Caractérisation spécifique par chromatographie sur couche mince (C.C.M.) des anthracéniques de l’extrait

Propriétés pharmacologiques et toxicité

Pharmacologie

Une récente étude réalisée par Gassama [56]a montré qu’aux fortes doses, l’activité analgésique des feuilles de Aphania senegalensis était pratiquement identique à celle del’aspirine administrée à la dose de 100mg/kg. Mais dans le même temps, l’activité anti-inflammatoire des feuilles restait, même au doses élevées, inférieure à celle de l’aspirine.
L’auteur suggéra donc l’emploi des feuilles de A.senegalensis dans le traitement de la douleur plutôt que dans la prévention du processus antiinflammatoire.

Toxicité

En 1909, suite à des expériences faites sur des animaux, Teppaz [120]émit dans son rapport les conclusions suivantes ; « Les fruits sont toxiques à l’exclusion des autres parties comestibles de l’arbre (feuilles, jeunes branches). La partie toxique est l’amande.
La pulpe, la coque et l’épisperme de l’amande ne jouent aucun rôle dans les intoxications.
Le principe toxique n’est pasl’acide cyanhydrique comme l’ont soupçonné les botanistes. Ce serait très probablement un alcaloïde qui se combine à chaud seulement avec l’acide sulfurique pour former un sel soluble dans l’eau .Cet alcaloïde existe en quantité relativement considérable puisqu’il suffit de 100g d’amande pour tuer un animal par la voie digestive et de l’extrait de 50 à 60g par la voie sous-cutanée ou intra péritonéale »
Toujours en 1909, Chevalier [28]évalua à 1% la teneur en saponoside des graines. Il nota lecaractère très altérable de cette saponoside qui perdait facilement une partie de ses propriétés toxiques en étant extraite à une température trop élevée. Cette saponoside possède en outre les propriétés suivantes : o un pouvoir hémolytique assez important : chez l’animal de laboratoire, elle agit commedestructeur de la vitalité cellulaire des tissus avec lesquels elle se trouve en contact. oune solution de saponine à 1%appliquée sur un muscle striée détermine rapidement de la rougeur et une contracture persistante, puis une inexcitabilité complète.
o elle provoque sur le cœur des troubles de la contractilité aboutissant à la paralysie si la dose est élevée.
o elle entraîne sur l’intestin des lésions importantes avec une congestion généralisée et un épaississement de la muqueuse.

Propriétés pharmacologiques et toxicité

Propriétés pharmacologiques

Bon nombre de travaux ont été axé sur la pharmacologie des hétérosides anthracéniques .Ceci a été notamment le cas des travaux de Bénigni [18].
Cité par Kerharo [82], Paris [101]s’exprimait en ces termes dans son exposé sur la physiologie des sénés : « Les propriétés laxatives et purgatives du Séné semblent avoir été découvertes par les Arabes au IXième siècle et connues en Europe par leurs intermédiaires. Les folioles et les gousses ont une activité analogue qui se manifeste par voie orale ou rectale. »
Toujours selon Paris, le Séné administré par voie orale n’agit qu’après 10 à 12 heures .Alors qu’il est rapidement plus efficace en lavement (l’activité s’exerçant au niveau du côlon).
En 1984, Sall [110] confirma par une étude clinique l’action laxative des feuilles de C.italicasur 23 cas de constipation à l’hôpitalAristide le Dantec à Dakar.
En 1986, Paris et Hurabielle [100] ont suggéré que la stimulation des contractions intestinales par Cassia italicapouvait être lié sa teneur en antracénosides. Ils ont ainsi attribuél’activité laxative de la plante aux hétérosides anthracéniques qu’elle contient .Et ceci sur la based’observations cliniques.
Mais dans un travail portant sur l’étude de l’activité purgative de C.italicaen 1994, Assane et coll. [12] ont plutôt montré que les effets de Cassia italicasur la motricité intestinale serait en rapport avec sa teneur en une substance agoniste de l’acétylcholine.
Dans une étude qu’il effectua, Dia [37]montra l’efficacité thérapeutique de l’infusion de Cassia italicasur les nématodoses intestinales. En effet, il a obtenudes taux de réduction de charges parasitaires allant de 8,12% à 92,65% sur 16 malades.
Sortant du cadre des travaux orientés vers la pharmacologie des hétérosides anthracéniques, une équipe de chercheurs [78] a mené des investigations pharmacologiques sur le Cassia italica. Ces études ont révélé des propriétés anti-inflammatoires et antipyrétiques de l’extrait éthanolique de la plante entière, de même qu’une légère activité antitumorale .De plus cet extrait a été dénué d’activité antivirale.

Toxicité

D’après Kerharo et Adam [82], l’emploi de la plante comme abortif leur a été signalé par plusieurs sources.
De même, l’Encyclopédie médicale de l’Afrique [41]interdit l’emploi de la plante chez la femme enceinte.
En 1993, Nykiema [96]montra que C.italica stimule in vitro les contractions utérines de la ratte probablementpar résorption embryonnaire.

Répartition géographique et habitat de la plante

Nauclea latifolia, espèce soudano-sahélienne, est largement répandu dans tout l’ouest de l’Afrique intertropicale. Sa zone de répartition s’étend du Sénégal au Congo.
Au Sénégal, la plante se répand depuis la vallée du fleuve jusqu’en Casamance. Mais il abonde en Casamance et dans le Sénégal oriental où il pousse même sur les rebords latéritiques.
Nauclea latifoliapeut croître sur tout type de terrain tels que les sols humides, sableux, ou argileux voire rocheux. Il est donc peu exigeant et est même présent aux environs de terrasses latéritiques. Il est répandu dans les forêts et galeries africainessurtout à proximité des cours d’eau.
C’est ainsi qu’au Sénégal, on le retrouve fréquemment dans les zones humides les galeries forestières et les boqueteaux de forêts.

Travaux sur la chimie

Historique

C’est en 1883que des étudeschimiques sur Nauclea latifoliaont débuté .En effet, Bochefontaine et coll. [22]ont isolé à partir des écorces de racine et du bois de la plante un alcaloïde appelé la doundakine.
Mais n’obtenant que deux principes colorants jaunes, Heckel et Schlagdenhauffen [65] ont contesté l’existence d’une base dans la drogue.
Aussi suite à de vaines recherches pour la mise en évidence d’un alcaloïde, on a estimé que la droguene contenait qu’un principe amer, de la résine et des tanins .Et ceci pendant une longue période.
Almeida Silva et coll. [7] ont extrait des racines de l’espèce bissau-guinéenne, un alcaloïde indolique, une quinone, de la 7-hydrocoumarine ou ombelliférone et une bêta sistérol (isolé des extraits lipidiques de la drogue) et des tanins catéchiques.
Persinos et coll. [104]ont isolé de l’espèce nigérianne des alcaloïdes, des tanins et des saponosides. Alors que les hétérosidescardiotoniques et les flavonoïdesn’ont pas été décelés.

Morphologie

Nous ne préciserons que la morphologie des formes de dissémination rejetées par les poulets infectés dans les fèces en fin de cycle endogène : les ookystes simples immatures.
En effet, ces éléments sont d’observation aisée et leur présence permettra le dépistage des poulets Aussi nous donnons les descriptions morphologiques suivantes pour chaque espèce :
• pour l’agent de la coccidiose caecale Eimeria tenella:
Les ookystes sont ovoïdes, avec 23×19µ en moyenne, incolores, à paroi lisse. A l’émission, le cytoplasme n’emplit pas tout le volume de l’ookyste.
• pour les agents des coccidioses intestinales :
E .necatrix: ookystes sub-globuleux ou ovoïdes, de 16 x 14µ, la paroi est lisse, incolore, sans micropyles; le cytoplasme emplit presque tout le volume de l’ookyste.
E .maxima: ookyste ovoïdes, volumineux, de 30 x 20µ en moyenne, de coloration jaune clair, à paroi pluset moins « rugueuse » (lié a la présence de restes de cellules-hôtes sur la paroi de l’ookyste, sans micropyle ou à micropyle très petit.
E .brunetti: ookystes ovoïdes de 25 x 18µ, incolores, à paroi lisse fine, avec un très petit micropyle.
E. acervulina: ookystes ovoïdes, de 20 x 14µ en moyenne, à paroi fine et lisse, avec un très petit micropyle.
E .mivati: ookyste sub-globuleux .de petite taille (les plus petits de ceux des coccidies aviaires) avec 16×13µen moyenne et un petit micropyle.
E.praecox: ookyste ovoïdes, de 22 x 17µ en moyenne, à paroi lisse et sans micropyle.
E.mitis: ookystes semblables à ceux de E .mivati.
E.hagani: ookystes ovoïdes de 20 x 18µ en moyenne et sans micropyle.
REMARQUES: Pour une même espèce, la forme et même les dimensions sont très variables etles ookystes procédant d’une infection par un seul ookyste sporulé peuvent être polymorphes.
Il est donc impossible (sauf caractères particuliers), d’identifier les coccidies par le seul aspect de leurs ookystes simples.
Aussi, les différentes espèces de coccidies seront identifiées en plus des critères morphologiques de leurs ookystes, par les localisations intestinales de ces dernières.

Biologie

Localisations

Généralement, les formes endogènes des espèces du genre Eimeria se localisent dans les cellules épithéliales de l’intestin grêle, ou des caeca et du rectum. Le tableau IV suivant donne les localisations des parasites au niveau du poulet.

Lutte contre les coccidioses du poulet

Traitement moderne

Il est instauré lorsque survienne des cas de coccidiose-maladies dans le poulailler.Et il consiste en l’emploi d’une gamme diverse d’anticoccidien qui s’adressera à l’effectif complet (individu malades et non malades). (Voir Tableau VI)
Très actifs, les sulfamides demeurent les plus indiqués, soit seuls, soit en association à d’autres anticoccidiens comme l’amprolium et les pyrimidines.
Les sulfamides, bien qu’étant des additifs alimentaires sont des formes solubles pouvant être administrés aux poulets à travers leurs eaux de boisson. Mais un risque subsiste lorsque par temps chaud, la consommation d’eau augmentant, celle des sulfamides s’élèvera de même.
Mais ces traitements dits modernes montrent leur limites avec les cas de résistance observés.Aussi, lerecours aux plantes médicinales (traitement traditionnel) se révèle être une alternative intéressante pour pallier aux insuffisancesde la thérapeutique moderne.

MATERIELS ET METHODES

RECOLTE ET CONSERVATION DES ECHANTILLONS

Le matériel végétal est constitué de feuilles de Aphania senegalensiset de Cassia italica, ainsi que de racines de Nauclea latifolia.
Les feuilles de Aphania senegalensis ont été récoltées au Jardin des Plantes Utiles- Phytologie de la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odontostomatologie (FMPOS) de Dakar.
Celles de Cassia italicaont été obtenues à Kaymor, du département de Nioro dans la région de Kaolack.
Les racines de Nauclea latifoliaont été achetées au marché Grand-Yoff.
Toutes ces parties de plantes ont été identifiées au Laboratoire de Pharmacognosie et Botanique de la FMPOS.

METHODES D’ETUDE

Matériels de laboratoire

• Ampoule à décanter de 125ml
• Balance de marque Sartorius
• Ballon rodé de 500ml
•Bain marie
•Bécher
• Broyeur de marque Brabender OHG Duisburg
•Chauffe ballon
• Cuve de migration pour Chromatographie sur couche mince C. C. M.
•Eau distillée
•Entonnoir
•Ethanol
•Erlenmeyer
•Fioles
•Micropipettes
•Pipettes
• Plaques de silice 20x20cm
• Plaques de cellulose 20x20cm.
•Réfrigérant
• Rotavapor de marque Buchi 461
•Tubes à essai
• Verres de montre

Extraction

Obtention de l’extraitsec de feuilles de Aphania senegalensis

Trois cents (300) g poudre de feuilles sont portées à ébullition sous reflux pendant 1 h30mn dans cinq (5) L d’eau distillée. L’extrait aqueux obtenu est recueilli par filtration. Le filtratest ensuite concentré sous vide jusqu’à l’obtention d’un résidu pâteux. L’extrait mou ainsi obtenu a été séché pendant près de 3 mois au dessicateur. L’extrait sec ainsi obtenu est diluée dans de l’eau distillée au moment de l’expérimentation pour donner un extrait aqueux qui sera utilisé pour les tests pharmacologiques.

Obtention de l’extraitsec de feuilles de Cassia italica

Cent cinquante (150) g de poudre de feuilles sont portées à ébullition sous reflux pendant 1 h30mn dans cinq (5) L d’eau distillée. L’extrait aqueux obtenu est recueilli par filtration. Le filtratest ensuite concentré sous vide jusqu’à l’obtention d’un résidu pâteux. L’extrait mou ainsi obtenu a été séché pendant près de 3 mois au dessicateur. L’extrait sec ainsi obtenu est diluée dans de l’eau distillée au moment de l’expérimentation pour donner un extrait aqueux qui sera utilisé pour les tests pharmacologiques.

Obtention de l’extrait sec de racines de Nauclea latifolia

Trois cents (300) g de poudre de racines sont portés à ébullition modérée sous reflux pendant 2h dans de cinq (5) L d’éthanol. Après filtration l’extrait alcoolique ainsi obtenu est concentré sous vide jusqu’à l’obtention d’un résidu pâteux. L’extrait mou est introduit dans un dessiccateur jusqu’à l’obtention d’un extrait sec. Cet extrait sec dissout dans le DMSO (Diméthyl sulfoxyde) sera utilisé pour les tests pharmacologiques lors de l’expérimentation.

Criblage chimique

Recherches des hétérosides anthracéniques

Réactions générales de caractérisation des anthracéniques

Extraction pour la réaction de Borntraeger

A 25mg de poudre, on ajoute 20ml d’eau distillée et 1ml d’HCl concentré. Le mélange est porté au bain marie bouillant pendant 15mn.Une fois refroidi le mélange est filtré, puis on extrait avec 10ml de chloroforme à l’aide d’une ampoule à décanter. Après agitation de cette dernière, on laisse reposer le mélange pour permettre la séparation des phases et le recueil celle chloroformique.

Caractérisation par la réaction de Borntraeger

La solution chloroformique est évaporée à sec et on additionne 2ml d’ammoniaque au ½ au résidu obtenu. Ce mélange obtenu est de coloration jaune et vire au rouge par chauffage au bain-marie en présence d’anthracénosides.

Caractérisation spécifique par chromatographie sur couche mince (C.C.M.) des anthracéniques de l’extrait

Dix (10) ml de l’extrait sont évaporés à sec avant d’être repris par le méthanol. Cet extrait méthanolique total est déposé sur une plaque de silice.
Nous utiliserons comme témoin la rhéine. Après migration de la plaque dans une cuve contenant le mélange éther de pétrole/acétate d’éthyle/acide acétique (4/1/1 ; V/V) et séchage à l’étuve, la révélation est faite par pulvérisation d’une solution d’acétate de magnésium à 0,05% dans de l’éthanol à 50°.

Oxydation des tanins condensés

A 5 ml de l’extrait sont ajouté 1 mld’acide chlorhydrique. Le tout est porté à ébullition. S’il y a formation de phlobaphènes, il se développe une coloration rouge.

Chromatographie sur couche mince (CCM) des tanins

L’extrait éthanolique est déposé sur une plaque de silice. Les acides ferrulique, éllagique et gallique sont utilisés comme témoins. Après migration dans le mélange de solvant acétate d’éthyle / méthanol / eau (7/13/10; V/V), la révélation est faite par du chlorure ferrique à 2%

Recherches des saponosides

La caractérisation des saponosides est basée sur la détermination de « l’indice de mousse » de l’extrait.
Dans une série de 10 tubes calibrés,numérotés de 1 à 10, sont répartis successivement 1, 2, 3….10 ml de l’extrait (1g de drogue dans 100ml d’eau distillée). Dans chaque tube, le volume est ajusté à 10 ml par addition d’eau distillée. Chaque tube est agité pendant 15 secondes dans le sens de la longueur. Aprèsun repos de 15 mn, la hauteur de mousse de chaque tube est mesurée. Le tube dans lequel la hauteur de mousse est de 1cm, sert de base au calcul de l’indice.

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Table des matières
INTRODUCTION 
PREMIERE PARTIE : SYNTHESES BIBLIOGRAPHIQUES 
CHAPITRE I: GENERALITES SUR APHANIA SENEGALENSIS, CASSIA ITALICA ETNAUCLEA LATIFOLIA 
I. Aphania senegalensis(Juss.ex Polir.) Radlk.
I.1. Position systématique
I.2.Synonymie
I.3. Dénominations
I.4. Description botanique etrépartition géographique
I.5. Travaux sur la chimie
I.6. Travaux sur la pharmacologie
I.6.1. Usages empiriques
I I.6.2. Propriétés pharmacologiques et toxicité
II. Cassia italica(Mill.) Lam
II.1. Position systématique
II.2. Synonymie
II.3. Dénominations
II.4.2. Répartition géographique et habitat de la plante
I.6. Travaux sur la pharmacologie
II.6.1. Usages empiriques
III. Nauclea latifolia Sm
III.1. Position systématique
III.2. Synonymie
III.3. Dénominations
III.4. Description botanique et répartition géographique
III.5. Travaux sur la chimie
III.5.I. Historique
III.5.2. Récapitulatifs des travaux chimiques
III.6. Travaux sur la pharmacologie
III.6.1. Usages empiriques
III.6.2. Propriétés pharmacologiques et toxicité
CHAPITRE II: SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE SUR LES COCCIDIOSES DU POULET 
II.1. Taxonomie
II.2 Morphologie
II.3. Biologie
II.3.1. Localisations
II.3.2. Multiplication
II.3.3. Nutrition
II.3.4. Cycles évolutifs
II.4. Pathogénie
II.5. Etude clinique
II.5.1. Symptômes
II.5.2. Lésions
II.5.2.1. Les coccidioses – maladies
II.5.2.2. Les coccidioses- infections
II.6. Diagnostic
II.6.1. Ante mortem
II.6.2. Post- mortem
CHAPITRE III:LUTTE CONTRE LES COCCIDIOSES DU POULET 
III.1. Traitement moderne
III.2. Traitement traditionnel
III.3. Prophylaxie
III.3.1. Prophylaxie défensive
III.3.2. Prophylaxie offensive
DEUXIEME PARTIE: ETUDE EXPERIMENTALE 
CHAPITRE I : MATERIELS ET METHODES 
I.1. Récolte des échantillons
I.2. METHODES D’ETUDE
I.2.1.a. Matériels de laboratoire
I.2.1.b. Extraction
I.2.2. Criblage chimique
I.2.2.1. Recherches des hétérosides anthracéniques
I.2.2.2. Recherches des hétérosides flavoniques
I.2.2.3. Recherches des tanins
I.2.2.4. Recherches des saponosides
I.2.2.5. Recherche des hétérosides cardiotoniques
I.2.2.6. Recherche des alcaloïdes
I.2.3. Essais pharmacologiques: étude de l’activité anticoccidienne
I.2.3.1. Site et période de l’étude
I.2.3.2. Matériel végétal
I.2.3.3. Matériel animal
I.2.3.4. Matériel d’élevage
I.2.3.5. Matériel et réactifs de Laboratoire
I.2.3.6. Méthodologie
CHAPITRE II: RESULTATS 
II.1. EXTRACTION
II.2. CRIBLAGE CHIMIQUE
II.2.1. Les réactions de caractérisationgénérale
II.2.1.1. Les hétérosides anthracéniques
II.2.1.2. Les hétérosides flavoniques
II.2.1.3. Les tanins
II.2.1.4. Les saponosides
II .2.1.5. Les hétérosides cardiotoniques
II.2.1.6. Les alcaloïdes
II.2.2. Résultats de la Chromatographie sur couche mince (CCM)
II.2.2.1.C.C.M. des flavonoïdes
2.2.2. C.C.M des tanins
2.2.3. C.C.M. des anthracènosides
2.2.4. C.C.M des alcaloïdes
II-3. Résultats des tests anticoccidiens
II.3.1.Résultats des tests anticoccidiens réalisés avec Aphania senegalensis,Cassia italica et Nauclea latifolia
II.3.1.1. Résultats du lot traitéavec l’extrait aqueux de Aphania senegalensis
II.3.1.2 Résultats du lot traité avec l’extrait aqueux de Cassia italica
II.3.1.3.Résultats du lot traitéavec l’extrait éthanolique de Nauclea latifolia
II.3.2. Résultats des lots témoins
II.3.2.1. Résultats du lot traité avec l’amprolium 20%
II.3.2.2. Résultats du lot témoin inoculé non traité
II.3.2.3. Résultats du lot témoin non inoculé non traité (TNINT)
Chapitre III: DISCUSSION 
III.1. Résultats du criblage chimique
III.2. Résultats des tests anticoccidiens
CONCLUSION 
BIBLIOGRAPHIE 
ANNEXES

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