Besoins en minéraux
Ce sont des constituants essentiels du tissu osseux (calcium, phosphore) ou de l’équilibre osmotique de l’animal(sodium, chlore, potassium). Selon Ferrando (1969),les plus importants sont le phosphore et le calcium qui jouent un rôle essentiel aussi bien dans l’équilibrehumoral que dans la formation du squelette et de la coquille. Toute recommandation en minéraux doit tenir compte d’abord du niveau de production des animaux, puis de certains facteurs externes (dont certains altèrent l’ingéré alimentaire). On peut citer la présence éventuelle sous forme de complexe du minéral dans la source utilisée, les interactions entre nutriments, le niveau énergétique des aliments, la température ambiante etles stress dus aux maladies ou à la surpopulation.
L’apport de phosphore pose toujours des problèmes car onle retrouve sous forme phytique dans les graines des végétaux telles que le maïs qui n’a pas de phytases (et non dans les tiges et les feuilles). Ce phosphore n’est pas utilisé par les oiseaux, pour lesquels on ne considérera comme « disponible » que le phosphore non-phytique, soit le tiers du phosphore total des graines (INRA,1989).
L’excès de chlore entraîne une grande consommation d’eau,la survenue des diarrhées et tend à réduire l’utilisation de calcium etdu phosphore. Dans une moindre mesure, l’apport en manganèsepeut également affecter l’assimilation du calcium et du phosphore (Smith, 1992).
La fourniture du chlorure de sodium est indispensable puisque l’alimentation végétale est largement déficiente en sodium, mais riche en potassium.
Besoins en oligo-éléments
Ils sont présents dans l’organisme en faible quantité ou à l’état de traces et sont indispensables au déroulement de nombreuses réactions biochimiques du métabolisme.
Il s’agit du fer, du cuivre, du zinc, du manganèse, du sélénium, de l’iode, du fluor, du cobalt et du magnésium.
Selon Ferrando (1969), avec un apport de 0,4 % de magnésium, on note une augmentation du gain de poids et une amélioration de l’ossification.
Besoins en vitamines
Ce sont des éléments organiques agissant également à des doses infimes et indispensables au métabolisme, à la protection de l’organisme et à une bonne production. Certains facteurs entraînentune augmentation directe des besoins en vitamines. Il s’agit :
– des températures élevéesqui causent une baisse nette de l’ingéré alimentaire, donc de l’apport en vitamines ;
– de la teneur énergétique de la rationdont l’augmentation entraîne la baisse de l’ingéré alimentaire. En outre, l’accroissement de la valeur énergétique de la ration provoque une augmentation spécifique des besoins en vitamines B1, B2, et acide pantothénique qui participent aux réactions du métabolisme énergétique ;
– de l’addition de graisse à la ration qui accroît les besoins en vitamines E dont l’activité anti-oxydante permet de limiter la formation de peroxydes toxiques pour la cellule et qui dégradent les vitamines A, D et K ;
– de la teneur en protéines de l’alimentdont la baisse augmente les besoins en vitamine A ; l’absorption de cette dernière étant liée à l’apport protéique ;
– des conditions d’élevage, en particulier le stress qui est un mécanisme consommateur d’énergie et de vitamines. Dans ce cas, les apports de vitamines peuvent devenir insuffisants par rapport aux besoins réels.
On peut noter une augmentation indirecte de ces besoins en cas de biodisponibilité réelle faible des vitamines de la ration ou lorsqu’elles sont détruites soit lors des opérations de fabrication et de stockage de l’aliment soit par les parasites intestinaux.
C’est aussi le cas en présence des antagonistes et des antimétabolites qui inactivent les vitamines dans l’aliment et même en cas de formulation et de fabrication défectueuses.
Besoins en cellulose
Son importance est faible dans l’alimentation des volailles. Ainsi, chez le poulet de chair, il est recommandé de ne pas dépasser des taux de 5% de cellulose brute afin d’éviter une accélération du transit favorable à une mauvaise utilisation de la ration (Anselme, 1987).
Sous-produits des céréales
Il s’agit des sons dont l’utilisation en aviculture tient compte de leur coût faible et de leur importance dans la régulation du transit digestif dont ils empêchent les perturbations à l’origine dediarrhées et constipation (Parigi-Bini, 1986).
De plus, leurs protéines sont disponibles. Les farines basses de riz présentent l’avantage d’avoir une valeur élevée en minéraux, en oligo-éléments et en énergie (Larbier et Leclercq, 1991).
Matières grasses
Elles sont issues des huileries (huiles végétales) ou des abattoirs (suif, graisse, saindoux). Ce sont des sources importantes d’énergie métabolisable pour l’alimentation des volailles (Scott, 1976). Elles permettent d’accroître la valeur énergétique des rations tout en diminuant les indices de consommation. Les lipides facilitent l’utilisation de matières premières riches en protéines (tourteaux) mais présentant des niveaux d’énergie relativement bas (Sakandé, 1993).
Des travaux de Polin et Hussein (1982)montrent que les poussins âgés d’une semaine retiennent 25 % de lipides de moins que ceuxâgés de 2 à 3 semaines, ceci du fait que les sels biliaires impliqués dans la digestion des lipides ne sont pas produits en quantité suffisante chez le poussin, puisque la sécrétion biliaire augmente avec l’âge de la volaille.
Selon Sakandé (1993), l’utilisation de matières grasses d’origine animale, donc riches en acides gras saturés peut entraîner la formation de savons mal absorbés par les poussins et occasionner une mauvaise utilisation du calcium et par, conséquent, une augmentation de l’incidence dela dyschondroplasie tibiale. Gab-wé (1992) estime que l’huile d’arachide incorporée au taux de 4 % dans la ration du poulet de chair de 6 semaines d’âge donne de meilleurs résultats de croissance.
Farine de sang
Elle est peu utilisée dans les régions tropicales. On l’obtient en faisant déshydrater le sang recueilli aux abattoirs. C’est une source très concentrée de protéines dont la digestibilité est diminuée par la présence de fibrinogène. Toutefois, sa teneur en acides aminés permet de couvrir les besoins des volailles. La farine de sang est incorporée à un taux de 5 % (Larbier et Leclercq, 1991).
SOURCES DE MINERAUX ET DE VITAMINES
Le calcium et le phosphore constituent les principaux minéraux que doit contenir la ration des volailles. Carbonate de calcium, coquillages marins, poudre d’os et phosphates en sont les sources majeures.
Un déficit modéré en calcium n’affecte que les volailles en bas âge, tandis qu’un apport insuffisant en phosphore va se traduire par une anorexie, une baisse de la croissance, des troubles locomoteurs graves et même de la mortalité (ISA, 1985).
Le chlorure de sodium apporte le sodium et le chlore à la ration.
Les oligo-éléments tels que lezinc, l’iode et le magnésium, les vitamines et les additifs alimentaires sont apportés par les prémix ou C.M.V. (compléments minérauxvitaminés).
DIFFERENTES FORMES DE PRESENTATION DES ALIMENTS POUR VOLAILLES
Picard et al. (1999)écrivent que le comportement alimentaire d’une volaille peut se diviser en trois phases : l’identification, lapréhension et l’ingestion. La première dépend en grande partie des expériences acquises et vécues par l’animal. Dans cette phase, tous les signaux sensoriels et plusparticulièrement la vision sont mis à contribution. La préhension utilise aussi la vue mais aussi le toucher. Cela souligne toute l’importance des caractéristiques physiques des aliments (taille, forme, dureté et élasticité…). Les caractéristiques nutritionnelles interviennent dans la dernièrphase : l’ingestion qui est aussi influencée par l’environnement.
REGULATION THERMIQUE ET SES FACTEURS
Les températures ambiantes élevées réduisentla croissance des poulets et ceci quelle que soit l’origine génétique des animaux (Washburn et Eberhart, 1988). La zone de bien-être thermique se situe entre 16 et 20° C. Au delà et en dessous de ces limites, le métabolisme s’accroît sensiblement et traduit une perte d’énergie pour lutter contre la chaleur ou contre le froid, par une série de moyens constituant la régulation thermique.
Les oiseaux sont des êtres vivants capables demaintenir leur température interne quasi – constante. Leur corps est recouvert de plumes et dépourvu de glandes sudoripares. Ils ont en général une température plus élevée que les mammifères (41-42° C pour un coq adulte), ce qui les rendrait comparativement moins sensibles au stress thermique (Meltzer, 1983). Chez le poussin d’un jour, la température rectale est de 39,5° C. On comprend donc la nécessité pour la volaille de vivre dans des conditions idéales (température ambiante, vitesse et humidité de l’air, état de la litière) depuis le stade du poussin jusqu’au stade du poulet. Ce d’autant plus que l’écart thermique maximal toléré chez le poussin est de 0,5°C.
Toutefois, le maintien de l’homéothermie impose que la production de chaleur générée par le métabolisme soit exactement en équilibre avec les pertes de chaleur. La température ambiante au-dessus de laquelle iln’y a plus équilibre entre productions et pertes entraînant une augmentation significative de la température rectale semble se situe autour de 32° C chez les volailles domestiques (Smith et Oliver, 1971).
PRODUCTION DE CHALEUR OUTHERMOGENESE CHEZ LE POULET DE CHAIR
L’ensemble des synthèses et dégradations nécessaires au maintien des fonctions vitales (métabolisme) est à l’origine de la grande partie de la chaleur produite par l’organisme. Le bilan énergétique représentant les différentes composantes de la dépense énergétique est présenté par la figure 3.
ACTIVITE PHYSIQUE
Van Kampen (1976)constate que chez les pondeuses, la station debout accroît la production de chaleur de 25 % par rapport à la position de repos. Mac Leod et al. (1982) considèrent qu’au maximum 15 % de production de chaleur journalière proviennent de l’activité physique des pondeuses et que ce taux peut descendre jusqu’à 6% selon les génotypes. Dans leurs travaux, Murphy et Preston (1988)remarquent que les poulets passent 65% de leur temps couchés avec de fréquentes interruptions pour manger, boire ou se déplacer. Geraert (1991)explique le phénomène en disant qu’au moment de la station debout, les oiseaux produisent un bref efflux de chaleur et augmenteraient la surface corporelle disponible pour la perte de chaleur par diminution du contact avec les voisins ou le sol. Chezles poulets en croissance, 7 % de l’EM ingérée est utilisée pour l’activité physique, mais le rationnement alimentaire pourrait augmenter cette proportion jusqu’à 15 %, estiment Wenk et Van Es (1976). Ceci montre toute l’importance qu’il y a de bien formuler les rations pour cette catégorie d’animaux.
Outre le déplacement, le halètement fait partie de l’activité physique. Ainsi, chez le poulet exposé à des températures élevées, laproduction de chaleur est supérieure à la quantité produite dans la zonede neutralité thermique. En fait, le halètement a un coût énergétique puisqu’il contribue à augmenter la fréquence cardiaque, mettant ainsi en jeu une participation active des muscles cardiaques. Geraert (1991)estime que sous une température ambiante de35 à 40° C, le halètement représente 12 % de l’augmentation de la thermogenèse, alors que la fréquence respiratoire passe de 30 à 150/minute. Il suffirait de réduire la demande des autres tissus pour compenser cette augmentation de la demande énergétique due à la respiration, ceci maintiendraitconstante la production de chaleur (Hillman et al., 1985).
EXTRACHALEUR OU THERMOGENESE ALIMENTAIRE
L’extrachaleur peut se définir comme étant l’énergie produite lors de l’ingestion et de la digestion de l’aliment ainsi que lors de l’utilisation métabolique des nutriments résultant de cette digestion. On l’estimeà 15-30 % de l’EM pour les aliments complets. Elle dépend de la composition de l’aliment. Ainsi, les rations qui présentent une extrachaleur élevée sont déconseillées en période de chaleur. Tasaki et Kushima (1979)montrent que les protéines présentent la plus forte contribution à la thermogenèse alimentaire par rapport aux glucides et aux lipides. De plus, tout apport d’acides aminés en excès par rapport aux besoins entraîne un catabolisme accru et une production de chaleur augmentée. Dès lors, tout retard de croissance ne saurait être comblé par un réajustement du niveau des protéines alimentaires. Des travaux de Husseini et al. (1987)ont montré que les meilleurs gains de poids des poulets étaient obtenus pour les régimes renfermant 20 % de protéines et 14,27 MJ/kg.. Waldroup (1982)suggère qu’une réduction de l’apport alimentaire d’acides aminés pourrait se faire si on utilisait des protéines debase supplémentées enacides aminés de synthèse. Toutefois, une légère augmentation de la fourniture en lysine s’avère bénéfique lorsque la température devient légèrement élevée (Mc Naughton et al.,1983).
THERMOLYSE PAR CHALEUR SENSIBLE
El Boushy et Van Marle (1978)estiment qu’en climat tempéré, près de 75 % de la thermogenèse chez les oiseaux est éliminée par la voie sensible.
Les pertes par rayonnement (ou par radiation) ne représentent que 5 % du flux total de chaleur, précise Walsberg en 1988.Mitchell (1985) affirme que la perte thermique due au rayonnement baisse avec l’augmentation de la température.
Les pertes par convection dépendent du niveau de ventilation ambiante. En effet, il suffirait que l’air arrivant au niveau de l’animal soit plus frais que le corps de ce dernier pour qu’il cède des calories.
La conduction thermique a surtout lieu d’une part au niveau des appendices céphaliques (crêtes et barbillons) pouvant représenter jusqu’à 7 % de la surface totale du corps (Freeman, 1983)et des pattes d’autre part. Ces parties dépourvues de plumes peuvent servir à exporter près de la moitiéde l’énergie due à la thermogenèse en raison d’une importante vasomotricité qui améliore les échanges thermiques via l’accroissement du flux sanguin. Cetteaffirmation rejoint celle de Geraert (1991), disant que le flux sanguin versla peau emplumée et les organes internes diminue lors de l’exposition au chaud. Mitchels et al. (1985)évoquent les modifications physiques (épilation) et génétiques (génotype cou nu) de l’emplumement comme étant favorables aux pertes sensibles. Le comportement des volailles en vuede se débarrasser de lachaleur ainsi que la réduction des densités d’élevage sont aussi des atouts permettant laréalisation de la voie sensible.
THERMOLYSE PAR CHALEUR LATENTE
Lorsque le poulet a chaud, il augmente lathermolyse évaporatoire, font remarquer El Boushy et Van Marle (1978). Dawson (1982)estime que le poulet peut perdre par la peau, les 40 % voire plus de l’évaporation totale lorsqu’il est en zone de neutralité thermique. Cependant, l’augmentation de la température fait que la voie respiratoire devient la plus sollicitée. Vers 28-29° C, lehalètement apparaît et se traduit par une très forte augmentation de la fréquence respiratoire. Il est sous la dépendance de récepteurs médullaires et hypothalamiqueset ce n’est qu’après élévation des températures hypothalamiques et cloniques, qu’a lieu le halètement (Woods et Whittow, 1974). Le nerf vague assure la transmission des influx. Les conséquences de ce phénomène sont : hyperthermie, hypocapnie et alcalose respiratoire à l’origine d’une baisse de croissance, asphyxie et mort.
Une hygrométrie élevée saturel’atmosphère en vapeur d’eau, réduisant ainsi les possibilités d’évaporation. Elle favorise dès lors la sensation de stress thermique.
En augmentant la vitesse de l’air qui arriveau niveau des animaux, en réduisant les densités et en adoptant des régimes adaptés, on arrive à améliorer les pertes de chaleur, mais surtout à diminuer la thermogenèse. Une autre solution consisterait à l’acclimatation des oiseaux ; cela passe par une adaptation précoce aux températures élevées. Comme le suggère Mac Leod (1984), si le métabolisme basal est diminué par l’acclimatation, une plus grande extrachaleur sera tolérée avec pour conséquence unaccroissement de l’ingéré énergétique. L’individu adapté au chaud peut augmenter soningéré sans accroître sa thermogenèse, conclut Geraert (1991).
REACTIONS DES VOLAILLES EN FONCTION DE LA TEMPERATURE
REGULATION THERMIQUE EN ZONE DE NEUTRALITE THERMIQUE
La neutralité thermique représente les températures idéales ; le confort thermique des animaux est maximum et permet ainsi une régulation thermique et une conversion alimentaire optimales. En dehors de cette zone, on note une baisse de la croissance et donc, de la productivité. La neutralité thermique varie en fonction de l’âge de la volaille ; les températures recommandées étant présentées dans le tableau VII.
VITAMINES, OLIGO-ELEMENTS ET LA PRODUCTIVITE DU POULET DE CHAIR
GENERALITES SUR LA PRODUCTIVITE DU POULET DE CHAIR
Le but visé en élevage de poulet est la productivité maximale (un maximum de kilogrammes de gain de poids pour unminimum de kilogrammes d’aliment).
Quatre facteurs régissent la productivité en aviculture. Il s’agit de l’alimentation, la génétique, la pathologie et l’environnement. De l’action combinée de ceux-ci, dépendent les performances zootechniques du poulet de chair. En général, les objectifs de productivité visent la consommation alimentaire, le gain de poids, l’indice de consommation et la mortalité.
CROISSANCE ET SES FACTEURS DE VARIATION
Croissance
La croissance se définit chez l’être vivantcomme étant la capacité qu’ont les cellules de son organisme d’augmenter leur nombre et leur taille. L’ensemble des réactions biochimiques permettant à l’organisme de croître et de renouveler la matière vivantes’appelle le métabolisme ; il consiste enla synthèse de lamatière nouvelle (anabolisme) et en la dégradation degrosses molécules (catabolisme).
Chez le poulet de chair, la croissance est très rapide, le poussin pouvant passer de 40 g à 1 jour à 2000 g à 7 semaines d’âge (Smith, 1990). Elle est associée à une efficacité alimentaire (aptitude de l’animal à transformer l’aliment en muscle) élevée et consiste en une synthèse protéique à partir des acides aminés alimentaires d’où l’importance d’une ration riche en protéines.
Pour contrôler la croissance, on recommande de peser 10 à 20 % des sujets choisis au hasard tous les sept jours. Ainsi, il est possible de comparer le poids moyen obtenu à celui attendu au même âge et prévu par lefournisseur des poussins. Cela permet dedéceler un retard de croissance dû à une erreur d’élevage. De même, cela donne une idée sur l’homogénéité du troupeau : en cas d’écarts pondéraux trop importants (15 – 20 % par rapport à la moyenne du cheptel), il faut séparer les individus les plus petits des autres animaux afin deleur permettre de rattraper leur retard en les mettant dans des « parcs de rattrapage ». La pesée hebdomadaire de la quantité d’aliment consommée sert à déduire l’indice de consommation qui est laquantité d’aliment consommé permettant de produire un kilogramme de poids vif.
La croissance est un processus physiologique qui est sous la dépendance d’hormones.
Selon Wright et al. (1972), les hormones qui interagissentpour faciliter la synthèse protéique sont : l’hormone de croissance, l’insuline, les hormones thyroïdiennes, lesandrogènes et les hormones surrénaliennes et testiculaires. Chez le poulet à croissance rapide, elle dépend deplusieurs facteurs.
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Table des matières
INTRODUCTION
Première partie: ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : ALIMENTATION DU POULET DE CHAIR
1.1. PHYSIOLOGIE DIGESTIVE DU POULET
1.1.1. CAVITE BUCCALE
1.1.2. ŒSOPHAGE
1.1.3. PROVENTRICULE ET GESIER
1.1.4. INTESTIN
1.1.5. CLOAQUE
1.2. GENERALITES SUR L’ALIMENTATION
1.3. BESOINS ALIMENTAIRES DU POULET DE CHAIR
1.3.1. DIFFERENTS TYPES DE BESOINS
1.3.1.1. Besoins en eau
1.3.1.2. Besoins en énergie
1.3.1.3. Besoins en protéines
1.3.1.4. Besoins en minéraux
1.3.1.5. Besoins en oligo-éléments
1.3.1.6. Besoins en vitamines
1.3.1.7. Besoins en cellulose
1.4. FACTEURS DE VARIATION DES BESOINS
1.4.1. AGE
1.4.2. SOUCHE
1.4.3. CONDITIONS D’AMBIANCE
1.5. MATIERES PREMIERES COURAMMENT UTILISEES ET LEURS APPORTS
1.5.1. SOURCES D’ENERGIE
1.5.1.1. Céréales
1.5.1.2. Sous-produits des céréales
1.5.1.3. Matières grasses
1.5.2. SOURCES DE PROTEINES
1.5.2.1 Sources de protéines végétales
1.5.2.1.1. Tourteau de soja
1.5.2.1.2. Tourteaux d’arachide et de coton
1.5.2.1.3. Levures
1.5.2.2. Sources de protéines animales
1.5.2.2.1. Farines de poisson
1.5.2.2.2. Farine de sang
1.5.3. SOURCES DE MINERAUX ET DE VITAMINES
1.6. DIFFERENTES FORMES DE PRESENTATION DES ALIMENTS POUR VOLAILLES
CHAPITRE II : REGULATION THERMIQUE ET SES FACTEURS
2.1. PRODUCTION DE CHALEUR OU THERMOGENESE CHEZ LE POULET DE CHAIR
2.1.1. METABOLISME BASAL
2.1.2. ACTIVITE PHYSIQUE
2.1.3. EXTRACHALEUR OU THERMOGENESE ALIMENTAIRE
2.1.4. CONTROLE HORMONAL DE LA THERMOGENESE
2.1.4.1. Thyroïde
2.1.4.2. Glandes surrénales
2.2. THERMOLYSE OU PERTE DE CHALEUR CHEZ LE POULET DE CHAIR
2.2.1. THERMOLYSE PAR CHALEUR SENSIBLE
2.2.2. THERMOLYSE PAR CHALEUR LATENTE
2.3. REACTIONS DES VOLAILLES ENFONCTION DE LA TEMPERATURE
2.3.1. REGULATION THERMIQUE EN ZONE DE NEUTRALITE THERMIQUE
2.3.2. REGULATION THERMIQUE SOUS LA ZONE DE NEUTRALITE THERMIQUE
2.3.3. REGULATION THERMIQUE AU-DELA DE LA ZONE DE NEUTRALITE THERMIQUE
2.3.3.1. Au plan comportemental
2.3.3.2. Au plan de son aspect
2.3.3.3. Au planrespiratoire
2.3.3.4. Au plan alimentaire
CHAPITRE III : VITAMINES, OLIGO-ELEMENTS ET LA PRODUCTIVITE DU POULET DE CHAIR
3.1. GENERALITES SUR LA PRODUCTIVITE DU POULET DE CHAIR
3.1.1. CROISSANCE ET SES FACTEURS DE VARIATION
3.1.1.1 Croissance
3.1.1.2 Facteurs de variation de la croissance
3.1.1.2.1. Facteurs intrinsèques
a) Génotype
b) Sexe
3.1.1.2.2. Facteurs extrinsèques
a) Conduite de l’élevage
b) Aliment
3.1.2. AUTRES COMPOSANTES DE LA PRODUCTIVTE DU POULET DE CHAIR
3.1.2.1. Consommation et indice de consommation
3.1.2.2. La mortalité
3.2. EFFETS DES VITAMINES ET OLIGO-ELEMENTS SUR LES PERFORMANCES DU POULET DE CHAIR
3.2.1. EFFETS DES VITAMINES SUR LES PERFORMANCES DU POULET DE CHAIR
3.3. EFFETS DES OLIGO-ELEMENTSSUR LES PERFORMANCES ET LA SANTE DE POULET DE CHAIR
3.3.1. IMPORTANCE DES OLIGO-ELEMENTS
3.3.2. OLIGO-ELEMENTS ET PERFORMANCES DE PRODUCTION
3.3.2.1. Cuivre (Cu)
3.3.2.2. Zinc (Zn)
3.3.2.3. Autres oligo-éléments
3.3.3. OLIGO-ELEMENTS ET DEFENSE IMMUNITAIRE DES OISEAUX
3.3.3.1. Zinc (Zn)
3.3.3.2. Sélénium (Se)
3.3.4. METABOLISME DES OLIGO-ELEMENTS ET INFECTION
3.3.5. OLIGO-ELEMENTS ET SQUELETTE
Deuxième partie: PARTIE EXPERIMENTALE: EVALUATION DE L’EFFET DU VOLIHOT SUR LA PRODUCTIVITE DE POULET DE CHAIR
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
1.1. MATERIEL
1.1.1. SITE ET PERIODE DU TRAVAIL
1.1.2. CHEPTEL EXPERIMENTAL
1.1.3. MATERIEL D’ELEVAGE ET DE CONTROLE DE PERFORMANCE
1.1.4. RATIONS ALIMENTAIRES
1.1.5. PRESENTATION DU VOLIHOT
1.2. METHODE
1.2.1.CONDUITE DES OISEAUX
1.2.1.1. Préparation du local
1.2.1.2. Arrivée des poussins
1.2.1.3. Alimentation
1.2.1.4. Occupation du poulailler
1.2.1.5. Eclairage
1.2.2. COLLECTE DES DONNEES
1.2.2.1. Consommation alimentaire et ambiance
1.2.2.2. Poids vif
1.2.2.3. Mortalité
1.2.2.4. Poids carcasse
1.2.3. CALCUL DES VARIABLES ZOOTECHNIQUES
1.2.4. ANALYSE CHIMIQUE DES ALIMENTS
1.2.5. ANALYSES STATISTIQUES DES DONNEES
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSIONS
2.1. RESULTATS-
2.1.1. LES PARAMETRES D’AMBIANCE
2.1.2.1. Poids vif
2.1.2.2. Gain moyen quotidien
2.1.3. EFFET DU VOLIHOT SUR LES CARACTERISTIQUES DE LA CARCASSE
2.1.3.1. Poids carcasse
2.1.3.2. Rendement carcasse
2.1.4. EFFET DU VOLIHOT SUR LA CONSOMMATION ET L’EFFICACITE ALIMENTAIRE
2.1.4.1. Consommation alimentaire
2.1.4.2. Consommation d’eau
2.1.6. ETUDE ECONOMIQUE
2.2. DISCUSSION
2.2.1. METHODOLOGIE
2.2.2. PARAMETRES D’AMBIANCE
2.2.3. EFFET DU VOLIHOT SUR LA CROISSANCE
2.2.4. EFFET DU VOLIHOT SUR LES CARACTERISTIQUES DE LA CARCASSE
2.2.5. EFFET DU VOLIHOT SUR LA CONSOMMATION ET L’EFFICACITE ALIMENTAIRE
2.2.6. EFFET DU VOLIHOT SUR LA MORTALITE
2.2.7. ANALYSE ECONOMIQUE DE L’EFFET D’UNE SUPPLEMENTATION EN VOLIHOT
SUR LA PRODUCTIVITE
2.3. RECOMMANDATIONS
2.3.1. RECOMMANDATION EN DIRECTION DES ELEVEURS
2.3.2. RECOMMANDATION EN DIRECTION DES FABRICANTS
2.3.3. RECOMMANDATION EN DIRECTION DE L’ETAT
CONCLUSION GENERALE