Avantages d’une Démographie en Croissance Continue sur l’Environnement

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Pollutions marines et les problèmes des milieux aquatiques

Parmi les pollutions marines et lacustres, on peut distinguer les marées noires, les espaces maritimes menacés par les pollutions industrielles et urbaines, les mers et lacs menacés d’eutrophisation, et les pollutions provenant de l’utilisation des engrais et pesticides.
Concernant les marées noires, elles sont les principales responsables des pollutions marines et de la destruction de la faune et de la flore aquatiques (BRIONES et TELLENNE, 2004). Les naufrages et accidents des pétroliers notamment Torrey Canyon, Erika, Prestige dans l’Europe de l’Ouest, Exxon Val dez dans l’Alaska (Amérique du Nord), ainsi que les résultats des Guerres du Golf sont parmi les causes des marées noires historiques.
Quant aux espaces maritimes menacés par les polutions urbaines et industrielles, comme on le constate sur la carte dans l’Annexe 2, elles sont localisées aux larges des côtes de l’Amérique du Nord, de l’Europe et également aux larges des côtes de la Chine qui est parmi les Nouveaux Pays Industrialisées (NPI). Le développement industriel ainsi que l’urbanisation ne sont donc pas sans conséquence.
Dans les pays industrialisés, la pollution des cours d’eau a pris une ampleur nouvelle et inquiétante durant la seconde moitié duXXe siècle. À partir des années 1950, l’utilisation d’engrais et de pesticides a fait app araître une pollution particulière, l’eutrophisation, due à des apports excessifs de nu triments dans les milieux aquatiques. L’eutrophisation, autrement dit la raréfaction de l’oxygène dans l’eau, menaçant les milieux aquatiques est généralement due par les rejets industriels et agricoles qui font proliférer les bactéries, algues et phytoplanctons qui, consommantbeaucoup d’oxygène, mènent les autres organismes vivants (faune et flore sous-marines) à l’asphyxie (BRIONES et TELLENNE’ 2004). Comme on le remarque sur la carte dans l’Annexe 2, ce phénomène est surtout détecté dans les pays industrialisés notamment l’Amérique du Nord (Grands Lacs), la Mer Noire entre l’Europe et l’Asie.
Une autre partie de la pollution marine descend du ciel, elle vient des dépôts atmosphériques. Le phénomène des pluies acides liéà l’émission des gaz provenant des industries et des automobiles contribue à l’acidifi cation des lacs et des cours d’eau.

Pollutions atmosphériques

La croissance urbaine galopante est source de problèmes environnementaux comme la pollution atmosphérique. Lieu de concentration des activités, les villes concentrent également plusieurs causes de pollution. Les activités humaines sont toutes causes de pollution atmosphériques. Voici quelques exemples: les activités industrielles engendrent les rejets de déchets liquides ou gazeux, les activitésde bâtiment et travaux publics sont également responsables des émissions de très grandes quantités de poussières comme les cimenteries par exemples (BRIONES et TELLENNE, 2004).
Le problème central est la menace d’un réchauffement climatique causé par les émissions de Gaz à effet de serre (GES). Les émissions mondiales de GES imputables aux activités humaines ont augmenté depuis l’époque préindustrielle, la hausse a été de 70% entre 1970 et 2004 (GIEC, 2007). La Figure 1 ci-dessous représente la répartition régionale des émissions de GES par habitant en 2004.

Impacts des crises environnementales sur la population: crises humaines

Ces différentes crises environnementales génèrent à son tour des crises humaines notamment la crise alimentaire, les réfugiés environnementaux, les menaces pour la santé (maladies pulmonaires, cancer, problèmes respiratoires, altération du système immunitaire…), les catastrophes environnementales ( sécheresse, inondation,…), la diminution de la disponibilité, de l’accès et de laqualité de l’eau potable, la perte pour la culture et la science.
Les impacts des crises environnementales sur la population peuvent être illustrés par des exemples. La pollution de l’eau et des aliments est une menace pour la santé des êtres vivants. Les sécheresses et le changement climatiques entraînent des crises alimentaires graves. Le réchauffement planétaire ontribuec au déplacement de certaines populations et augmente la fréquence et l’intensitédes évènements extrêmes et de leur dévastation. La disparition des espèces diminue les possibilités d’acquérir de nouvelles connaissances scientifiques tirées de la nature. L’intensification des activités humaines n’est pas sans conséquence. Divisées en six classes, elle détériore de plus en plus l’environnement. Les problèmes environnementaux, initialement locaux, deviennent des problèmes planétaires. Les pollutions de tout genre dominent dans les pays développés etindustrialisés tandis que la déforestation et la surexploitation des ressources pour une survie quotidienne se manifestent dans les PED.
Les activités humaines induisent à des crises environnementales qui, en retour, engendrent des conséquences sur la population mondiale.

Prise de conscience sur les catastrophes écologique d’origine anthropique

Le 16 Juillet 1945, l’explosion de la première bombe atomique dans le désert du Nouveau-Mexique marque l’aboutissement et la réussite du projet Manhattan initié en 1942. Par la suite, une menace de catastrophe écologique globale planait à cause de la contamination irréversible de l’atmosphère par lesproduits de la fission nucléaire. Les 6 et 9 Août 1945, des études ont été conduites sur les terrains militaires et scientifiques: Hiroshima et Nagasaki. Les lendemains de ces dates, les études démontraient la durabilité de l’impact des retombées radioactives engendrées par les bombes à fission et à fusion sur les populations humaines et sur les écosystèmes. Une prise de conscience planétaire a également surgi concernant les conséquences désastreuses de certaines activités humaines sur l’environnement.
D’autres évènements comme la guerre du Vietnam,qui a duré 21ans et qui est considéré comme le plus long conflit armé du XXèmesiècle (1954-1975), a également provoqué une prise de conscience écologique. D’ailleurs, cette guerre est vue comme une guerre écologique caractérisée par une stratégie litaromi-économique qui consistait à détruire durablement des écosystèmes au moyen d’herbicides de synthèse. Par ailleurs, les années qui précédèrent Stockholm ont également été marquées unepa série de catastrophes écologiques ayant attiré l’attention de l’opinion publique mondiale, telles que la maladie de Minamata (1959), les nuisances transfrontalières en fonction des eaux communes, l’accident de Torrey Canyon (1967), ainsi que la première grande marée noire sur les côtes françaises et britanniques (1971) (MILANI, 2000).
Depuis la fin des années 40, le nombre de catastrophes écologiques d’origine anthropique s’accroît de plus en plus faisant émerger des prises de conscience croissantes concernant les conséquences néfastes des activités humaines sur l’environnement.
Cependant, c’est seulement vers le début des années70 que les préoccupations écologiques ont suscité des mouvements associatifs, idéologiques et politiques (MATAGNE, 2003).

1961, création du World Wide Fund for Nature

Dès la deuxième moitié du XXème siècle, une prise de conscience de la fragilité des écosystèmes émerge au sein de la population des pays développés. Des vives réactions sur les dangers encourus par la planète ont émergé débouchant sur une prise de conscience généralisée des Etats, tant dans les pays développés que dans les pays en développement. Cette prise de conscience grandissante est favorisée par la diffusion d’informations sur les catastrophes environnementales à grande échelle via les médias. (MILANI, 2000).
Dans les années 1960, les pressions des Organisations Non Gouvernementales (ONGs) et des mouvements alternatifs étaient déjà présentes sur la scène mondiale. La publication de l’ouvrage de Rachel Carson a représenté un coup de pouce important dans la lutte des environnementalistes. Intitulé «Silent Spring», l’ouvrage a occupé la place de bestseller aux États-Unis pendant 31 semaines (MILANI, 2000). D’ailleurs, le discours enflammé de R. Carson sur l’emploi des pesticides uil a valu plus d’un million d’exemplaires vendus dans plus de 15 pays. . En cette même période naissent de nombreuses et de diverses ONGs activement engagées dans la défense de l’environnement comme le World Wide Fund for Nature (WWF). L’année 1961 fut la création del’organisation non gouvernementale à l’origine World Wildlife Fund, devenue World Wide Fund for Nature (WWF). C’est la première organisation mondiale en ce qui concerne la protection de la nature (DANIEL et al., 2004). Elle a pour objectif de stopper la dégradation de l’environnement dans le monde et de construire un avenir où les êtres humains pourrontvivre en harmonie avec la nature.

Les années 70, création de Greenpeace

En septembre 1971, un groupe de militants nord-américains, pacifistes et écologistes, embarquent à bord du Phyllis Cormack pour protester contre les essais nucléaires américains prévus sur l’île d’Amchitka, au large del’Alaska. Leur but est d’empêcher ces essais en se plaçant au centre de la zone d’essai. Cette action fait sensation dans le monde entier et atteint son but. En 1972, les Etats-Unis, sous la pression massive du public, annoncent la fin des essais nucléaires atmosphériques. Les militants de l’expédition cherchent alors un nom évocateur des problématiques qu’ils défendent : environnement et pacifisme. Ce sera «Greenpeace»4.
Greenpeace est donc une organisation écologisteinternationale et indépendante qui dénonce des problèmes écologiques globaux et promet des solutions pour un avenir écologique et pacifique, au moyen de confrontations non-violentes et créatives. C’est une organisation à but non-lucratif présente dans 40 pays, en Europe, en Amérique du Sud et du Nord, en Asie et dans le Pacifique.

… et la Conférence des Nations Unies sur l ’environnement à Stockholm

La Suède est à l’origine de l’initiative pour l a mise en place d’une conférence mondiale des Nations Unies sur l’environnement. L’ initiative avait pour objectif de sensibiliser et définir les problèmes environnementaux qui nécessitent une coopération internationale. Une période de travaux préparatoires a alors été mise en œuvre par les gouvernements, les organisations internationales et les ONG pour aboutir à la Conférence des Nations Unies sur l’environnement à Stockholm, en j uin 1972. Cette conférence est la première d’une série de sommets appelés les Sommetsde la Terre. Le deuxième sommet aura lieu à Rio en 1992 et le troisième à Johannesburg e n 2002. Un quatrième est prévu à Paris en 2012. La Conférence des Nations Unies sur l’environnement s’est tenue à Stockholm du 5 au 16 juin 1972.
A l’issue des discussions, la Déclaration de la Conférence des Nations Unies sur l’Environnement, plus communément appelée «Déclaration de Stockholm», a été adoptée le 16 juin 1972. Par la suite, au sein de l’ONU, le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) voit le jour au cours de l’a nnée 1972. C’est un secrétariat qui centraliserait l’action en matière d’environnement et réaliserait la coordination entre les organismes des Nations Unies. Par ailleurs, la Déclaration de Stockholm pose les fondements du concept de développement durable, qui sera consacré dans le Rapport Brundtland des Nations Unies en 1987. Enfin, l’Assemblée générale proclamé le 5 juin comme Journée mondiale de l’environnement en vue de sensibiliser davantage l’opinion publique à la nécessité de protéger et d’améliorer l’environnement.

1972, Rapport Meadows

En août 1970, le Club de Rome a commandé au Massachusetts Institute of Technology un rapport qui a été publié en 1972 sous le titrede « Limits to Growth ». Pour étudier les conséquences d’une croissance exponentielle dans un monde fini, un modèle global mondial a été construit et dans ce modèle, les interactions de cinq variables fondamentales sont examinées: population, production alimentaire, industrialisation, épuisement des ressources naturelles, et pollution (HECHT, 1973) Ce rapport est plutôt pessimiste concernant l’a venir de la planète et va jusqu’à annoncer qu’elle s’effondrera vers l’année 2100 si rien n’est fait. «Avant l’an 2100, le système connaîtra une surchauffe suivie d’un effondrement, si l’accroissement des différentes variables n’est pas freiné» (HECHT, 1973, p.696). Ce rapport montre que la croissance exponentielle que mène l’humanité n’est pas soutenable à long terme étant donné que notre système global est limité. L’apport principal de ce travail est la prise en compte de l’environnement comme une variable.

1987, Rapport Brundtland

En 1987, la Commission Mondiale sur l’Environnement et le Développement (CMED) des Nations Unies a publié le «Rapport Brundtland», du nom de sa présidente, Gro Harlem Brundtland. Intitulé «Notre avenir à tous», le Rapport démontre un mixte innovant de préoccupations fortes pour l’environnement et le développement, particulièrement dans les pays du Sud. Les problèmes de développement et del’environnement sont documentés par force statistiques et articulés de façon à motiver des stratégies communes (ZACCAI, 2014). Au terme de 900 jours d’enquête à travers le monde, la Commission dépose, en avril 1984, son rapport.
Ce rapport est avant tout cité pour sa définition du «développement durable: un développement qui répond aux besoins du présent san compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs». Ce rapport constate également que les problèmes environnementaux les plus graves à l’échelle de la planète sont essentiellement dus à la grande pauvreté qui prévaut dans le Sud et aux modes de consommation et de production non durables pratiqués dans le Nord (BRUNDLTAND, 1987).

1988, création de Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat

En 1988, l’Organisation Météorologique Mondiale(OMM) et le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) créent le Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC ). Sa mission est de produire une expertise scientifiquement établie sur l’état du climat et son évolution, et de faire accepter les avis des experts par les représentants de tous les gouvernements à l’Organisation des Nations Unies (ONU)5.
Après plusieurs allers-retours, le GIEC publie de volumineux «rapports d’évaluation» . Le d’inspiration pour les débats intergouvernementaux qui, en 1992, ont débouché sur la formulation de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC). Publié en 1996, le deuxième rapport d’évaluation a joué un rôle non négligeable dans les négociations relatives au Protocole de Kyoto. Le Troisième rapport d’évaluation, paru en 2001, se concentre sur les résultats des études menées depuis 1995 et fait le point des connaissances relatives aux caractéristiques régionales des changements climatiques. Les autres rapports sont parus en 2007, 2013 et 2014.

1992, Sommet de la Terre à Rio de Janeiro

Vingt ans après la conférence de Stockholm (Suède) en 1972, les Nations Unies se sont réuni du 3 au 14 juin 1992 à Rio de Janeiro (Brésil) pour une conférence mondiale sur l’environnement et le développement. Le bref préambule de la «Déclaration de Rio» se compose de six points insistant sur trois points: la continuité avec Stockholm, le renouvellement des rapports internationaux sur une base équitable en vue de fonder un véritable «partenariat mondial» et l’interdépendancde tous sur la terre (KISS et DOUMBE-BILLE, 1992). Ce sommet a également aboutit à l’instauration d’un programme d’action et de déclarations de principes. Les vingt-sept principes de la déclaration finale, comme les chapitres de l’Agenda 21, parlent d’un autre développement, respectueux des équilibres écologiques, équitable et permettant de lutter contre la pauvreté (LATOUCHE, 2003). En soulignant la dimension planétaire ou globale des problèmes de l’environnement, la conférence de Rio a largement contribué à l’émergence du droit international de l’environnement qui comporte plusieurs conventions (accords officiels entre États) dont l’objectif est de régir le traitement d es questions environnementales globales. Les conventions environnementales qui mobilisent le plus la communauté internationale actuellement sont celles qui sont issues directement du sommet de Rio. Il s’agit de la convention sur les changements climatiques et de la convention sur la diversité biologique (TSAYEM, 2009).

1997, Protocole de Kyoto

Les changements climatiques figurent indiscutablement au rang des problèmes environnementaux qui ne peuvent être résolus sans neu coopération internationale active. La menace est en effet « globale » : l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans un État ou une région du globe est susceptible de produire des conséquences en des points très éloignés de la planète. En outre, lespays en développement, qui n’assument pourtant pas la responsabilité historique des changements actuels, y sont les plus vulnérables (IPCC, 2001).
Le Protocole de Kyoto concerne justement ces changements climatiques. Ratifié par 172 pays, il fut adopté en 1997 et estjuridiquement contraignant mais du fait qu’il s’agisse d’un protocole, il est juridiquement lié à un traité international, c’est-à- dire la Convention-Cadre sur les Changements Climatiques. La conférence aboutit à des textes très ambitieux par lequel les pays industrialisés s’engagent à réduire l’émission des gaz à effet de serre (GES) jusqu’à en moyenne 5,2%. Les Etats Uni s, pays de la planète qui produit le plus de GES, ont décidé de ne pas ratifier le protocole.

2000, Les Objectifs du Millénaire pour leDéveloppement

Pour engager le XXIème siècle sous de bons auspices, les États Membres des Nations Unies ont défini huit objectifs essentiels à atteindre dans la période allant de l’année 2000 à 2015. Les huit Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) avaient officiellement pour finalité de guider les efforts des organisations travaillant dans le domaine du développement. Ils sont également devenus un cadre largement accepté pour mesurer les progrès en matière de développement, en constituant, un cadre présumé universel. Ils ont été énoncés de la manière suivante: 1) réduire l’extrêmpauvreté et la faim, 2) assurer l’éducation primaire pour tous, 3) promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, 4) réduire la mortalité des enfants de moins de cinq (5) ans, 5) améliorer la santé maternelle, 6) combattre le VIH/sida, le paludisme et d’autres maladies, 7) assurer un environnement durable, et enfin 8) mettre en place un partenariat mondial pour le développement(GERARDIN et al., 2016).
En ce qui concerne directement l’environnement, l’objectif 7 présenté en Annexe 1, est d’assurer un environnement durable. Cet objectif comprend trois (3) cibles à atteindre et plusieurs indicateurs permettant d’en suivre l’évolution. Ces trois (3) cibles sont:
– Cible 9: Intégrer les principes du développementdurable dans les politiques nationales; inverser la tendance actuelle à la déperdition de ressources environnementales.
– Cible 10: Réduire de moitié, le pourcentage de al population qui n’a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau potable.
– Cible 11 : Réussir à améliorer sensiblement, lavie d’au moins 100 millions d’habitants de taudis7.

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Table des matières

PARTIE I. DEGRADATION DE L’ENVIRONNEMENT
Chapitre 1. Les Principaux Aspects de la Dégradation de l’Environnement
1.1. Aspects de la dégradation de l’environnement dans les pays développés
1.1.1 Diverses formes de pollution et ses conséquences
1.1.1.1 Pollutions marines et les problèmes des milieux aquatiques.
1.1.1.2. Pollutions atmosphériques
1.2. Aspects de la dégradation de l’environnement dans les pays en développement
1.2.1. Surexploitation des ressources
1.2.2. Déforestation et déboisement
1.3. Crises environnementales
1.4. Impacts des crises environnementales sur la population: crises humaines
Chapitre 2. Evolution de la Prise de Conscience sur la Dégradation de l’Environnement
2.1. Historique des Grands Evènements sur le Thème «Environnement» Montrant la Prise de Conscience sur la Dégradation de l’Environnement
2.1.01. Prise de conscience sur les catastrophes écologique d’origine anthropique
2.1.02. 1961, Création du World Wide Fund for Nature
2.1.03. Les années 70, création de Greenpeace…
2.1.04. … et la Conférence des Nations Unies sur l’environnement à Stockholm
2.1.05. 1972, Rapport Meadows
2.1.06. 1987, Rapport Brundtland du Climat
2.1.08. 1992, Sommet de la Terre à Rio de Janeiro
2.1.09. 1997, Protocole de Kyoto
2.1.10. 2000, Les Objectifs du Millénaire pour le Développement
2.1.11. 2002, Sommet de la Terre à Johannesburg
2.1.12. 2009, Sommet sur le Climat à Copenhague
2.1.13. 2012: «Rio+20»
2.1.14. 2015: COP 21, 2016: COP 22
2.2. Aperçu sur l’Internationalisation de la Problématique de l’Environnement
PARTIE II. POPULATION ET ENVIRONNEMENT
Chapitre 3. Que Disent les Théories sur la Relation Population-Environnement?
3.1. Du Pessimisme des Modèles Malthusiens et Néomalthusiens…
3.1.1. De la Relation dramatique…
3.1.2. …A une vision plus nuancée et relativisée de la relation populationenvironnement
3.2. …A l’Optimisme des Modèles Anti-malthusiens
3.2.1. La Théorie de Boserup
3.2.1.1. Croissance démographique: stimulant de l’évolution agraire
3.2.1.2. Population avec capacité d’adaptation
3.2.1.3. Boserup et l’environnement
3.2.2. Population: un facteur favorable selon les thèses populationnistes
3.3. Formule de Commoner
3.4. Croissance Démographique: Pas l’Unique Cause de la Dégradation de l’Environnement
Chapitre 4. Impacts au Niveau Mondial de la Croissance Démographique sur l’Environnement
4.1. Quelques Chiffres sur la Croissance Démographique Mondiale
4 2. Avantages d’une Démographie en Croissance Continue sur l’Environnement
4 3. Inconvénients d’une Démographie en Croissance Continue sur l’Environnement
4.3.1. Dangers de la surpopulation
4.3.2. Problème en ressources disponibles
4.3.3.1. Pollution de l’air
4.3.3.2. Pollution des eaux
4.3.3.3. Pollution des sols
4.3.4. Modification de l’environnement en général
4.3.4.1. Changement climatique de la planète
4.3.4.2. Modification du schéma d’utilisation du sol
Conclusion
Glossaire
Bibliographie

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