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Quartier Médina Fall
Données géographiques
Aspects physiques
Situé au Nord-Est de la commune de Thiès, le quartier Médina Fall couvre une superficie de 271,15 ha et est compris entre la société nationale des chemins de fer du Sénégal (SNCS) et la voie ferrée Thiès-Saint Louis. De par son importance spatiale et démographique, il fait partie des plus grands quartiers de la commune.
Il est caractérisé par un relief dominé par une plaine présentant parfois des bas fonds qui se multiplient dans la partie Nord et Nord-Est qui est l’endroit privilégié pour les cultures maraîchères. Les sols sont de type Dior ce qui a favorisé l’enlèvement du sable de construction dans la limite Nord. Cette partie est devenue aujourd’hui inutilisable avec les fosses et les creux.
La végétation est composée essentiellement d’arbres fruitiers en dehors du « nime » comme espèce dominante.
Population
La population de Médina Fall est estimée à 25 310 habitants, soit 10,4% de la population totale de la commune avec une densité brute de 93 habitants / ha. Les principales caractéristiques démographiques de la population sont la légère prédominance des hommes (13005) sur les femmes (12306) mais également sa jeunesse.
Activités économiques
Deux principales activités dominent dans le quartier : le maraîchage et l’artisanat.
¾ Le maraîchage
Il existe dans certaines parties du quartier surtout celle Nord-est où des périmètres lui sont réservés.
Les principaux produits sont : la salade, les oignons et l’exploitation de certaines cultures fruitières (mangues, bananes, papaye, citrons…).
¾ L’artisanat
C’est un secteur qui se distingue par la variété des produits (tous de fabrication locale). Cependant, il souffre d’un manque de formation de ses membres, de moyens et d’organisation.
Il existe d’autres secteurs d’activités tel que :
– le centre d’accueil « SARE COUMBA » qui abrite des séminaires, des conférences et d’autres types de manifestations. Ce centre a une capacité de 400 personnes ;
– le projet « FAGGU » qui est créé depuis 1988 sous l’égide du « Christian Children Fund » compte plus de 1337 enfants parrainés. Le recrutement se fait sur les enfants défavorisés dont le niveau de revenu annuel des parents n’excède pas 50 000 F. Le projet vise le bien être de l’enfant et de la famille avec comme priorité l’éducation et la santé.
Pour l’éducation tous les enfants des écoles publics sont pris en charge à 100% et ceux du privé à 50%. En ce qui concerne la santé, la prise en charge des frais médicaux est à 60% chez les enfants inscrits dans le projet et à 50% pour leurs frères et sœurs.
Activités socio-éducatives
Structures associatives
Sur plus de 24 groupements féminins seuls 6 ont un statut juridique (récépissé) ; tous les autres sont nés d’une manière spontanée. Certains se regroupent suivant leur statut (femmes mariées, jeunes filles…) ou compte tenu de leur aire géographique.
Tous les groupements fonctionnent selon la même formule qui consiste à gérer un crédit rotatif entre les membres. Plusieurs activités sont développées notamment par les GIE allant de la teinture au crédit en passant par l’alphabétisation, l’embouche bovine mais le plus souvent sans succès.
Il existe cependant un certain nombre de contraintes qui sont : le manque de financement, de formation mais également de collaboration inter organisations.
Les associations
On distingue plusieurs associations :
– les ASC (Associations Sportives et Culturelles) ;
– l’association des enseignants ;
– l’association des amis de l’école ;
– le CRAD/MF (Comité de Réflexion et d’Action pour le Développement de Médina Fall) ;
– l’association de jeunes de « Guinaw Rail » ;
– les APE (Associations des Parents d’Elèves) ;
– le foyer ;
– les dahiras.
Infrastructures
Médina FALL dispose d’un certain nombre d’infrastructures réparties comme suit :
Pour l’éducation nous avons :
– 1 école maternelle de trois sections ;
– 3 écoles élémentaires de 12 classes chacune ;
– 1 CEM (Collège d’Enseignement Moyen) ;
– 1 centre de formation professionnelle avec 3 sections ;
– 12 écoles coraniques ;
– 1 école privée franco-arabe de 6 classes.
Le quartier dispose aussi de :
– 21 mosquées dont une grande ;
– 1 chapelle catholique ;
ETAT BUCCO-DENTAIRE
L’état dentaire nous indique le nombre de dents saines présentes en bouche, celui de dents cariées et ou soignées par des méthodes d’obturation classiques (amalgame dentaire, composite ou verre ionomére) ainsi que celui de dents absentes.
Plus le nombre de dents saines d’une personne est élevé, meilleur est son état dentaire et inversement, plus le nombre de dents cariées est important, plus l’état dentaire est dégradé.
Le nombre de dents obturées donne deux types d’information : il s’agit d’une part d’un état dentaire qui a été dégradé, d’autre part, d’une personne qui, ayant été soignée, a fait preuve d’une certaine culture dentaire.
Le nombre de dents absentes est significatif, les dents manquantes entraînant chez une personne des problèmes de diverses natures : mastication, incision préparation du bol alimentaire, digestion, équilibre neuromusculaire parfois et également d’ordre esthétique.
Plus ce nombre est élevé, plus l’état dentaire est dégradé. Il indique aussi qu’une personne n’a pas remplacé ses dents faute de moyens financiers et/ou de culture dentaire [21].
La carie dentaire
Définition
Selon l’OMS, « la carie dentaire est un processus localisé d’origine externe apparaissant après l’éruption des dents qui s’accompagne d’un ramollissement des tissus durs de la dent et évolue vers la formation d’une cavité » [36].
« La carie dentaire est une pathologique, localisée, d’origine bactérienne, qui entraîne la déminéralisation des tissus durs de la dent et la formation d’une cavité. La carie débute par une lésion microscopique qui peut évoluer vers la formation d’une cavité macroscopique » (Baume 1962, Franke 1976). On différencie classiquement :
– la carie de l’émail, lésion débutante et circonscrite qui n’a pas encore atteint le stade de la perte de substance ;
– la carie de la dentine, qui fait suite à la carie de l’émail et qui est caractérisée cliniquement par une perte de substance de l’émail avec lésion dentinaire (Schroeder 1983) [40].
Selon Frey « la carie dentaire est une altération spéciale des dents, caractérisée par sa nature infectieuse et sa progression de la périphérie au centre. Elle aboutit à une désintégration plus ou moins rapide de l’organe » [43].
Etiologie
Les principales causes de la carie sont l’accumulation de la plaque bactérienne et la production d’acides par cette dernière. En dehors de l’étiologie bactérienne, de nombreux facteurs jouent un rôle déterminant dans la survenue des caries :
– l’organisme « hôte », avec une denture plus ou moins propice à la carie ;
– les micro-organismes ;
– le substrat pour les micro-organismes ;
– le temps.
Tous ces facteurs doivent être réunis pour permettre l’apparition de la carie. En particulier, la carie survient quand les micro-organismes adhérent à la surface dentaire (hôte) depuis un certain temps et produisent des substances déminéralisantes (acides) à une concentration suffisante dans l’écosystème de la plaque grâce à l’apport de sucre (substrat) (Orland et coll. 1954, 1955, Keyes 1962, Newrbun 1978, Konig 1987).
Selon un concept plus contemporain l’étiologie de la carie dentaire comprend aussi un aspect socioéconomique aussi bien que des facteurs psychologiques et biologiques [12].
Epidémiologie
La carie dentaire compte sans aucun doute parmi les maladies les plus répandues dans le monde. Elle touche toutes les races, tous les sexes, et peut apparaître aussi bien chez l’adulte que chez l’enfant.
Une étude faite à Dakar dans les écoles primaires publiques dépendantes du centre de santé Nabil Choucaire avait montré une prévalence de 82,09% et un CAO de 3,93. [25].
Toujours à Dakar, une étude faite chez les étudiants de l’université Cheikh Anta DIOP avait donné une prévalence de 60% et un CAO de 2,4 [23].
A Thiès, FAll [19] avait trouvé une prévalence de 68,3% chez les enfants de 12 ans.
Des études qui ont été réalisées ailleurs en Afrique ont montré des taux de prévalence très élevés. Ainsi au nord-ouest de la Cote d’Ivoire, elle était de 77,2% avec un indice CAO moyen de 2,43 en milieu scolaire. [44].
Au Cameroun, on a noté une prévalence de 66,9% et un CAO de 5,6 [33].
Hygiène bucco-dentaire
L’hygiène bucco-dentaire est très importante. Elle consiste à se brosser les dents soigneusement trois fois par jour avec une bonne brosse à dents, lentement, pendant trois à cinq minutes).
Ce brossage permet d’éliminer la plaque dentaire qui se forme physiologiquement après un repas, à la surface des dents et des muqueuses. Cette plaque dentaire sera à l’origine des caries et du tartre dentaire.
Ce tartre lui-même sera une source d’agression pour la gencive qui sera atteinte (on parlera alors de gingivite voir de parodontite et de lésion muqueuse) [21].
La plaque
La plaque dentaire se définit comme un agrégat bactérien adhérant à la dent ou à des artifices buccaux.
Dés qu’une surface dentaire propre est accessible à la salive, une structure non minéralisée y adhère ; la pellicule acquise se forme, une pellicule d’origine salivaire non bactérienne et essentiellement composée de glycoproteines. C’est le premier stade de la formation de la plaque. En suite des microorganismes, seuls ou en colonies isolées, se fixent sur la pellicule ou directement sur l’émail. La formation par les microorganismes, de dextrans et de levans collants, produit une matrice qui permet la coloration de la dent et l’adhésion des bactéries entre elles [41]. Il est impératif d’éliminer la plaque par un brossage afin de prévenir la carie, le tartre et les lésions muqueuses.
Le tartre
Le tartre dentaire se définit come une calcification des dépôts existant sur les dents ou sur toute autre surface solide présente dans la cavité buccale. On les classifie en tartre supra-gingival et en tartre sous-gingival. De coloration jaunâtre et plus ou moins noirci par les pigments salivaires ou la nicotine, le tartre supra-gingival se situe sur la partie visible de la dent.
Le tartre sous-gingival apparait sous le rebord gingival, sa couleur va du brun au noirâtre, il est dur et très adhérent aux surfaces radiculaires.
Le tartre se compose principalement de microorganismes calcifiés et est donc formé en grande partie de plaque pétrifiée. Il ne peut se développer qu’à partir de dépôts mous laissés sur les dents et constitue donc un bon révélateur de la qualité du contrôle de la plaque [41].
Les besoins de traitement
Pour la santé bucco-dentaire, les besoins de soins souvent rencontrés chez les populations se résument en soins conservateurs, chirurgicaux (extractions dentaires surtout), prothétiques, et en soins parodontaux (détartrage surtout).
Cependant, des études ont montré que ces besoins ne sont pas ressentis de la même façon selon le niveau d’éducation : les plus éduqués déclarant davantage leurs problèmes de santé que les moins éduqués [4].
D’autres études ont donné des proportions montrant que les besoins en soins bucco-dentaires étaient importants.
Ainsi, celle faite sur des patients en hôpital psychiatrique à Rennes (France) a montré que 28,7% des personnes avaient besoin d’extraction et 79,7% de traitements conservateurs [9].
Une autre étude menée en Basse-Normandie, Bretagne et Pays de la Loire chez des personnes âgées de 65 ans et plus, relevant de la mutualité sociale agricole a montré des besoins en soins avec les proportions suivantes : 90% de prothèse essentiellement amovible, 72% pour soins parodontaux, 64% pour les besoins de détartrage, plus de 35%, de soins conservateurs et 20% de soins chirurgicaux [11].
LE RENONCEMENT AUX SOINS BUCCO-DENTAIRES
Définitions
Traitement
C’est l’ensemble des mesures et des moyens (médicaments, hygiène, diététique, etc.) mis en œuvre pour soigner une maladie et si possible la guérir [16].
Traitement non terminé
C’est un traitement rompu au cours des soins par le malade pour une ou des raisons bien déterminées.
Besoins en soins bucco-dentaires
Le besoin, c’est ce qui est considéré comme nécessaire (à la nature, à l’individu, à son organisme ou son psychisme, etc.) [16].
Pour les soins bucco-dentaires, c’est l’ensemble des besoins en soins conservateurs, en chirurgie (extractions surtout), en prothèse dentaire, en soins parodontaux, etc.
Les motifs de renoncement aux soins buccodentaires
Une partie des patients, des pouvoirs publics, voire des chirurgiens-dentistes considèrent que les soins dentaires (ou certains d’entre eux) appartiennent à la catégorie de consommation médicale dite « de confort » pour ne pas dire « de luxe ».
Les soins dentaires (ou tout au moins certains d’entre eux) sont donc considérés comme peu prioritaires et une forte proportion de la population n’y fait quasiment jamais appel. Les motifs de renoncement aux soins dentaires sont multiples et ne se limitent pas à des raisons financières.
Les motifs de ce non recours aux soins dentaires sont multiples et variables selon l’âge.
Ainsi, la proportion d’obstacles d’ordre matériel (cherté, éloignement), faible chez les adultes jeunes augmente avec l’âge.
Il faut noter qu’il y a un aspect socioculturel des motifs de non recours aux soins dentaires mais également la relation positive entre l’obstacle financier et la négligence .
Les soins dentaires se caractérisent, du point de vue des ménages, par une prise en charge particulièrement faible par l’assurance maladie, en particulier pour les plus chers d’entre eux (appareil et prothèse).
La prise en charge par la protection complémentaire ne comble généralement pas entièrement cette lacune et on a donc une relation forte entre faible prise en charge collective des soins et renoncement.
Cette relation n’est cependant pas univoque et on peut penser que la faible prise en charge collective de certains soins dentaires correspond à une conception désuète de ces soins considérés comme non indispensables (et « de luxe ») aussi bien par l’administration que par les ménages.
Un tel préjugé peut conduire à négliger l’hygiène bucco-dentaire et à plus facilement renoncer à se soigner.
Par ailleurs, certaines personnes peuvent masquer leur appréhension (voir leur peur) à aller chez le dentiste en déclarant des motifs financiers [31].
Echantillonnage
Taille de l’échantillon
Pour les études descriptives transversales, la taille de l’échantillon est déterminée par la formule suivante : n= (ε)² pq/l²≈ 305
ε= écart réduit= 1,96 ;
α= risque d’erreur= 0,05 ;
p= prévalence théorique du phénomène étudié (le renoncement)= 52,2% ;
q= 1-p;
l= précision= 5,6%.
La taille de notre échantillon était fixée à 305 mais à la fin de l’enquête nous avons eu 8 fiches de plus, ce qui a amené l’échantillon à 313.
Ces fiches de plus s’expliquent par le fait que dans une maison, toutes les personnes remplissant les critères de sélection étaient interrogées même si le nombre attribué à la rue est atteint.
Procédure d’échantillonnage
Nous avons procédé par un échantillonnage à deux degrés qui s’est déroulé de la manière suivante:
Nous avons d’abord commencé par recenser le nombre de rues du quartier (66 rues) que nous considérons comme des grappes.
Ensuite nous avons pris, en l’absence de données sur le renoncement dans la région de Thiès, le taux de renoncement aux soins bucco-dentaires de la population au niveau national qui est de 52,2% selon une étude en cours non encore publiée.
L’utilisation d’un tableau d’après Lutz (taille de l’échantillon pour un sondage en grappes en fonction des estimations préliminaires des proportions) nous avait permis de déterminer le nombre de grappes nécessaire en faisant le croisement entre la taille des grappes (66) et la proportion estimée de renoncement (52,2%). Ce nombre est de 12grappes [18].
Puis nous avons déterminé le poids de chaque rue selon le nombre de maisons qu’elle contient suivant la formule : P = y / n
avec :
P : poids de la rue selon le nombre de maisons qu’elle contient en % ;
y : nombre de maisons de la rue ;
n : nombre total de maisons des 12 rues tirées.
Collecte de donnée
Instruments de collecte des données
Les instruments de collecte des données qui étaient :
– questionnaire ;
– miroirs ou abaisse-langues ;
– sonde 6 ;
– gants.
Procédure de collecte
Dans un premier temps nous avons demandé l’accord du délégué de quartier en lui expliquant les objectifs de notre étude.
Notre enquête s’est déroulée du 2 au 17mai 2009.
Durant cette période, un questionnaire a été soumis à la population et à la fin de chaque interrogation un examen endo-buccal sommaire se faisait sur chaque personne.
Cet examen qui se faisait à la lumière du jour et l’aide d’un miroir ou abaisse langue et d’une sonde 6 nous permettait de déterminer le nombre de dents cariées, le nombre de dents absentes, le nombre de dents obturées mais également le niveau d’hygiène bucco-dentaire.
Pour apprécier l’hygiène bucco-dentaire nous avons utilisé l’indice de plaque. Son utilisation est simple et rapide et traduit l’accumulation de la plaque sur les dents. Pour les enquêtes épidémiologiques, nous répertorions certaines dents :
– faces vestibulaires : 11 ; 12 ; 16 ; 26 ;
– faces linguales : 31 ; 32 ; 36 ; 46.
Cet indice est codé de 0 à 3 :
0 = absence de plaque (surface dentaire propre) ;
1 = plaque visible en raclant la surface dentaire avec une sonde ;
2 = plaque visible à l’œil nu ;
3 = quantité importante de plaque sur les surfaces dentaires.
L’échelle de classification du niveau d’hygiène utilisée est celle de WILKINS :
0 = excellente ;
0,1 à 0,9 = bonne ;
1 à 1,9 = moyenne ;
2 à 3 = faible.
L’enquête a été réalisée par un étudiant de la 6ième année de chirurgie dentaire en administrant directement le questionnaire.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARIE : GENERALITES
I. PRESENTATION DU CADRE D’ETUDE
I.1. Région de Thiès
I.2. Commune de Thiès
I.2.1. Découpage du périmètre communal
I.2.2. Organisation sanitaire
I.2.2.1. Organisation générale
I.2.2.2. Organisation dentaire
I.2.2.2.1. Infrastructures
I.2.2.2.2. Ressources humaines
I.3. Quartier Médina Fall
I.3.1. Données géographiques
I.3.1.1. Aspects physiques
I.3.1.2. Population
I.3.2. Activités économiques
I.3.3. Activités socio-éducatives
I.3.3.1. Structures associatives
I.3.3.2. Les associations
I.3.3.3. Infrastructures
I.3.4. Données sanitaires
I.3.4.1. Structures sanitaires
I.3.4.2. Ressources humaines
II. ETAT BUCCO-DENTAIRE
II.1. La carie dentaire
II.1.1 Définition
II.1.2. Etiologie
II.1.3. Epidémiologie
II.2.1. La plaque
II.2.2. Le tartre
II.3. Les besoins de traitement
III. LE RENONCEMENT AUX SOINS BUCCO-DENTAIRES
III.1. Définitions
III.1.1. Traitement
III.1.2. Traitement non terminé
III.1.3. Besoins en soins bucco-dentaires
III.2. Les motifs de renoncement aux soins buccodentaires
DEUXIEME PARTIE : ENQUETE EPIDEMIOLOGIQUE
I. PROBLEMATIQUE
II. OBJECTIFS
II.1. Objectif général
II.2. Objectifs spécifiques
III. METHODOLOGIE
III.1. Cadre d’étude
III.2. Type d’étude
III.3. Population d’étude
III.4. Critères de sélection
III.5. Echantillonnage
III.5.1. Taille de l’échantillon
III.5.2 Procédure d’échantillonnage
III.6. Variables utilisés dans l’étude
III.6.1. Variables socio-démographiques
III.6.2. Autres variables étudiées
III.7. Collecte de données
III.7.1. Instruments de collecte des données
III.7.2. Procédure de collecte
III.8. Analyse des données
IV. RESULTATS
IV.1. Répartition l’échantillon
IV.1.1. Selon le sexe
IV.1.2. Selon la tranche d’âge
IV.1.3. Selon l’ethnie
IV.1.4. Selon la situation matrimoniale
IV.1.5. Selon la profession
IV.1.6. Selon le niveau de revenu mensuel
IV.1.7. Selon le niveau d’instruction
IV.1.8. Selon la prise en charge
IV.2. La fréquentation du dentiste
IV.2.1. Le renoncement aux soins
IV.2.2. Les motifs de renoncement
IV.2.3. Les types de soins renoncés
IV.2.4. Les motifs de non recours
IV.3. Etat bucco-dentaire
IV.3.1. Le niveau d’hygiène
IV.3.2. La prévalence de la carie
IV.3.3. L’indice CAO
IV.4. Association entre la variable renoncement et certaines variables indépendantes
IV.4.1. Sexe
IV.4.2. Niveau de revenu mensuel
IV.4.3. Niveau d’étude
IV.4.4. Prise en charge
V.1. Limites de l’étude
V.2. Données socio-démographiques
V.3. La fréquentation du dentiste
V.4. Etat bucco-dentaire
V.5. Association entre la variable renoncement et certaines variables indépendantes
VI. RECOMMANDATIONS
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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