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PRESENTATION DE LA RECHERCHE
OBJECTIFS
Une diététique efficace du sportif répond indéniablement au besoin biologique de nature énergétique et aussi de manière pertinente, aux besoins psychologique et social ; elle offre aux sportifs malgaches des façons de gérer leurs menus, de répondre aux demandes particulières lors de leurs entretiens individuels ou collectifs afin de leur apprendre à s’alimenter correctement passant par les joueurs de tennis aux lanceurs en athlétisme passant par les sports collectif aux sports à catégories de poids.
D’autant plus qu’en tant que sauteur à la perche, nous avons connu les mêmes contraintes que les sportifs malgaches,.
Chez le sportif de haut niveau, la maîtrise de la diététique est un facteur préventif pour la santé, ainsi un des éléments essentiels contribuant à la performance. Pourquoi ne pas le démontrer aux athlètes malgaches ? De les expliquer, de faire comprendre, de partager et de les aider en prenant conscience qu’une alternative sérieuse à l’alimentation constitue la base de la performance.
Pour que nos sportifs nourrissent leur pratique quotidienne par des connaissances sur l’alimentation sportive, qui leur permet d’atteindre le plus haut niveau, la qualité de vie, la durée de vie, il est nécessaire de bien connaître les fondements, de comprendre les principes de fonctionnement et de les intégrer naturellement dans la vie quotidienne, car la diététique se conjugue avec plaisirs, avec convivialité et avec santé.
La performance sportif de nos jours n’est plus seulement une question de centimètres ou centièmes de secondes, car on sait bien que les différents paramètres constitutifs de la performance sont étudiés, explorés et améliorés sans cesse, et cela en demande d’économie, mais le domaine de diététique reste un domaine abordable pour nos athlètes malgaches, c’est ainsi qu’ils doivent encore apprendre et se former.
Une action diététique bien ciblée sur un sportif appréhende ses actes alimentaires dans leur globalité, en déterminant l’équilibre alimentaire propre à chaque sportif dans le but d’optimiser les entraînements et ce afin que le sportif soit le plus performant le jour de compétition.
En effectuant cette étude, notre objectif général fixé va aider les athlètes malgaches à définir leurs priorités sur l’alimentation, à maintenir et renforcer leur motivation, à être plus persévérant, à fournir plus d’efforts, à focaliser son attention sur les aspects de dopage, à mieux utiliser leur temps et leur budget réduit qui peuvent leur permettre d’accroître leurs performances.
LIMITATION DE LA RECHERCHE
Nourrir l’esprit est un besoin particulier ; apprécier les aliments que l’on consommera permet de vivre d’agréables sensations ; enfin se nourrir, pour nous, c’est satisfaire un besoin social de partage, de convivialité, de communication et d’intégration au sein d’un collectif.
Se nourrir, pour chaque athlète, suppose d’organiser un apport quotidien et équilibré nécessaire au maintien de sa vie et de son activité physique qui lui sont propres. Mais se nourrir, c’est aussi satisfaire un besoin psychologique de nature émotionnelle et affective.
La recherche doit répondre au besoin énergétique, psychologique et social des sportifs malgaches ; la recherche de l’équilibre alimentaire individuel a pour objectif de satisfaire de manière interdépendante ces trois besoins.
La question serait donc de pouvoir étudier les dépenses énergétiques d’un entraînement ou d’un programme d’entraînement et évaluer l’alimentation de chaque période afin de pouvoir concevoir les besoins réels en utilisant l’informatisation.
Mais, est ce que c’est seulement les » laboratoires » qui permettent de trouver l’équilibre alimentaire quotidien dans sa globalité et sa complexité !Est ce que l’accès à une alimentation naturelle, variée, équilibrée, comprenant fruits et légumes, laitages, viandes, œufs et de l’eau…n’est pas propre à chaque sportif ?
Une action diététique bien corroborée sur un sportif détermine l’équilibre alimentaire propre à chaque sportif. Elle règle ainsi le « boire » et le « manger » sur la journée, la semaine, l’année dans le but aussi d’optimiser les entraînements et que le sportif soit le plus performant le jour de la compétition. La diététique sportive reste une condition nécessaire, mais non suffisante à la réalisation de la performance sportive. L’accès à la haute performance sportive est très largement facilité par la mise en œuvre d’un équilibre global au jour le jour. Cette efficacité est nettement plus favorable que toute autre approche nutritionnelle qui d’autant plus que la qualité et la quantité des aliments ingérés au quotidien répond aux rations prédéterminées des sportifs.
Des recherches permanentes dans le domaine de la diététique sportive ont conduit certain pays de gagner davantage ; en affirmant qu’ une nutrition adéquate est nécessaire pour atteindre le potentiel maximum. D’autre affirme que « la nutrition est une des alternatives au dopage » en élaborant le concept de diététique et micro nutrition adaptés au sportif.
Sachons que nous n’allons pas entrer dans les détails de la recherche « sous laboratoires » notre solution est la réponse de cette question : » comment peut on faire pour prescrire une ration alimentaire pour les athlètes malgaches enfin de maximaliser leur performance ? ».
CADRE DE LA RECHERCHE
Le cadre de recherche est axé sur l’alimentation des sportifs Malgaches. Une recherche fastidieuse avec des conditions variables selon la région, le climat ou l’environnement économique.
L’alimentation dépend du budget familial de chaque sportif ; ils mangent selon leur pouvoir d’achat. Ceci s’applique aussi pour les clubs dont chacun est limité par leur capacité financière. Parfois, leur alimentation n’arrive pas à compenser les efforts qu’ils fournissent lors de leur pratique sportive. Même si certains en ont les moyens, les sportifs ont déjà accaparé l’attitude de prendre toujours les aliments habituellement consommés. En conséquence, l’initiative d’enrichir et de varier la nourriture est absente chez nos sportifs.
Tout manque de savoir ou de gestion peut déstabiliser l’esprit à l’égard de l’amélioration de la performance.
Dans tous les cas, le choix de ce sujet est soutenu par notre école afin de déterminer les problèmes, de proposer une ébauche de solution et d’apporter notre contribution aux pratiques alimentaires des athlètes malgaches, à l’amélioration de la performance avec un moyen pratique et accessible à leur niveau de vie social.
Car même si quelques fédérations sportives malgaches n’ont pas de nutritionniste, qui explique, indique et montre à nos sportifs comment rendre nécessaire leurs alimentation en fonction de leurs objectifs à atteindre, il est important de considérer le facteur nutritionnel des sportifs ; En effet, les proverbes malgaches : »…izay voky no maharaka ny namany …» ou bien « …vary be menaka… » sont très connus, mais seulement « un bon régime alimentaire ne fera pas d’un athlète moyen un athlète de haut niveau…… sans avoir connu l’efficacité et l’apport des aliments qu’il mange.
C’est pour cela que le contrôle de la nutrition devrait être appliquée à Madagascar comme il a été déjà pratiqué dans les autres pays Le Comité Internationale Olympique a déjà fait connaître son efficacité pour que tout sportif qui risque une carences et un déséquilibre nutritionnels soit dépisté et recommandé..
POSITION DU PROBLEME
Dans notre grande île, la diététique sportive était toujours un ombre pour nos sportifs. Ils mangeant tous, sans se soucient les apport ou les manques d’énergie mais seulement se contenter de manger beaucoup. De plus la différence du climat et des richesses à Madagascar ne permet pas de localiser sur ce point de l’objectif. Par exemple, les sportifs côtiers sont plutôt portés sur les fruits de mer, et ceux du centre sont portés des fruits et des laitages. Ce qu’on peut dire que c’est le « régime naturel » car tous viennent de leur région.
Cette grande différence des régimes habituels alimentaires rend très complexe la prescription alimentaire. Pourtant la variation de l’alimentation est très importante pour les sportifs, malgré la présence des produits fraîche et naturels au Marché malagasy. Pour les choix alimentaires doivent répondre au besoin énergétique, et aussi au besoin psychosocial.
Quelque soit le mode d’alimentation des gens, en l’occurrence les sportifs, d’aucun ne se souci de la valeur nutritive ou énergétique de chaque repas quotidien. Les principaux soucis se limitent à la seul plaisir de ce que l’on mange : qualité par rapport au goût et quantité en rapport avec le fait d’avoir assez manger.
Pour avoir une idée précise sur l’alimentation des sportifs malgaches, nous allons réaliser une enquête alimentaire auprès des athlètes malgaches. Les conclusions de ces enquêtes serviront des preuves et vont être étudiées puis comparées à la ration alimentaire équilibrée
ENQUETES
Le but de ces deux enquêtes est d’avoir des données précises qui constitueraient une source d’information nécessaire sur l’alimentation des athlètes malgaches, sur tous les points de vue. Ces données seront utilisées pour une éventuelle amélioration de leur diététique.
Enquête portant sur l’alimentation quotidienne des athlètes malgaches
Cette enquête concerne plus particulièrement la ration alimentaire quotidienne des athlètes avec une fréquence d’entraînement de 5 séances par semaine.
Cela va s’est passé comme suit :
Le sportif a rempli le questionnaire sans aucune aide extérieure. L’objectif initial est d’évaluer l’équilibre et la diversité du contenu exact de l’assiette et non d’en connaître avec précision ces apports ; l’évaluation précise des apports quotidiens est d’une extrême complexité. Pour atteindre l’objectif, nous avons validé l’équilibre sur une journée en le comparant aux données recueillies sur une semaine.
La deuxième étape consiste à reconstruire avec les données recueillis et validées précédemment, en référence à la théorie de l’équilibre et de la diversité alimentaire sur une journée.
Pour la dernière étape nous avons à proposer la première démarche alimentaire personnalisée.
Choix des échantillons
Notre population intéresse les athlètes qui ont pratiqué leur discipline sportive pendant plus de deux ans et qui sont choisis selon le niveau de performance ; ils sont issus des six provinces de l’île. Nous avons profité des stages nationaux ou des regroupements organisé par les fédérations malgaches dans le cadre de leur préparation pour une échéance internationale ponctuelle en l’occurrence les 7ème Jeux des Îles de l’Océan Indien pour cette année 2007.
Ils ont été choisis au hasard parmi les sportifs de haut niveau avec un minimum de 6 heures d’activité par semaine au nombre d’une moyenne de 13 que nous avions reçus en évaluation physique.
Les tableaux suivant donnent les caractéristiques biométriques de nos échantillons des deux sexes.
Type et contenu de l’enquête
D’une part, nous avons procédé à un relevé alimentaire précis sur une journée représentative ; un document assez élaboré, utilisé dans le cadre de la consultation des sportifs. D’autre part, nous l’avons complété par un questionnaire de fréquence, approche apparaissant la plus fiable pour la détermination précise de la quantité
La fiche d’enquête contient les renseignements individuels : nom, caractéristiques biométriques, discipline ou spécialité pratiquées et performances.
Le nom est facultatif pour garder d’une part l’anonymat des coureurs, le contraire pourrait souvent engendrer de réponses erronées et d’autre part pour éviter la susceptibilité du à leur indifférence sociale.
Cette fiche est présentée sous forme des questions précises facile à remplir pour éviter des réponses longues qui peuvent être fastidieuses à la longue.
L’objectif de l’enquête tourne autour des points suivants :
La ration alimentaire qui assure l’énergie nécessaire à l’entraînement,
La ration hydrique journalière,
La collation ou le goûter,
La situation physico mentale
RESULTATS ET INTERPRETATIONS
Récapitulation Générale
Les entretiens diététiques reflétant la reconstruction des aliments consommés nous ont montré que les menus des sportifs malgaches les plus courants par ordre décroissant sont les suivants :
Riz + bredes ou légumes + viande rouge ou blanche
Riz + viande
Riz + graine de légumes séchées+ingrédients
Riz + bredes + sauce
Féculent +avec viande ou sans viande
Riz + poisson fraisons séchés + ingrédients
Riz + poisson frais + ingrédients
Riz + volaille+ ingrédients
Si nousconsidérons la fréquence de la consommation de chaque type d’aliment, nous pouvons les figurer d’une manière plus explicite sur le tableau suivant, toujours en ordre décroissant.
Presque tous les sportifs malgaches prennent du riz ou par alternance des féculents ou des graines séchées (légumineuses). Mais nous avons constaté que les sportifs venant des régions côtières du pays apprécient plutôt les poissons (frais ou séchées) de mer ou d’eau douce que la viande.
Mais la prise de bredes comme ingrédients est la plus fréquente dans la semaine, avec 88.8% des athlètes qui les consomment. Peut être, cela est du au faible pouvoir d’achat des athlètes, car c’est l’un des aliments le moins chers au marché malgache. Nous pouvons voir dans le tableau que le fromage a une très faible fréquence avec une très faible en quantité à chaque prise et cela ne représente que 10% des sportifs à raison d’une fois par semaine.
Il en est de même pour le laitage ou les produits laitiers qui sont consommés par très peu d’athlètes, 18.1%, à raison de trois fois par semaine. Nous pouvons dire que bon nombre de nos sportifs prennent des aliments énergétiques comme le riz, les fruits, les féculents et les légumineuses séchées avec une quantité beaucoup plus que le taux normal en délaissant les autres groupes d’alimentation. D’un point de vue analytique, un déséquilibre alimentaire s’instaure chez les sportifs. Quelques types d’aliment sont, soit négligés à cause de l’ignorance de leur importance, soient volontairement délaissés à cause de leur coût exorbitant. Mais nous avons constaté que presque tous nos échantillons ne sont pas atteints par des allergies d’origine alimentaire.
Observation et Evaluation
Sur 80 fiches distribuées, 42 nous sont retournées à temps, et la récolte des résultats nécessitait des déplacements longs et fastidieux d’une durée d’environ trois mois. Les problèmes liés à la réalisation de l’enquête sont nombreux mais nous ne retiendrons que quelques unes.
Lors de l’enquête effectuée, nous avons senti une réticence de la part des certains athlètes et fédérations. La plupart des athlètes pensaient même qu’il serait préférable qu’on ne réponde pas convenablement ce qu’on mange pour différentes raisons, les autres ne remplient pas par honte ou par méfiance qu’on leur dit qu’ils ne mangent pas à leur faim. Apres une explication, tous le monde a été convaincu de l’utilité de ces enquêtes.
Après consultation des résultats, nous avons évalué qu’à même niveau de performance sportive, le niveau « d’entraînement nutritionnel est extrêmement différent. Certains se nourrissent naturellement sans aucune diversification et équilibration des apports. Chez nos sportifs, nous pourrons affiner certain protocole alimentaire en période de préparation, en période de récupération ou en période de compétition, selon le besoin individuel qui se fait sentir.
Pour d’autres, ils s’adonnent à des habitudes alimentaires anarchiques car ils ont des difficultés de conceptualisation de la relation aliment – Santé – Performance. Quelquefois des perturbations fonctionnelles d’origine nutritionnelle arrivent, bien qu’ils accèdent parfois à un niveau sportif étonnant en raison de qualités physiques naturelles souvent exceptionnelles.
Le coaching nutritionnel débutera par une mise en place progressive des « fondamentaux » de l’équilibre et de la diversité alimentaire, en évitent le dogmatisme en régime, les leçons de morale, les conseils stéréotypés. Tout conseil qui ne viendrait pas d’un diététicien ou d’un éducateur sportif qui prend en charge des jeunes à cause de leurs qualités athlétiques, n’est pas admis par les gens ; pourtant ceux-ci sont aussi encore limités sur le plan de la coordination nutritionnelle.
Une déficience chez les sportifs oblige ceux-ci à recourir à des supplémentations pour une correction appropriée sur le plan diététique. En effet, un dogme concernant la supplémentation persiste ; certains prétendent que devant une situation alimentaire instable, il faut corriger l’erreur avec d’autres produits pharmaceutiques ou autres.
D’après cette théorie, les sportifs en difficultés avec leur alimentation, n’attacheront plus aucune importance à leur équilibre alimentaire, puisque la supplémentation artificielle se substituerait au régime alimentaire complet, mais à quoi cette substitution sert –il exactement?
Pour cette vision obsolète ou encore imprégné de notre culture, qui dénue toute volonté, prêt à toutes les compromissions pour se laisser aller à leurs penchants gourmands et coupables ou même aller pour se doper
Bien heureusement, on pointe du doigt notamment le fait de ne pas partager les connaissances fondamentales et les bases théoriques du diététique avec des données fiables ce qui confirme que les déséquilibres alimentaires restera toujours un ombre pour les sportifs malgaches qui ont des possibilités d’accéder au haut niveau de performance avec un peu de patience, de progressivité et de savoir faire.
PROBLEMATIQUE
Devant de telle situation d’ignorance et de méconnaissance des apports nutritifs, énergétiques et vitaminiques des aliments que les sportifs ingèrent quotidiennement, l’obtention d’une performance physique optimale ne peut pas être garantie. Nous pouvons dire que les athlètes s’entraînent et réalisent leur effort à l’aveuglette. Il n’est pas sûr que les dépenses énergétiques, et autres éléments nutritifs ne soient comblés ou remplacés.
Aussi, le problème que l’on pourrait se poser est de savoir « comment aider ces sportifs et ces entraîneurs à évaluer ou avoir une idée des valeurs énergétique de chaque repas journalier ? » Nous verrons par la suite que cet obstacle n’est pas insurmontable. Il existe des document ou des fascicules qui traitent ces sujets de diététique, des brochures qui nous donnent un guide pour la mise en place de régime alimentaire équilibré, mais la consultation de ces documents et leur exploitation constitue un autre travail facile pour les spécialistes de la diététique mais ardu pour les profanes.
Il faudrait donc trouver un moyen accessible à tous, rapide quant à la présentation des régimes alimentaires à proposer quotidiennement et facile à utiliser même pour les ignorant.
Une investigation des données théoriques sur l’alimentation et la diététique va nous orienter et permettre de trouver une option à proposer.
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Table des matières
CHAPITRE I ETUDE DES CAS
1.1 TERMINOLOGIE ET DEFINITION
1.2 PRESENTATION DE LA RECHERCHE
1.2 .1 OBJECTIFS
1.2 .2 -LIMITATION DE LA RECHERCHE
I .2. 3 -CADRE DE LA RECHERCHE
I. 3 – POSITION DU PROBLEME
1.3.1 – ENQUETES
1.3.1.1ENQUETE PORTANT SUR L’ALIMENTATION QUOTIDIENNE
1.3.1.2CHOIX DES ECHANTILLONS
1.3.1.3TYPE ET CONTENU DE L’ENQUETE
1.3.2- RESULTATS ET INTERPRETATIONS
1.3.2.1 RECAPITULATION GENERALE
1.3.2.2OBSERVATION ET EVALUATION
1.3.3 PROBLEMATIQUE
CHAPITRE II CADRE THEORIQUE
2.1 MODE D’EVALUATION
2.1.1 EVALUATION DE LA CONDITION PHYSIQUE
2.1.1.1 VITESSE
2.1.1.2 ADRESSE
2.1.1.3. FORCE D’ENDURANCE MUSCULAIRE
2.1.1.4. ENDURANCE
2.1.1.5. SOUPLESSE
2.1.16. PUISSANCE DU BAS DU CORPS
2.1.2 -EVALUATIONS NUTRITIONNELLES
2.1.2.1 PRINCIPES DE L’EVALUATION
2.1.2.2 OUTIL D’EVALUATION
2.2- DONNEES FONDAMENTALES
2.2.1- THEORIE NUTRITIONNELLE
2.2.1.1 -L’APPORT ENERGETIQUE
2.1.1.2-LA PRODUCTION D’ENERGIE
2.2.2-BESOINS NUTRITIONNELS DU SPORTIF
2.2.2.1-BESOINS DURANT L’ENTRAINEMENT
2.2.2.2 -BESOINS DU DERNIER REPAS.
2.2.2.3 -BESOINS D’ATTENTE.
2.2.2.4- BESOINS DURANT LA COMPETITION
2.2.2.5 – BESOINS AU RECUPERATION
2.2.2.6 – BESOINS APRES COMPETITION.
2.2.3 AUTRES BESOINS
2.2.3.1 BESOINS EN MACRONUTRIMENTS
2.2.3.2 BESOINS EN MICRONUTRIMENTS
2.3-DIETETIQUES SPORTIFS
2.3.1-DIETETIQUE DE PERFORMANCE
2.3.1.1- DIETETIQUE DE L’ENDURANCE
2.3.1.2- DIETETIQUE DE LA FORCE DE VITESSE
2.3.1.3- DIETETIQUE DES QUALITES MENTALES
2.3.2-RATION DU SPORTIFS
2.3.2.1 -RATION D’ENTRAINEMENT
2.3.2.2 -RATION DE COMPETITION
2.3.2.3 – RATION DE RECUPERATION
2.3.2.4 -RATION D’INTERSAISON, VACANCES, REPOS
2.4- NUTRITION DU SPORTIF
2.4.1- MODELES ALIMENTAIRE DE LA PERFORMANCE
2.4.2- PRINCIPES GENERAUX DES APPORTS SPORTIFS
2.5 HYPOTHÈSE
CHAPITRE III METHODOLOGIE
3.1 JUSTIFICATION THEORIQUE DE L’HYPOTHESE
3.1.1 – BESOIN ENERGETIQUE OPTIMALE JOURNALIERE DES SPORTIFS
3.1.2 PREPARATION DIETETIQUE SUR LA PROGRAMMATION D’ENTRAINEMENT
3.1.2.1 -PROGRAMMATION D’ENTRAINEMENT
3.1.2.2 – AVANTAGES DE LA PROGRAMMATION PAR PERIODE
3.1.2.3 –CARACTERISTIQUES GENERALES DE LA PROGRAMMATION
3.1.3 – PREPARATION DIETETIQUE DE L’ENTRAINEMENT
3.1.4-DEPENSE ENERGETIQUE EN SPORT
3.1.4.1-CALCUL DE LA DEPENSE ENERGETIQUE
3.1.4.2-PERTE DE POIDS EN PRATIQUE SPORTIVE
3.1.4.3 -BESOIN ENERGETIQUE JOURNALIER
3.1.4. 4-INDICE DE MASSE CORPORELLE
3.1.5 – SUGGESTIONS POUR LES SPORTIFS MALGACHES
3.1.5.1 APPORTS NUTRITIONNELS CONSEILLE
3.1.5.2 APPORTS NUTRITIONNELS COMPLEMENTAIRES
3.1.5.3APPORTS NUTRITIONNELS DISPONIBLES
3.1.6 – PRESCRIPTION D’UN REGIME ALIMENTAIRE SPORTIFS
3.1.6 1- SPORTS A CATEGORIES DE POIDS
3.1.6 2 – SPORTS DE LONGUE DUREE
3.1.6 3- SPORTS ESTHETIQUES
3.1.6 4 – SPORTS METRES
3.1.6 5 – SPORTS COLLECTIFS
3.2 INFORMATISATION DE LA DIETETIQUE SPORTIVE MALGACHE
3.2.1 PRESENTATION
3.2.2 ASPECT TECHNIQUE
3.2.3 MECANISME DE LOGICIEL
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIES
LISTE DES TALEAUX
LISTE DES FIGURES
GLOSSAIRE
ABREVIATIONS
ANNEXES
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