Définition du système de sante
Le système de santé ou système de soins de santé décrit les moyens organisationnels et stratégiques mis en place par pays, par zones géographiques ou entités communautaires afin d’assurer une continuité et une qualité des prestations de santé. Le système de santé est l’ensemble des organisations, des institutions, des ressources et des personnes dont l’objectif principal est d’améliorer la santé. Pour renforcer les systèmes de santé, il faut surmonter des obstacles dans plusieurs domaines: effectifs des personnels de santé, infrastructures, matériel médical et médicaments, logistique, suivi des progrès et efficacité du financement. [15] Pour fonctionner, un système de santé a besoin de personnel, de moyens financiers, d’informations, de fournitures, de moyens de transport et de communication, ainsi que d’orientations générales. Il doit fournir des services correspondant aux besoins et financièrement justes et traiter les patients décemment. Dans de nombreux pays en développement, le mauvais état des systèmes de santé est l’un des principaux obstacles à l’accès aux soins essentiels. Toutefois, les pays pauvres ne sont pas les seuls à connaître des problèmes liés à leur système de santé. Dans certains pays riches, une part importante de la population n’a pas accès aux soins car les systèmes de protection sociale ne sont pas équitables dans certains pays alors que dans d’autres pays, on assiste à une escalade des dépenses en raison d’une utilisation inefficace des ressources. Il est de plus en plus communément admis que, pour préserver et améliorer la santé des populations dans le monde, les pouvoirs publics doivent concevoir des systèmes de santé solides et efficaces capables de prévenir les maladies et d’offrir un traitement à toutes les femmes, tous les hommes et tous les enfants sans distinction, où qu’ils habitent. L’OMS s’engage à aider ses États Membres dont le Sénégal à y parvenir.
Ressources humaines
Au Sénégal, la répartition du personnel de la santé en 2015 selon la région révèle que Dakar concentre plus de professionnels de santé, comparé aux autres régions. Dans l’ensemble, 39% des professionnels de la santé se trouvent à Dakar, suivi de Thiès (10%) et Kaolack (7%). La région de Kédougou concentre seulement 1%, ce qui fait d’elle la région la moins dotée du pays. D’ailleurs, ces chiffres cachent des disparités en fonction du type de personnel. En effet, 65% des médecins et 77% des pharmaciens du pays sont à Dakar contre 1% ou moins à Kédougou. De même, 65% des pédiatres se trouvent à Dakar, contrairement à Kédougou, où il n’y a même pas de médecin pédiatre. Cette situation est imputable d’une part, à l’importante concentration démographique à Dakar et d’autre part, à la position stratégique dont jouit cette région constituant un pôle lucratif dans les dépenses de santé.
Couverture maladie et plan sésame
Schématiquement, deux couvertures maladies s’offrent aux patients pour accéder aux soins au Sénégal : une publique et une privée. Il existe au Sénégal un système de Sécurité sociale mais qui ne considère pas les risques maladie et chômage. Pour les salariés, le risque maladie est couvert par un Institut de Prévoyance Maladie d’entreprise ou inter entreprise ; pour les autres, ils devront faire appel à l’assistance publique. Si le patient est salarié, selon les dispositions du code du travail, l’affiliation est obligatoirement prise en charge par l’employeur pour le salarié et sa famille. Seule condition, le salarié doit avoir cotisé au minimum deux mois avant de prétendre aux prestations que propose la couverture maladie [1]. Cette couverture est gérée par un Institut de Prévoyance Maladie choisi parmi : les instituts de prévoyance maladie, les assurances privées. En plus de la couverture maladie que proposent ces institutions, le salarié malade hospitalisé bénéficie :
– du versement d’une caution : si la période de cotisation n’est pas suffisante pour profiter des prestations de l’institution de prévoyance maladie ;
– l’entreprise se porte garante pour le salarié et s’engage à régler les frais de santé auprès de l’établissement hospitalier. Ainsi, le salarié bénéficie des soins, et rembourse échelonné sur les mois suivants son hospitalisation les quotes-parts qu’il doit à son employeur ;
– d’une allocation hospitalisation : le salarié perçoit une (faible) indemnisation financière par journée d’hospitalisation.
Si le patient n’est pas salarié, l’assistance publique fournit à l’ensemble de la population des soins de santé primaire. Ce système de soin public est organisé de façon pyramidale dans le pays :
– au niveau local et communautaire ;
– au niveau intermédiaire : les centres de santé ;
– au niveau régional : les centres de santé spécialisés ;
– au niveau national : hôpitaux, services et instituts nationaux.
L’institution prend en charge de 40 % à 80 % des frais médicaux, pharmaceutiques et d’hospitalisation. En outre, pendant la maladie, l’employeur verse une indemnité variable suivant le temps d’appartenance à l’entreprise. Les soins primaires dispensés dans les centres de protection médicaux concernent principalement tout ce qui a trait aux soins préventifs (vaccins), à l’hospitalisation et la médecine d’urgence. Le taux de cotisation auprès d’un IPM est répartit à parts égales entre le salarié et son employeur. Il s’élève à 3% de la rémunération perçue par le salarié, à hauteur maximale de 60 000 Francs CFA. L’employeur se charge d’inscrire auprès de l’institut de prévoyance maladie adéquate son employé. Etant donné le nombre de salarié au Sénégal, on comprend que seule une petite part de la population possède une couverture médicale efficace. Il est utile pour les travailleurs non-salariés qui souhaitent une couverture maladie allant au-delà des soins primaires. Pour ce, le travailleur cotise auprès d’un organisme d’assurance privé qui lui fournira une couverture maladie complète. Dans le cadre d’une assurance privée, tous les soins sont remboursés. Le plan SESAME a lui pour mission d’assurer aux sénégalais âgés de 60 ans et plus une prise en charge des soins de santé éligibles, au niveau des structures de santé publiques. Cette prise en charge qui est de 100% pour les personnes à leurs frais, ne concerne que la part dévolue au patient pour ceux bénéficiant d’une autre prise en charge. Est éligible donc tout Sénégalais âgé de 60 ans et plus répondant aux conditions ci-dessous :
– disposer d’une carte nationale d’identité sénégalaise numérisée ;
– respecter la pyramide sanitaire : consulter au niveau périphérique (poste ou centre de santé) et ne se présenter à l’hôpital que s’il y est référé ou en urgence.
Est concernée par le Plan Sésame toute structure de santé publique, sous condition de respecter la pyramide sanitaire et le système de référence/contre référence, à savoir :
– les postes et centres de santé, qui sont un passage obligatoire pour une consultation de première intention ;
– les hôpitaux de niveau 1, 2, et 3 sur référence par une structure périphérique ou en consultation d’urgence ;
– les établissements publics non hospitaliers pour la réalisation d’examens paracliniques prescrits par les praticiens des structures de santé publiques. Sont gratuits pour les bénéficiaires du Plan Sésame :
– les consultations ;
– les médicaments essentiels (disponibles au niveau des structures de santé publiques, dans le cadre de l’Initiative de Bamako) ;
– les examens complémentaires ;
– les actes médicochirurgicaux ;
– les hospitalisations.
Sont exclus de cette gratuité les actes suivants (arrêté ministériel N° 2794 MSP/DS/SP du 21 Mars 2010 portant la liste des soins exclus du Plan Sésame) :les prothèses (dentaires, de hanches, etc.) ;les implants sauf les implants oculaires ; les pacemakers ; les évacuations sanitaires pour l’étranger ;les médicaments de spécialités (des officines privées) ; les IRM ; les scanners (sauf urgence) ;les hospitalisations de 1ère et de 2e catégorie ; les soins de beauté ; la chirurgie esthétique ; le bilan systématique [1]. Concernant la gratuité des soins des enfants âgés de moins de cinq ans , est éligible tout enfant sénégalais qui se présente avec un carnet de santé, un extrait de naissance, un carnet de vaccination ou tout autre document d’état civil pouvant attester l’âge de l’enfant [1]. Toutes les structures sanitaires publiques du pays (poste de santé, centre de santé et hôpital) sont concernées par cette gratuité. Au niveau des postes de santé, sont gratuits : les tickets de consultation ; les médicaments génériques (Initiative de Bamako) ; les tickets de vaccination ; les frais d’hospitalisation (le séjour). Au niveau de l’hôpital, sont gratuits : les tickets de consultation en urgence ; les tickets de consultation pour les cas référés [1].
Prévention du VIH/SIDA et le dépistage
Les activités de lutte contre le VIH sont coordonnées par la division de lutte contre le SIDA et les IST et s’articulent autour de 4 composantes :
-le conseil et dépistage volontaire ;
-la prévention de la transmission mère enfant ;
-la prise en charge des PVVIH ;
-la prévention et la prise en charge des IST.
-le conseil et dépistage volontaire, stratégie importante de la lutte contre la pandémie du VIH, présente un intérêt pour les personnes aussi bien séropositives que séronégatives, car il permet de : promouvoir le changement de comportement ; faciliter l’accès aux services de prévention pour les séronégatifs ; élever la perception de la vulnérabilité des clients face au VIH ; faciliter la référence précoce vers les services de soins et soutien, notamment l’accès aux traitements par les ARV. Après l’implantation du premier CDV en 2000, celuici a été, depuis 2003, intégré dans le paquet de services des laboratoires des hôpitaux et centres de santé au niveau des 14 régions du Sénégal. Disponibilité des services de conseils et de dépistage du VIH Parmi toutes les structures de santé, presque huit sur dix structures (76 %) ont déclaré disposer d’un système de dépistage du VIH. Cette disponibilité est élevée, quel que soit le niveau de l’offre des soins, le pourcentage variant de 73 % dans les hôpitaux à 86 % dans les centres de santé. Au total, 550 386 personnes ont eu accès au service de dépistage en 2017 dont 9 005 cas positifs. En 2018, 669 438 personnes ont bénéficié du dépistage du VIH dont 441 190 femmes enceintes, soit 66,0 % .L’épidémie du VIH au Sénégal est de type concentré, avec une prévalencebasse dans la population générale, âgée de 15-49 ans, qui s’établit à 0,5 %. Cette prévalence est un peu plus élevée chez les femmes avec 0,5% contre 0,4% chez les hommes. Un plan national d’élimination de la transmission mère enfant du VIH est mis en œuvre dans les quatorze (14) régions du Sénégal sous la coordination de la Division de lutte contre le Sida et les IST (DLSI) du MSAS. L’accès aux services PTME a fait l’objet d’une extension importante jusqu’au niveau des postes de santé, offrant ainsi des services de PTME avec le dépistage du VIH en CPN et le traitement. En effet, sur les 1611 postes de santé, 577 offrent des services de PTME, soit 36,0% en 2017. L’année 2018 est marquée par la mise en œuvre du Plan de rattrapage de l’e-TME pour relever le défi de l’élimination d’ici 2020. Selon le CNLS (2018), les résultats obtenus dans la lutte contre la transmission Mère-Enfant du VIH sont très satisfaisants avec la proportion de femmes enceintes dépistées passant de 51,0 % à 76,0 %, entre 2017 et 2018. La proportion de femmes enceintes séropositives qui ont reçu des ARV est passée de 53,0 à 64,0 %. Toutefois, des efforts restent à faire sur le diagnostic précoce des enfants et leur mise sous prophylaxie.
Accidents de la voie publique
Au Sénégal, malgré le développement et la qualité du réseau routier et autoroutiers, nous notons, depuis quelques temps, de plus en plus, dans nos routes, la recrudescence des accidents dont un grand nombre occasionne des pertes en vies humaines. Entre 2017 et 2020, on a enregistré environ 3000 décès. Il s’agit d’un bilan exorbitant sur une population d’environ 17 millions d’habitants et dans un pays où le parc automobile avoisine les 650 000 véhicules, selon Ly. Il a relevé qu’en 2020, malgré les mesures restrictives dans les transports, liées à la lutte contre la pandémie de Covid-19, près de 877 décès ont été enregistrés. Les accidents de la route constituent un problème majeur de santé publique et contribuent de manière significative au fardeau mondial. Les AVP sont fréquents chez l’enfant à Dakar. Les grands garçons essayant de traverser la chaussée sont les plus concernés. Les traumatismes des parties molles prédominent et siègent essentiellement aux membres thoraciques (16). En 2019, on avait enregistré 745 décès. Donc, en valeur relative, on a noté une hausse de 17% entre 2019 et 2020, malgré la pandémie. Cet atelier de deux jours (19-20 mai) était à l’initiative de Partners West Africa Sénégal à travers le projet ’’Sahel Road Safety Initiative’’ qui, selon sa coordonnatrice, a contribué à lutter contre toutes formes d’insécurité routière au Sénégal. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les accidents de la circulation causent 1,35 millions de morts par an à travers le monde, dont 90% dans les pays à faibles revenus, notamment en Afrique.
ASPECTS DIAGNOSTICS
Les signes cliniques sont divers et variés. Certains symptômes sont isolés et peuvent être la seule manifestation d’une pathologie. D’autres signes beaucoup plus nombreux sont dans des associations syndromiques existant dans le cadre de certaines pathologies. Globalement les céphalées surtout, la fièvre et les douleurs qu’elles soient localisées ou diffuses sont au-devant de la scène. Certaines manifestations ne sont pas rares : il s’agit en particulier des vomissements, de la toux, des traumatismes consécutifs à des accidents de la voie publique. Les autres manifestations sont beaucoup plus exceptionnelles. La palette des examens complémentaires réalisés est assez large. On note cependant une prépondérance des TDR, de la NFS et de la radiographie standard. Malheureusement l’appareil de radiographie tombe souvent en panne et les patients sont dirigés vers l’hôpital régional de Diourbel pour effectuer une radio et retourner au CSB ce qui constitue un désagrément énorme pour les malades qui n’ont souvent pas les moyens financiers adéquats. Pour l’échographie le centre de santé a contractualisé avec un radiologue qui fait des prestations une fois par semaine, prestations du reste irrégulières car ce rendezvous peut ne pas être honoré. Il faut noter que le CSB ne dispose pas d’appareil de tomodensitométrie encore moins d’IRM. De ce fait quand une indication de ces examens est posée, les patients sont référés à l’hôpital régional de Diourbel. Bambey a donc une demande insatisfaite en matière d’échographie et d’autres examens d’imagerie. Les pathologies infectieuses qui peuvent intéresser différentes localisations, arrivent au 1er rang des diagnostics faits au SAU du CSB. Les infections sont réputées fréquentes en Afrique et Bambey ne constitue pas une exception. Ces infections sont souvent la rançon de mauvaises conditions d’hygiène. Ces infections sont suivies par les accidents de la voie publique qui connaissent actuellement une acuitisation liée essentiellement au phénomène des motos Jakarta et des taxis clandos qui sont légion à Bambey. Il s’y ajoute que Bambey est en plein essor avec les infrastructures d’enseignement supérieur, l’autoroute à péage et l’urbanisation. Concernant les enfants, le maître symptôme est le vomissement qui vient en tête de liste suivi de la fièvre puis des douleurs abdominales le plus souvent dues à des parasitoses, les parents n’ayant pas la notion du déparasitage fréquent. Les examens complémentaires de cet échantillon étaient plus axés sur la biologie avec la NFS, les TDR et les TE. Les TDR sont fait automatiquement pour tout patient qui présente une température de 37,5°C et plus. Le CSB dispose d’un plateau d’analyses biologiques où les prélèvements se font tous les jours sous programmation sauf en cas d’urgence. Les traumatismes sont très fréquents dans notre échantillon. L’accès gratuit aux soins pour les enfants de 0 à 5 ans est unénorme coup de pouce pour le CSB qui motive les parents à amener les enfants en consultation. Dans l’échantillon adulte, les paramètres cliniques étudiés ne changent en rien par rapport à la population globale étudiée. Les examens paracliniques les plus demandés sont : les TDR, la NFS, et le test Covid19. En pleine pandémie à Covid 19, Bambey n’en a pas moins été touché. Devant toute température au- delà de 37,5°C, les TDR est fait systématiquement et si cette fièvre est associée à d’autres symptômes le test Covid19 est proposé au patient.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : REVUE DE LA LITTERATURE
I. SYSTEME DE SANTE AU SENEGAL
1. Définition du système de sante
2. Organisation du système de santé au Sénégal
2.1. Système d’information sanitaire et sociale
2.2. Politique en matière de santé et la situation sanitaire
2.3. Ressources du système
2.3.1. Ressources humaines
2.3.2. Ressources matérielles
2.3.3. Ressources financières
2.3.4. Disponibilité des équipements
2.3.5 Couverture maladie et plan sésame
2.4. Activités du secteur
2.4.1. Activités préventives
2.4.1.1. Prévention de la COVID 19
2.4.1.2. Prévention du paludisme
2.4.1.3. Prévention du VIH/SIDA et le dépistage
2.4.1.4. Planification familiale
2.4.2. Activités curatives
2.4.3. Médecine traditionnelle
2.5. Situation sanitaire au Sénégal
2.5.1. SAU au Sénégal
2.5.2. Pandémie Covid19
2.5.3. Maladies Non Transmissibles (MNT)
2.5.4. VIH/SIDA
2.5.5. Maladies de l’enfant et mortalité
2.5.6. Accidents de la voie publique
II. LA REGION MEDICALE DE DIOURBEL
1. Organisation
2. Objectifs
3. Polarisation
III. LE DISTRICT SANITAIRE DE BAMBEY
1. Données géographiques & administratives
2. Données démographiques
3. Données socio-économiques
3.1. Sur le plan social
3.1.1. Culture et religion
3.1.2. Activités de jeunesse et de sports
3.1.3. Secteur de l’hydraulique
3.1.4. Incidence de la pauvreté
3.2. Sur le plan économique
3.2.1. Agriculture
3.2.2. Elevage
3.2.3. Le commerce
3.2.4. L’artisanat
DEUXIEME PARTIE : NOTRE ETUDE
PATIENTS & METHODES
I. CADRE DETUDE
1. Le Centre de Santé de Bambey
1.1. Description
1.2. Personnel
1.3. Infrastructures
1.4. Equipements
1.5. Logistique
1.6. Facteurs culturels
1.7. Partenaires
1.8. Mode de fonctionnement
1.8.1. Services Administratifs
1.8.2. Organisation
1.8.2.1. Unités Médico-chirurgicales
1.8.2.2. Unités d’aide au diagnostic
1.8.2.3. Autres unités
2. Le service d’accueil des urgences
II. PATIENTS
1. Critères d’inclusion
2. Critères de non inclusion
3. Population étudiée
III. METHODE
1. Type d’étude
2. Sources de données
3. Paramètres étudiés
3.1. Aspects épidémiologiques
3.2. Aspects Diagnostics
3.3. Aspects Thérapeutiques
3.4. Aspects Evolutifs
4. Analyse des données
5. Considérations éthiques
RESULTATS
I. CARACTERISTIQUES DE LA POPULATION GLOBALE
1. Aspects épidémiologiques
1.1. Age
1.2. Sexe
1.3. Origine géographique
1.4. Moyens de transport
1.5. Antécédents
1.5.1. Médicaux
1.5.2. Chirurgicaux
2. Aspects diagnostics
2.1. Signes cliniques
2.2. Examen paracliniques
2.3. Diagnostic
3. Aspects thérapeutiques
4. Aspect évolutifs
II. CARACTERISTIQUES DES ENFANTS
1. Aspects épidémiologiques
1.1. Age
1.2. Sexe
1.3. Origine géographique
1.4. Moyens de transport
1.5. Antécédents
1.5.1. Médicaux
1.5.2. Chirurgicaux
2. Aspects diagnostiques
2.1. Signes cliniques
2.2. Examens paracliniques
2.3. Diagnostic
3. Aspects thérapeutiques
4. Aspects évolutifs
III. CARACTERISTIQUES DES PATIENTS ADULTES
1. Aspects épidémiologiques
1.1. Age
1.2. Sexe
1.3. Origine géographique
1.4. Moyens de transport
1.5. Antécédents
1.5.1 Médicaux
1.5.2. Chirurgicaux
2. Aspects diagnostiques
2.1. Signes cliniques
2.2. Examens paracliniques
2.3. Diagnostic
3. Aspects thérapeutiques
4. Aspects évolutifs
DISCUSSION
I. LIMITES DE L’ETUDE
II. ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES
III. ASPECTS DIAGNOSTICS
IV. ASPECTS THERAPEUTIQUES
V. ASPECTS EVOLUTIFS
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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