ASPECTS SOCIO-ÉCONOMIQUES : DES POTENTIALITÉS NON EXPLOITÉES

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Les reliefs résiduels

Ils sont constitués par des séries de collines bienmarquées à versants convexes, tombant sur les talwegs par des pentes fortes, pouvant dépasser 50%. La concavité de bas de versant est inégalement marquée, et souvent très peu développée. Les vallées digitées et étroites obligent les paysans à cultiver les flancs des montagnes.
Ces reliefs extrêmement tourmentés y laissent peude place à des cuvettes et plaines. A l’exemple de la pénéplaine d’Ambohitriaivo, cetteplaine est entourée par deux montagnes (Ambatovaky et Ambohitriaivo) qui ont chacune une altitude de 1 150m. Puis, vers l’Est de la commune, se prolonge une partie du plateau d’Analavory.

Les reliefs de dissection

Ils se caractérisent par une série des crêtes trèsmarquées, sans replats sauf ceux qui sont liés à la présence de barres de granite en particulier. Leurs pentes sont aussi fortes (45%), mais inférieures à celles des reliefs résiduels eten général régulières, parfois avec ruptures de pente liées à la présence de roches plus dures (exemple : la roche d’Ambatovoky dans le fokontany de Makobo (1231 m)).
La convexité de bas de versants de ces reliefs est bien marquée en raison du colluvionnement. Leurs talwegs secondaires débouchent sur des vallées moyennes où l’on trouve des sols de bas-fonds (sols d’apport et hydromorphes).

Les bas-fonds

Par définition, « le bas-fonds est l’ensemble des surfaces planes qui se trouvent généralement de part et d’autre d’un talweg, qui sont limitées par des versants et qui sont formées par des dépôts anciens, récents ou actuels,plus ou moins fins ou homogènes, d’origine alluviale ou colluviale »(1). Leurs pentes d’ensemble sont faibles dans le sens longitudinal et parallèle au cours d’eau. Leur pente transversale perpendiculaire au cours (1) BIED ( M ), CHARRETON et all. ( Notice explicative n° 87 ) : Carte des conditions géographiques de la mise en valeur agricole de Madagascar, thème 1 : Potentialité des unités physiques à 1 /1.000.000 – ORSTOM d’eau dans le sens versant-cours d’eau ou en sens i nverse est également faible. Leur topographie d’ensemble est plane mais parfois bouleversée dans le détail à cause de nombreux bourrelets de berge, d’anciens lits, de terrasses, ou des modifications dues à l’homme.
L’écoulement des eaux dans le lit est souvent contrarié par des seuils rocheux. L’écoulement transversal vers le cours d’eau est souvent mauvais en raison de la topographie de détail bouleversée ou d’une pente transversale te inverse (bourrelet de berge).
Dans la commune rurale d’Antsakabary, on ne trouve qu’un seul type des bas-fonds :
Ce sont les vallées de l’ensemble composé par la Sofia et ses affluents principaux : Antsakabary, Tavenina, Ambendrana, Andriro, Ankazomeva, Makobo, Ankerana, Marofolo, Anjahanantsy, Ambondrona et Ankisigny. Le contact de ces vallées avec les versants est généralement brusque et bien marqué. Le drainage ngitudinallo est bon tandis que le drainage latéral est parfois obstrué par les bourrelets. Dans les vallées plus larges qui se trouvent dans la zone basse de la commune, des petites cuvettes de décantation ou des plaines se présentent : les petites plaines d’Antsakabary, Ampondrabe, Ambinanindrano, Ankisingy, Ambalafemba, Tsiananankenatra, Ambalavary et Makobo. Ces plaines sont réservées à la riziculture. Mais on y trouve également des cultures vivrières telles que : les maniocs, les patates, les bananes et les canne à sucre. Ces dern iers se développent surtout là où la maîtrise d’eau pour la riziculture est impossible

Les éléments biogéographiques

Le sol et la végétation

Le sol

Dans la zone d’étude, les sols ferrallitiques prédominent. Mais on trouve aussi des sols d’apport dans les bas fonds.
* Les sols ferrallitiques
En général, « les sols ferrallitiques présentent une forte individualisation des sesquioxydes de fer et d’alumine et une prédominance d’argile du type kaolinite ». Ce sont des sols profonds jusqu’ à 10 m et plus, avec de pr ofil ABC, plus ou moins rubéfiés.
On distingue trois grands types de sols ferrallitiques
• « Sols ferrallitiques à faciès humifère sous forêts» : Ce sont des sols ferrallitiques pénévolués, limoneux, à minéraux primaires à faibleprofondeur qui a d’excellentes propriétés chimiques et à horizon humifère bien marqué. Sous forêts, enrichissement en éléments minéraux puisés en profondeur et en débris végétaux, d’où une teneur assez élevée en bases échangeables. Sous cultures,le lessivage des bases et érosion de l’horizon humifère sont très marqués. Par exemple, le sol qu’on trouve dans le fokontany d’Antafiambe correspond exactement à ce t ype de sol.
• « Sols ferrallitiques fortement rajeunis sur les pentes » : Ce sont des sols ferrallitiques pénévolués (fortement rajeunis), qui, lorsqu’ils sont formés sur des roches basiques, sont bruns, cultivables en raison de leurs excellentes propriétés chimiques, d’une part et des sols ferrallitiques rajeunis typiques, à ten dance pénévoluée, à structure bien marquée au sommet, avec de bonnes propriétés physiques, d’autre part. C’est ce qu’on trouve dans le fokontany d’Ambohimitsinjo.
• « Sols ferrallitiques fortement rajeunis ou rajeunis à structure peu ou pas dégradée » : Sur les pentes les plus fortes, ils sont caractérisés par l’horizon limoneux ou sableux à faible profondeur, poreux, très friable, avec des minéraux primaires altérés, souvent assez riches chimiquement, mais sensibles à l’érosion. Par exemple, le type de sol qui se trouve dans le fokontany d’Ambendrana
* Les sols d’apports
Ils s’observent dans les bas-fonds. Les sols de bas -fonds sont en fonction des types de dépôts et de l’hydromorphie qui dépend des conditions du drainage.
• Sur les bourrelets et terrasses anciennes : Ce sont des sols ferrallitiques jaunes à structure bien développée et sols peu évolués d’apport fluviatile à horizon humifère d’épaisseur variable, bonnes propriétés physico-chimiques. C’est ce qu’on trouve aussi dans le fokontany d’Ambodifinesy et d’Ambinan indrano.
• Sur les colluvions : ce sont des sols de texture très variée et d’inégale profondeur ; le taux de matière organique est également variable. La teneur en bases échangeables qui est médiocre par rapport à la moyenne a la capacité d’échange élevée .Ces sols possèdent de bon régime hydrique.
• Dans la plaine d’inondation : on trouvera toute la gamme des sols hydromorphes allant des sols hydromorphes peu humifères à pseudo-gley dans les zones à engorgement temporaire aux sols à gley d’ensemble, puis, aux sols hydromorphes moyennement organiques (semi-tourbeux) jusqu’aux sols hydromorphes organiques (tourbeux) dans la zone à submersion permanente. Ex emple, le type de sol qui se trouve dans le fokontany d’Ambalavary.

Le réseau hydrographique

Le réseau hydrographique de la commune d’Antsakabary présente trois niveaux d’écoulement. Niveau 1 : Des branches primaires formées par des chenaux encaissés à écoulement temporaire et ruissellement concentré lors de fortes pluies. Ce niveau est localisé au-dessus de l’eau de source. Exemple : les ruisseaux d’Ampandra na et Antanimalandy.
Niveau 2 : ce sont des réseaux de drainage situés immédiatement en aval des sources et qui circulent à travers les bas-fonds par des ch enaux larges de 2 à 6m. Ces ruisseaux alimentent en eau la rivière. L’écoulement y est permanent mais subit une forte fluctuation saisonnière. C’est à ce niveau que les paysans prélèvent les eaux destinées à l’irrigation. Exemples : les rivières Tavenina, Andriro, Antsakabary.
Niveau 3 : La fleuve principale d’Antsakabary appelée « Sofia » (photo numéro 02, planche I, page 27) draine tous les bas fonds jusqu’à la plaine alluviale. Elle connaît de forte fluctuation saisonnière. Cette rivière tire sa source dans la commune rurale de Marotolana au Nord de la zone d’étude (dans le district de Bealanana), elle coule ensuite vers Antsakabary, traverse le district de Port Bergé et sort dans lecanal de Mozambique à Majunga.
Il est nécessaire de mentionner que dans la zone d’étude il n’y a pas encore des barrages artificiels.

Les conditions écologiques de la vanille : une plante assez exigeante

Le vanillier, de nom scientifique « vanilla fragans » et de famille « orchidacées », est une plante cultivée pour ses fruits : les gousses de vanille contiennent une substance aromatique dénommée la « vanilline ». C’est la teneur en vanilline qui détermine la qualité des gousses. Dans la commune rurale d’Antsakabary, la vanille est de type « planifolia », comme dans les autres régions de Madagascar.
Trois facteurs écologiques jouent le rôle important dans le développement de sa culture: altitude, climat et sol.

L’altitude

En général, le vanillier peut se développer normalement entre 10 à 2 000 m d’altitude. Par exemple, dans la région SAVA (Sambava, Antalaha, Vohémar et Andapa) qui est la première productrice de vanille à Madagascar, l’altitude maximum atteint 2 000 m (plus précisément dans le district d’Andapa). Par contre,dans la région d’Analanjorofo, la culture de vanille est pratiquée entre 10 et 700 m d’altitude. D’après une analyse faite par le Bureau de Normalisation à Madagascar (BNM) sis à Antananar ivo, l’altitude optimal de la plante varie entre 500 et 1 500 m. La commune rurale d’Antsakabary est située à une altitude comprise entre 838 à 1 423 m. Cela signifie que la zone d’étude répond bien à l’exigence de la plante et peut même produire une très bonne qualitédes gousses de vanille.

Le climat

Les composantes les plus influentes du climat sont la température et la pluviométrie.

La température

La plante exige une température constante comprise entre 20 et 30 °C, avec une amplitude thermique entre les températures du jour et de la nuit (inférieur à 10°C). La température moyenne mensuelle d’Antsakabary varie entre 23,7 à 27,1°C (tableau 1). Donc, on peut dire que la zone d’étude remplit les conditions thermiques exigées pour la culture de vanille.

La pluviométrie :

Le vanillier demande des pluies abondantes (de 1 500 à 3 000mm par an) bien réparties tout au long de l’année. Quelques mois «secs » (de mai à juillet) (2) ont néanmoins indispensables pour déclencher la floraison et favoriser la maturité des gousses. A Antsakabary, la pluviométrie interannuelle est de l’ordre de 1258,4 à 2110,8 mm en 1950 à 1955.

Le sol

Cette plante exige des sols ferrallitiques, bien drainés et riches en humus. Sur les versants, elle préfère des sols ferrallitiques forestiers qui n’ont pas été brûlés, mais légèrement acides (le ph optimal varie entre 6,5 et6,9). Dans notre zone d’étude, la proportion des ces types des sols est de 60% par rapport à l’ ensemble.
La commune rurale d’Antsakabary est une des zones où les conditions écologiques de la culture de vanille sont remplies, permettant ainsi la production de vanille de qualité.
Il faut noter que si les conditions exigées ne sontpas remplis, la plante peut pousser toujours mais ne donne pas des fleures et par conséquent des gousses.

Le niveau d’instruction de la population

L’alphabétisation des adultes et la scolarisation des enfants constituent un « indicateur de développement humain ». L’anathématisation touche cependant les trois- quart de la population adulte dans la zone. Le fait qu’une seule personne sur quatre sait lire et écrire constitue un handicap majeur pour le développement de la commune. Actuellement, la zone d’étude est dotée d’une Ecole Primaire niveau I (EPI) par fokontany et un Collège d’Enseignement Général (CEG). Au chef-lieu de la commune, il existe aussi une école privée de la mission Catholique. Chacune de ces écoles publiques installées dans les 18 fokontany est sous la responsabilité de quatre instituteurs dont deux sont des fonctionnaires et les deux autres payés par la coopérative des parents d’élèves (Fikambanan’ny Ray Aman-drenin’ny Mpianatra). Ils sont appelés par la population « garderie ».
En 2004, le taux de scolarisation à Antsakabary a a tteint 61,22% contre 54,45 % en 2000. Le décalage de ces taux durant 5ans est de 6,77 %. La motivation des enfants s’explique par les efforts déployés par les enseignants.

Les aspects économiques

L’agriculture : un atout pour le développement de la zone

A Antsakabary, les cultures de subsistances et de rentes sont les plus pratiquées, suivant les possibilités d’aménagement des terrains.
Sur les plaines, on pratique des rizicultures (riz d’été ouvary asara et riz d’hiver ou vary jeby) qui s’étendent sur une superficie de 931 hectares (cf.tableau numéro 16). Le rendement est estimé entre 2 et 3 tonnes par hectare.
Sur les versants des collines, à proximité des villages, on pratique des cultures sèches. On y cultive du manioc, de la patate douce. Les produits sont destinés essentiellement à l’autoconsommation familiale et à nourrir les sal ariés agricoles. Un ménage produit en moyenne 500 kg par an. L’aménagement des terrasses fluviatiles fait partie de la vocation des paysans de la zone. On y cultive de l’ail et des oignons. En général, les produits sont destinés à la commercialisation. Comme activités annexes, on y cultive aussi des haricots (300 kg par ménage et par an), des pommes de terres (30 kg), des brèdes (1 000 kg).
Les zones hautes, sont réservées aux cultures des entesr comme le café, la vanille. La plupart des activités paysannes qui utilisent des alariés agricoles sont basées sur ces cultures qui occupent une place importante dans cette zone, car elles constituent des sources de revenus complémentaires pour les paysans. La localité produit 2000 t de café en 2004.

L’élevage : une activité importante de cettezone

Dans la commune d’Antsakabary, l’élevage bovin occupe la première place dans ce domaine. Les bœufs sont à la fois des instruments d e travail. En effet, les bovidés sont utilisés pour le pietinage de rizière, et pour le transport des produits locaux. Ils produisent aussi du lait et des fumiers que la plupart des paysans utilisent comme engrais.
En outre, ils sont aussi le symbole de la richesse pour un individu. En effet, dans cette zone, toutes les cérémonies traditionnelles onts toujours marquées par un abattage des bœufs ( joro, fangalambaiavy).
Le système d’élevage qu’on y pratique est de type extensif, c’est-à-dire sans sélection des races, ni fermage. Cependant, ce typed’élevage est moyennement développé à cause du manque de pâturage dû à la dégradation de la couverture végétale causée par des feux de brousses, et de l’insuffisance d’infrastruc tures zootechniques et de produits vétérinaires.
L’élevage porcin et de volailles n’occupe qu’une infime partie des activités des paysans. Il est destiné exclusivement à la réception des visiteurs de marque.

L’artisanat : un secteur peu développé

L’artisanat n’a pas sa place méritée dans les activités économiques de cette zone. On peut dire qu’il n’y a pas de particularités, ni de spécificités à souligner. Il n’existe pratiquement pas d’atelier de grande et moyenne envergure dans la commune.
Toutefois, on peut y rencontrer quelques travaux de maçonnerie, de menuiserie, de scierie et de traitement du sisal et des raphias pour la fabrication des paniers, des « ustensiles » de cuisine (lambanana, sahafa). Ces quelques travaux d’artisanat représentent aussi pour les paysans une autre source de revenus pour l’achat des produits de première nécessité (P.P.N) malgré leur faible importance.

Le secteur tertiaire

Le mauvais état des routes dans la localité a une nfluencei sur les activités commerciales. En effet, un marché est organisé tousles Samedis pendant la saison sèche à Tavenina situé à onze kilomètres à l’Ouest du chef lieu de la commune. La plupart du transport des produits locaux vers ce lieu de vente s’effectue sur la tête pour les femmes et sur les épaules pour les hommes. Quelque fois des gens utilisent des charrettes, mais cela se présente rarement. La vente et la collecte des produits agricoles sont assurées par les paysans eux-mêmes ou par des collecteurs. Mais la cherté des produits phytosanitaires et des semences constitue des facteurs de blocage du développement de leur culture. Les paysans n’ont pas assez d’argent pour s’approvisionner en intrants. Par ailleurs, il y existe aussi des « maladies » de cultures qui anéantissent l’ensemble des récoltes et diminuent al qualité des produits. Cette situation a aussi une mauvaise répercussion sur leur prix.
Dans cette première partie, nous avons vu l’aperçu général de la zone d’étude où ont été analysés les données physiques et les aspects ocios-économiques. D’après ces caractéristiques, on peut conclure qu’ Antsakabary est favorable à la culture de la vanille.

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Table des matières

INTRODUCTION GÉNÉRALE
Chapitre 1 : DES CONDITIONS PHYSIQUES FAVORABLES A LA CULTURE DE VANILLE
1.1. Les conditions climatiques
1.1.1. La température
1.1.2. La pluviométrie
1.1.3. Les phénomènes cycloniques
1.2. Les reliefs
1.2.1. Les reliefs résiduels
1.2.2. Les reliefs de dissection
1.2.3. Les bas-fonds
1.3. Les éléments biogéographiques
1.3.1. Le sol et la végétation
1.3.2. Le réseau hydrographique
1.4 Les conditions écologiques de la vanille : une plante assez exigeante
1.4.1 L’altitude
1.4.2 Le climat
1.4.3 Le sol
Chapitre 2 : ASPECTS SOCIO-ÉCONOMIQUES : DES POTENTIALITÉS NON EXPLOITÉES
2.1. Les aspects sociaux
2.1.1. La démographie générale
2.1.2. La natalité et la mortalité
2.1.3. Les problèmes de la santé
2.1.4. Le niveau d’instruction de la population
2.2. Les aspects économiques
2.2.1. L’agriculture : un atout pour le développement de la zone
2.2.2. L’élevage : une activité importante de cette zone
2.2.3. L’artisanat : un secteur peu développé
2.2.4. Le secteur tertiaire
Chapitre 3 : UNE TECHNIQUE CULTURALE TRADITIONNELLE
3.1. L’historique de la culture de vanille dans la commune rurale d’Antsakabary
3.2. L’intégration de la culture de vanille à Antsakabary
3.3. Les différentes phases de culture de vanille
3.3.1. La phase préparatoire
3.3.2. La méthode de culture
3.3.3. La préparation des gousses
4.1. La vanille verte
4.2. La vanille préparée
4.3. La production potentielle
4.3.1. La superficie cultivable
4.3.2. Le rendement
Chapitre 5 : DES PRODUITS DESTINÉS POUR LA RÉGION SAVA
5.1. Le point de vente
5.1.1. La vanille verte
5.1.2. La vanille préparée
5.2. Les intervenants
5.2.1. Les préparateurs
5.2.2. Les collecteurs
5.2.3. Les conditionneurs – stockeurs
Chapitre 6 : IMPACTS SOCIO-ÉCONOMIQUES DE LA COMMERCIALISATION DE VANILLE : UN BILAN POSITIF
6.1. Les impacts sociaux
6.1.1. Les impacts positifs
6.1.2. Les impacts négatifs
6.2. Les impacts économiques
6.2.1. L’évolution du pouvoir d’achat des paysans.
6.2.2. L’inflation
6.2. Etude du terroir : Budget de ménage
6.3.1 La culture
6.3.2 Elevage
Chapitre 7 : PROBLEMES DE LA FILIÈRE VANILLE ET SOLUTIONS POSSIBLES
7-1 Sur la culture.
7-1-1 L’insuffisance des boutures
7.1.2 Les mauvais choix de terrain :
7.1.3 L’attachement à la technique culturale traditionnelle.
7.1.4 L’existence des maladies des lianes
7.1.5 Une confusion du calendrier cultural
7.2. Sur la production
7.2.1. La faible quantité et la mauvaise qualité des produits
7.2.2. L’instabilité des prix
7.2.3 L’évacuation des produits
7.3. Le vol de vanille
7.3.1 L’insécurité
7.3.2 Le commerce clandestin
7.4. Sur la déforestation :
7.5. Sur l’organisation des planteurs
CONCLUSION GÉNÉRALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES:

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