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ASPECTS THEORIQUE ET PRATIQUE DU TOUR ISME
Le chapitre suivant nous permettra d’analyser la théorie générale sur le secteur, c’est-à-dire les généralités sur le tourisme. Il y aura donc le contexte et la situation actuelle, au niveau régional, et au niveau national. Ainsi, il s’agira de voir la stratégie, la politique et la qualité du secteur.
Aspect théorique
On concentrera l’étude sur la présentation généraledu secteur tourisme d’abord, ensuite sur la politique du Gouvernement et enfin sur la proposition de stratégie pour le tourisme.
Présentation générale :
Initialement uniquement rattaché aux loisirs et à la santé (voyage au soleil pour fuir les mauvais temps), le tourisme englobe désormais l’ensemble des activités économiques auxquelles la personne fait appel lors d’un déplacement inhabituel (transports, hôtels, restaurants, etc.).
Il peut s’agir par exemple d’un voyage d’affaires, on parle de « Tourisme d’affaires », d’un pèlerinage religieux (Tourisme religieux), ou d’aller se faire soigner dans un autre pays que celui où l’on réside et on parle alors de Tourisme médical.
Pratiquer le tourisme permet en outre de marquer des pauses dans son emploi du temps utilitaire imposé par la nécessité de gagnersa vie. Le touriste s’intéresse généralement à la culture ou à la nature des lieux qu’il visite. Cette pratique a été longtemps l’apanage de gens fortunés qui pouvaient se permettre de voyager en touristes, pour voir des constructions remarquables, des œuvre s d’art ou goûter d’autres cuisines.
Le tourisme a donné naissance à une véritable industrie. C’est l’amélioration générale du niveau de vie qui a permis aux gens dese consacrer davantage à leurs loisirs, et notamment au tourisme, sans oublier les progrès considérables en matière de transports (transport maritime, ferroviaire mais surtout aérien).
1 Ligne directrice pour la stratégie de marketing régionale pour les pays membres de la commission de l’océan indien
Le tourisme est devenu de nos jours le premier secteur économique mondial qui offre une double chance d’exportation et de développement aux nombreux pays pauvres. Sa croissance touche non seulement les activités liéesau tourisme mais aussi d’autres secteurs tels que le transport. Il permet la création d’emplois et ceci pour des couches diverses de la Société, qualifiées et non qualifiées et les personnes souvent marginalisées dans le marché du travail.
Le tourisme est une marchandise et tous les pays, même les plus pauvres, ont quelque chose à vendre : patrimoine, des traditions ou des sites naturels, autant d’attraits pour les nouveaux touristes en quête d’aventure.
Le tourisme n’est plus seulement « le déplacement et le séjour des personnes vers un lieu autre que leur domicile pour une durée minimale de trois jours »2 ; c’est un ensemble beaucoup plus vaste d’activités, de pratiques extrêmement variées. C’est un ensemble des activités se rapportant aux déplacements et aux séjours des personnes en dehors de leur environnement habituel pour une période consécutiven’excédant pas une année, à des fins de loisirs, affaires ou autres motifs.
Politique du Gouvernement :
Les investisseurs, qu’ils soient étrangers ou locaux, dans le secteur du tourisme ou tout autre secteur, chercheront un cadre macro-économique stable, encourageant les investissements privés et en faveur d’une stabilité, confiance et prévisibilité. Ce qui suit doit être abordé:
• Le gouvernement ne considère pas le tourisme comme « une industrie d’exportation » et ne fait pas une promotion de façon aussi active que pour les entreprises en zone franche, réalisant à la fois des actions de promotion et l’octroi de mesures incitatives.
• Les procédures tortueuses et incertaines, le processus d’acquisition des terrains, le manque de transparence à propos des incitations aux investissements traités au cas par cas, l’absence de financement, et l’inexistence d’un bureau unique pour les investisseurs continuent à dissuader les nouveaux investisseurs.
• Les tours opérateurs nationaux et les directeurs d’hôtels doivent indiquer une année à l’avance une structure de prix dans leurs brochures et dans leurs contrats avec les Tour Opérateurs internationaux et, par conséquent, ne peuvent répercuter aucune soudaine augmentation des coûts. Dans le passé, le Secteur Privé a vu les mesures d’incitation à l’investissement révoquées de façon soudaine et imprévisible à cause de soi-disant abus, et la TVA appliquée sans un délai suffisant ourp être en mesure de répercuter les coûts majorés sur les clients, conduisant à un climat d’incertitude parmi les investisseurs.
Le manque de promotion véritable de Madagascar aussi bien par le secteur public que le secteur privé limite son accès aux marchés ourvoyeursp et est accentué par l’absence d’hôtels de marque.
Toutes les entreprises, et pas uniquement les entreprises des nouvelles technologies, sont touchées par les coûts élevés de communication, mais il s’agit d’un réel fardeau pour les petites entreprises, comme les ateliers d’artisans qui essaient de faire connaître leurs produits et de trouver de nouveaux marchés. Seulesquelques petites entreprises peuvent se permettre d’avoir un site Internet, qui pourrait faciliter la promotion auprès des acheteurs étrangers. Le domaine le plus de critiqué lors de ‘enquêtel auprès des visiteurs a été les « communications ».
L’absence de moyens médicaux pour une destination à présence paludéenne, dans un pays où il y a eu une sérieuse épidémie de choléra,et où le tourisme d’aventure est significatif, est une préoccupation pour le Tour Opérateurs internationaux. La sécurité des individus n’est pas considérée comme un vrai problème dans Madagascar, sauf à Antananarivo où les touristes peuvent faire face à des vols mineurs.
Une proposition de stratégie pour le tourisme :
La stratégie globale du développement touristique de Madagascar vise à attirer des visiteurs de haute gamme venant de marchés émetteurs mieux diversifiés. Il est nécessaire d’améliorer encore davantage la qualité,la compétitivité et la durabilité des produits et services existants, de promouvoir la destination et l’investissement, d’assurer un meilleur ratio prix/performance et de faire du tourisme un outil de lutte contre la pauvreté.
Le tourisme pourrait être un outil de développementefficace pour Madagascar parce qu’il peut constituer un catalyseur pour la croissance économique, notamment dans les zones rurales, et peut créer un nombre d’externalités positives pour réduire la pauvreté et protéger l’environnement.
Comme plusieurs autres pays, Madagascar compte entreprendre des « Plans Directeurs du Tourisme » ou plans d’aménagement pour les zones touristiques (quelques-uns sont déjà en élaboration), et avec le soutien de l’Allemagne (GATO AG), et élabore un « concept pour le tourisme malgache » afin de donner un cadre de développement du tourisme sur un court et long terme. Ces études devraient étudier les externalités potentielles du tourisme et intégrer le tourisme dans le cadre macro-économique pour créer des liens avec d’autres secteurs de production et de services. Les Plans Directeurs devraient également identifier des pôles de développement, des moyens pour éliminer les obstacles et barrières à la croissance, encourager la durabilité à travers une planification physique et la participation des communautés, de même que sur ‘analyse de la demande et les propositions pour un hébergement et des services touristiques adaptés. Les communautés locales doivent être inclues dans un processus participatif dès la phase initiale et les Plans Directeurs traiteront également la structure de la politique, le financement du tourisme, le label « vert » de l’île, le tourisme en faveur des pauvres, et la création de regroupement d’hébergement et de services de qualité supérieurepour une revalorisation du produit.
Aspect pratique
Cette section se concentre sur le contexte et la situation à laquelle le secteur tourisme se trouve actuellement. Il s’agit de voir le nombre de visiteurs arrivées aux frontières, leurs motifs de visite et leur durée de séjour.
Contexte
On constate que le secteur touristique de Madagascar est encore à ces premiers balbutiements. Néanmoins, la République de Madagascar possède un grand potentiel pour devenir l’une des destinations des plus compétitives dans l’Océan Indien. Malgré les revers subis dans les développements politique et économique en 2002, le secteur touristique a vu arriver un nombre croissant de touristes.
Le pays a le grand avantage d’offrir une destination vierge sur un marché qui explose littéralement et où l’on n’a pas commis d’erreurs de développement dans le passé. Les beautés naturelles extraordinaires de Madagascar constituent un apport en capital d’avenir pour le pays et son développement touristique. Il faudra donc déployer les meilleurs efforts pour la préserver.
En 20063, le secteur Tourisme a enregistré environ 311 000arrivées des visiteurs non résidents, 496,7 milliards d’Ariary de recettes, un total de 11 872 chambres, 1 015 hôtels, 755 entreprises de voyage et de prestations touristiques et environ 22 409 emplois.
Le potentiel touristique de l’île reste très largement sous-exploité comparativement aux îles de la Région de l’Océan Indien qui ne disposent principalement que du balnéaire. Néanmoins, il est le second pourvoyeur de devises du pays, après la pêche.
Le tourisme est un secteur qui évolue rapidement. Acet effet, il nécessite une prise de position et de mesures pour que son développement et ses impacts soient perceptibles non seulement par les concernés directs mais aussipar l’ensemble de la population.
Les touristes ont ses motifs de visite. Les uns sont venus pour des raisons touristiques : comme loisirs, vacances, sports, écotourisme, aventure, découverte. Ce sont des touristes à titre principal qui représentent 63%. Par contre, d’autres sont vénus pour d’autres motifs comme travail, affaires, mission, visite de famille, séminaires. Ce sont les touristes secondaires avec un taux de 37%.
Pendant les jours de visite, les touristes nécessitent des hébergements. La qualité des hôtels et restaurants donne une image vivante de la Région visitée. Le deuxième tableau nous donne les détails de durée moyenne de séjourainsi que le taux d’occupation moyen des hôtels.
La crise économique à Madagascar de l’année 2009 a fait diminuer le taux d’occupation des hôtels, en moyenne 39%. Et la cris e financière mondiale en 2008 a des conséquences sur la durée de séjour, soit 17 joursEn. moyenne, la durée de séjours des touristes varie entre 15 à 21 jours avec un taux mo yen d’occupation des hôtels entre 39 à 64%.
Situation actuelle :
Actuellement, la situation du secteur peut se résumer en huit (08) points. Les infrastructures d’accueil haut de gamme et les offices de promotion et des syndicats régionaux du tourisme sont insuffisants. Les supports informatifs sont insuffisants. La plupart des hôtels d’Etat ne sont pas conformes au x normes. En tourisme, Madagascar est toujours en manque de professionnalisme. Le tourisme sexuel, le proxénétisme, la pédophilie, etc. … ; restent encore des contraintes qui menacent la prolifération des fléaux touristiques. Beaucoup d’opérateurs ne connaissent pas l’e-tourisme et ne maîtrisent pas les TIC qui sont déjà des systèmes rapides pour faire connaître leurs produits touristiques.
La crise économique mondiale et nationale entraine une conséquence néfaste sur le secteur tourisme. Malgré cela, le nombre de visiteurs ne cessent d’augmenter pendant un certain temps ; il en est de même pour le nombre des Hôtels crées.
Le nombre des visiteurs arrivés à Madagascar ne cesse pas d’augmenter depuis l’année 2003 jusqu’à 2008. Mais vu la crise économique que notre pays a subi, ce nombre connait une grande diminution. Le secteur tourisme n’a enregistré qu’environ 162 687 arrivées des visiteurs non résidents en 2009. Ce chiffre augmente peu à peu, en 2010, on constate une hausse des visiteurs (196 052 arrivées).Ces visiteurs qui arrivent à Madagascar proviennent des différents pays. Les français sont les premiers clients, entre 56 à 59% des arrivées.
On constate que la plus part des touristes sont les français pour des raisons purement touristiques comme les vacances, les sports et les loisirs. Par contre, la Suisse ne représente que 2% des touristes. Les 10 à 16% viennent des au tres pays comme Chine, Afrique, etc.
Pour la Région V7V, on constate que le nombre des ouristes nationaux ou internationaux est en hausse chaque année. En 2007,on a enregistré 55 480 visiteurs dans cette Région : soit 40 470 visiteurs internationaux, et 15 010 visiteurs nationaux.
En 2006, plus de 311 700 visiteurs non-résidents sont arrivées à Madagascar. Et pour l’année 2010, le tourisme a enregistré seulement 196 052 touristes.
Malgré cette diminution, le gouvernement a pris uneinitiative d’augmenter le nombre des visiteurs résidents ou non résidents et l’objectif à attendre c’est de recevoir 500 000 visiteurs en 2012. Pour cela, une hausse de capacité d’hébergement sera nécessaire.
Voici une prévision en matière d’hébergement en 201.
On veut augmenter la capacité d’hébergement surtoutau niveau des hôtels 3 étoiles en l’an2012 vu l’accroissement de nombres des visit eurs arrivés. Une hausse de 35% est prévisible pour avoir une capacité de 11 858 chambres.
Les sites visités
Comme nous venons de voir dans les sous sections précédentes, 63% des touristes à Madagascar sont vénus pour des raisons purement touristique, dans le but de découvrir la beauté de notre Ile. Comme montre le tableau ci-dessous, ils ont un large choix aux régions et sites visités : le Sud, le Nord, l’Est, l’Ouest ou les Hautes terres.
Nous avons vu que la Région Sud est la région la plus visitée par les touristes grâce à ses plus grands nombres des parcs et des sites touristiques. Il y a aussi le beau paysage et les belles plages qui sont les atouts de cette Région. Par contre, les hautes terres, faute de plages malgré les sites historiques (palais royal) et les lacs, sont moins fréquentées. Seulement 7,3% des touristes les visitent.
« Madagascar verte et naturelle » attire le plus grand nombre des touristes. En plus, on sait que notre pays est riche en sites et circuits touristiques.
Voici une carte montrant la richesse de Madagascar, en sites et circuits touristiques de Madagascar.
Le MTA est une institution qui tient une place importante au sein de l’Etat. Son organigramme nous a montré ses fonctions principales au niveau de chaque direction. Organiser, gérer les différents problèmes dans le ecteurs tourisme, favoriser le développement de ce secteur, suivre et coordonner ’application de la Politique gouvernementale en matière de tourisme et de l’artisanat, voilà les activités principales de ce ministère.
Nous avons vu également que le secteur tourisme est un secteur à promouvoir à Madagascar car il participe à la lutte contre la pa uvreté et au développement social de la nation. Le nombre des visiteurs surtout dans la Région Sud de Madagascar ne cesse d’augmenter. Ce qui pousse l’accroit des hébergements jusqu’à 2012.
Conclusion de la première Partie :
Bref, cette première partie qui est « le cadre de l’étude et théorie générale sur le tourisme » est la partie introductive de cet ouvrage. Dans le but de normaliser, réguler, relancer les activités du secteur tourisme, le MTA cherche toujours à améliorer le secteur tourisme à Madagascar en vue d’apporter un développement économique et durable dans la nation.
C’est la raison pour laquelle il est favorable pour Madagascar de développer le secteur tourisme national car ce type de tourisme ne représente que de 10% de tourisme en général. Il est donc question de sensibiliser lespopulations locales aux possibilités que le tourisme leur offre. Il est aussi d’une nécessitéde valoriser les potentialités locales et d’intégrer la population aux différents projets touristiques pour plus de solidarité, de fierté nationale car nous savons très bien que Madagascar est un pays très riche en faune et flore et surtout sa beauté naturelle qui rend le nombre des visiteurs résidents ou non résidents augmenté malgré la crise internationale et nationale.
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Table des matières
Introduction
PARTIE I- CADRE DE L’ETUDE ET THEORIE GENERALE SUR LE SECTEUR TOURISME
CHAPITRE I. CADRE DE L’ETUDE
Section1. Présentation du MTA
1.1 Historique
1.2 Rôles et missions
1.3 Objectifs
Section2. Organisation du MTA
2.1 Présentation structurelle
2.2 Organigramme
CHAPITRE II. ASPECTS THEORIQUE ET PRATIQUE DU TOURISME
Section1. Aspect théorique
1.1 Présentation générale
1.2 Politique du Gouvernement
1.3 Une proposition de stratégie pour le Tourisme
Section2. Aspect pratique
2.1 Contexte
2.2 Situation actuelle
2.3 Sites visités
Conclusion de la première Partie
PARTIE II- DESCRIPTION ETANALYSE CRITIQUE DU SECTEUR TOURISME NATIONAL DANS LA REGION VATOVAVY FITOVINANY
CHAPITRE I. DESCRIPTION DU SECTEUR
Section1. Présentation de la Région V7V
1.1 Localité
1.2 Population
1.3 Les potentialités touristiques
Section2. Les différents types de Tourisme National
2.1 Définition
2.2 Types de Tourisme national
2.2.1 Tourisme national, sortie d’une journée
2.2.2 Tourisme national de quelques jours
2.2.3 Tourisme national de plage
CHAPITRE II. ANALYSE CRITIQUE DES FORCES ET FAIBLESSES DU SECTEUR TOURISME DANS LA REGION
Section1. Analyse des forces de la Région
1.1 Les opportunités touristiques
1.1.1 Les sites touristiques
1.1.2 Les circuits touristiques
1.1.3 L’hôtellerie et la Restauration
1.2 Les potentialités économiques
1.2.1 Hydrographie
1.2.2 Sols
1.2.3 Végétation naturelle
1.2.4 Agriculture
1.2.5 Géologie
1.2.6 Elevage
1.2.7 Produits halieutiques
1.3 Les opportunités
Section2. Analyse des problèmes rencontrés par la Région
2.1 Problème d’ordre environnemental
2.2 Problème d’ordre climatique
2.3 Problème touristique
2.4 Problème d’ordre agricole
2.5 Autres problèmes
Conclusion de la deuxième Partie
PARTIE III – PROPOSITION D’ACTIONS ET ETUDES D’IMPACTS
CHAPITRE I. PROPOSITION D’ACTIONS
Section 1. Solutions proposées aux problèmes rencontrés
1.1 Solutions aux problèmes environnementaux
1.2 Solutions aux problèmes climatiques
1.3 Solutions aux problèmes touristiques
1.4 Solutions aux problèmes agricoles
1.5 Solutions aux autres problèmes
Section2. Actions de Promotion et Politique de développement du secteur tourisme national
2.1 Actions de promotion (marketing)
2.1.1 Contact direct des opérateurs avec ses environnements
2.1.2 Relations publiques
2.1.3 Participation de la Région aux différents événements comme foire, salon, colloque
2.2 Politique de développement
2.2.1 Amélioration de la qualité du secteur tourisme
2.2.2 Amélioration des gammes de produits touristiques
2.2.3 Financement de la Direction Régionale de l’Office
2.2.4 Intégration du secteur tourisme à l’activité locale
2.2.5 Reformulation de la qualité totale du service offert
2.2.6 Elaboration d’un climat d’échange sain entre les acteurs
2.2.7 Renforcement d’une spécificité dans la culture régionale
2.2.8 Facilitation d’accès à la destination
2.2.9 Elaboration des activités marketing et distribution
CHAPITRE II. ETUDES D’IMPACTS
Section1. Impacts sur le plan régional
1.1 Impacts économiques
1.2 Impacts environnementaux
1.2.1 Développement de l’écotourisme
1.2.2 Réservation et conservation de l’environnement
1.3 Impacts socio-économiques
1.4 Impacts socio négatifs du tourisme
Section2. Impacts sur le plan national
2.1 Stock de devises et sources de recettes
2.2 Création d’emplois
2.3 Augmentation de l’offre (établissements touristiques)
Conclusion de la troisième Partie
Conclusion générale
Bibliographie
Liste des annexes
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