La structure d’une page du site
Les préparatifs : Le contenu est à peu près fixé, le plan et/ou la structure ont été déterminés, les graphismes sont déjà bien avancés. Nous avons créé notre site avec le logiciel dreamweaver 4.0
Le modèle de page : A chacun sa méthode, nous avons commencé par créer un modèle de page d’accueil car nous pensons que la majorité des pages du site est conçue de la même façon.
Conception de la maquette
Introduction : Dans notre cas, je suis intervenu plus particulièrement sur l’aspect statique que sur l’aspect dynamique des pages. D’abord, je vais vous décrire le principe du lancement du Dreamweaver 4.0 et la présentation du HTML. Pour la méthode de découpage des maquettes, j’ai intégré ces différents éléments HTML en appliquant les feuilles de styles, ensuite la programmation du langage java script et enfin nous verrons la charte de navigation.
Choix des logiciels :
Le logiciel utilisé : Dreamweaver 4.0, Photoshop 6.0
Lancement de Dreamweaver :
– Principe : Menu Démarrer>Programmes>Développement web>Dreamweaver
L’interface de Dreamweaver : Elle se compose de la fenêtre « Document » et de plusieurs panneaux (en général) :
Présentation de HTML : Langage de balisage (il facilite la publication, l’échange et le traitement par des programmes de documents électroniques structurés, contrairement aux formats propriétaires de documents) GML (Standard Generalized Markup Language), HTML (HyperText Markup Language), XML (Extensible Markup Language) .
Représentation de la structure logique (unités structurelles) d’un document : Titres (de différents niveaux), paragraphes, listes, liens ou hyperliens, images, éléments de structuration du texte (mise en évidence, citation, etc.), tableaux, formulaires (forms), cadres (frames). Image JPG, ne sert pas, en théorie, à mettre en forme des informations. Les feuilles de style ont été conçues pour cela. En pratique (notamment avec l’usage de l’élément FONT), sauf si l’on y prend garde, il y a confusion des genres. Cela est contraire à l’esprit d’HTML, la rubrique Guidelines for authoring) et peut poser des problèmes lors d’une redéfinition de la charte graphique.
Les feuilles de styles : [5][6] On ne les utilisait jamais auparavant et j’ai compris leur importance au fur et à mesure de l’avancement de mon stage .En effet, elles représentent deux grands avantages : Comme modèle avec les éléments à modifier, elles réagissent de la même façon. Avant d’intégrer en HTML et après avoir mis en place une charte graphique de navigation et un modèle, préparer une feuille de style, celle-ci répercute sa configuration au niveau des textes, des tableaux, des liens, etc.….. En ajoutant un script à la feuille des styles, il est même possible de configurer un site afin que celui-ci fonctionne correctement sur la plupart des navigateurs .Durant mon dernièr mois de stage, j’ai passé beaucoup de temps à cette réalisation .Par exemple, le lien ne s’affiche pas de la même manière sur Internet explorer et sur Netscape. Le système d’utilisation des feuilles de style est très performant .L’intégration d’un menu conçu en Java script est un autre exemple. Le procédé est le même et les feuilles de styles s’appliquent ainsi sur le menu en fonction du navigateur.
La programmation avec le langage Java script : Ce langage permet de créer une multitude de fonctionnalité dans le domaine du on-line où il est essentiellement utilisé. Pour ma part, j’ai repris et amélioré un menu en fonction du navigateur. Lors de la conception du site, je prépare cinq programmes java scripts différents sous forme des fichiers. Ces fichiers sont placés dans un répertoire appelé « styles script ».
La charte de navigation : C’est le moment d’analyser le type des rubriques : leurs noms et leurs nombres. On prend un exemple parmi tant d’autres :. On a dû créer un site avec son arborescence. L’avantage est que le chemin liant les images ou d’autres fichiers à une page est à 100% sûr de fonctionner correctement puisque tout se situe sous la même racine. L’inconvénient est le maniement des fichiers lorsqu’ils arrivent en grand nombre. La recherche d’un fichier devient complexe lors de sa mise à jour. Le mieux est de faire comme ci-dessus, un répertoire correspondant à une rubrique.
Le système d’Information (S.I)
Introduction : Un système d’informations est un ensemble structuré de ressources, et de méthodes utilisées dans le traitement de l’information d’une organisation.
Objectif :
– Collecter, structurer, partager, conserver et diffuser des informations, améliorer la prise de décision
– Persistance des données
– Sécurité, confidentialité
– Evolutivité des données, des structures et des technologies.
– Cohérences
– Performances
– Mémoire des traitements
– Plus avantages BD : volumes élevés, résistances aux pannes, aspects transactionnels.
Proposition d’un processus d’étude
– L’étude du projet débute directement par l’analyse des besoins. Ceux-ci sont déterminés par l’information recueillie lors de l’interview du superviseur du futur système ou des utilisateurs de l’ancien système manuel ou informatisé .Ces besoins sont exprimés sous la forme de cas d’utilisation, dans un langage très proche de l’utilisateur.
– L’étude de cas d’utilisation se fait à un niveau de précision à forte granularité des informations représentées dans les interactions. Chaque cas d’utilisation regroupe plusieurs scénarios décrit d’abord de manière générale ,du niveau acteur ,puis représenté de manière plus informatique ce qui permet aussi d’évaluer les coûts de réalisation de l’application.
– La structure statique s’exprime par les relations entre les classes des objets qui participent aux collaborations. Elle est représentée dans des ébauches de diagramme de classes, puis finalisée dans un diagramme de classe qui représente les abstractions clés du domaine et leurs relations.
– Analyse de l’existant, il étudie les caractéristiques matérielles.
– Les études se terminent par la description de l’architecture matérielle et logicielle de l’application.
La base de données
Une base de données est une entité dans laquelle il est possible de stocker des données de façon structurée. Ces données doivent pouvoir être utilisées par des programmes, par des utilisateurs différents. Ainsi, la notion de base de données est généralement couplée à celle de réseau et le Système d’Information, afin de pouvoir mettre en commun ces informations, d’où le nom de base. On parle généralement de système d’information pour désigner toute la structure regroupant les moyens mis en place pour pouvoir partager des données. Une base de données permet de mettre des données à la disposition d’utilisateurs pour une consultation, une saisie ou bien une mise à jour, tout en s’assurant des droits accordés à ces derniers. Cela est d’autant plus utile que les données informatiques sont de plus en plus nombreuses. L’avantage majeur des bases de données est la possibilité de pouvoir être accédés par plusieurs utilisateurs simultanément. La section Base de données première partie se termine à l’obtention du modèle logique de données et à la mise en place du choix du SGBD utilisé.
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Table des matières
INTRODUCTION
CHAPITRE 1 : PRESENTATION DU PROJET
1.1. Cadre du projet
1.1.1. Contexte du projet
1.1.2. Objectif de l’étude et le publics cibles
1.1.3. Les enjeux
1.2. Lancement du projet
1.2.1. Définition du projet
1.2.1.1. Etude préalable
1.2.1.2. Constitution de l’équipe
1.2.1.3. Rédaction du plan projet
1.2.1.4. Les contraintes
1.2.1.5 Planning du déroulement de la réalisation
1.2.1.6. Conclusion
CHAPITRE 2 : RÉALISATION DU PROJET
2.1. Conception du site
2.1.1. Conception des pages
2.1.2. La structure d’une page du site
2.1.3. Architecture globale
2.1.4. Architecture de la base de données : [3] [4]
2.2. Développement des pages [1][2][4]
2.2.1. Conception de la maquette
2.2.2. Réalisation de la maquette
2.3. Conception du Système d’information par UML
2.3.1. Le système d’Information (S.I)
2.4. La genèse UML
2.4.1. Historique
2.4.2. Le langage graphique UML
2.4.3. Définition et intérêts de chaque diagramme
2.5. Utilisation de la méthode UML pour la conception [23]
2.5.1. Proposition d’un processus d’étude
2.5.2. Analyse des besoins
2.5.3. Identification des acteurs
2.6. Elaboration des autres diagrammes
2.6.1. Diagramme de séquence
2.6.2. Diagramme de classe
2.6.3. Diagramme d’activité
2.6.4. Diagramme de collaboration
2.6.5. Diagramme d’état
2.6.6. Diagramme de déploiement
2.7. Création de la base données
2.7.1. La base de données
2.7.2. Conception de la base
2.7.3. Mise en place de la base de données
2.7.3.1. Introduction
2.7.3.2. Choix techniques
2.7.3.3. Installation des logiciels
2.7.3.4. Résumé
2.7.4. L’interface Web
2.8. Démarche de la création de la base [15] [16]
2.8.1. Architecture de MySQL
2.8.2. Création de la base et des tables
2.8.3. Caractéristiques de MySQL
2.8.4. Le serveur et PHP
2.9. Etude de la sécurité : [20] [21]
2.9.1. Introduction
2.9.2. La sécurisation de serveur Web
2.9.3. La protection par mot de passe
2.10. Synthèse globale
CHAPITRE 3 : BILAN GENERAL DU PROJET
3.1. Analyse des objectifs
3.2. Le bilan
3.3. Evolution possible, amélioration envisageable
3.4. Solutions proposées
CONCLUSION
ANNEXE A : « Historique de la JIRAMA »
ANNEXE B : « Structure de la Direction des Systèmes Informatique »
ANNEXE C : « Démarche générale lors de l’analyse et la définition de projet »
ANNEXE D : « Planning général du projet »
ANNEXE E : « Les aspects de la configuration matériels et logiciels »
ANNEXE F : « La solution retenue »
ANNEXE G : « Fiche technique – les diagrammes de UML »
ANNEXE H « les tables »
BIBLIOGRAPHIE
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