Caractérisation morphologique de la tanne arbustive

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

Manifestation de la salinité

La manifestation la plus spectaculaire de la salinité est soit l’absence de la végétation, soit l’apparition des efflorescences salines (un dépôt de sels minéraux) à la surface du sol, soit la présence d’espèces halophytes caractéristiques (Senghor, 2004).
Les tannes pures ou nues, sans végétation, renferment à la surface une grande quantité de sels hydrosolubles (Sadio, 1985). La salinisation est perceptible sur tout le profil du sol. L’état de surface des tannes pures varie constamment au cours de l’année en fonction des variations saisonnières. Pendant la saison sèche, nous avons un maximum de concentration de sels dans la partie superficielle du sol du fait de la remontée capillaire des sels. La remontée saline et le retrait des eaux de marées déposent en surface une fine couche de cristaux de sels formant une croûte de 1 cm au maximum d’épaisseur.
Pendant l’hivernage, la croûte superficielle contenant des sels concentrés disparaît sous l’effet des eaux de pluies. Ces sels lessivés par les eaux pluviales forment une croûte qui se déplace comme une bande. Lors de ces fortes pluies, les tannes pures sont inondées.
En cette période, les tannes pures se transforment en une véritable patinoire. Dans les tannes enherbées et arbustives, la salinité ne se manifeste que par la présence d’une végétation halophyte. Cette végétation se compose essentiellement des espèces suivantes : Spermacoce verticillata, Sesuvium portulacastrum, Sphaeranthus senegalensis, Schulstesia stenophylla, Ctenium elegans, Tamarix senegalensis, et Philoxerus vermicularis etc.
Lors des fortes pluies, les tannes enherbées sont inondées et nous pouvons retrouver aussi une terre très poreuse remplie de gaz qui s’échappe à la surface quand nous marchons dessus (Senghor, 2004).

Généralités sur le mil

Origine

Le mil pénicillaire ou mil chandelles (Pennisetum glaucum (L.) R. Br.) est une graminée céréalière annuelle qui se retrouve sous plusieurs noms scientifiques synonymes (, Diouf 2001). Ces synonymes de P. glaucum sont : P. typhoides (Burm.) Stapf et Hubb., P. typhoidum Rich., P. spicatum (L.) Koem, P. amjrkanum (L.) Leeke
Les données archéologiques, ethno-botaniques et expérimentales sont encore trop éparses pour que l’histoire du mil puisse être détaillée avec certitude (Loumerem, 2004). Le ‘‘croissant fertile’’ africain qui s’étend du Mali au Soudan, aurait pu être le lieu principal de la domestication du mil qui date de 3000 ans avant J.C (Loumerem, 2004). Il est vraisemblable que le centre d’origine du mil soit compris dans une zone plus large s’étendant de l’Ouest du Soudan au Sénégal, entre le Sud du Sahara et le Nord de la zone forestière (Loumerem 2004, Diangar, 2008 ; Diba 2014).

Systématique

Le mil est une graminée de la zone tropicale sèche très cultivée en Afrique et en Inde. Il appartient à la famille des Poaceae, à la sous-famille des Panicoideae, tribu des Paniceae, à la section Pénicillaire et au genre Pennisetum (L. R.Br., 1810). Le genre Pennisetum est constitué de 140 espèces et sous-espèces qui sont réparties dans les régions tropicales et subtropicales. Il est divisé en cinq sections. Le mil appartient à la section Pennisetum, qui se caractérise par la présence d’une mince touffe de poils au sommet des anthères et un nombre haploïde de chromosomes qui est égale à 7 ou à un multiple de 7 (Loumerem, 2004). Les plus importantes de ces espèces sont le mil pénicillaire, l’éleusine, le millet commun et le millet des oiseaux. Le mil pénicillaire est l’espèce la plus cultivée et compte pour près de la moitié de la production mondiale de mil (Loumerem 2004, Diouf, 2012). Ces quatre espèces sont dénommées successivement Pennisetum glaucum, Eleusine coracana, Panicum miliaceum L. subsp miliaceum et Setaria italica.

Description botanique

Le mil possède un enracinement fasciculé, un port érigé en tiges pleines d’une taille pouvant atteindre 2 à 3 m ainsi qu’un tallage abondant dont seulement une faible partie est productive; Diouf 2001 ; Rocafermi 2004 ; Diallo, 2012).
Les feuilles peuvent atteindre 1 m de longueur pour 1 à 8 cm de largeur (Rocafermi 2004 ; Diouf, 2012). Chaque noeud de la tige porte un bourgeon axillaire (talle aérienne). Des racines adventives partent des noeuds de la base de chaque tige. Chaque noeud porte en moyenne 25 racines. Le tallage est important et peut aller jusqu’à 40 tiges par plante (Loumerem, 2004). La tige atteint 1,5 à 2,5 m de hauteur ; les feuilles sont engainantes, parallélinerves et alternes. L’inflorescence est un faux épi situé à l’extrémité de la tige ; la chandelle a une longueur moyenne de 10 à 40 cm mais peut atteindre 1 m ; son diamètre varie entre 1,5 et 3 cm. Chaque involucre (ensemble de bractées formant une collerette de protection) porte 2 à 3 épillets qui chacun porte deux séries de fleurs : en position supérieure, des fertiles femelles ou hermaphrodites, en-dessous des mâles ou des stériles. Les grains ont une enveloppe dure et lisse, de couleur crème verdâtre, rougeâtre ou noire ; le poids des 1000 grains varie de 4 à 8 g (Caron et Granes, 1993 ; Diba, 2014).

Physiologie

Au plan physiologique, c’est une plante à C4 (acides organiques à 4 atomes de carbone). Elle est caractérisée par une haute capacité d’assimilation du CO2 de l’ordre de 2,77 mg (J.J Guillaumin 2005 ; Diouf, 2012 ; Diba, 2014). Le mil est une plante hermaphrodite. La maturité des grains peut être reconnue par le hile qui devient noir. Les stigmates apparaissent plusieurs jours avant les anthères, facilitant ainsi la pollinisation croisée et une fois sortie, ils restent réceptifs 12 à 24 heures selon les conditions météorologiques. Les anthères sortent habituellement une fois les styles secs. L’anthèse s’opère tout au long du jour et de la nuit. La pollinisation croisée est de règle ; habituellement 80 % des fleurs sont naturellement fécondées de la sorte, mais on observe à cet égard des variations entre lignées.

Cycle de développement du mil

Le cycle de développement peut être divisé en trois (3) périodes :
 La phase végétative :, elle débute après la germination et plus précisément après la levée ; la racine séminale se développe d’abord, ensuite c’est le mésocotyle jusqu’à quelques millimètres de la surface, puis la coléoptile qui est percée par la première feuille ; la levée, en condition optimale, a lieu en 3-5 jours ; au fur et à mesure de l’apparition rapide des feuilles, le plateau de tallage se forme à la base du brin-maître ; le tallage dure du 10ème au 35ème jour pour les variétés hâtives ; des tiges secondaires puis tertiaires apparaissent ; à chacune sont associées des racines secondaires ; la montaison s’étale du 35ème au 60ème jour : c’est une période de croissance rapide des tiges due à l’allongement des entre-noeuds ; les exigences nutritives sont élevées pendant cette phase ;
 La phase reproductrice : l’initiation florale se produit à la fin du tallage. Les pièces florales se forment au cours de la montaison et on observe une forte corrélation entre la longueur de la chandelle et la longueur du cycle ; épiaison, floraison et fécondation s’étalent du 60ème au 75ème jour ;
 La phase de maturation des graines : le remplissage de la graine et sa dessiccation se déroulent sur 20 à 30 jours en fonction des conditions climatiques.

Opérations culturales

Malgré sa rusticité, la culture du mil exige un minimum de soins culturaux comme le démariage précoce, le sarclage régulier et l’apport de fertilisants.

Préparation du sol

Les effets des techniques culturales telles que le travail du sol combiné avec les amendements organiques et les fertilisations minérales ont été étudiés par plusieurs auteurs (Charreau et Nicou, 1971 ; Ganry et al., 1974 ; ; Diouf 2001).
Ainsi, un travail du sol de 10 à 15 cm augmente significativement les rendements du mil, en améliorant l’enracinement du mil, la capacité d’extraction de l’eau et des éléments minéraux (Charreau et Nicou, 1971; Diouf 2001).

Semis

Dans le bassin arachidier, les producteurs font les semis du mil à sec en attendant les premières pluies. Toutefois, la date de semis est un paramètre très important qui conditionne souvent la réussite de la culture (Wade 2011).
En culture traditionnelle, les semis sont effectués à la grande daba en poquets alignés. En culture modernisée, les techniques de semis sont plus rapides avec l’utilisation de semoir à traction animale. Dans ce cas, les semis se font en lignes continues. Par rapport aux semis traditionnels, les semis en lignes ont les avantages suivants : mise en terre de la graine à une profondeur réglable ; régularité de la répartition ; économie des semences ; intervention possible des instruments d’entretien ultérieur (Diouf 2001). Le mil peut se multiplier par semis direct des grains ou par transplantation des jeunes plants (c’est le cas lors des remplacements des poquets perdus). Le semis se fait en lignes et en poquets avec des écartements selon Diouf 2001 de 90 cm x 90 cm.

Entretien

Dans la première quinzaine qui suit la levée et jusqu’à la fin de la culture, les opérations suivantes sont réalisées en vue d’optimiser le rendement.

Sarclobinage

L’enlèvement des mauvaises herbes par sarclage est la première opération d’entretien. Elle doit commencer dès que les plants ont atteint environ 10 à 15 cm de hauteur (Denis, 1984), ce qui indique que leurs racines ont atteint un développement suffisant et sont fixés sur le sol Le deuxième sarclage se fait généralement 15 à 20 jours après le premier. Un troisième sarclage est parfois effectué pour les variétés tardives ou pour lutter contre le Striga hermonthica (Wade 2001/ISRA). Il faut limiter au maximum l’enherbement qui puise une partie des réserves en eau et en substances nutritives du sol et de la plante. Lors du second sarclage, on peut aussi effectuer un buttage cloisonné dans les parcelles à fort ruissellement.

Démariage des plants

Le démariage consiste à arracher les plants excédentaires au niveau d’un poquet pour limiter la compétition vis-à-vis des substances nutritives et de l’eau du sol. Il est généralement réalisé pendant le premier sarclage, de préférence dans le courant du mois de semis. Il peut se faire en même temps que le remplacement des poquets manquants quand le sol est suffisamment humide (après une pluie). Un retard de démariage risque de limiter le tallage par encombrement des plants

Récolte

Dès que le grain entre en maturation, les champs doivent être protégés contre les attaques d’oiseaux granivores et autres insectes ravageurs des récoltes. La récolte peut débuter dès que les grains situés vers la base des panicules sont durs. Ce stade s’observe généralement entre 70 et 80 jours après levée (JAL) pour les variétés à cycle court et entre 90 et 120 JAL pour les variétés à cycle long. Les variétés de mil sont réparties en deux groupes principaux notamment en fonction de leur longueur de cycle (Pernes 1984, Diouf 2001).
Les épis sont récoltés à l’aide d’un couteau et assemblés en bottes de 200 à 400 épis. Les bottes sont ensuite séchées et transportées. Elles sont ensuite placées dans des greniers en pailles ou en banco surélevés par rapport au niveau du sol. La suite des opérations consistera au battage des épis pour enlever les glumes et les glumelles, le vannage des grains pour enlever les impuretés, suivi de l’ensachage dans des sacs de 100 Kg. Le mil peut être stocké pendant plusieurs années, mais il est généralement consommé dans l’année ou vendu après la récolte. La paille peut être récoltée notamment pour son utilisation dans la confection de clôtures. Les résidus de culture peuvent également être laissés au champ où ils constituent une source importante de fourrage et contribuent à enrichir et à protéger le sol.

Composantes du rendement

Le rendement est fonction du nombre d’épis à l’hectare, du nombre de grains par épis et du poids d’un grain. Ganry et al., 1974 ont obtenu un rendement de l’ordre de 3 t/ha avec 120 kg/ha d’urée fractionnés en trois apports (semis, démariage et montaison). Sur un sol dior, Ganry et al., (1974) ont aussi constaté un effet positif de l’enfouissement de pailles compostées sur le nombre d’épis et le rendement. Sall (2008) et Diba (2014) affirment que le nombre d’épillets et de grains par épi varie en fonction du taux de croissance relative de la plante pendant les phases précédant la floraison mais aussi des conditions de lumière et de température. Ils ajoutent aussi que le nombre de grains par épi est très sensible à un déficit hydrique survenant pendant la floraison. Quant au remplissage du grain, il est assuré pour l’essentiel par l’activité photosynthétique des 3-4 dernières feuilles.

Exigences écologiques

Le mil supporte mieux que les autres céréales les températures élevées (Diouf 2001).
En Afrique, la température optimale pour la culture du mil est supérieure à 30 °C dans les régions considérées comme idéales pour cette culture (Loumerem, 2004). Selon Diouf (2001) et Diba (2014), le mil est la céréale dont les exigences paraissent les plus faibles : il est très souvent cultivé sur les sols sableux, acides, pauvre en argile mais ne supporte pas la salure et l’excès d’eau. Le sol optimal est sablo-argileux, bien drainé, bien structuré pour faciliter la croissance du système racinaire, et d’autant plus riche chimiquement que le cycle est court ; Diba 2014).
Le mil est une plante à jour court ; néanmoins il existe des variétés indifférentes à la longueur du jour. Le mil exige une forte intensité lumineuse. Selon Loumerem (2004), le développement de la plante de mil est proportionnel à la radiation solaire interceptée par jour. Au Mexique, la différence de production en grains entre un semis au printemps et un semis en automne, est expliquée par la longueur de la photopériode (> 13 h) et la différence de température entre le jour et la nuit (Loumerem, 2004).

Contraintes de la production du mil

 La baisse des rendements du mil est due à plusieurs contraintes d’ordre variétal, abiotique, biotique et socio-économique. Les variétés améliorées, à hauts rendements, et adaptées aux nouvelles conditions agro-climatiques sont peu ou pas utilisées en milieu paysan (Diouf 2001). Certains producteurs continuent de cultiver les variétés dites traditionnelles et locales, qui ont des cycles très longs, sensibles aux maladies et aux plantes parasites. L’amélioration génétique du mil est rendue encore plus compliquée par les mauvaises pratiques culturales dans un milieu de culture extrêmement difficile où les sols se sont dégradés et la pluviométrie est devenue très aléatoire.
A travers le monde, les programmes d’amélioration du mil ont débuté tardivement et les budgets qui y sont alloués demeurent faibles (PROMISO 1). La vulgarisation des acquis de la recherche est inadéquate et les paysans sont parfois réticents par rapport aux innovations et la plupart des technologies développées n’ont pas pris en compte les contraintes très graves que doivent surmonter les paysans.
 Les contraintes abiotiques portent essentiellement sur celles édaphiques et climatiques. Les contraintes édaphiques ou contraintes liées au sol concernent la pauvreté des sols en éléments nutritifs (N et P), la faible teneur en matière organique, l’acidité prononcée et la faible capacité d’échange cationique. La surexploitation des sols, sans mesure d’accompagnement par des techniques de restauration de la fertilité des sols reste la principale cause de la dégradation des sols. La déforestation et les feux de brousses sont aussi des facteurs de dégradation de l’environnement avec comme corollaire la disparition du couvert végétal (ce qui met à nu le sol entraînant des pertes d’élément dues aux érosions). L’amendement et la fertilisation minérale du sol sont devenus presque impossibles avec la rareté et la cherté des engrais chimiques et la presque inexistence du fumier familial.
 Les contraintes biotiques qui occasionnent des pertes substantielles de rendement concernent les maladies, les insectes et les adventices. Le mildiou ou maladie de l’épi vert causé par un champignon Sclerospora graminicola, et l’ergot, le charbon, causés respectivement par Claviceps fusiformis et Tolyposporium penicillariae constituent les principales maladies du mil dans la zone sahélienne de l’Afrique de l’Ouest (Diouf, 2012). Le mildiou est de loin la maladie la plus fréquente et la plus répandue dans les zones de production du mil. Les pertes de rendement occasionnées par cette maladie sont estimées entre 20 et 30 % selon Diouf (2012). Il rapporte que les chenilles mineuses de tige et surtout celles des chandelles sont des ravageurs importants du mil dans les zones sahéliennes. Dans ces zones, le complexe des insectes du mil est dominé par la chenille mineuse d’épis Heliocheilus albi punctella De Joanis.
 Les insectes les plus importants sont les suivants : les lépidoptères : la chenille foreuse des tiges, Coniestai gnefusalis et la mineuse de Chandelle (Helicoheilus albi punctella) ; Striga hermontheca (L.) est une plante adventice à fleurs mauves, parasite obligatoire qui vit aux dépens du mil. Cette espèce est présente dans toutes les zones de production de mil et cause des dégâts importants à la culture.
 Les oiseaux granivores comme Ploceus cuculatus, Quelea quelea, peuvent occasionner des pertes sévères en grains, surtout si la récolte est retardée par rapport à la maturité des grains (Diba 2014).

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

Résumé
Abstract
Chapitre 1 : Introduction générale
1.1 Contexte et justification
1.2 Problématique
1.3 Objectifs
1.3.1 Objectif global
1.3.2 Objectifs spécifiques
1.4 Résultats attendus
Chapitre 2 : Revue bibliographique
2.1 Manifestation de la salinité
2.2 Généralités sur le mil
2.2.1 Origine
2.2.2 Systématique
2.2.3 Description botanique
2.2.4 Physiologie
2.2.5 Cycle de développement du mil
2.2.6 Opérations culturales
2.2.6.1 Préparation du sol
2.2.6.2 Semis
2.2.6.3 Entretien
2.2.6.3.1 Sarclobinage
2.2.6.3.2 Démariage des plants
2.2.6.3.3 Repiquage
2.2.6.3.4 Fertilisation
2.2.6.3.5 Récolte
2.2.7 Composantes du rendement
2.2.8 Exigences écologiques
2.2.9 Contraintes de la production du mil
Chapitre 3 : Matériel et méthodes
3.1 Présentation de la zone d’étude
3.1.1 Situation géographique et administrative
3.1.2 Cadre biophysique
3.1.2.1 Le climat
3.1.2.3 Végétation
3.1.3 Activités socio-économiques
3.1.3.1 Population
3.1.3.2 Agriculture
3.1.3.3 L’élevage
3.1.3.4 La pêche
3.1.3.5. Exploitation du sel
3.2 Matériel
3.2.1 Matériel biologique
3.2.2 Matériel de travaux de terrain
3.3 Méthode
3.3.1 Le dispositif expérimental
3.3.2 Opérations culturales
3.3.2.1 Préparation des parcelles (désherbage)
3.3.2.2 Fumure de fond
3.3.2.3 Semis
3.3.2.4 Sarclobinage
3.3.2.5 Démariage
3.3.2.6 Repiquage
3.3.2.7 Fumure d’entretien
3.3.2.8 Traitements phytosanitaires
3.3.2.9 Récolte et battage
3.3.3 Echantillonnage
3.3.4 Collecte des données
3.3.4.1 Nombre de levées
3.3.4.2 Mesure de hauteur au stade tallage
3.3.4.3 Mesure de la vigueur des plants
3.3.4.4 Nombre de Talles
3.3.4.5 Mesure de la hauteur totale
3.3.4.6 Mesure de la longueur de l’épi
3.3.4.7 Mesure du niveau de la nappe phréatique
3.3.4.8 Prélèvement échantillons d’eau
3.3.4.9 Relevé des cordonnées GPS
Chapitre 4 : Résultats et discussion
4.1. RESULTATS
4.1.1. Données pluviométriques
4.1.2 Caractérisation morphologique de la tanne arbustive
4.1.2.1 Description de l’environnement physique du site expérimental
4.1.2.2 les caractéristiques morphologiques du sol
4.1.2.3 Synthèse sur les caractéristiques morphologiques du sol
4.1.3 Dynamique de la nappe phréatique
4.1.4. Caractéristiques physiques et chimiques du sol
4.1.4.1 Conductivité électrique (CE)
4.1.4.2 Le potentiel Hydrogène (pH)
4.1.4.3 Le phosphore (P)
4.1.4.4 Le rapport carbone sur azote (C/N)
4.1.5 Données agronomiques
4.1.5.1 Taux de survie des plantations
4.1.5.2 Pourcentage de levée
4.1.5.3 La longueur des épis
4.1.5.4 Vigueur des plantes
4.1.5.5 Production d’épis matures
4.1.5.6 Production de graines
4.2. Discussions
4.7 Conclusion
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *