CARACTERISATION DU TERRAIN DE CULTURE

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Etudes annexes – autres interventions a) Etude topographique :

Le plan de situation a permis de :
-déterminer les surfaces de chaque parcelle et par conséquent la superficie totale du terrain
Création d’une Unité de Production Agricole basée sur la rentabilisation de la culture de courge musquée
– dresser les cartes pédologiques du terrain, actuellement en friche, les lignes de pente ainsi que la végétation qui s’y trouve ;
– réaliser les aménagements nécessaires.
Cette étude a permis de combler les lacunes des recherches bibliographiques et de justifier le choix des techniques utilisées.
Durant la levée, le temps imparti a été insuffisant. La demi-journée durant laquelle le théodolite (instrument de mesure topographique) a été à notre disposition fut trop courte, ne serait-ce que pour la levée par cheminement du périmètre. C’est la raison pour laquelle un temps additionnel était nécessaire pour définir les points remarquables que représentent les sommets de chaque parcelle. Le recours à la levée en mode décliné, au moyen de la boussole et du décamètre, a été indispensable. b) Etude sur la fertilisation

Les analyses faites ont mis en exergue les différents modes d’apport envisagés, et par conséquent les unités fertilisantes fournies. Malheureusement, nos moyens de production n’ont pas pu honorer les besoins réels de la courge en éléments fertilisants, ce qui a limité l’objectif de production (en quantité).

Dispositifs expérimentaux

Etant donné que le climat (avec toutes ses composantes) est un facteur d’environnement variable d’une année à l’autre, il s’est avéré utile de prendre en compte les conditions climatiques réelles au cours de cette campagne agricole 2005 – 2006.
– Pluviomètre
Le relevé de la précipitation journalière a pu être effectué de décembre 2005 à avril 2006 sur le terrain de culture grâce à un dispositif mis en place par nos propres moyens (Cf. Annexe 0.5 : Pluviomètre). Pour ce qui est des autres indicateurs du climat, à savoir la température, la nébulosité, l’hygrométrie et le vent, aucune mesure n’a été faite de façon précise. Les conditions de ces facteurs ont été établies selon notre propre appréciation.
– Température
Le relevé journalier de sa valeur a été malheureusement omis. Pour s’y résoudre, une demande a été faite par e-mail auprès du service météorologique d’Antananarivo. Mais pour des raisons techniques, notre demande n’est pas parvenue à son destinataire, au météo@dts.mg.
– Nébulosité
Au cours des relevés pluviométriques, la couverture du ciel a été observée, puis notée.
Exploitation des résultats
La synthèse et l’analyse des résultats d’enquête ont été facilitées par le tri thématique des informations recueillies et le recours à la méthode statistique descriptive.
Pour leur part, l’élaboration des tableaux et la cartographie ont permis de synthétiser les informations issues des sources diverses (documentations, entretiens auprès des habitants d’Antsiodrano, observations) sur la zone d’implantation.
Les ouvrages bibliographiques pris pour référence ont amélioré les travaux de synthèse et de rédaction auxquels le support informatique a tenu un rôle important. Il s’agit des ouvrages de RAKOTOARISOA ; JACQUES et RAKOTONIAINA (1993) pour le cas de l’étude du marché ; CHAUX ;
FOURY et MOATI (dir.) (1994) pour la partie technique. Le Plan comptable 2005 a servi de référence pour l’élaboration des documents comptables dans le chapitre sur les suivis et évaluations financières.
Enfin, concernant le rapport, les analyses personnelles orientées vers les intérêts de l’UPA s’insèrent dans les résultats d’investigation au niveau des chapitres traitant les études de conception ; le chapitre sur la production relate les réalisations techniques en vue de leur analyse et en dernier lieu, le dernier chapitre conclut les travaux de rédaction et offre une perspective d’amélioration technique.

Limites de travail

Les limites des travaux résident principalement sur les difficultés rencontrées dans l’application du timing car il fallait gérer à la fois le statut d’élève ingénieur et celui d’exploitant. Les réalisations ont parfois gagné le pas sur les études préalables : dans le cadre de l’étude du marché, certaines visites ont du être annulées (marchés d’Analakely et d’Ambohimanarina) pour éviter le retard de la mise en place de la culture, la campagne culturale étant conduite en mode pluvial ; des choix techniques ont été pris après de simples études sommaires entraînant en l’occurrence des erreurs de dosage dans la formulation des engrais.

Nous avons été momentanément handicapés par l’insuffisance des informations sur les courges musquées. L’ouvrage de CHAUX ; FOURY et MOATI (dir.), pris pour référence, n’échappe pas à cette lacune. Hormis dans la partie traitant la botanique, les informations plus ou moins analogues sur les courges musquées et les potirons sont rares dans les parties traitant l’agronomie contrairement à celles relatives à la courgette. Pour y remédier, la collecte d’informations supplémentaires s’est faite au cours de la campagne culturale elle même, voire au-delà, par de simples observations et des prises de note.
A l’inconvénient relatif à la gestion du temps s’ajoute l’éloignement de la maison d’habitation et du terrain. Les déplacements réduisent le temps destiné aux travaux au champ. Aucune mesure spécifique n’a été prise pour y remédier, quoique tous les documents produits ou rapports n’ont été rédigés qu’à partir du mois de février 2006, au terme des principales opérations culturales.

ETUDE D U MARCHE

Du 01er au 09 septembre, a été réalisée sur les marchés de la ville d’Antananarivo une étude du marché de la courge. Les résultats qui y sont issus concernent le marché, la commercialisation et la production.

LE MARCHE

Dans cette étude, l’état du marché en courges est déterminé par la différence entre l’offre et la demande portées sur une année.

L’offre

L’offre pourrait être définie comme étant la quantité de marchandises proposée sur le marché de la CUA. Parmi les maillons intermédiaires de la filière, les collecteurs sont les plus proches des producteurs. Un entretien avec un collecteur plus ou moins spécialisé en ce qui concerne la filière courge, a permis d’établir la formule suivante : Formule n°1 : Offre = A x N,
avec A : représentant l’approvisionnement par collecteur. La quantité de marchandises acheminées par ce collecteur en 2005 a été prise à titre indicatif, soit 514 T.
N : nombre d’opérateurs opérant dans l’approvisionnement de la CUA en courges = 15 (Source : Enquêtes)
Ainsi, selon cette formule, l’offre en courges se chiffrerait à près de 7.700 T .
Le recoupement de ce chiffre via les grossistes n’est pas possible car leur nombre n’est pas connu.

La demande

Pour sa part, la demande constituerait la quantité de marchandises écoulée sur le marché. Il semblerait en effet que les consommateurs, s’appropriant des produits au gré de la disponibilité de ces derniers, n’effectuent pas de commandes précises (en volume). Puisque les recherches ont été effectuées auprès des acteurs de la filière et non des consommateurs, la valeur de la Demande a été définie comme suit : Formule n°2 : Demande = E x N*
avec E : équivaut à la quantité moyenne (sur 13 entretiens) de courges écoulées dans l’année par un vendeur aux détaillants = 8 T.
N* = 1.300 : nombre estimatif des vendeurs aux détaillants tel que :
N* = nombre moyen de marchand / fokontany x nombre de fokontany dans la CUA = [(7+6)/2]x192
7 + 6 : correspond à la somme des nombres de marchands fixes aux détaillants des Fokontany d’Andravoahangy et d’Isotry qui vendent des courges.
De ces valeurs, la Demande en courge atteindrait les 10.000 T.
D’après ces estimations, la demande en courge est plus élevée que l’offre, autrement dit, le marché est ouvert à raison de 30 %. Mais comme nos formules sont basées sur des cas plus ou moins réels, les 10 000 T mis à disposition des consommateurs existent mais il se pourrait que certaines sources d’approvisionnement, bien que moindre, ont été oubliées ou omises par les vendeurs enquêtés. En effet, les produits arrivés sur le marché de la CUA peuvent aussi bien provenir des collecteurs que des autres acteurs non couverts par la formule n°1.
Ce surplus de marchandises consommées, non pris en compte par la formule n°1, met alors en doute l’état réel du marché. Sans pouvoir proposer des rectifications tangibles aux formules, il y a lieu de considérer des paramètres autres que le volume des marchandises, notamment les différents circuits qu’elles empruntent.

LA COMMERCIALISATION

Le produit

La courge à laquelle se fixe notre intérêt est un légume fruit, appartenant à la famille des Cucurbitacées. Elle a pour nom scientifique Cucurbita moschata Duch. Sur le marché de la Capitale, on la retrouve sous les noms de « voatavo mara » ou de « volon’akanga ». Les variétés y sont distinguées grâce à leurs formes. L’intérêt de cette étude y est entièrement consacré bien qu’un produit « analogue » prête souvent à confusion : le potiron, qui est aussi un légume fruit de la famille des Cucurbitacées, mais il est peu présent sur le marché. De nom scientifique Cucurbita maxima Duch, le potiron a pour nom vernaculaire « Voatavo bozaka ». Outre les différences physiologiques, le potiron diffère de la courge par des caractéristiques gustatives.
Bien que la plupart des consommateurs ne sont pas trop exigeants, des critères d’appréciation de la courge peuvent être mentionnés tels que :
– Coloration de la peau : verte, légèrement cuivrée en signe de maturité
– Coloration de la chair : vive, jaune ou orangée
– Chair bien épaisse
La courge fait partie des produits maraîchers les moins consommés à Antananarivo mais les observations effectuées depuis septembre 2005 tendent à le réfuter. En effet, la courge est en train d’être présente en permanence tout au long de l’année sur l’étalage des marchands de légumes. Le plus souvent, elle y est vendue en tranche (« Quart de lune ») ou en accompagnement aux légumes destinés aux potages. Sur le marché de gros, la courge est vendue par unité (avec un poids moyen de 8 kg).

Les acteurs de la filière

Les acteurs liés à la commercialisation de la courge ne se consacrent pas uniquement à ce produit. Les intervenants des marchés aux détaillants vendent leur courge avec d’autres légumes (brèdes, tomates, oignons …) et parfois des fruits ; tandis que ceux d’Anosibe et d’Anosizato s’intéressent à d’autres spéculations durant les saisons qui leur sont propices.
Entre les producteurs et les consommateurs finaux s’insèrent les acteurs suivants :

Les collecteurs

Rôle : affiliés à plusieurs zones productrices, ils se chargent d’acheminer l’essentiel de la production destinée à la vente vers la ville.
Caractéristique : Un collecteur, suivant son degré d’implication pour la courge, traite entre 150 à 500 T de produit par an.

LES CONDITIONS DU MILIEU

Le milieu physique

Roche mère

La région d’Ambohimangakely repose sur un socle cristallin granitique du précambrien. Ce socle constitué de granites migmatitiques et migmatites granitoïdes étroitement associés a subi au cours des âges l’effet de l’érosion. L’action du climat tropical aidant, la décomposition chimique en a donné de l’argile latéritique qui recouvre aujourd’hui ce socle sur une très grande épaisseur (30 m et plus) et qui constitue les terres de tanety [Frère RAMINOSOA, 1963].

Relief

Ambohimangakely est située sur les hautes terres centrales, dans la région des collines semées sans
ordre entre les chaînes de l’Angavo à l’Est et la plaine de Betsimitatatra au Sud et Sud-Ouest [Frère
RAMINOSOA, 1963].

Sol : la pédologie

Bien qu’Ambohimangakely dispose de quatre types de sol (Cf. Annexe 2.1 : Typologie des sols à Ambohimangakely), les sols latéritiques des « tanety » (sommet et pente de colline) prédominent au sein du paysage.

Climat

D’après le diagramme ombrothermique, réalisé à partir des données normales de température et de pluie de 1961 à 1990, et tracé selon les principes définis par H. GAUSSEN, les mois secs se situent entre avril et septembre

Hydrographie

Les Sources
Généralement, la zone de départ des sources est formée d’arènes plus ou moins poreuses où se rencontrent des nappes aquifères. Suivant la pente et la surface impluviale, ces nappes sont souvent permanentes. Des ressauts de terrain en tête de vallée mettent à jour le substratum rocheux et il naît des sources à la base de la zone de départ. Ces eaux de source fournissent en eau l’essentiel des rizières dans les vallées d’Antsiodrano et ses environs, situées entre 1300 et 1270 m d’altitude.
Rivière
Ambohimangakely (CR) n’est arrosée que par la rivière Ampasimbe qui coule entre les Fokontany d’Ambohimangakely et d’Antanambao, éloignée du hameau d’Antsiodrano.

Végétation

Le terrain de culture est représentatif vis-à-vis de la zone entière en matière de végétation herbacée. Bien que les arbustes sont peu nombreux, deux genres se distinguent : Psiadia sp. et Helychrisum sp. Enfin, la collection des espèces forestières se limite aux genres Pinus et Eucalyptus. La consommation en bois pour le chauffage ou le charbon épuise considérablement ces ressources.

Faune

La faune est dominée par la classe des Insectes parmi lesquels se trouvent les ordres des Diptères des Orthoptères, des Coléoptères, des Lépidoptères, des Hyménoptères, des Homoptères comportant chacun des espèces nuisibles aux cultures. Les insectes utiles se limitent aux agents pollinisateurs qu’il faut veiller à ne pas détruire lors des luttes qu’on désirera conduire contre les ravageurs des cultures. Outre les hexapodes, les vertébrés manifestent également leur présence dans la région, à savoir les reptiles, les batraciens, les oiseaux et les mammifères. Ces derniers sont les plus nuisibles d’entre les vertébrés, aussi bien pour les cultures que pour l’élevage (apicole ou avicole).
Courbe ombrothermique d’Antananarivo
Pluviométrie (mm)Création d’une Unité de Production Agricole basée sur la rentabilisation de la culture de courge musquée

Situation géographique :

Ambohimangakely a pour coordonnées géographiques : 47°35’29’’ Est Greenwich – 18°53’56’’ de latitude Sud. Elle culmine à 1.252,5 m d’altitude [RALALARISOA, VOLOLONIRINA, 2004]. Ces coordonnées semblent faire référence à l’emplacement de la mairie, au point kilométrique n°10 (pK 10) de la route nationale n°2 (RN2) (Cf. Carte 1 : CR Ambohimangakely).

Les activités d’échange

Relations inter zones

Ambohimangakely est en communication avec Antananarivo (La Capitale) et Toamasina (Le premier  port) par le biais de la RN2 ; elle est liée avec les principales Communes avoisinantes, à savoir : Ambohimanambola, Ankadikely-Ilafy, Sabotsy –Namehana et Alasora (Cf. Carte 1 : CR d’Ambohimangakely) par des routes secondaires ; à cela s’ajoutent l’autoroute dite « by-pass » qui reliera directement Ambohimangakely avec Andoharanofotsy (RN7). Jusqu’à présent, seul le trajet Behoririka (Antananarivo) – Ambohimangakely est desservi par une ligne de taxi-brousse directe, la ligne E qui regroupe deux coopératives : Koloina et Kofiatra.
La population d’Ambohimangakely s’approvisionne souvent à sa manière et selon ses besoins à Antananarivo en empruntant cette ligne.Création d’une Unité de Production Agricole basée sur la rentabilisation de la culture de courge musquée

Relation intra zone

Le flux de main d’œuvre mérite ici d’être mis en évidence. Le fokontany de Betafo fournit la MO saisonnière au C.A.F.E.C. pour réaliser la mise en place des cultures, les sarclages et les récoltes. L’association AKAMASOA (Cf. Annexe 2.15 : L’association humanitaire AKAMASOA), très présente dans la Commune d’Ambohimangakely, achemine les travailleurs d’un centre à l’autre grâce à un véhicule de personnels.

Sécurité

Les ruraux d’Ambohimangakely sont relativement couverts en matière de sécurité : un poste de gendarmerie à un km de la RN2, sur la route de Betsizaraina ; 109 quartiers mobiles répartis sur les 17 Fkt [RALALARISOA, VOLOLONIRINA, 2004]. Ambohimangakely dispose également d’un poste de police à Antanambao. Seulement, l’insécurité existe toujours. Les principaux délits concernent des vols de bétail, de produits au champ et dernièrement de voiture. Ils provoquent des conséquences néfastes à l’économie du ménage. Parmi les actes de banditisme se trouvent le cambriolage nocturne et les rapts.

CONCLUSION PARTIELLE

En ce qui concerne les conditions physiques, la nature ferralitique des sols est intimement liée à la nature de la roche mère. Le nombre réduit des genres végétaux qui s’y trouvent illustre bien la mauvaise qualité du sol. Elle doit être prise en compte, notamment lors de l’épandage de fumure et les formulations d’engrais. Quant aux précipitations annuelles, elles peuvent assurer l’alimentation en eau de la culture conduite en mode pluviale.
Pour ce qui est des conditions géographiques et démographiques, Ambohimangakely jouit de la proximité d’Antananarivo par rapport aux principales zones productrices de courges. Il s’agit d’un atout incontestable pour pouvoir écouler la production. Malheureusement, les rendements agricoles n’y sont pas performants. La nature du sol et la faiblesse de l’usage des intrants sont les principales causes évoquées.
Malgré les handicaps liés à la qualité et le volume des ressources d’exploitation, nous pensons que la CR dispose d’autres facteurs essentiels de production qui peuvent être exploités au bénéfice de l’UPA. Si l’argent se fait rare en vue d’investir ou d’améliorer l’exploitation, nous pouvons nous orienter vers les établissements de crédit qui sont, à l’exemple de l’OTIV, indulgents à son encontre. La MO ne doit pas constituer un problème. Outre le Fkt de Betsizaraina qui dispose d’une ressource humaine exploitable, les « inactifs » à proximité d’Antsiodrano devrait suffire à l’UPA pour constituer la main d’œuvre salariale. Enfin, si les engrais venaient à manquer, il est possible de s’approvisionner en engrais minéraux à Antananarivo ou en compost (comme substitut du fumier) à Andralanitra. Ainsi, les conditions sont encore propices pour la mise en place d’une UPA à Ambohimangakely. Il reste à savoir si l’exploitant peut répondre aux exigences techniques de la courge compte tenu des conditions locales.Création d’une Unité de Production Agricole basée sur la rentabilisation de la culture de courge musquée..

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Table des matières

AVANT – PROPOS
INTRODUCTION
METHODOLOGIE
Problématique et hypothèses
Méthodes
Résultats
Exploitation des résultats
Limites de travail
Chapitre 1 ETUDE DU MARCHE
1.1 LE MARCHE
1.1.1 L’offre
1.1.2 La demande
1.2 LA COMMERCIALISATION
1.2.1 Le produit
1.2.2 Les acteurs de la filière
1.2.3 Les circuits
1.2.4 Les prix
1.3 LA PRODUCTION
1.3.1 Situation économique
1.3.2 Conduite de culture
1.4 CONCLUSION PARTIELLE
Chapitre 2 ETUDE DE LA ZONE D’IMPLANTATION
2.1 LES CONDITIONS DU MILIEU
2.1.1 Le milieu physique
2.1.2 Situation géographique :
2.1.3 La population
2.2 L’ESPACE AGRICOLE
2.2.1 Evolution des terroirs
2.2.2 Occupation du sol
2.3 CARACTERISATION DU TERRAIN DE CULTURE
2.4 LES CONDITIONS ECONOMIQUES
2.4.1 Ressources d’exploitation
2.4.2 Les activités productives
2.4.3 Les activités d’échange
2.5 CONCLUSION PARTIELLE
Chapitre 3 ETUDES TECHNIQUES
3.1 LA COURGE
3.1.1 Physionomie de la production
3.1.2 La plante
3.1.3 La production
3.2 LE PROTOCOLE DE CULTURE
3.2.1 Le calendrier sommaire de culture
3.2.2 Les itinéraires techniques : Consignes et propositions techniques
3.3 CONCLUSION PARTIELLE
Chapitre 4 PHASE DE PRODUCTION
4.1 L’UNITE DE PRODUCTION AGRICOLE
4.1.1 Les facteurs de production
4.1.2 Les objectifs de production
4.2 LA PRODUCTION PROPREMENT DITE
4.2.1 Mode d’exploitation
4.2.2 Les conditions durant la campagne culturale
4.2.3 Le système de culture
4.2.4 Les productions
4.2.5 Gestion de la main d’œuvre
4.3 CONCLUSION PARTIELLE
Chapitre 5 SUIVIS ET EVALUATIONS FINANCIERES
5.1 COMMERCIALISATION
5.1.1 Identité
5.1.2 Circuit adopté
5.1.3 Prix
5.1.4 Vente
5.2 EVALUATION ECONOMIQUE
5.3 EVALUATION FINANCIERE
5.3.1 Modification des paramètres techniques et financiers
5.3.2 Détermination des outils d’évaluation financière
5.3.3 Rémunération
5.4 CONCLUSION PARTIELLE
CONCLUSION

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