CAPITAL HUMAIN ET CROISSANCE ECONOMIQUE

Définition du Capital Humain

                  La littérature économique retient plusieurs définitions du capital humain. Allons voir quelques-unes : G. S. Becker définit le capital humain comme étant « le stock de ressources productives incorporées aux individus eux-mêmes, constitué d’éléments aussi divers que le niveau d’éducation, de formation et d’expérience professionnelle, l’état de la santé ou la connaissance du système économique. » C’est un actif, un patrimoine, un stock susceptible de procurer un revenu et un stock de connaissances et d’expériences, accumulé par son détenteur tout au long de sa vie par des investissements. (BECKER, 1964) Le capital humain est l’ensemble des capacités productives qu’un individu acquiert par l’accumulation de connaissances générales ou spécifiques, de savoir-faire,… (CACOT et REBOUISSOUX, 2008). Pour J. Stiglitz, le capital humain est « l’ensemble des compétences et expériences accumulées qui ont pour effet de rendre les salariés plus productifs » (BIALES, 2008). Quant à Samuelson et Nordhaus, il s’agit du « stock de connaissances, techniques et de qualifications caractérisant la force de travail d’une nation et résultant d’un investissement en éducation et en formation permanente ». Selon l’OCDE, le capital humain recouvre les connaissances, les qualifications, les compétences et les autres qualités d’un individu qui favorisent le bien-être personnel, social et économique. Le capital humain constitue un bien immatériel qui peut faire progresser ou soutenir la productivité, l’innovation et l’employabilité (JULIA, 1998). La Banque mondiale a aussi donné sa définition, le capital humain est « l’ensemble des connaissances, compétences et données d’expérience que possèdent les individus et les rendent économiquement productifs. ». Dans cette optique, le capital humain est l’ensemble des capacités physiques et intellectuelles des individus ou de groupe d’individus favorisant la production d’un revenu. L’investissement en éducation serait susceptible d’accroitre le capital humain rendant ainsi les individus sont plus productifs (Banque Mondiale, 2005).

Les théories de la croissance

La croissance exogène : Traditionnellement, les Economistes à savoir Harrod-Domar et Robert Solow ont expliqué que la croissance économique est due aux facteurs extérieurs à l’économie. Ils considèrent que les progrès techniques sont exogènes et ne représentent qu’une partie infime de l’ensemble des innovations technologiques possibles. La théorie de la croissance exogène est le modèle de Solow (BENICOURT, GUERRIEN, 2008).
– Le modèle de HARROD-DOMAR5 (1939) : Harrod et Domar partent du principe que l’épargne joue un rôle stratégique dans la croissance économique du fait qu’elle permet l’investissement qui à son tour crée du capital, le déterminant principal de l’accroissement de la production. L’investissement exerce une double influence sur l’économie notamment la demande et l’offre (MUET, 1993). A court terme, la variation de l’investissement détermine le niveau de revenu et de la demande globale :∆I→Y→R→C et S. C’est le principe du multiplicateur keynésien. Mais, à long terme, l’investissement accroît la capacité de production par le mécanisme d’accélérateur. Cette capacité de production doit être dans une proportion égale à 1/v où v est le coefficient de capital et correspond à l’inverse de la productivité moyenne du capital soit v= K/Y6 . L’effet de capacité est donc égal I (1/v). Partant de ce principe, la croissance économique n’est équilibrée que si les revenus supplémentaires engendrés par l’effet multiplicateur soient absorbés par la production supplémentaire obtenue. Autrement dit, l’effet de revenu doit être égal à l’effet de capacité. L’investissement doit, donc, augmenter à un taux constant égal au rapport entre la propension marginale à épargner et le coefficient de capital soit ∆I/I = s/v (HARROD-DOMAR ,1939). Pour résumer, post-keynesien6 où K est le stock de capital et Y la production En effet, pour qu’un pays se développe, il faut épargner davantage et faire un investissement productif. Cependant, le modèle d’Harrod-Domar montre que la croissance est instable et peut s’accompagner d’un chômage durable. L’Etat est, donc, le seul qui peut remédier à cette lacune en régulant la demande globale (MUET,1993).
– Le modèle de SOLOW7 : (1956) D’après Solow, la croissance est toujours équilibrée du fait de la substituabilité des facteurs de production et la flexibilité des prix de ces facteurs de production assurant le plein emploi (DEUBEL ET MONTOUSSE ,2008). Les rendements factoriels de ce modèle sont décroissants c’est-à-dire l’augmentation du capital par tête permet d’augmenter la production mais pas de façon proportionnelle. Solow parle d’un état stationnaire dans ce cas où la production par tète cesse d’augmenter. Autrement dit, la productivité marginale du capital est décroissante et donc limite le processus de la croissance. Par conséquent, c’est le progrès technique qui permet contrecarrer la décroissance des rendements. La croissance économique est donc exogène à long terme c’està-dire dépend de l’évolution démographique et technologique (BENICOURT ET GUERRIEN, 2008)
La croissance Endogène : Dans cette théorie, la croissance provient du phénomène économique c’est-à-dire elle résulte de l’investissement effectué par des agents économiques qui cherchent à maximiser leurs gains. Le taux de croissance de l’économie est déterminé par les comportements des agents et des variables macroéconomiques (AGHION, HOWITT ET MAZEROLLE,2000). L’hypothèse de base de cette théorie est que le progrès technique qui serait à la fois une cause et une conséquence de la croissance est endogène et que les rendements sont constants. La croissance a, donc, un caractère cumulatif et un phénomène auto-entretenu (MUET, 1993) Cette théorie de la croissance endogène part aussi de l’idée que la concurrence est imparfaite et que l’économie a besoin de l’intervention publique. Aussi, sur le long terme, ni le taux d’investissement, ni l’effort de formation ne suffit pas à assurer une réduction des écarts de développement entre pays. Cette théorie postule également que les individus sont parfaitement rationnels et accorde beaucoup d’importance aux effets externes (AGHION, HOWITT et MAZEROLLE,2000). Selon la théorie néoclassique, l’accumulation du capital physique est la seule source de la croissance économique. Cette théorie contredit le modèle de la croissance exogène qui stipule que la croissance économique provient de plusieurs éléments notamment l’investissement en capital physique, en capital public et en capital humain (DIEMER,2004). Si l’on se réfère à la théorie traditionnelle, la théorie de la croissance endogène stipule que l’investissement en capital physique a un effet significatif sur la croissance et avance que la productivité marginale du capital est constante (ALEXANDRE,2012). Ainsi, grâce aux effets externes, essentiellement les effets d’imitation et d’apprentissage, l’investissement d’une firme profite inévitablement aux autres firmes (INSEE,2000).C’est pour cette raison ISAAC NEWTON disait que «Si j’ai vu plus loin que d’autres, c’est parce que j’étais juché sur les épaules de géant.»
– Le modèle de Paul Romer (1986) : Ce modèle se fonde sur la théorie du « le arning by doing » c’est-à-dire c’est en produisant qu’une économie accumule spontanément les expériences et donc les connaissances. Autrement dit, une croissance forte permet d’acquérir plus d’expériences et de savoir-faire et en retour ces derniers favorisent la croissance et ainsi de suite. Ce qui explique la performance d’une entreprise car plus elle produit, plus elle accumule des connaissances. Par l’effet d’imitation ou grâce au « turn over », les autres entreprises qui l’entourent bénéficient elles aussi d’une main d’œuvre ayant gagné en savoir-faire du fait que l’accumulation des connaissances induit des effets externes (CAILLET, 2009).
– Le modèle Robert Lucas (1988) : Pour Lucas, le facteur endogène de la croissance est le capital humain. La croissance économique dépend, donc, en grande partie des efforts individuels et sociaux en formations. Mais, ces efforts dépendent de la capacité à épargner pour investir à l’éducation et donc à renoncer à la consommation. Par conséquent, l’accumulation du capital humain résulte non seulement des stratégies individuelles mais aussi des stratégies collectives car le niveau d’éducation d’un individu permet d’accroître sa propre productivité et celle des autres. Mais, par effet de réseau, un niveau d’éducation est plus efficace s’il s’interagit avec d’autres personnes présentant ce même niveau. Donc, la productivité sociale de la formation est supérieure à la productivité privée (CAILLET, 2009).
– Le modèle Barro (1990) : Dans ce modèle, Barro donne de l’importance à la dépense publique. Il avance que la dépense publique est productive et doit être considérée comme des facteurs de production. Selon Barro, les dépenses publiques notamment les dépenses d’éducation et de recherche, les dépenses des infrastructures en matière de transport et de communication doivent être prises en considérations par le secteur public afin de contribuer à la croissance. Ces dépenses permettent d’augmenter la croissance et qui à son tour induit un accroissement des recettes publiques entrainant de la dépense publique facteur de la croissance. Donc, l’augmentation du taux d’impôt à deux effets sur la croissance : d’une part, il favorise la croissance par l’intermédiaire du financement des infrastructures et d’autre part, il la défavorise car il décourage l’initiative privée. Mais, il existe un taux d’impôt optimal qui permet à l’Etat de maximiser la croissance (MUET, 1993).

Theodore W. Schultz (1961)

                Le capital humain fut développé pour la première fois par Schultz, dans son article : «Investment in Human Capital » publié en 1961 dans laquelle il mentionne « Alors qu’il apparaît évident que les individus acquièrent des savoir-faire et des savoirs utiles, il n’est pas évident que ces savoir-faire et savoirs constituent une forme de capital et que ce capital soit pour une part substantielle le produit d’un investissement délibéré ». Cependant, les mesures du capital humain sont notamment l’habilité, le savoir, et toutes les capacités permettant d’améliorer la productivité du travail humain. Ainsi, Schultz avance que la formation et l’éducation résulte d’une décision en soi pour améliorer la productivité et donc, le revenu. En effet, l’éducation est primordiale pour le développement de l’aptitude à prendre des meilleures décisions au moyen d’un bon usage de l’information disponible et une dépense de formation augmente sa productivité qui suscite une amélioration de ses revenus futurs. Dans son analyse, Schultz cherche à mesurer d’une manière efficace l’investissement en capital humain d’où la distinction des dépenses de consommation9 et dépenses d’investissement10. Mais cette approche de dépense ne permet pas d’une manière efficace pour mesurer l’investissement en capital humain. C’est pourquoi, il a introduit cinq (5) autres variables susceptibles d’améliorer le capital humain d’un individu et d’augmenter son salaire sur le marché de travail à savoir : les infrastructures et services de santé, la formation professionnelle organisée par les entreprises, le système éducatif de l’école élémentaire au supérieur, les programmes d’études et de formation pour adulte non organisés par des entreprises et la migration des individus et des familles pour saisir des opportunités d’emploi. L’éducation est, donc, important parce qu’il explique la plus grande partie de la productivité totale des facteurs source de la croissance que ni le capital physique ni le volume de travail ne parviennent à expliquer. (SCHULTZ, 1961).

Pauvreté

                  Le capital humain présente un effet influant quant à la réduction de la pauvreté. Si, à l’échelle macroéconomique, il n’y a pas de relation évidente entre croissance et inégalités de revenus en revanche, les analyses économétriques montrent que la croissance du PIB par habitant est un facteur important de la réduction de la pauvreté Or, il est largement établi, aussi bien dans la littérature théorique qu’empirique, que l’éducation et la santé jouent un rôle central dans l’augmentation des revenus et la croissance économique, voie par laquelle il est possible de réduire la pauvreté (BARRO 1991 ; CHU et al. 1995 ; TANZIET CHU, 1999). Les investissements dans l’éducation et la santé des pauvres comportent des bénéfices économiques à la fois sur la productivité, sur le revenu et sur la croissance économique. C’est pourquoi dans les stratégies de lutte contre la pauvreté, un accent particulier est mis sur ces deux secteurs. Ils interagissent dans différentes sphères. Les travailleurs les plus éduqués sont en meilleure santé et ont des revenus plus élevés. La forte corrélation entre pauvreté, santé et éducation est aujourd’hui un fait connu. Les personnes vivants dans une pauvreté absolue ont cinq fois plus de risques de mourir avant l’âge de 5 ans, et deux fois plus de risques de mourir entre15 et 49 ans, que celles appartenant à des groupes de revenus plus élevés (HUSSAIN,MOYO,OSHIKOYA,2000). Dans la même idée, GUPTA et al. (2001) utilisent des données en coupes instantanées portant sur 50 pays en développement et en transition. Ils montrent que l’état sanitaire des pauvres est significativement plus mauvais que celui des non pauvres. En ce qui concerne la mortalité infantile, la moyenne chez les pauvres est environ 6 fois plus élevée que celle des non pauvres. En Afrique subsaharienne, le taux de mortalité des pauvres est 7 fois plus élevé que celui des non pauvres (GUPTA et COGNEAU, 2002). Selon le rapport de l’OXFAM, 2006, au Niger, l’incidence de la pauvreté est de 70%dans les familles où les parents n’ont pas reçu d’éducation, contre 56% dans les familles où les parents ont fréquenté l’école primaire. Au vu de ces résultats, la scolarisation et la santé jouent un rôle primordial dans le développement économique et l’amélioration du bien-être des pauvres. Enfaite, la relation entre l’éducation d’un individu et sa productivité22 est l’un des effets stylisés les mieux établis en économie. Selon le Rapport sur le développement dans le monde, consacré à la pauvreté, à partir de nombreux travaux réalisés dans les années 1970 et 1980, l’éducation accroît aussi bien les salaires que la productivité du travail dans l’agriculture et dans le secteur informel. Le Rapport indique que l’incidence de l’investissement dans l’éducation sur les salaires dans le secteur formel est toujours significative. Par ailleurs, on a observé avec une grande régularité, les effets bénéfiques d’une bonne santé, tant sur la productivité agricole que sur l’emploi salarié. Ce même rapport indique les effets d’une meilleure nutrition sur la productivité du travail agricole, sans pour autant apporter d’information sur les effets des soins de santé. Les personnes handicapées participent moins au marché du travail et elles gagnent moins quand elles ont une activité parce qu’elles travaillent plus souvent dans le secteur informel (Banque Mondiale, 1990). En Indonésie, une enquête sur deux provinces montre que si le taux de consultation dans les centres de santé diminue, le salaire moyen des hommes baisse, ainsi que le taux d’activité des femmes. Les résultats de ces enquêtes concordent : tout individu qui ne peut se faire soigner alors que les médecins pourraient le guérir, subit une perte de revenu significative, voire très importante en cas d’inactivité. A long terme, les soins ont également une incidence sur les revenus : d’après les DHS menées dans 20 pays africains, les enfants qui ont été vaccinés, ou dont la mère a bénéficié d’une assistance médicale pendant la grossesse, sont en meilleure santé 23(NAY, AROKIASAMY, CASSEN, 2003).

Evolution du taux d’achèvement

               Le taux d’achèvement est le rapport entre le nombre d’enfants d’une génération donnée réussissant à l’examen de fin d’année et la même génération atteignant la fin du cycle primaire/collège/lycée. Autrement dit, le taux d’achèvement mesure la proportion des élèves qui ont terminé un cycle d’étude précis. On a pu constater que de 2009 à 2012, les taux d’achèvement du primaire et au collège diminuent traduisant ainsi une augmentation de la déscolarisation. Le graphique cidessous en montre l’évolution. Depuis 2009, le taux d’achèvement au niveau primaire diminue tout comme dans les collèges depuis 2011 après avoir augmenté depuis 2007. En revanche, le taux d’achèvement au niveau lycée s’améliore depuis 2007. Malgré la crise, la poursuite des aides extérieures en faveur du secteur de l’éduction a permis d’augmenter le taux d’achèvement au niveau des lycées. Le taux d’achèvement s’améliore au fur et à mesure que l’on accède au cycle suivant. Les faibles taux d’achèvement au niveau du cycle supérieur marquent la faiblesse du nombre des étudiants ayant terminé le parcours. C’est à cause des grèves à répétition dans les universités qui ont entretenu ces taux d’achèvement excessivement si faibles. La preuve que la population malgache manque d’éducation.

CONCLUSION

               La qualité du capital humain réside dans la bonne gérance des secteurs sociaux qui sont exactement l’éducation et la santé. Enfaite, les deux variables jouent des rôles respectifs dans cette qualité mais sont complémentaires dans l’efficacité de leurs actions. Toutefois l’acquisition du capital humain peut se faire de deux sens : soit par la voie formelle39 soit par la voie informelle. Dans le contexte de la mondialisation actuelle, la performance des pays se joue à travers les innovations technologiques. C’est d’ailleurs ce qui marque l’écart en termes de croissance économique des pays. La relation entre capital humain et la croissance économique repose sur des effets réciproques : l’enseignement permet aux individus d’exercer des emplois plus complexes et mieux rémunérés et simultanément l’existence de tels emplois les incite à poursuivre leurs études. Pour Madagascar, le capital humain intervient de façon déterminante dans la croissance économique. Mais, ce n’est pas le seul facteur qui détermine sa croissance. D’autres variables comme la démographie, système politique, l’ouverture au commerce extérieur. Qui l’influent. Le retard pris par Madagascar en termes de croissance économique est expliqué en grande partie par la qualité moindre de ses institutions et de ses déviations en matière de gouvernance. Cette dernière projette des effets négatifs sur l’utilisation du budget de l’Etat et sur l’allocation des ressources dans le secteur privé à travers un système peu propice à la concurrence et à l’innovation. Le capital humain conditionne l’investissement en capital physique du fait qu’il stimule l’investissement du dernier et par conséquent de la croissance économique. Ainsi depuis 2000, des reformes ont été mises en place par le gouvernement en vue de favoriser l’amélioration des conditions de vie de la population malgache mais qui semble être défaillant. Car on nage encore dans la persistance de la pauvreté.

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Table des matières

REMERCIEMENTS
LISTES DES FIGURES ET TABLEAUX
LISTE DES ABREVIATIONS
Introduction
Partie 1 : CADRAGE THEORIQUE
Section 1 : Généralité sur le Capital Humain
1- Définition du Capital Humain
2- Quelques concepts liés au Capital Humain
3- Importance du Capital Humain
Section 2 : Contexte général sur la croissance économique
1. Définition
2. Les théories de la croissance
Chapitre 2 : LES IMPORTANCES DU CAPITL HUMAIN SUR LA CROISSANCE ECONOMIQUE
Section1 : Les théories sur les liens entre le capital humain et la croissance économique
1- Les Auteurs Fondateurs
2- Autres Auteurs
Section 2 : L’effet du Capital humain sur la croissance économique selon les auteurs
1- Effets économiques
2- Effets sociaux
PARTIE 2 : ANALYSE ET DISCUSSION
Chapitre1 : SITUATION A MADAGASCAR
Section1 : Analyse des variables sociales
1- Education
2- Santé
Section 2 : Analyse des variables économiques
1- Les indicateurs macro- économiques
2- Autres indicateurs
Chapitre2 : CAPITAL HUMAIN ET LA CROISSANCE ECONOMIQUE A MADAGASCAR
Section 1- Généralité sur le lien entre les variables sociales et la croissance économique
1- Lien entre éducation et la santé
2- Leurs interactions à la croissance
Section 2- Les retombés économiques et recommandations
1- Impact du capital humain
2- Recommandation
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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