BIOLOGIE DES ESPECES

BIOLOGIE DES ESPECES

CHAPITRE II ETUDE BIOCLIMATIQUE

ย INTRODUCTION

La vรฉgรฉtation de la rรฉgion mรฉditerranรฉenne comme toutes les vรฉgรฉtations du globe terrestre rรฉsulte, de lโ€˜interaction dโ€˜une multitude de facteurs รฉcologiques, toute fois elle doit sa spรฉcificitรฉ ร  lโ€˜un en particulier le climat (Aubert, 1988) .
Ainsi ร  lโ€˜ouest algรฉrien et plus prรฉcisรฉment sur les monts de Tlemcen, la vรฉgรฉtation est ร  lโ€˜image du climat. La saison estivale est de 6 mois environ, sรจche et chaude, alors que le semestre hivernal (octobre โ€“ avril) est pluvieux et froid. En effet, ยซ la pluie avec la tempรฉrature constituent la charniรจre du climat, elles influent directement sur la vรฉgรฉtation ยป (Barry-Lenger et al, 1979), cโ€˜est pour cela que le cortรจge floristique doit sa diversitรฉ ร  lโ€˜effet des prรฉcipitations conjuguรฉ ร  celui des tempรฉratures.
Par ailleurs , nombreux sont les travaux rรฉalisรฉs sur la bioclimatologie et la climatologie , sur lโ€˜Algรฉrie et monts de Tlemcen citons ร  titre dโ€˜exemple Seltzer (1946), Bagnouls et Gaussen (1953) , Long (1954), Bortoli et al (1969), Chaumont et Paquin (1971), Stewart (1974), Le Houรฉrou et al (1977), Alcaraz (1982), Djebaรฏli (1984), Benabadji (1991,1995), Bouazza (1991,1995), Aรฏnad-Tabet (1996), Benabadji et Bouazza (2000) et Hasnaoui (2008).
Aussi, tenterons-nous de caractรฉriser notre zone dโ€˜รฉtude sur le plan climatique, ร  partir de donnรฉes mรฉtรฉorologiques fournies par les stations suivantes Hafir, Tlemcen et Saf-Saf.
Cette รฉtude bioclimatique nous sera dโ€˜une grande utilitรฉ, puisquโ€˜elle dรฉterminera par la suite, dans quelle ambiance climatique se dรฉveloppe la vรฉgรฉtation des monts de Tlemcen, et notamment celle se rapportant aux ยซ pelouses thรฉrophytiques ยป.
Le tableau (1) rรฉcapitule les renseignements des stations retenus.

ANALYSE DE CERTAINS PARAMETRES CLIMATIQUES

Les prรฉcipitations

Les monts de Tlemcen sont caractรฉrisรฉs par une irrรฉgularitรฉ spatio-temporelle et de la pluviositรฉ. Lโ€˜origine orographique de ce rรฉgime pluviomรฉtrique semble รชtre confirmรฉe par Alcaraz (1969), mais peut-รชtre dรป aussi ร  des facteurs tels que les vents, lโ€˜altitude et les versants ร  exposition nord ou sud.Par ailleurs, la tranche pluviomรฉtrique que reรงoivent les monts de Tlemcen, est nettement attรฉnuรฉe par rapport ร  celle de lโ€˜Est et du centre, et selon Dahmani (1984), ceci ร  cause de lโ€˜existence dโ€˜obstacles topographiques, telle la Sierra Nevada Espagnole, et lโ€˜Atlas marocain qui ne font que dรฉfavoriser cette rรฉgion.En rรฉalitรฉ, cette tranche pluviomรฉtrique varie entre 500 et 800 mm/ an au niveau des monts de Tlemcen, atteignant parfois mรชme les 1000 mm/an dans les zones dโ€˜altitudes (Djebel tenouchfi, 1843 m dโ€˜altitude), comme elle peut รชtre basse de 300 ร  400 mm / an dans le sud (environ Sebdou).

Les prรฉcipitations moyennes mensuelles et annuelles (tableaux (2) et (3))

Une toute premiรจre remarque sโ€˜impose, est que pour lโ€˜ensemble des stations climatiques prรฉconisรฉes, les prรฉcipitations sont รฉgales ou dรฉpassent le seuil des 400 mm / an, et cela ร  toutes pรฉriodes confondues.
Les maximas sont enregistrรฉs au niveau du massif le plus รฉlevรฉ Hafir. En effet, cette station dรฉpasse les 700 mm / an (pour lโ€˜ancienne pรฉriode), alors que pour la nouvelle pรฉriode on note ร  peine 483,98 mm / an, Par contre Tlemcen et Saf-Saf restent les stations qui prรฉsentent les valeurs pluviomรฉtriques les plus basses, nโ€˜atteignant mรชme pas les 700 mm / an
Quant a la rรฉpartition mensuelle des pluies, celle-ci semble traduire une grande variabilitรฉ, ainsi quโ€˜une irrรฉgularitรฉ bien soulignรฉe.
En effet, la quantitรฉ des pluies, varie selon les localitรฉs dโ€˜une part, et selon la saison dโ€˜autre part. On remarque bien dโ€˜ailleurs la diffรฉrence de pluviositรฉ qui existe entre les mois de juin, juillet, aout, septembre oรน on note le moins de prรฉcipitations, et les mois restants pour qui les pluies sont significatives.
Mais toujours est-il que le maximum pluviomรฉtrique reste hivernal oscillant entre les mois de novembre, dรฉcembre, janvier, fรฉvrier et mars, cโ€˜est le cas de toutes les stations.
En rรฉsumรฉ, cette variabilitรฉ bien accusรฉe, dans la rรฉpartition des pluies, ne peut รชtre expliquรฉe que par une hรฉtรฉrogรฉnรฉitรฉ topographique agissant par consรฉquence sur la composition et la distribution de la vรฉgรฉtation (Mahboubi, 1995).

Rรฉgimes saisonniers des prรฉcipitations (Tableau 4), (Fig 3)

Pour lโ€˜ancienne pรฉriode, il semblerait que le rรฉgime pluviomรฉtrique saisonnier, soit du type HPAE englobant lโ€˜ensemble des stations (Hafir, Tlemcen, Saf-Saf) (voir Fig3), pour un maximum de prรฉcipitations allant de 218 ร  245 mm en hiver.
Pour les nouvelles pรฉriodes par contre, mรชme si le type de rรฉgime saisonnier reste inchangรฉ (HPAE), on constate une nette diminution de la quantitรฉ des pluies qui est trรจs visible au niveau de la figure 3.
Tableau 2 Prรฉcipitations moyennes mensuelles et annuelles en (mm) (Ancienne pรฉriode 1913 โ€“ 1938)
Tableau 3 Prรฉcipitations moyennes mensuelles et annuelles en (mm) (Nouvelles pรฉriodes Hafir (1975 โ€“ 1996) , Tlemcen et Saf-Saf (1990 โ€“ 2007) .
O Ancienne pรฉriode * Nouvelles pรฉriodes
Ces constatations, nous permettent de confirmer que les monts de Tlemcen, se caractรฉrisent par une saison oรน les pluies sont maximales (Hiver), et par une saison sรจche qui est lโ€˜รฉtรฉ. Le printemps reste aussi une saison trรจs arrosรฉe (cโ€˜est le cas de la plupart de nos stations), cela favorise dโ€˜ailleurs la reprise et la floraison de la vรฉgรฉtation, et le repeuplement des pelouses en espรจces annuelles.

Les tempรฉratures

La tempรฉrature reprรฉsente un facteur limitant de toute premiรจre importance. Elle joue le rรดle capital dans la vie des vรฉgรฉtaux, car elle contrรดle lโ€˜ensemble des phรฉnomรจnes mรฉtaboliques, et conditionne de ce fait leur rรฉpartition et leur dรฉveloppement.
Nous prendrons en considรฉration, dans le paragraphe qui suit, les moyennes mensuelles, les minima et les maxima.

Tempรฉratures moyennes mensuelles (Tableaux (5) et (6) )

La lecture du tableau (5), montre clairement que les tempรฉratures moyennes mensuelles les plus fortes, se situaient au mois dโ€˜aoรปt, et cela pour lโ€˜ensemble des stations prises en compte. Remarquons, tout de mรชme que Saf-Saf est la rรฉgion oรน on enregistre la plus haute tempรฉrature, atteignant une moyenne mensuelle de 26ยฐ C pour le mois dโ€˜aoรปt, ceci รฉtant retenu durant lโ€˜ancienne pรฉriode.
Pour les nouvelles pรฉriodes, la station de Saf-Saf reste toujours en tรชte avec une moyenne mensuelle de 26,3ยฐC pour le mois dโ€˜aoรปt ; Seul petit changement ร  relever, est que les mois les plus chauds varient entre juillet pour (Hafir) et aout (Tlemcen et Saf-Saf), (Tableau 6).
Tableau 6 Tempรฉratures moyennes mensuelles en (ยฐC) (Nouvelles pรฉriodes)
En somme, ces tempรฉratures moyennes, oscillent suivant les mois et les saisons.

Moyennes des minimums du mois le plus froid (mยฐC) (Tableaux (7) et (8))

La tempรฉrature moyenne minimale du mois le plus froid durant (1913 โ€“ 1938), (Tableau 7), variait entre les valeurs de 1,8 ยฐC pour Hafir et 5,8 ยฐC pour Saf-Saf. Pour les nouvelles pรฉriodes par contre, on enregistre une lรฉgรจre hausse de la tempรฉrature moyenne minimale, celle-ci sโ€˜รฉtale de 3,2 ยฐC (Hafir) ร  6,44 ยฐC (Saf-Saf) (Tableau 8).
Tableau 7 Moyenne des ยซ MINIMA ยป (mยฐC) du mois le plus froid (Ancienne pรฉriode 1913 โ€“ 1938)
Le gradient altitudinal thermique se caractรฉrise selon Seltzer (1946), par une augmentation du minima avec lโ€˜altitude, il gรฉnรฉralise cette dรฉcroissance pour toutes les stations mรฉtรฉorologiques du pays, et cela pour une valeur de 0,4 ยฐC tous les 100 mรจtres.

Moyennes des maximums du mois le plus chaud (M ยฐC) (tableaux (9) et (10))

Lโ€˜examen des tableaux (9) et (10), montre bien, que pour lโ€˜ensemble des stations, la tempรฉrature moyenne maximale (M) est supรฉrieure ร  30ยฐC toutes pรฉriodes confondues. En effet, elle dโ€˜รฉchelonnait de 30,25ยฐC (Tlemcen) ร  33,1 ยฐC (Hafir) pour lโ€˜ancienne pรฉriode, alors pour les nouvelles pรฉriodes celle-ci sโ€˜รฉtale de 31,02 ยฐC (Tlemcen) ร  33,7 ยฐC (Saf-Saf).
Les rรฉflexions รฉmises ร  partir des valeurs de tempรฉratures des diffรฉrents tableaux, nous amรจnent ร  dรฉfinir la saison chaude de la saison froide, qui correspond gรฉnรฉralement aux 04 mois suivants Juin, Juillet, Aoรปt, et parfois mรชme Septembre, qui sont dโ€˜habitude les plus secs.
Tableau 9 Moyennes des ยซ MAXIMA ยป (M ยฐC) du mois le plus chaud (Ancienne pรฉriode (1913 โ€“ 1938))

SYNTHESE BIOCLIMATIQUE

Amplitudes thermiques moyennes (รฉcarts thermiques) (Tableau 11)

Lโ€˜indice de continentalitรฉ est dรฉfinit par rapport ร  lโ€˜amplitude thermique moyenne (M โ€“ m), cet indice permet ร  son tour de prรฉciser lโ€˜influence qui peut รชtre soit maritime, soit continentale sur une rรฉgion bien dรฉterminรฉe.
Debrach (1953), a pu proposer en effet, une classification thermique de climats, ร  partir des limites que peut avoir (M โ€“ m)
โ€ข M โ€“ m < 15 ยฐC Climat insulaire
โ€ข 15 ยฐC < M โ€“ m < 25 ยฐC Climat littoral
โ€ข 25 ยฐC < M โ€“ m < 35 ยฐC Climat semi-continental
โ€ข M โ€“ m > 35 ยฐC Climat continental
Par consรฉquent, nous constatons de lโ€˜analyse du tableau (11) que les รฉcarts thermiques calculรฉs des diffรฉrentes stations ne sont pas trรจs รฉlevรฉs, et prรฉsentent de faibles fluctuations, puisquโ€˜ils restent compris entre les 25 ยฐC (Tlemcen) et les 31,3 ยฐC (Hafir).
Aussi, en faisant appel ร  la classification thermique des climats dรฉjร  citรฉs, notre zone dโ€˜รฉtude correspond ร  un climat ยซ semi-continental ยป avec (25 ยฐC < M โ€“ m < 35 ยฐC)
Tableau 11 Amplitudes thermiques moyennes

Indice de sรฉcheresse estivale (tableau 12)

Etant donnรฉe lโ€˜intensitรฉ et lโ€˜importance de la saison sรจche, reflรฉtant ainsi un climat mรฉditerranรฉen typique Emberger (1942), propose un indice de xรฉricitรฉ ยซ lโ€˜indice de sรฉcheresse estivale ยป, pour justement รฉvaluer cette intensitรฉ
Is = P / M
Oรน P Etant la pluviositรฉ estivale (mm)
M moyenne des maxima thermique de la pรฉriode estivale
Tableau 12 indices de sรฉcheresse des stations de rรฉfรฉrence (nouvelles pรฉriodes)

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Table des matiรจres

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE CADRE Dโ€™ETUDE
CHAPITRE I PRESENTATION DE LA ZONE Dโ€˜ETUDE
I. 1 SITUATION GEOGRAPHIQUE (Fig.1)
I.2. APERร‡U GEOLOGIQUE
I.3. APERร‡U HYDROGEOLOGIQUE
I.4. APERร‡U GEOMORPHOLOGIQUE
I.4.1. Reliefs
I.4.2. Dynamique des versants
I.4.3. La plaine
I.5. APERร‡U SOMMAIRE DE PEDOLOGIE
I.6. DESCRIPTION DES STATIONS Dโ€˜ETUDE (Fig. 2)
CHAPITRE II ETUDE BIOCLIMATIQUE
II.1. INTRODUCTION
II.2. ANALYSE DE CERTAINS PARAMETRES CLIMATIQUES
II โ€“ 2 โ€“ 1 Les prรฉcipitations
II.2.1.1. Les prรฉcipitations moyennes mensuelles et annuelles (tableaux (2) et (3))
II.2.1.2. Rรฉgimes saisonniers des prรฉcipitations (Tableau 4), (Fig 3)
II.2.2. Les tempรฉratures
II.2.2.1. Tempรฉratures moyennes mensuelles (Tableaux (5) et (6) )
II.2.2.2. Moyennes des minimums du mois le plus froid (mยฐC) (Tableaux (7) et (8))
II.2.2.3. Moyennes des maximums du mois le plus chaud (M ยฐC) (tableaux (9) et (10))
II.3. SYNTHESE BIOCLIMATIQUE
II.3.1. Amplitudes thermiques moyennes (รฉcarts thermiques) (Tableau 11)
II.3.2. Indice de sรฉcheresse estivale (tableau 12)
II.3.3. Diagrammes ombrothermiques (Bagnouls et Gaussen, 1953) โ€“ (Fig4)
II.3.4. Quotient pluviothรฉrmique et climagramme dโ€˜Emberger
II.4. CONCLUSION
CHAPITRE III APPROCHE PEDOLOGIQUE
III.1. INTRODUCTION
III.2. ANALYSES PEDOLOGIQUES
III.2.1. Analyses physico-chimiques du sol
III.2.1.1. La texture
III.2.1.2. Lโ€˜humiditรฉ au champ
III. 2.1.3. La couleur
III.2.1.4. Le pH
III.2.1.5. La conductivitรฉ รฉlectrique (CE) et la salinitรฉ
III.2.1.5.1. La conductivitรฉ รฉlectrique
III.2.1.5.2. La salinitรฉ
III.2.1.6. Le calcaire total
III.2.1.7. La teneur en matiรจre organique
III.3. RESULTATS
III.4. INTERPRETATION DES RESULTATS
III.4.1. La couleur
III.4.2. La texture
III.4.3. Lโ€˜humiditรฉ
III.4.4. Le ph
III.4.5. La conductivitรฉ รฉlectrique (CE) et la salinitรฉ
III.4.6. Le calcaire total (CaCo3)
III.4.7. La teneur en matiรจre organique
III.5. CONCLUSION
DEUXIEME PARTIE AUTO-ECOLOGIE DES ESPECES Brachypodium distachyum et Hordeum murinum
CHAPITRE I BIOLOGIE DES ESPECES
I.1. INTRODUCTION
I-2- SYSTEMATIQUE
I.3. BRACHYPODIUM DISTACHYUM (Fig. 6)
I.3.1.Tige ou ยซchaume ยป
I.3.2. Feuilles
I.3.3. Racines
I.3.4. Inflorescence
I.3.5. Fruit
I.4. HORDEUM MURINUM (Fig. 7)
I.4.1. Tige (chaume)
I.4.2. Feuilles
I.4.3. Racines
I.4.4. Inflorescence
I.4.5. Fruit
I.5. IMPORTANCE DES POACEES
I.6. CONCLUSION
CHAPITRE II ETUDE BIOMETRIQUE DU Brachypodium distachyum
II.1. INTRODUCTION
II.2. METHODOLOGIE
II.3. INTERPRETATION DES RESULTATS
II.4. CONCLUSION
CHAPITRE IIIย  PROFILS EDAPHOLOGIQUES
III.1. INTRODUCTION
III.2. METHODE
III.3. INTERPRETATION DES PROFILS ECOLOGIQUES
III.3.1. Brachypodium distachyum (Fig. 14)
III.3.2. Hordeum murinum (Fig. 15)
III.3.3. Chrysanthemum grandiflorum (Fig. 16)
III.4. CONCLUSION
TROISIEME PARTIE ETUDE FLORISTIQUE
CHAPITRE I APERร‡U BIBLIOGRAPHIQUE SUR LA CLASSE DES THERO-BRACHYPODIETEA
I.1. INTRODUCTION
I.2. DESCRIPTION ET SYSTEMATIQUE DE LA CLASSE DES THERO-BRACHYPODIETEA (Braun – Blanquet, 1947)
I.2.1.Ordre des Thero-Brachypodietalia (Braun – Blanquet, 1931), (Molinier, 1934)
I.2.2. Ordre des Lygeo – Stipetalia (Braun – Blanquet et O. de Bolos, 1954)
I.3. LES THERO – BRACHYPODIETEA EN TUNISIE
I.4. LES THERO – BRACHYPODIETEA EN ALGERIE
CHAPITRE II ANALYSE DE LA VEGETATION
II.1. METHODE DES RELEVES FLORISTIQUES
II.2. AIRE MINIMALE
CHAPITRE III APPROCHE PHYTOSOCIOLOGIQUE ET PHYTOECOLOGIQUE
III.1. APPROCHE PHYTOSOCIOLOGIQUE
III.1.1. INTRODUCTION
III.1.2. Les Thero – Brachypodietea en Algรฉrie
III.1.3. Les Thero-Brachypodietea sur les monts de Tlemcen (rรฉgion dโ€˜รฉtude)
III.1.3.1. Lโ€˜ordre des Thero-Brachypodietalia
III.1.3.2. Lโ€˜ordre des Lygeo โ€“ Stipetalia
III.2. APPROCHE PHYTO โ€“ ECOLOGIQUE
III.2.1. Faciรจs ร  herbacรฉes xรฉriques (tableau 24)
III.2.2. Faciรจs ร  herbacรฉes moins xรฉriques (tableau25)
III.3. CONCLUSION
CHAPITRE IV APPROCHE BIOLOGIQUE, MORPHOLOGIQUE ET BIOGEOGRAPHIQUE
IV.1. INTRODUCTION
IV.2. CARACTERISATION BIOLOGIQUE
IV.2.1. Spectre biologique
IV.2.2. Rรฉpartition des familles de la zone dโ€˜รฉtude
IV.3. CARACTERISATION MORPHOLOGIQUE
IV.4. CARACTERISATION BIOGEOGRAPHIQUE (tableau 30 et fig. 20)
IV.5. CONCLUSION
CONCLUSION GENERALE ET PERSPECTIVES
CONCLUSION GENERALE
PERSPECTIVES (Relations Agronomie et biodiversitรฉ)
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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