AUTOMEDICATION EN CONTRACEPTIFS ORAUX

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CONTRACEPTION

Contraception temporaire

Méthodes hormonales

Contraception orale

Les contraceptifs oraux se subdivisent en 2 catégories : les contraceptifs oraux combinés et les contraceptifs oraux progestatifs.

Contraceptifs oraux combinés

• Composition
Les contraceptifs oraux combinés contiennent deux types d’hormones : un œstrogène et un progestatif.
Les contraceptifs oraux minidosés contiennent au plus 35 µg d’éthinylestradiol.
• Présentation
En général, une plaquette de contraceptifs oraux combinés contient 21 pilules. Les sept premières pilules inhibent l’ovulation alors que le reste maintient l’anovulation.
• Mécanisme d’action
Les œstrogènes inhibent la libération des hormones folliculostimulantes par l’adénohypophyse. Ce phénomène prévient la maturation des follicules.
Les progestatifs inhibent la libération des hormones lutéiniques par l’adénohypophyse. L’ovulation est bloquée. Ils épaississent aussi la glaire cervicale, empêchant ainsi le trajet du sperme vers l’utérus.

Contraceptifs oraux progestatifs

• Composition
Les contraceptifs progestatifs sont uniquement composés de progestatifs.
• Présentation
Les contraceptifs oraux progestatifs se présentent sous forme de plaquette de 28 comprimés.
• Mécanisme d’action
La pilule progestative protège contre la grossesse en épaississant la glaire cervicale, en modifiant l’endomètre (le rendant impropre à la nidation), et souvent en inhibant l’ovulation.

Classification

La classification des contraceptifs oraux se fait selon le type de progestatif qu’ils contiennent. (Cf. annexe A et annexe B)

Contre-indications

 Allaitement de moins de 6 mois,
 Chez les femmes en post-partum de moins de 42 jours et qui n’allaitent pas,
 Chez les femmes de plus de 35 ans qui fument plus de 15 tiges de cigarettes par jour,
 Chez les obèses de plus de 30kg/m² d’IMC,
 Hypertension artérielle et maladies vasculaires
 Thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire
 Mutations thrombogéniques connues
 Accidents vasculaires cérébraux
 Hyperlipidémies connues
 Lupus érythémateux systémique
 Migraines avec aura
 Cancer du sein
 Adénome hépatocellulaire
 Cancer du foie
 Neuropathie chez les diabétiques

Interactions médicamenteuses

 Ritonavir
 Certains anticonvulsivants : phénytoïne, carbamazépine, barbituriques, primidone, topimarate, oxcarbazépine
 Lamotrigine
 Rifampicine

Effets indésirables

 Nausées
 Spotting
 Métrorragie
 Sensibilité des seins
 Diminution de la lactation
 Maux de tête
 Prise de poids
 Aménorrhée
 Dépression
 Diminution de libido
 Hypertension artérielle
 Accident vasculaire cérébral
 Accident thrombo-embolique
 Infarctus du myocarde
 Ictère
 Douleur abdomino-pelviene violente
 Problèmes de vision

Suivi

En France, les infirmiers ont le droit de renouveler, pour six mois au maximum, les prescriptions de pilules contraceptives datant de moins d’un an, non renouvelable (29).
À Madagascar, une consultation avant la première utilisation puis un suivi par les prestataires 3 mois après l’initiation et chaque année (Agent communautaire, paramédical, médecin) sont nécessaires (30). Normalement, une fiche individuelle de consultation de planification familiale doit être rédigée pour chaque utilisatrice de contraceptifs oraux. À chaque visite, le poids et la pression artérielle de la femme doivent être pris et les effets secondaires éventuels doivent être pris en charge. Une fois par an ou en cas de besoin, l’examen au speculum, le toucher vaginal combiné au palper et l’examen des seins doivent être effectués (23).

Contraception injectable 

Elle est constituée par les médicaments contenant une hormone progestative seule, à effet prolongé. Leurs principes actifs sont soit l’énantate de noréthistérone 200 mg (Noristérat®), soit l’acétate de médroxyprogestérone 150 mg (Confiance®, Dépoprovera®).

Acétate de médroxyprogestérone

• Forme galénique
L’acétate de médroxyprogestérone est administré sous forme de suspension microcristalline en intramusculaire.
• Mécanisme d’action
Ils empêchent l’ovulation par inhibition de l’axe hypothalamo-hypophysaire.

Enantate de noréthistérone

• Forme galénique
L’énanthate de noréthistérone est administré sous forme de préparation huileuse en intramusculaire.
• Mécanisme d’action
Il épaissit la glaire cervicale pendant 12 semaines, empêche la progression des spermatozoïdes, l’ovulation et la nidation.

Contre-indications

 Grossesse
 Femme allaitante de moins de 6 semaines
 Femmes présentant plusieurs facteurs de risque pour une maladie cardiovasculaire
 Hypertension artérielle
 Maladie vasculaire
 Thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire sévères
 Maladie cardiaque ischémique
 Accident vasculaire cérébral
 Lupus érythémateux systémique
 Migraine avec aura
 Saignement vaginal inexpliqué
 Cancer du sein
 Néphropathie, rétinopathie et neuropathie du diabétique
 D’autres maladies vasculaires chez le diabétique
 Cirrhose du foie sévère
 Adénome hépatocellulaire
 Hépatome

Effets indésirables

 Saignement irrégulier
 Gênes et douleurs mammaires
 Céphalées
 Saut d’humeur
 Nausées
 Alopécie
 Diminution de la libido
 Gain de poids
 Acné
 Accident vasculaire cérébral
 Accident thrombo-embolique
 Infarctus du myocarde

Suivi

L’acétate de médroxyprogestérone s’injecte toutes les 12 semaines.
Les quatre premières injections d’énantate de noréthistérne se font toutes les 8 semaines. Le reste se fait toutes les 12 semaines.

Méthodes naturelles

Collier du cycle, calendrier, glaire cervicale, sympto-thermique, température basale corporelle

Ces méthodes permettent aux couples de connaitre les jours féconds et la période d’ovulation de la femme.

Coït interrompu

Pendant les jours féconds, le retrait du pénis loin de la vulve, juste avant l’éjaculation permet d’éviter la grossesse.

Méthode d’allaitement maternel et d’aménorrhée (M.A.M.A.) 

Cette méthode concerne les femmes aménorrhées en post-partum de moins de 6 mois. Elle consiste à allaiter exclusivement son bébé aux seins à chaque fois qu’il le demande, sans l’alterner avec des biberons. Ceci conduit à une stimulation de la production de prolactine. Le taux élevé de prolactine provoque le blocage de l’ovulation.

Les méthodes barrières

Préservatifs masculins et féminins 

Ce sont des matières en latex qui empêchent le passage du sperme dans les voies génitales de la femme.

Les méthodes contraceptives mécaniques 

Le dispositif intra-utérin qui est le stérilet en fait partie. Le modèle en plastique souple avec fil de cuivre est disponible à Madagascar. Il entrave la progression des spermatozoïdes, empêche la fécondation et la nidation.

Les méthodes contraceptives chirurgicales 

Irréversibles, elles consistent à ligaturer et à sectionner les canaux déférents chez l’homme et les trompes de Fallope chez la femme. Elles empêchent définitivement la fécondation.

Contraception d’urgence 

D’après l’OMS, c’est une méthode contraceptive qu’une femme peut utiliser dans les premiers jours après à un rapport sexuel non protégé afin d’éviter une grossesse non désirée.
Il existe deux types : les pilules contraceptives d’urgence et le dispositif intra-utérin d’urgence.

Les pilules contraceptives d’urgence

L’OMS recommande de prendre les pilules progestatives seules à base de lévonorgestrel 1,5 mg (Norlevo®, Pill 72®) dans les 120 heures suivant un rapport sexuel non protégé. Elles préviennent l’ovulation et épaississent la glaire cervicale.
Les contraceptifs oraux combinés à fortes doses à base d’éthinyl estradiol et de lévonorgestrel (Pilplan®) peuvent aussi être utilisés. Ils empêchent l’ovulation, la fécondation et la nidation.

Le dispositif intra-utérin d’urgence

Il doit être inséré dans les 120 heures après un rapport sexuel non protégé. Il est à l’origine d’un changement chimique qui détruit les spermatozoïdes et l’ovule avant la fécondation.

AUTOMEDICATION EN CONTRACEPTIFS ORAUX

Définitions

Automédication

Larousse définit l’automédication comme étant une prise de médicament sans avis médical (18).
Le Comité Permanent des Médecins Européens définit l’automédication comme l’utilisation, hors prescription médicale, par des personnes pour elles-mêmes ou pour leurs proches et de leur propre initiative, de médicaments considérés comme tels et ayant reçu l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM), avec la possibilité d’assistance et de conseils de la part des pharmaciens. (12)

Automédication en contraceptifs oraux 

Selon les Normes et Procédures en Santé de la Reproduction, elle consiste à ne pas consulter les prestataires de planification familiale au début de la prise, ou en une absence de contrôles médicaux 3 mois après la première prise ou tous les 12 mois après la première visite.

Contraception

Selon l’OMS, la contraception est l’utilisation d’agents, de dispositifs ou de méthode pour diminuer la probabilité de conception ou pour l’éviter.
Selon Larousse, la contraception est une méthode visant à éviter, de façon réversible et temporaire, la fécondation d’un ovule par un spermatozoïde ou, s’il y a fécondation, la nidation de l’œuf fécondé (contragestion).

Planification familiale 

Selon l’OMS, la planification familiale permet aux individus et aux couples d’anticiper le nombre d’enfants désirés, d’espacer les naissances et de planifier leur naissance.

L’automédication dans sa globalité 

L’automédication implique l’utilisation d’un produit médical par le consommateur pour traiter des désordres ou symptômes reconnus, ou l’usage intermittent ou continu d’un médicament prescrit par un médecin pour des symptômes ou maladies chroniques ou récurrentes.
L’automédication est le plus fréquemment basée sur une précédente prescription médicale suivie de conseils des amis, des publicités télévisées et journaux. Les principales causes de l’automédication sont la restriction financière et le manque de temps pour consulter un médecin.
L’automédication présente de nombreux risques potentiels. En particulier, l’utilisateur ordinaire ne possède habituellement pas de connaissances spécialisées sur les principes de la pharmacologie, ou de la thérapie, ou sur les caractéristiques spécifiques du produit de santé utilisé. Cette ignorance engendre des risques potentiels : un autodiagnostic incorrect, un choix de traitement incorrect, une incapacité à connaître les caractéristiques d’un médicament (voie d’administration, posologie et durée de traitement, indications, contre-indications, précautions d’emploi, interactions, effets indésirables, conditions de stockage).

Les pharmaciens, en particulier, jouent un rôle clé en conseillant les consommateurs pour un usage sain et approprié des produits médicinaux destinés à être utilisés en automédication. Il est donc important de prendre en considération ce rôle aussi bien dans les formations que dans la pratique.

Résultats des études réalisées sur l’automédication en contraceptifs oraux

Dans la littérature, deux formes d’automédication en contraceptifs oraux sont constatées. La première forme est l’achat des contraceptifs oraux sans prescription médicale (6, 48). Toutefois, cette prescription est nécessaire pour mieux déceler les contre-indications et pour une bonne prise en charge. La deuxième forme est l’absence des contrôles médicaux 3 mois après la première prise ou tous les 12 mois à partir de la quatrième plaquette (6).

En 2010, une étude comparant les motifs d’une prescription médicale aux raisons d’une automédication en pilules contraceptives a été menée à El Paso. D’une part, le faible coût, l’inutilité d’avoir une prescription médicale, la possibilité d’envoyer une autre personne pour acheter les pilules contraceptives et le nombre illimité de plaquettes de pilules pouvant être achetées sont les raisons citées qui motivent une automédication chez les utilisatrices de contraceptifs oraux. Plus de la moitié de ces femmes ont rapporté qu’elles n’ont aucun problème quant au lieu d’approvisionnement. D’autre part, la commodité, la confiance aux informations fournies et les autres services de santé disponibles sont les motifs d’une consultation médicale avant chaque achat de pilules contraceptives (48).
Des études sur le changement de statut des contraceptifs oraux comme médicaments sans prescription ont été faites. Halperin EC a étudié l’avis de 5 médecins concernant la vente sans ordonnance des contraceptifs oraux. Trois d’entre eux y sont favorables. Ils ont argumenté que les risques d’une grossesse non désirée sont plus élevés que ceux de la prise des contraceptifs oraux. La prescription médicale représente une charge lourde et inutile pour la femme et les pilules contraceptives font partie des médicaments hors liste en Inde et en Afrique du Sud. Les arguments pour maintenir une prescription médicale sont : les risques potentiels de l’automédication, l’utilisation inappropriée par les femmes non informées et le manque d’occasion pour la femme de faire des examens physiques, des évaluations médicales et de recevoir des conseils (49).
En 1998, plus des trois quarts des planificateurs familiaux ont refusé le changement de statut des contraceptifs oraux. À part les manques d’opportunité pour le test de Papanicolaou et les recherches des infections sexuellement transmissibles (IST), ces médecins ont avancé comme arguments les risques d’abus, de confusion et d’erreur dans l’emploi des contraceptifs oraux (50).
David LH. a enquêté les médecins des centres de planification familiale et les gynécologues-obstétriciens sur le changement de statut des contraceptifs oraux en médicaments hors prescription médicale. Pour les contraceptifs oraux combinés, soixante et onze pour cent ont été contre cette idée dont 92,7% ont évoqué la sécurité comme argument et 0,22% seulement ont parlé de perte de profit. Pour les contraceptifs oraux progestatifs, la moitié environ (52,2%) ont refusé leur vente sans prescription. La sécurité est le problème le plus cité (73,2%) (51).
Forman SF a étudié les attitudes des universitaires par rapport à la vente sans prescription médicale des contraceptifs oraux. Soixante-cinq pour cent ont pensé que le statut des pilules contraceptives, comme étant des médicaments sous prescription médicale, ne doit pas être changé. Les raisons les plus citées pour argumenter cette idée sont : l’éventuelle apparition des effets indésirables qu’un agent de santé aurait pu prévenir et le non-respect de la régularité des contrôles médicaux. Soixante-quatorze pour cent des femmes qui sont pour le changement de statut des contraceptifs oraux ont eu comme motif la diminution du taux de grossesses indésirables (52).

Cependant, des risques découlant du changement de statut des contraceptifs oraux ont été évoqués par Stone SC. Il expliquait que si le « Food and Drug Administration » (FDA) adopterait le statut de médicaments hors liste pour les pilules contraceptives, de vastes et complexes instructions devraient être rédigées sur la notice. Or, cette idée parait impossible parce qu’une personne sur huit est illettrée aux États-Unis. Les risques d’une mauvaise utilisation seront alors : une grossesse non désirée, un stress psychologique, des risques pour la santé (décès maternel suite à l’accouchement, avortement) (53).
Aux États-Unis, le « Committee on Gynecologic practice » recommande que les contraceptifs oraux doivent être disponibles sans prescription dans les officines. Ce comité pense que les risques apportés par les pilules contraceptives sont moindres par rapport aux bénéfices et que la détection du cancer du col de l’utérus et des infections sexuellement transmissible est inutile pour fournir les pilules contraceptives. De plus, les femmes sont capables de déceler par elles-mêmes les contre-indications en utilisant le prospectus. Toutefois, ce comité évoque que le paiement des honoraires des pharmaciens, le remboursement des contraceptifs oraux par les assurances s’ils deviennent des médicaments hors liste et le refus de dispensation des contraceptifs oraux restent des préoccupations (54).

En 2012, Hopkins K a comparé les habitudes des femmes sous prescription médicale de celles qui pratiquent une automédication à faire des examens complémentaires relatifs à la prise des pilules contraceptives. Pour les deux groupes, le taux d’utilisation du test de Papanicolaou est supérieur à 88% durant les 3 dernières années, plus de 71% ont fait un dépistage des IST et plus de 88% ont fait un examen mammaire. Ces pourcentages sont moins élevés chez les femmes qui pratiquent une automédication. Le désagrément, le coût et l’ignorance du lieu de dépistage sont les raisons citées par les pratiquantes de l’automédication en contraceptifs oraux à ne pas faire le test de Papanicolaou (48).
III.4. Contexte mondial
Une étude à Koweït a révélé que 25% des initiatrices en contraceptifs oraux et 57,4% des femmes habitant dans les districts urbains n’ont pas consulté des médecins. En moyenne, leur âge est de 34,56 ans, leur nombre d’enfants avant la première prise est de 1,65. Plus de la moitié de ces femmes ne travaillent pas (63,7%). Plus des trois quarts d’entre elles achètent leurs pilules contraceptives dans les officines. Les raisons expliquant cette attitude sont le prix abordable et l’accessibilité des pilules contraceptives dans les officines (4).

Potter JE a comparé les femmes sous prescription médicale de celles pratiquant une automédication en contraceptifs oraux à El Paso. Ces dernières sont plus âgées que les premières, multipares, nées à Mexico et y ont terminé leurs études. Peu d’entre elles ont signalé des effets indésirables par rapport aux femmes sous prescription médicale. L’automédication en pilules contraceptives a été pratiquée depuis longtemps et la majorité des pratiquantes projettent d’utiliser les pilules contraceptives pour 3 mois alors que celles qui ont des ordonnances projettent de les utiliser pour 2 ans. Les femmes sous prescription médicale sont les plus nombreuses à abandonner cette méthode contraceptive. Les raisons les plus citées sont les effets indésirables perçus (55).

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Table des matières

INTRODUCTION
Contexte et justification
Hypothèses de recherche
Objectifs spécifiques de recherche
Première partie : GENERALITES
I. CYCLE MENSTRUEL
I.1. Définition
I.2. Phase folliculaire
I.3. Ovulation
I.4. Phase lutéinique
II. CONTRACEPTION
II.1. Contraception temporaire
II.2. Contraception de longue durée
II.3. Contraception d’urgence
III. AUTOMEDICATION EN CONTRACEPTIFS ORAUX
III.1. Définitions
III.2. L’automédication dans sa globalité
III.3. Résultats des études réalisées sur l’automédication en contraceptifs oraux
III.4. Contexte mondial
III.5. Contexte africain
III.6. Contexte malgache
Deuxième partie : METHODOLOGIE
I. CADRE D’ETUDE
II. TYPE D’ÉTUDE
III. DURÉE D’ÉTUDE
IV. PÉRIODE D’ÉTUDE
V. POPULATION D’ÉTUDE
V.1. Critères d’inclusion
V.2. Critères d’exclusion
VI. MODE D’ÉCHANTILLONNAGE
VII. TAILLE D’ÉCHANTILLON
VIII. VARIABLES ÉTUDIÉES
VIII.1. Variables dépendantes
VIII.2. Variables non dépendantes
IX. MODES DE COLLECTE DES DONNÉES
X. MODES DE SAISIE ET D’ANALYSE DES DONNÉES
XI. CALCULS ET TESTS STATISTIQUES UTILISES
XII. CONSIDERATIONS ETHIQUES
XIII. LIMITE D’ÉTUDE
Troisième partie : RÉSULTATS
I. DESCRIPTION GÉNÉRALE DES PARTICIPANTES
I.1. Comparaison du profil socio-économique des participantes selon la couvert contraceptive
I.2. Comparaison des femmes sous contraceptifs oraux aux autres femmes
I.3. Prévalence des méthodes contraceptives selon leur classification
II. PROFIL DES FEMMES PRATIQUANT L’AUTOMÉDICATION
II.1. Prévalence de l’automédication en contraceptifs oraux dans les arrondissements de la CUA
II.2. Fréquence des femmes pratiquant l’automédication selon l’âge et la situation matrimoniale
II.3. Fréquence des femmes pratiquant l’automédication en contraceptifs oraux selon le niveau d’études
II.4. Répartition des femmes pratiquant l’automédication en contraceptifs oraux selon la profession et le revenu mensuel
II.5. Répartition des utilisatrices de pilules contraceptives selon leur parité
II.6. Utilisation antérieure de méthodes contraceptives par les utilisatrices de pilules contraceptives
II.7. Fréquence de l’automédication selon la marque des pilules contraceptives
III. IDENTIFICATION DES RAISONS DE L’AUTOMÉDICATION
III.1. Fréquence de l’automédication selon le choix des marques des pilules
III.2. Répartition des raisons de l’automédication
Quatrième partie : DISCUSSION
I. PRÉVALENCE DE L’AUTOMÉDICATION
II. SITUATION MATRIMONIALE
III. ÂGE
IV. NIVEAU D’ÉTUDES
V. ACTIVITÉ ET REVENU
VI. NOMBRE D’ENFANTS
VII. PARITÉ
VIII. CONTRACEPTION ANTÉRIEURE
IX. MARQUE DES PILULES CONTRACEPTIVES
X. SOURCE D’APPROVISIONNEMENT DES PILULES CONTRACEPTIVES
XI. PRESCRIPTEURS INITIAUX
XII. DURÉE D’UTILISATION DES PILULES CONTRACEPTIVES
XIII. PRIX DES PILULES CONTRACEPTIVES
Cinquième partie : SUGGESTIONS
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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