

L’analyse statique « Pushover » est basée sur l’hypothèse que la réponse de la structure qui peut être assimilée à la réponse d’un système à un seul degré de liberté équivalent, ce qui implique que la réponse est fondamentalement contrôlée par un seul mode de vibration et la forme de ce mode demeure constante durant la durée du séisme. Les chercheurs ont montré que ces hypothèses donnent de bons résultats concernant la réponse sismique (déplacement maximale) donnée par le premier mode de vibration de la structure simulé à un système linéaire équivalent.

Principe de la méthode de « Pushover » 

Le principe consiste à superposer dans un diagramme unique, en Accélération-Déplacement, le spectre de dimensionnement et la courbe de capacité de la structure afin de dégager le «point de fonctionnement ou de performance» de la structure.

Coefficient de comportement

Le coefficient de comportement ou bien le facteur réducteur des efforts (en anglais : Structural Réponse Modification Factor) noté R dans le code américain UBC et le règlement parasismique algérien RPA et q dans les Eurocodes, proposé pour la première fois par le code ATC-3-06 en 1978 [16], est défini comme le rapport entre la force latérale maximale élastique (Ve) et la force latérale inélastique de dimensionnement (Vd). Plusieurs recherches sont venues compléter cette formulation du coefficient de comportement R. des études récentes y compris celles de l’ATC-34, soutiennent une nouvelle formulation de R. c’est une formulation dans laquelle R est exprimé comme le produit de 3 facteurs, à savoir : un facteur qui compte de la ductilité, un autre qui exprime la réserve de résistance, et un troisième pour tenir compte de la redondance[17]. Donc la nouvelle formule de R est exprimée comme suit.

Facteur de redondance

Une structure redondance doit obligatoirement être composée de plusieurs lignes verticales, les gens continuent à construire les structures composées d’un nombre minimal de ligne verticales. Ce résultat est dû principalement à la mauvaise compréhension des ingénieurs de la parasismiques du rôle important que joue cette redondance dans la réponse sismique de la structure lors des séismes dévastateurs.

Conclusion générale

Le présent travail élaboré nous a permis de prendre connaissances des principales étapes à mener lors de l’étude d’un projet de construction, et d’enrichir nos connaissances requises le long de notre cursus. Il nous a permis également de faire connaissance avec le logiciel de calcul SAP 2000 et les règlements et codes conçus pour le calcul des structures tel que le « RPA 99 – version 2003 » et le « BAEL91 modifier 99 ». Et d’en faire un certain nombre de conclusions. Parmi celles-ci, on a pu retenir ce qui suit :
 Une modélisation 3D sur le logiciel SAP2000 est une étape très important Pour assimiler le comportement de la structure.
 La bonne disposition des voiles, joue un rôle important sur la vérification de la période.
 L’étude de l’infrastructure est conçue en radier nervuré permet d’avoir une distribution uniforme de charges qui lui sont appliquées par la superstructure.
 L’analyse statique non linéaire en utilisant la méthode push over est un outil puissant est très utile qui peut permettre aux ingénieures de structures de rechercher plusieurs schémas de confortement de bâtiment existant. Les résultats obtenus à partir d’une analyse push over en termes de demande, capacité donne un aperçu sur le comportement physique de la structure.

 

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Table des matières

CHAPITRE I : Présentation du projet et caractéristique des matériaux
I.1. Introduction
I.2. Présentation du projet
I.2.1. Présentation de l’ouvrage
I.2.2. Description géométrique de l’ouvrage
I.2.3. Paramètres du bâtiment et caractéristiques géotechniques du sol
I.2.4. Conception de l’ouvrage
a. Ossature
b. Plancher
c. Escalier
d. Maçonnerie
e. Revêtement
f. Acrotère
g. Isolation
h. Gaine d’ascenseur
i. Fondation
I.3. Caractéristique mécaniques des matériaux
I.3.1. Béton
I.3.1.1. Résistance du béton
a. Résistance du béton à la compression
b. Résistance du béton à la traction
I.3.1.2. Déformation et contraintes de calcul
a. Etat limite ultime (ELU) en compression
I.3.1.3. Contrainte admissible de cisaillement
I.3.1.4. Coefficient de poisson
I.3.1.5. Déformations longitudinales du béton
I.3.2. Acier
I.3.2.1. Contraintes limites
a. Etat limite ultime (ELU)
b. Etat limite service (ELS)
I.3.2.2. Module d’élasticité longitudinal
I.4. Sollicitation du calcul vis-à-vis des états limites
I.5. Hypothèses de calcul
I.5.1. Béton
I.5.2. Acier
I.6. Règlements et normes utilisés
I.7. Conclusion
CHAPITRE II : Pré-dimensionnement des éléments et descente des charges
II.1. Pré-dimensionnement des éléments
II.1.1. Introduction
II.1.2. Plancher (dalle pleine)
II.1.2.1. Définition
II.1.2.2. Pré-dimensionnement
a. Plancher « rez-de-chaussée, mezzanine et étage courant »
b. Plancher sous-sol
II.1.3. Ceinture
II.1.3.1. Définition
II.1.3.2. Pré-dimensionnement
II.1.3.3. Vérification du « RPA 99 – version 2003 »
II.1.4. Voile
II.1.5. Poutre noyée (bande noyée)
II.1.5.1. Définition
II.1.5.2. Pré-dimensionnement
II.1.5.3. Vérification du « RPA 99 – version 2003 »
II.1.6. Escalier
II.1.6.1. définition
II.1.6.2. Pré-dimensionnement
a. Escalier à trois volées avec deux paliers intermédiaires
b. Escalier balancé a cartier tournant
II.1.7. Poutre palière
II.1.7.1. Définition
II.1.7.3. Vérification du « RPA 99 – version 2003 »
II.2. descente des charges
II.2.1. Introduction
II.2.2. Plancher terrasse inaccessible (toiture de la cage d’escalier)
II.2.3. Plancher terrasse accessible
II.2.4. Plancher sous-sol (parking)
II.2.5. Plancher rez-de-chaussée (usage de commerce)
II.2.6. Plancher mezzanine
II.2.7. Plancher étage courant (usage d’habitation)
II.2.8. Balcon
II.2.9. Mur extérieure (double cloison)
II.2.10. Mur intérieure (simple cloison)
II.3. Conclusion
CHAPITRE III : Etude des éléments secondaires
III.1. Introduction
III.2. Etude d’escalier
III.2.1.2. Détermination des efforts interne
III.2.1.3. Calcul de ferraillage
III.2.1.4. Etude de la poutre palière
III.2.1.4.2. Réaction des escaliers
III.2.1.4.3. Détermination des efforts internes
III.2.1.4.4. Calcul du ferraillage
III.2.2. Escalier balancé à cartier tournant « type II »
III.2.2.1. Différents types des volées
III.2.2.2. Détermination des efforts internes
III.2.2.3. Calcul de ferraillage
III.2.2.4. Etude de la poutre palière
III.2.2.4.1. Descente des charges
III.2.2.4.2. Réaction des escaliers
III.2.2.4.3. Détermination des efforts internes
III.2.2.4.4. Calcul du ferraillage
III.3. Etude de l’acrotère
III.3.1. Définition
III.3.2. Hypothèse de calcul
III.3.3. Evaluation des charges
III.3.4. Calcul des sollicitations
III.3.5. Calcul de l’excentricité
III.3. Etude de l’ascenseur
III.3.1. Définition
III.3.2. Description de l’ascenseur
III.3.3. Caractéristique de l’ascenseur
III.3.4. Dalle de salle machine
III.3.4.1. Calcul à l’ELU
III.3.4.2. Calcul à l’ELS
III.5. Conclusion
CHAPITRE IV : Etude dynamique
IV.1. Introduction
IV.2. Objectif de l’étude dynamique
IV.3. Présentation de logiciel « SAP2000 »
IV.4. Modélisation de la structure
IV.5. Méthode de calcul
IV.5.1. Méthode statique équivalente
IV.5.1.1. Principe de la méthode
IV.5.1.2. Modélisation
IV.5.1.3. Domaine d’application
IV.5.2. Méthode d’analyse modale spectrale
IV.5.2.1. Principe de la méthode
IV.5.2.2. Domaine d’application
IV.5.3. Méthode d’analyse dynamique par accélérogramme
IV.6. Choix de la Méthode de calcul
IV.7. Méthode d’analyse modale spectrale
IV.7.1. Périodes et factures de participation modale
IV.8. Méthode statique équivalente
IV.8.1. Force sismique totale « V »
IV.8.1.1. Coefficient d’accélération de zone  » A »
IV.8.1.2. Facteur d’amplification dynamique moyenne « A »
IV.8.1.3. Facteur de qualité « Q »
IV.8.1.4. Poids totale de la structure « W »
IV.8.1.5. Coefficient de comportement global de la structure « R »
IV.8.2. Distribution de la résultante des forces sismiques selon la hauteur
IV.9. Vérification de la résultant des forces sismiques
IV.10. Justification vis-à-vis des déformations
IV.11. Justification vis à vis de l’effet P-Δ
IV.12. Justification vis à vis de la stabilité au renversement
IV.13. Conclusion
CHAPITRE V : Etude des éléments structuraux
V.1. Introduction
V.2. Combinaison de calcul
V.3. Etude du plancher (dalle pleine)
V.3.1. Sollicitation de calcul
V.3.2. Calcul de ferraillage
V.4. Poutre
V.4.1. Poutre noyée et la ceinture
V.4.1.1. Poutre noyée
V.5.2. Ceinture
V.5. Voile
V.5.1. Introduction
V.5.2. Vérification de flambement
V.5.3. Etude de la section soumise à la flexion composée
a. Section partiellement comprimée (tendue)
b. Section entièrement tendue
c. Section entièrement comprimée
V.5.4. Ferraillage des voiles
a. Prescription pour les aciers verticaux
c. Armatures transversales
V.5.5. Minimum Des armatures
V.5.6. Espacement
V.5.7. Longueur de recouvrement
V.5.8. Diamètre maximal
V.5.9. Vérification à l’ELS
V.5.10. Vérification de cisaillement
V.5.11. Détermination des efforts internes et le calcul de ferraillage des voiles par zones
V.6. Linteau
V.6.1. Introduction
V.6.2. Etapes du calcul « RPA 99 – version 2003 »
V.6.2.1. Contraintes limites de cisaillement
V.6.2.2. Ferraillage de linteaux
V.6.3. Calcul de ferraillage
V.7. Conclusion
CHAPITRE VI : Etude de l’infrastructure
VI.1. Introduction
VI.2. Les déférents types de fondations
VI.3. Choix de type de fondation
VI.4. Calcul de l’infrastructure
VI.4.1. Définition de radier nervuré
VI.4.2. Condition de coffrage
VI.5. Calcul du ferraillage de la dalle
VI.6. Calcul du ferraillage de la nervure
VI.7. Voile périphérique
VI.7.1. Introduction
VI.7.2. Dimension de voile
VI.7.3. Caractéristique de sol
VI.7.4. Evaluation des charges et surcharges
VI.7.5. Sollicitation de calcul
VI.7.6. Calcul de ferraillage
VI.8. Conclusion
CHAPITRE VII : Analyse statique non linéaire
VII.1. Introduction
VII.2. Définition de l’analyse de « Pushover »
VII.3. But de l’analyse « Pushover »
VII.4. Origine de l’analyse « Pushover »
VII.5. Principe de la méthode de « Pushover »
VII.6. Différents guides de l’analyse « Pushover »
VII.7. Idéalisation bi linéaire de la courbe de capacité
VII.8. Application de l’analyse de « Pushover » sur notre structure à l’aide de logiciel SAP2000
VII.8.1. Définition de comportement non linéaire des voiles
VII.8.2. Introduire les charges G de la structure dans le domaine non linéaire
VII.8.3. Définition du chargement de l’analyse « Pushover »
VII.8.4. Exécution de l’analyse
VII.8.5. Résultats de l’analyse de « Pushover »
VII.8.6. Le déplacement cible
VII.8.7. Ductilité
VII.8.9. Coefficient de comportement
VII.9. Conclusion

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