Notions résidentielles
Tour d’habitation :
L’agencement dans les plans détermine l’aspect plastique de la construction. Des lignes de contours à fortes membrures renforcent l’effet de verticalité et l’impression d’une construction haute et élancée.
Logement :
Le Littré (dictionnaire de la langue française) donne pour le terme «logement» la définition suivante: Loger quelqu’un, c’est lui donner une maison résidence, habiter un endroit, s’est être logé confortablement. Le logement désigne à la fois une unité fonctionnelle où l’organisation de l’espace qui répond aux normes culturelles de la société et de l’époque, mais la dimension, la forme, l’organisation interne, le niveau d’équipement du logement est également lié à la structure au niveau économique et social.
Appartement :
L’appartement dans son sens désigne une partie d’un immeuble comportant plusieurs pièces qui forment un ensemble destiné à l’habitation.
Habitat collectif
L’habitat le plus dense, il se trouve en général en zone urbaine, se développe en hauteur au-delà de R+4 en général, R+2 + combles, R+3 + combles ou plus etc. Composé d’appartements avec chacun, au mieux, balcon ou terrasse, stationnements en souterrain et/ou aériens. Un secteur du petit collectif compte 40 à70 log/ha3. L’individualisation des espaces commence juste à l’entrée de l’unité d’habitation.
Caractéristiques de l’habitat collectif :
Ce type se diffère aux autre par une forte densité tout en offrant de meilleures conditions de vie et se développant en hauteur agencement vertical des cellules, un accès semi-collectif donnant accès aux logements, plusieurs logements par palier, canalisations montantes communes, terrasses communes circulation commune, les logements comportent un ou deux murs mitoyens.
Hiérarchisation des espaces :
Dans n’importe quel type d’habitat on transite entre l’espace public, semi-public mi privé et enfin privé. Dans l’habitat collectif, l’espace public se résume à la rue, le semi-publique à l’unité de voisinage, le semi privé à la cage d’escalier et le palier et le logement à l’espace privé.
L’espace public : Représente dans les sociétés humaines, en particulier urbaines, l’ensemble des espaces de passage et de rassemblement qui sont à l’usage de tous, soit qu’ils n’appartiennent à personne (en droit par exemple), soit qu’ils relèvent du domaine public ou, exceptionnellement, du domaine privé.
Espace semi-public : Réservé principalement aux occupants des propriétés voisines de l’espace, tout en restant accessible à l’autrui comme par exemple la cour ou le parking d’une cité.
Espace semi- privé : Ses espaces font partis de l’habitat, mais ne font pas partie de la propriété privé exemple d’une cage d’escalier d’un immeuble.
Espace privé : Propriété privée d’un individu un appartement par exemple.
Type de logements selon la forme du bloc
Immeuble en blocs :
À forme de construction fermée utilisant l’espace sous forme de bâtiments individuels. Ou il y a possibilité de grande concentration, les pièces donnant vers l’intérieur ou l’extérieur sont très différentes par leur fonction et leur configuration.
Immeuble barre :
Forme de construction ouverte et étendue sous forme de regroupement de type d’immeubles identique ou variés, de conception différente ou il n’existe pas ou peu de différences entre les pièces donnant vers l’intérieur ou l’extérieur.
Immeuble écran :
Forme de bâtiment indépendant, souvent de grandes dimensions en longueur et en hauteur, par de différence entre les pièces donnant vers l’extérieur ou celles qui donnent vers l’intérieur.
Immeuble composite (grand) :
Assemblage ou extension d’immeuble écran composant un grand ensemble, forme de construction indépendante de très grande surface. Avec une possibilité de très vastes pièces. Par de différenciation entre pièces donnant vers l’extérieur ou vers l’intérieur.
Tours :
Forme de construction solitaire située librement sur le terrain, pas d’assemblage possible. -souvent mis en relation en milieu urbain avec des constructions basses et plates.
Les facteurs fondamentaux à l’habitat intégré
Sociabilité :
Cet espace regroupe les activités telles que clubs, associations, réunions de personnes ? Ainsi, les voisins deviennent ceux qui sont choisis en réseau, les amis éloignés sont de nouveau proches? ainsi la proximité reprend son sens dans un lieu éloigné.
Travail :
Le travail est un élément important dans la vie de l’homme, il ne doit pas obligatoirement être proche du lieu de résidence.
Commerce :
Cet espace qui fait partie du logement puisque les achats se font en fonction des besoins de vie, demande une ambiance particulière celle du magasin ou du marché.
Éducation :
L’éducation regroupe tout ce qui touche à l’apprentissage aussi bien scolaire que culturel. Elle demeure une partie nécessaire et importante dans le développement des enfants.
Culture et loisir :
La culture et les loisirs sont des éléments de ce nouvel habitat qui nécessitent des espaces particuliers, différents de ceux du logement.
Mobilité :
Aptitude à bouger, à se déplacer, à changer, à évoluer. Instabilité, fantaisie.
La mobilité résidentielle désigne le changement de lieu de résidence d’un foyer. En ce sens, c’est un trait particulier de la mobilité spatiale et ses mécanismes peuvent être analysés à différentes échelles spatiales.
Les facteurs influassent sur l’habitat intégré
L’habitat est conçu dans toute une série d’intentions, il traduit de nombreuses forces qui se présentent comme suit :
Le site : Chaque endroit recèle des potentialités qu’il faudrait exploiter et des contraintes qu’il faudrait prendre en charge.
L’architecture est tributaire de cet environnement physique qui doit être un facteur d’intégration et non pas de rejet, afin d’assurer une relation harmonieuse entre le projet et son assiette physique.
La société : L’habitat en tant que cadre de vie, traduit la manière de vivre des individus. Il doit avoir comme source la force véhiculée par les habitudes.
Plusieurs enquêtes faites sur des ensembles d’habitat ont démontré qu’il existe un conflit entre le mode de vie des habitants et l’architecture produite dictée par une conception qui ne répond pas aux aspirations des occupants.
Aujourd’hui malgré le changement de la structure socio-familiale, l’occupant a toujours besoin d’apprécier son habitat et son vécu il reste marqué par des traces traditionnelles persistantes.
L’intimité : Elle implique un degré de hiérarchisation spatiale entre l’espace privé où se déroule la vie familiale et l’espace public où se déroule la vie communautaire. Elle est marquée par une succession de seuils correspondants aux différents degrés d’intimité.
L ’esprit communautaire : IL implique la présence d’espaces de communications et de rencontres favorisant le contact entre les habitants, constituant, ainsi, des espaces de vie pour la collectivité qui complètent et mettent en valeur l’habitat.
Les pratiques sociales : Certaines pratiques de la vie peuvent engendrer des dispositions architecturales particulières (le besoin d’espaces qui accueilleront des activités domestiques).
La culture et la religion : système de croyance et de pratique un trait caractéristiques distinctif des citoyens des autres.
Les matériaux de construction : Le choix des matériaux est important sur le plan esthétique, technique et thermique pour la réalisation d’un projet qui répond aux exigences du confort.
Le climat : L’architecture dépend du facteur climatique qui lui dicte les orientations principales pour la conception. L’introduction de la dimension climatique permet d’atteindre les objectifs comme la qualité environnementale recherchée, un meilleur vécu pour l’occupant, une économie d’énergie.
Les techniques de construction : L’ensemble des prestations consistant à étudier, concevoir et réaliser un ouvrage.
Les composants de l’espace résidentiel
L ‘espace public :
Il s’agit d’établir un rapport entre les habitations plus denses jusqu’au secteur villas dans son intégralité physique et pratique. La diversité et la continuité des espaces publics permettent des usages différenciés et des fonctions attractives et d’échange pour les habitations des quartiers.
Les espaces verts :
Mise en réseau, vue d’ensemble, offre d’importants espaces naturels, habiter près de la vie et bénéficier de nombreux espaces verts ce qui représente un facteur évident de qualité de vie.
Ces espaces verts doivent être perçus à l’échelle adéquate, à travers une continuité aérienne des végétations, ils ne peuvent pas être morcelés par de petites interventions. La création de réseaux d’espaces verts doit être privilégiée comme facteur d’intégration.
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Table des matières
INTRODUCTION GENRALE
Chapitre I : Théorique définitions des notions
I.1 Définition de l’habitat
I.2 Notions résidentielles
I.2.1 Tour d’habitation
I.2.2 Logement
I.2.3 Appartement
I.3 Histoire de l’habitat en Algérie
I.4 Les formes d’habitat
I.4.1 Habitat collectif
I.4.1.1 Caractéristiques de l’habitat collectif
I.4.1.2 Hiérarchisation des espaces
I.4.1.3 Classification selon le nombre de logement par palier
I.4.1.4 Type de logements selon la forme du bloc
I.4.1.5 Habitat intégré
I.4.1.5.1 Les facteurs fondamentaux à l’habitat intégré
I.4.1.5.2 Les facteurs influassent sur l’habitat intégré
I.4.1.5.3 Les composants de l’espace résidentiel
Chapitre II : Analyse thématique
II.1 Définition et concept
II.1.1 Définition d’un IGH
II.1.2 La notion de la multi fonctionnalité
II.1.3 La tour & la notion de la multifonctionnalité
II.2 Analyse des exemples
II.2.1 (Bâtiment R+12 A TLEMCEN)
II.2.1.1 Fiche technique
II.2.1.2 l’idée de la conception
II.2.1.3 Description du projet
II.2.1.4 Plan de masse
II.2.1.5 Analyse des plans
II.2.1.6 Analyse des façades
II.2.2 « Résidence EDDAHRA »
II.2.2.1 Fiche technique
II.2.2.2 Description du projet
II.2.2.3 Plan de masse
II.2.2.4 Analyse des logements
II.2.2.5 Les organigrammes
II.2.2.6 Analyse de la volumétrie
II.2.2.7 Analyse des façades
II.2.2.8 Analyse des ambiances intérieures
II.2.3 (60 Richmond housing coopérative-orient)
II.2.3.1 Fiche technique
II.2.3.2 l’idée de la conception
II.2.3.3 Description du projet
II.2.3.4 Plan de masse
II.2.3.5 Visibilité du projet
II.2.3.6 Vues panoramiques par rapport au espaces intérieure /extérieure
II.2.3.7 Analyse des plans
II.2.3.8 Les organigrammes
II.2.3.9 Analyse de la volumétrie
II.2.3.10 Analyse des façades et les élévations
II.2.3.11 Les élévations
II.2.3.12 Analyse des ambiances intérieures
II.2.3.13 Analyse de la structure
II.2.3.14 Les techniques de la durabilité utilisées
Chapitre III : Étude et analyse urbaine De la ville du Tlemcen
III.1 Analyse du terrain
III.1.1 Étude urbaine de la ville
III.1.1.1 Présentation de la ville
III.1.1.2 Étude et analyse
III.1.1.2.3 Analyse environnante
III.1.1.2.4 Analyse technique
III.1.1.2.5 Analyse architectural
III.1.1.2.6 Synthèse
III.2 Analyse programmatique
III.2.1 Programme pédagogique de construction d’un collectif
III.2.2 Organigramme
III.2.2.1 Organigramme fonctionnel
III.2.2.2 Organigramme spatial RDC
III.2.2.3 Organigramme spatial 1er ETAGE
III.2.2.4 Organigramme spatial de 2 ème au 14 ème étage
III.2.5 Genèse du projet
III.2.3 La distribution de programme et les fonctions collectif
III.2.3.1 Le programme du w collectif
III.2.3.2 Les fonctions du collectif
Chapitre IV : Présentation du projet
IV.1 Introduction
IV.2 Présentation de l’ouvrage
IV.3 Description géométrique
IV.4 Conception de l’ouvrage
IV.4.1 Ossature
IV.4.2 plancher
IV.4.3 Escalier
IV.4.4 Revêtement
IV.4.5 Maçonnerie
IV.4.6 Ascenseur
IV.4.7 Acrotères
IV.4.8 Isolation
IV.5 Caractéristique mécaniques des matériaux
IV.5.1 Béton
IV.5.1.1 Résistance du béton
IV.5.1.2 Déformations longitudinales du béton
IV.5.1.4 Coefficient de poisson
IV.5.1.5 Contrainte admissible de cisaillement
IV.5.2 Acier
IV.5.2.1 Différent type d’acier
IV.5.2.2 Contrainte de calcul
IV.5.2.3 Module d’élasticité longitudinal
IV.6 Hypothèses de calcul
IV.6.1 Béton
IV.6.2 Acier
IV.7 Sollicitations de calcul vis-à-vis des états limites
Chapitre V : Pré dimensionnement Et Descente Des Charges
V.1 Introduction
V.2 Pré-dimensionnement
V.2.1 Les Plancher
V.2.1.1 Plancher corps creux
V.2.1.2 Dimensionnement des poutrelles
V.2.1.3 Les planchers à dalle pleine
V.2.2 Pré-dimensionnement des poutres
V.2.2.1 Poutre principal
V.2.2.2 Poutre secondaire
V.2.2.3 Poutre palière
V.2.2.4 La poutre noyée
V.2.3 Pré-dimensionnement des poteaux
V.2.4 Pré-dimensionnement des voiles
V.2.5 Pré dimensionnement d’escaliers
V.2.5.1 Escalier Type 1
V.2.5.2 Escalier Type 2
V.2.5.3 Escalier Type 3
V.3 Descente des charges
V.3.1 Plancher terrasse inaccessible
V.3.2 Plancher étage courant
V.3.3 Maçonnerie
V.3.4 L’acrotère
V.3.5 Balcon
V.3.6 Les escaliers
Chapitre VI : Étude des éléments Secondaires
VI.1 Introduction
VI.2 Etude des planchers
VI.2.1 Charges et surcharges supportées par les poutrelles
VI.2.2 Type des poutrelles
VI.2.3 Choix des méthodes de calculs pour les différents types de poutrelles :
VI.2.4 Exemple de calcul
VI.2.5 Moments fléchissant et l‘efforts tranchants
VI.2.6 Calculs de ferraillage
VI.2.6.1 Armatures longitudinales
VI.2.6.2 Armatures transversales
VI.2.6.3 Ferraillage de la dalle de compression
VI.2.6.4 L’ancrage des armatures
VI.2.6.5 Calculer le recouvrement
VI.3 Plancher dalle pleine
VI.3.1 Introduction
VI.3.2 Evaluation et combinaisons des charges (balcon)
VI.3.3 Calcul de moment fléchissant et l’effort tranchant
VI.3.4 Détermination du ferraillage
VI.3.5 Armature de répartition
VI.3.6 Espacement
VI.3.7 Vérification à l’ELS
VI.3.8 Vérification la contrainte de cisaillement
VI.3.9 Vérification de flèche
VI.3.10 Zone de recouvrement
VI.3.11 Calcul de contre poids
VI.4 Etude d’escalier
VI.4.1 Combinaison d’action
VI.4.1.1 Type 1
VI.4.1.2 Type 2
VI.4.1.1 Type 3
VI.4.2 Calculs des escaliers
VI.4.2.1 Diagrammes des moments et l’effort tranchant
VI.4.2.2 Calcul du ferraillage des escaliers
VI.4.3 Etude de la poutre palière
VI.4.3.1 Angle d’inclinaison de la poutre palière
VI.4.3.2 Charge supportée par la poutre palière
VI.4.3.3 Combinaison d’action
VI.4.3.4 Calcul de la poutre palière
VI.4.3.5 Cncrage des armatures
VI.4.3.6 Schéma du ferraillage
VI.5 Etude de l’acrotère
VI.5.1 Principe de calcul
VI.5.2 Type 1 : L’acrotère de terrasse inaccessible
VI.5.2.1 Calcul des sollicitations
VI.5.2.2 Calcul de l’excentricité
VI.5.2.3 Détermination du Ferraillages
VI.5.2.4 Armatures de répartition
VI.5.2.5 Espacement
VI.6 Étude de la dalle machine
VI.6.1 Introduction
VI.6.2 Caractéristiques de la machine
VI.6.3 Combinaisons des charges : D’après le (C.B.A.93)
VI.6.4 Dimensionnement de la dalle
VI.6.5 Charge et surcharge de la machine
VI.6.6 Vérification au poinçonnement
VI.6.7 Evaluation des moments
VI.6.7.1 Les moments dus aux charges concentrées
VI.6.7.2 Descente des charges
VI.6.7.3 Combinaison fondamentale
VI.6.7.4 Calcul des sollicitations
VI.6.7.5 Calcul des moments dus aux charges réparties
VI.6.7.6 Moments totaux sollicitant la dalle machine
VI.6.8 Calcul du ferraillage de la dalle
VI.6.8.1 Armature de répartition
VI.6.8.2 Espacement
VI.6.9 Vérification des contraintes de cisaillement
VI.6.10 Vérification de la flèche
Chapitre VII : Étude dynamique
VII.1 Introduction
VII.2 But de l’étude dynamique
VII.3 Principes de conception parasismique des bâtiments
VII.4 Définition du sap2000
VII.5 Les méthodes de calcul
VII.5.1 Méthode statique équivalente
VII.5.2 Méthode d’analyse modale spectrale
VII.5.3 Méthode d’analyse dynamique par accélérogramme
VII.6 Modélisation de la structure étudiée
VII.6.1 Disposition des voiles
VII.7 Choix de la méthode de calcul
VII.7.1 Méthode statique équivalente
VII.7.1.1 Détermination des coefficients
VII.7.1.2 Détermination de la force sismique de chaque niveau
VII.7.1.3 Période et participation massique
VII.7.1.4 Spectre de réponse de calcul
VII.8 Vérification du coefficient de comportement R
VII.9 Vérification des résultats vis-à-vis du RPA 99/V2003
VII.9.1 Vérification de la résultante des forces sismiques
VII.10 Vérification vis-à-vis des déformations : D’après le RPA99V2003
VII.11 Justification vis-à-vis de l’effet P-Δ
VII.12 Justification de l’effort normal réduit
Chapitre VIII : Étude des éléments structuraux
VIII.1 Introduction
VIII.2 Les poteaux
VIII.2.1 Définition
VIII.2.2 Combinaisons des charges
VIII.2.3 Sollicitations dans les poteaux
VIII.2.4 Ferraillages des poteaux
VIII.2.4.1 Armatures longitudinales
VII.2.4.2 Armatures transversales
VIII.2.5 Schéma de ferraillage
VIII.3 Les poutres
VIII.3.1 Définition
VIII.3.2 Combinaisons des charges
VIII.3.3 Les recommandations du RPA99V2003
VIII.3.4 Moments fléchissant et efforts tranchants
VIII.3.5 Calcul de ferraillage
VIII.3.6 Vérification des contraintes tangentielle
VIII.3.7 Tableau Récapitulatif
VIII.3.8 Calcule des longueurs d’ancrage et de recouvrement
VIII.3.9 Schéma du ferraillage des poutres principales et secondaires
VIII.4 Voiles
VIII.4.1 Définition
VIII.4.2 Combinaisons des charges
VIII.4.3 Les recommandations du RPA99V2003
VIII.4.4 Disposition des voiles
VIII.4.5 Calcul des armatures
VIII.4.6 Choix des armatures
VIII.4.7 Schéma du ferraillage
Chapitre IX : Étude de l’infrastructure
IX.1 Introduction
IX.2 Types des fondations superficielles
IX.3 Choix du type de fondation
IX.4 Hypothèses de calcul
IX.4.1 Etudes d’un radier général
IX.4.1.1 Définition de radier
IX.4.1.2 Pré dimensionnement du radier
IX.5 Vérifications nécessaires
IX.5.1 Vérification vis-à-vis le poinçonnement
IX.5.2 Vérification la contrainte de sol
IX.5.3 Vérification de tassement
IX.5.4 Vérification vis-à-vis le renversement
IX.6 Ferraillage du radier
IX.6.1 La dalle
IX.6.1.1 Section minimale de ferraillage
IX.6.1.2 Vérification de la section de ferraillage
IX.6.1.3 Choix de ferraillage
IX.6.1.4 Vérification à l’ELS
IX.6.1.5 Vérification la contrainte de cisaillement
IX.6.1.6 Calcul de l’espacement
IX.6.2 La nervure
IX.6.2.1 Calcul ferraillage longitudinal
IX.6.2.2 Vérification la contrainte de cisaillement
IX.6.2.3 Calcul de l’espacement
IX.6.2.4 Calcul ferraillage transversal
IX.6.2.5 Tableau récapitulatif de ferraillage
IX.6.2.6 Schéma de ferraillage de la nervure et la dalle
Conclusion Général
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