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Historique de la malnutrition dans le monde
1La malnutrition a vraisemblablement existé sous toutes les latitudes depuis la nuit des temps. On en trouve déjà une description sous sa forme œdé mateuse dans la Bible. Les premières descriptions précises sont cependant assez récentes. Dans les pays du Sud, le traitement de la question alimentaire/nutrition est marqué historiquement par un empirisme pragmatique dont les résultats se révèlent peu convaincants. Le caractère d’urgence des situations dramatiques relevées a conduit à la recherche des solutions concrètes et immédiates, focalisées sur les aspects strictement nutritionnels du phénomène. Cet empirisme de l’urgence a laissé de côté les véritables interrogations de fond et nous amène aujourd’hui à un problème de nutrition. Les informations scientifiques et technologiques ne manquent pas pour améliorer les cultures, que celles-ci soient destinées au marché ou à la subsistance. Ces informations sont même foisonnantes et cela prouve que la recherche elle-même a obtenu et continue d’obtenir de remarquables résultats. Ainsi les constats, discour politiques et scientifiques concernant la production alimentaire reste déconnectée de la réalité vivante de la population dont nous pouvons, néanmoins, rappeler certaines caractéristiques dramatiques à l’aide de quelques données statistiques qui ont pour autant une source d’optimisme et de pessimisme. En 1996, l’Organisation mondiale des Nations Unies pour l’Al imentation et l’Agriculture ( FAO) publiait une estimation alarmante : elle évaluait le nombre de personnes souffrant de carences alimentaires à huit cents millions. Pourtant, cette même source montre que la malnutrition est en régression continuelle depuis un quart de siècle, en nous faisant par conséquent croire que la tragédie est relative.
Madagascar figure parmi les pays les plus pauvres au monde. Un des symptômes de cette pauvreté est la présence de la malnutrition, touchant surtout les groupes vulnérables. La malnutrition touche tout le pays, le milieu rural comme le milieu urbain. Pour faire face à la malnutrition et à ses conséquences, le Gouvernement Malgache et ses partenaires ont pris un certain nombre de mesures avec en premier lieu une volonté politique clairement exprimée : ainsi, selon la Constitution Malgache15 et diverses conventions internationales ratifiées par Madagascar, « les enfants ont droit à une nutrition adéquate pour avoir un épanouissement physique et mental conforme à leur potentialité ». La validation de la Politique Nationale de Nutrition en avril 2004, à travers laquelle on perçoit la participation mu ltisectorielle de plusieurs ministères et partenaires est un moment important avec une structure de coordination effective en vue d’assurer une meilleure synergie des interventions relative à la nutrition.
Cette participation active se manifeste tant au niveau régional que national. De nombreuses interventions soutenues ou non par des bailleurs de fonds ont été engagées par le gouvernement et d’autres opérateurs pour s’attaquer directement et multisectoriellement à la malnutrition. Malgré ces différentes interventionsdans les domaines de la nutrition, la santé, la sécurité alimentaire, la lutte contre la pauvreté, le développement rural, etc., « le taux de la malnutrition chronique stagnait autour de 48% durant la dernière décennie ».
« D’une manière générale, la malnutrition infantile survient très tôt et parfois touche les enfants avant leur naissance. Environ 5% des enfants ont un poids insuffisant à la naissance (inférieur à 2.5kg) et de ce fait sont susceptibles de mourir durant le premier mois de la vie avec une probabilité 2 fois supérieure à celle des enfants de poids normal. 54% des décès d’enfants sont attribuables à la malnutrition. De même 19% des femmes en âge de procréer souffrent d’une malnutrition chronique avec un Indice de Masse Corporelle (IMC) inférieur à 18.5kg/m2 »16. La malnutrition n’épargne aucune province de l’île et touche aussi bien le milieu urbain que rural.
Malnutrition Nord-Sud : état des lieux
Malgré les efforts déployés par la Communauté Internationale depuis la Conférence Internationale sur la Nutrition (1992) et le Sommet Mondial de l’Alimentation (1996), et en dépit de certains progrès, nous pouvons constater une persistance massive des problèmes de sous-alimentation et de malnutrition par carences au Sud. De leur côté, les maladies chroniques liées au mode alimentaire sont devenues des problèmes de santé publique communs aux pays en développement et aux pays industrialisés.
La malnutrition dans les pays en développement
La FAO estime le nombre de personnes sous-alimentées dans le monde à 854 millions dont 820 millions dans les pays en développement. Cette estimation se fonde sur une méthode permettant d’évaluer en pourcentage et en valeur absolue la population qui, sur une année, n’a pas accès à une quantité suffisante d’aliments pour satisfaire ses besoins énergétiques. La méthode est basée sur une estimation des disponibiltés alimentaires et sur l’application d’un seuil critique des besoins énergétiques : par défition les sous-alimentés chroniques sont ceux dont la consommation estimée d’énergie est inférieure à celle requise pour maintenir la masse corporelle et permettre une activité physique modérée. Au-delà de ce chiffre global, d’autres données révèlent l’ampleur et la diversité des problèmes de santé publique liés à l’alimentation : Le retard de croissance (soit une taille insuffisante par rapport à l’âge) et/ou l’insuffisance pondérale (un poids insuffisant par rapport à l’âge) touchen t plus de 150 millions d’enfants de moins de 5 ans (soit 1 enfant sur 3) ; Les adultes – et en particulier les femmes – sont près de 250 millions, dans les pays en développement, à souffrir d’un poids insuffisant à cause d’une malnutrition ; Deux milliards de personnes de tous âges sont touchées, à des degrés divers, par ce qui a été appelé au début des années1990 la « faim cachée », c’est-à-dire des carences en micronutriments (nutriments présents en petites quantités dans l’alimentation et essentiels au bon fonctionnement de l’organisme) tels que le fer, la vitamine A, l’iode ou le zinc ; Les maladies non transmissibles liées à l’alimentation – obésité, diabète non insulinodépendant, maladies cardio-vasculaires, certains cancers – sont en émergence et en croissance rapide dans beaucoup de sociétés en développement ; Par ailleurs, des problèmes plus spécifiques s’étendent, liés à des situations ou à des populations particulières, comme les personnes atteintes du SIDA (dans certaines populations l’impact sur la sécurité alimentaire et sur le devenir des orphelins est énorme), les réfugiés et personnes déplacées ainsi que les personnes âgées dans le contexte actuel de vieillissement de la population. Au total, c’est plus de la moitié de la population mondiale qui est atteinte par une forme ou par une autre de malnutrition, les femmes et les jeunes enfants étant les plus touchés. Au vu de cette situation, les dirigeants réunis au Sommet Mondial de l’Alimentation en 1996 se sont engagés, à réduire de moitié la sous-nutrition d’ici 2015. Cet engagement a été inclus, avec d’autres buts fondamentaux, dans les Objectifs du Millénaire pour le Développement, adoptés en septembre2000 lors du Sommet du Millénaire des Nations Unies Au rythme actuel de la diminution de la sous-nutrition, les Objectifs du Millénaire du Développement seront probablement très difficiles àatteindre17.
Les raisons de la création de l’alliance internationale
L’élimination de la faim et de la malnutrition est certainement l’objectif de notre époque, sachant que près de la moitié de la population mondiale vit dans le dénuement et qu’une personne sur six luttes au quotidien pour se procurer de quoi se nourrir. Les gouvernements on bien entendu un rôle essentiel à jouer dans les efforts mis en œuvre pour améliorer la vie de ces populations, mais ils n’ont pas la capacité de résoudre ces problèmes à eux seuls, une action coordonnée est donc nécessaire pour mobiliser un partenariat mondial qui unisse l’énergie et les idées des institutions, des organisations et des particuliers dans un effort commun.
L’alliance contre la faim et la malnutrition, qui a précisément été établie dans le but, rassemble les compétences nationales, et internationales nécessaires pour combattre la faim et la malnutrition. Le groupe consultatif, qui est composé de représentants, des Nations Unies et d’organisations internationales, et le secrétariat offrent un soutient aux alliances pilotées par les pays développés et les pays en développement, fin a de promouvoir la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement OMD( ), notamment le premier et le plus important d’entre eux, celui de réduire l’extrême auvretép et la faim .
Les divers engagements pris par le Gouvernement en vue de lutter contre la malnutrition
La ratification de la Convention Relative aux Droits de l’Enfant en 1990 .
La déclaration du Premier Ministre au Sommet Mondial de l’Alimentation à Rome en novembre 1996 .
L’élaboration du Plan National d’Action pour la Nutrition élaboré en 1997 suite à la Conférence Internationale sur la Nutrition (1992) et qui a servi de basse de référence pour le gouvernement et partenaires techniques et financiers dans les interventions en matière de nutrition .
L’adoption de la Stratégie Nationale de Sécurité Alimentaire, comme politique gouvernementale de Sécurité Alimentaire et de Nutrition, en 1997, suivi du Programme Spécial de Sécurité Alimentaire (PSSA) et du Plan d’Action pour le Développement Rural (PADR) .
Le Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté (DSRP).
Le Plan d’Action pour Madagascar ou (MAP).
La Politique Nationale de Nutrition(PNN) et Plan National d’Action sur la Nutrition(PNAN), suivant le décret 2004-496 du 20 Avril 200427.
Grandes tendances de l’état nutritionnel des Malagasy
Entre les années 1990 et 2000, la prévalence de la malnutrition chronique des jeunes enfants ne s’est pratiquement améliorée et reste stationnaire à un niveau très élevé avoisinant les 50%. Quand à la malnutrition aiguë (l’émaciation), sa prévalence a presque triplé entre1992 et 2000 de 5% à 14%. Même s’il y a eu une légère régression des taux de mortalités, ils restent très élevées – la mortalité infanto-juvénile à 136pour 1000, la mortalité infantile à 88 pour 1000 et la mortalité maternelle à 488 décès pour 10.000 mille naissances vivantes28.
D’une manière générale, la malnutrition infantile survient très tôt et parfois touche les enfants avant leur naissance. Environ 11% des enfants ont un poids insuffisant à la naissance (inférieur à 2,5kg) et de ce fait sont susceptibles de mourir durant le premier mois de vie avec une probabilité 2 fois supérieure à celle des enfants de poids normal. 54% des décès d’enfants de moins de 5 ans sont attribuables à la malnutrition. La phase critique de la chute de croissance des enfants se situe entre 6 et 23 mois, c’est-à-dire au moment du sevrage – les taux de la malnutrition étant de 33% à 3-5 mois, 59% à 12-23 mois et 50% à 24-35 mois. De même 21% des femmes en âge de procréer souffrent d’une malnutrition chronique avec un Indice de Masse Corporelle (IMC) inférieur à 18.5 kg/m2.
La malnutrition n’épargne aucune province de l’île et touche aussi bien le milieu urbain que rural, ce dernier étant le plus touché. Selon leMICS 2000, la malnutrition chronique varie selon la région (41% à Mahajanga contre 54% à Fiana rantsoa) et selon le milieu (urbain 45% et rural 50%). Toutes les couches sociales sont touchées par la malnutrition – 27% au niveau des couches pauvres, 28% des couches moyennes et 23% chez les couches aisées.
Allaitement et état nutritionnel
Les résultats concernant l’allaitement et les pratiques d’alimentation du jeune enfant montrent que la quasi-totalité des enfants de la CUA sont allaités (98 %). La mise au sein dans l’heure qui suit l’accouchement concerne 72 % des enfants. Dans l’ensemble, environ la moitié des enfants de moins de six mois (51 %) sont exclusivement allaités. La durée médiane de l’allaitement est estimée à 21,9 mois et celle de l’allaitement maternel exclusif à 2,3 mois. À 6-8 mois, âges auxquels les enfants doivent recevoi r des aliments de complément, 87 % sont nourris conformément aux recommandations de la Politique Nationale de Nutrition. L’utilisation du biberon n’est pas répandue et concerne seulement 1,4 % des enfants de moins de 2 mois. Par ailleurs, parmi les enfants de 6-35 mois, 79 % avaient consommé des aliments riches en vitamine A et 46 % des aliments riches en fer au cours des 24 heures qui avaient précédé l’enquête. Parmi tous les enfants de 6-59ois,m 72 % avaient reçu des suppléments de vitamine A et 69 % ont reçu des vermifuges. Parmi l es femmes enceintes, seulement 8% ont reçu du Fer Acide Folique ( FAF) pendant au moins 90 jours. Malgré la stratégie d`iodation universelle du sel, 26 % des ménages enquêtés ne nsommentco pas de sel iodé.
L’allaitement maternel et l’alimentation de co mplément
« Le lait est le premier aliment de l’homme. Il est le seul à pouvoir revendiquer en tous temps et en tous lieux, le statut d’aliment universel, au moins pour la première partie de la vie de l’être humain » GERARD( et al 2001 : 537).
Les enfants qui sont allaités uniquement sont considérés comme exclusivement allaités. A base communautaire, l’allaitement exclusif est recommandé pour les 6 premiers mois, car le lait maternel contient tous les nutriments dont le bébé a besoin, les anticorps présent dans le lait maternel protègent contre les maladies.
Pour le cas d’Antananarivo, nous avons pu observer une amélioration de pourcentage des femmes allaitantes, 98% des enfants nés au cours des cinq dernières années ont été allaités au sein. 72% des enfants sont allaités dans l’heure suivant la naissance, 24% ont reçu de liquide avant le début de l’allaitement. L’allaitement exclusif au sein reste encore faible, vu dans son ensemble et encore visible dans la capitale, causer par des différentes raisons. Tout d’abord, car bon nombre des femmes se charge le rôle de chef de ménage et prendre en charge la totalité des revenus au foyer, ce qui provoque le manque en apport nutritionnel des enfants et avoir une répercussion sur l’état nutritionnel desenfants.
La CUA (Historique, et sociographie de la population)
Notre terrain est focalisé plus précisément dans lacapitale ; considérée comme le cœur de Madagascar, à Antananarivo ville, et par la délimitation administrative de la Commune Urbaine d’Antananarivo dotée des six Arrondissements avec ses 192 Fokontany, où la malnutrition est toujours d’actualité malgré ses formes les plus variées liées toujours à la pauvreté. Ainsi la Capitale ou la Commune Urbaine d’Antananarivo est une ville comme tant autres et intéresse les chercheurs par la concentration des pouvoirs politiques et administratifs. Nous avons pris le nombre de la population totale de la CUA comme population cible, et 150 individus comme population observée, ce qui va nouspermet d’étudier le sujet en question. Les caractéristiques qui définissent notre population sont les données existant en 2007 de façon complète et fiable pour constituer une base de données. Ainsi nous allons montrer ci-dessous la façon dont nous avons procéder.
Découpage administratif et réseaux Urbains d’Antananarivo
La ville est entourée des communes dites rurales limitrophes dont la principale vocation jusqu’à présent est de servir pratiquement de zones « dortoirs » à une population qui ne vit essentiellement que par la ville et pour la ville d’Antananarivo .
Bien que la zone d’étude définie dans les termes de références soit la CUA qui en demeure le focus principal, il ne serait pas rationnel de ne pas prendre en considération les liens relationnels entre la CUA et les communes périphériques, d’où le choix de l’élargissement de l’approche à ces périphéries.
La CUA est représenté à l’aide d’une image cartographique ci-dessous, pour avoir une vision simplifiée du terrain d’enquête, mais aussi pour comprendre la corrélation entre les communes voisines, afin de comparer les malnutris en question. L’utilisation d’une image cartographique de la CUA nous a beaucoup aidé dans la constatation et visualisation de la commune étudiée afin de mieux saisir l’environnement de chaque quartier, géographiquement, sociologiquement et même historiquement.
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Table des matières
Introduction générale
1-Choix du thème
2-Le choix du terrain
3-Problématique
4-Objectifs de la recherche
5-Hypothèses
6-Méthodologie
7- Limites de la recherche
8-Plan
CHAPITRE I : Cadre théorique et historique de la malnutrition dans le monde
I-1Définition du concept
I-2- Cadre théorique
I-2-1 Solidarité mécanique
I-2-2 Solidarité organique
I-2-3 Fait social :
II- Historique de la malnutrition dans le monde
II-1 Malnutrition Nord-Sud : état des lieux
II-1-2 La théorie du développement économique et la nutrition
II-2-Historique
II-2-1- Les raisons de la création de l’alliance internationale.
CHAPITRE II La malnutrition à Madagascar.
1-1- Contexte actuel
1-2 Situation de la malnutrition à Madagascar
1-3 Les divers engagements pris par le Gouvernement en vue de lutter contre la malnutrition
2- Grandes tendances de l’état nutritionnel des Malagasy
2-1 Allaitement et état nutritionnel
2-2- L’allaitement maternel et l’alimentation de complément.
2-3 L’état nutritionnel des enfants
2-4 L’état nutritionnel des femmes
3- L’UNICEF à Madagascar.
3-1 PROGRAMME ALIMENTAIRE MONDIAL
CHAPITRE III L’environnement urbain d’Antananarivo
1-1 La CUA (Historique, et sociographie de la population)
1-2 Découpage administratif et réseaux Urbains d’Antananarivo
1-3 Survol historique : Commune Urbaine d’Antananarivo
2 – caractéristiques du quartier d’enquête
2-1 De l’origine
II-Les principaux problèmes environnementaux identifiés lors du diagnostic dans la ville d’Antananarivo
1-Les réseaux d’eaux usées
1-1 Description du système mis en place
1-2 Alimentation et distribution en eau potable
CHAPITRE IV L’environnement de vie des enquêtés
I-1 La croissance de la population.
I-2 L’environnement de vie des ménages
2- L’environnement de vie des enquêtés.
2-1 Caractéristiques des enquêtés dans leur environnement
2-3 Sexe et situation matrimoniale des enquêtés
2-4- Activités du conjoint :
3- Nombres des enfants à charge et situation matrimoniale
3-1 Le niveau de vie des enquêtées
3-2constatation des faits
3-3 Mode de vie des enquêtés.
3-4 Lieu de résidence des enquêtés
4- Hygiène et assainissement
4-1 Provenance de l’eau de boisson
4-2 Assainissement
4-3-Identification des variables caractérisant l’environnement sanitaire
4-4 Types de maladies s’observent à chaque population
4-5 les maladies et leur effets sur la population
CHAPITRE V Nutrition et malnutrition des enquêtés
1-Nutrition, malnutrition
1-2 Nutrition en milieu urbain
1-3 Pauvreté et malnutrition :
1-4 Santé et malnutrition
2- types de maladies observées
2-1 Les maladies liées à l’eau et à la malnutrition
2-2 Les résultats des entretiens et interview de diverses personnalités.
2-3 Malnutrition et sous emploi.
2-4 Insécurité alimentaire des ménages.
3- Les principales causes
3-1 Soins -inadéquats et habitudes alimentaires inappropriées.
3-2 Limites des actions et prolifération de la malnutrition
3-3 Les problèmes liés à la dynamique de malnutrition
CHAPITRE VI Environnement urbain, santé, malnutrition
1-Perception de l’effet de l’environnement urbain sur la santé.
1-1 Perceptions sur l’hygiène et l’assainissement
1-4 Le nombre de WC publics par arrondissement
2- Adduction d’eau et malnutrition
2-1 Adduction d’eau – l’une des techniques d’intervention
3- Gestion des déchets solides comme technique d’intervention
4- Limites des actions
5-Témoignage des enquêtés et assainissement
6- Limites et prolifération de l’insalubrité et de la malnutrition
6-1 Prolifération des déversoirs d’eaux usées dans les rues des quartiers
6-2 Stagnation des eaux dans les rues des quartiers
6-3 Dépôts sauvages d’ordures ménagères dans les quartiers
6-4 Limites d’accès aux Infrastructures socio-sanitaires de base
CHAPITRE VII Techniques d’intervention, Stratégies et partenariat
1-Développement par le biais du partenariat public-prive
1-2 La multisectorialité
1-3 Stratégie du Ministère de la Population et secteur privé
1-4Ministère de l’Education Nationale et de la Recherche Scientifique et secteur privé
2-Résumé des conclusions essentielles sur la perception du programme par les bénéficiaires
2-1 Les projets et plans d’action
2-2 techniques d’intervention dans la CUA
2-4 Renforcer le suivi des activités
3-Difficultés et malnutrition
3-1 Eau potable et malnutrition
3-2 Qualité de l’eau de boisson
3-3 Eau, assainissement et santé
3-4 les réalités existantes dans l’assainissement de la CUA:
4-Approche prospective
4-1. Caractéristiques des quartiers pauvres
4-2Analyses des résultats d’enquête
4-3 Opérationnalisation des hypothèses
4-4 Analyse sociologique
5-Le facteur politique et socio-économique
5-1 Le facteur socio-démographique
5-2 Le facteur économique
5-3 Les problèmes sociaux
6- Champs sociologiques
6-1Les conséquences de la malnutrition
6-2 MAEP-ONN : un partenariat ambitieux
CHAPITRE VIII Responsabilisation institutionnelle et mise en oeuvre
1-L’obligation gouvernementale
1-1Le Plan National d’Action pour la Nutrition (PNAN)
1-2 Les responsabilités de la commune.
2-Assainissement des eaux usées et le drainage des eaux pluviales
2-1 Les causes immédiates :
2-2 Les causes structurelles
3- Prospective et recommandations
3-1 Renforcer le suivi des activités
3-2 Renforcement de l’éducation alimentaire
3-3 Problèmes rencontrés.
3-4 Situation alimentaire et nutritionnelle
4-acquis personnels et pistes de réflexions
4-1 les Acquis personnel
4-2 Adopter un changement de comportement
4-3 Valorisation de la culture malgache par le mode d’alimentation
Conclusion générale
Tables des matières
Annexes
CV et résumé
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