Articulation entre le concept de genre, de mondialisation et de néolibéralisme

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Articulation entre le concept de genre, de mondialisation et de néolibéralisme

Rares sont les travaux qui portent sur la mondialisation dans une perspective de genre : les études sur la mondialisation portent sur les sphères du capital global les plus élevées, et sur l’hyper mobilité du capital. Or,a lmajorité écrasante des femmes sont absentes de ces sphères, étant dévalorisées en tantqu’acteurs économiques. Il y a aussi le fait que l’économie informelle est exclue des recherches sur la mondialisation , alors même que la majorité des travailleuses des pays duSud s’y concentre.
Les politiques néolibérales de déréglementation d’ouvertureet des marchés, avec pour corollaire les privatisations, le développement de la sous-traitance, l’externalisation de la production donnent un caractère nouveau aux relations mondiales. Les politiques de sous-traitance en cascades impliquent des conditions de travail négatives pour le salariat et notamment les femmes. Les projets de privatisation, comportant la réduction des services publics, entraînent un accroissement du travail rémunéré et non rémunéré des femmes dans les services aux personnes.
Le développement des nouvelles technologies d’information et de communication, l’expansion des réseaux et la financiarisation des économies a conduit à un essor de la mise au travail salarié des femmes du Sud, dans des secteurs tels que l’informatique, les centres d’appel, le télémarketing. Nous pouvons prendre l’exemple des femmes malgaches qui travaillent dans les filiales de ces centres d’appels (Wylog, Madadev, etc.) à Antananarivo, pour des entreprises mères des pays francophones.
En Inde, d’autres femmes travaillent pour des entreprises situées en Grande Bretagne ou dans d’autres pays anglophones. Les études menées actuellement dans ce pays montrent que les conditions de travail et de salaires sont nettement moins favorables dans les filiales situées dans les pays du Sud, des groupes internationaux. Les firmes multinationales essaient d’imposer des pratiques sociales (fêtes le soir où les salariées sont conviées à participer) qui heurtent les pratiques, les rapports sociaux de sexe prédominants et les cultures locales.
Enfin, le nouveau rôle des organisations internatio nales parallèlement à la régulation par les Etats-Nations et par les firmes multinationales a aussi des conséquences sur les femmes : les politiques explicites d’égalité professionnelle, par exemple, ont des effets sur l’emploi. Les conventions internationales visent à protéger les femmes, mais adoptent une norme mondialisée et laissent « sans voix » les femmes des cultures dominées.

La division sexuelle du travail

La spécialisation des femmes dans le travail d’entretien des relations familiales conduit à une orientation matrilatérale des relations entre germains affins11 (les relations avec les germains et les conjoints de germains de la femme sont privilégiées par rapport au côté du conjoint masculin). La division sexuelle du travail familial influence donc la manière dont le couple construit sa parenté. En reliant l’analyse des dynamiques contemporaines du genre aux classiques de l’l’anthropologie, on peut montrer comment ce déséquilibre dans la construction de la parenté est géré au quotidien par le couple et sesproches, à travers des mécanismes qui rappellent ceux de la parenté à plaisanterie.
Il est pertinent aussi de s’intéresser au volet plus matériel du travail effectué dans la sphère privée, à savoir le travail domestique, à rebours de l’appréhension traditionnelle de cet objet sous l’angle des femmes, ou des inégalités hommes-femmes.
En effet, on retrouve dans la prédominance de « l’effet couple » parmi les déterminants du travail domestique masculin un effet de la division sexuelle du travail telle qu’elle se constitue au sein du couple hétérosexuel. Pour autant, les auteurs montrent bien que « l’effet couple » n’est pas le seul déterminant du travail domestique des hommes, celui-ci étant aussi modulé selon l’âgeet la classe sociale.

Perspective sur Madagascar

Tout le monde, ou presque, s’accorde aujourd’hui pour ne plus réduire le concept de – pauvreté Il à la seule donnée monétaire (revenu, capital économique. ). Ainsi, le PIB d’un pays n’est plus, et de loin, le seul indicateur de l’état de ‘‘ pauvreté  » ou de ‘‘richesse’’ d’un pays, la pauvreté en terme de ‘’capital humain » étant dorénavant une donnée incontournable. Le revenu par habitant, l’espérance de vie et les taux d’alphabétisation et de scolarisation sont les composantes principales de l’IDH (Indicateur du Développement Humain) développé parle PNUD.
L’éducation des populations est un facteur crucial pour le développement économique et social d’un pays et les effets positifs de l’éducation dans la lutte contre la pauvreté ne sont plus à démontrer (meilleur état sanitaire des populations, meilleure gestion du budget familial, accès à de nouvelles technicités pour de meilleurs rendements agricoles par exemple.)
Madagascar, aujourd’hui – classé  » au 147ème rang sur 174 en terme de développement humain (IDH de 0.453) , cherche à faire de la lutte contre la pauvreté l’axe central de sa politique de développement, cette dernière ne peut alors s’établir sans .intégrer la variable éducation au centre du projet.
En mars 1990, la communauté internationale, dont Madagascar, s’est donnée comme mot d’ordre « l’éducation pour tous en l’an 2000 ». Si l’objectif à atteindre, 100% des enfants scolarisés, a été nuancé à l’approchee dla date butoir pour une « éducation pour tous en l’an 2020 », il demeure présent dans la politique des organismes internationaux et des pays concernés.
A Madagascar, cet objectif a donné lieu à l’établissement du Programme National pour l’Amélioration de l’Education (PNAE) qui achève actuellement sa deuxième phase.

Des origines de la législation de la protection sociale des enfants

Dès sa création, l’Organisation Internationale duTravail s’est trouvée à l’avant-garde de la lutte contre le travail des enfants et elle a fait beaucoup pour limiter et pour assurer la protection des enfants qui travaillent.
Au fil des années, une série de Conventions sur éliminationl’ du travail des enfants a été adoptée par la conférence internationale de travail. La première de ces conventions fixait à 14 ans l’âge minimum d’admission des enfants aux travaux industriels. Depuis lors, de nombreux instruments fixant des normes pour l’emploi des enfants dans certains secteurs et professions ont été adoptés. En 1973, la conférence a réexaminé le problème en rofondeurp et a adopté les normes détaillées applicables aujourd’hui figurant actuellement dans la convention n° 138. Cette convention prévoit que tout Etat qui la ratifie doit spécifier un âge minimum d’admission à l’emploi ou au travail et porter progressivement cet âge à un niveau qui permet aux adolescents d’atteindre le développement physique et mental le plus complet. La convention précise que l’âge minimum à l’emploi ou au travail ne doit pas être inférieur à 18 ans. En 1989, l’assemblée générale des Nations Unies a décidé d’adopter la Convention relative aux Droits de L’Enfant, un document qui rend le mieux compte des aspirations de la communauté internationale en ce qui concerne le bien-être de l’enfant.
La Convention relative des Droits de L’Enfant constitue l’instrument directeur de la réalisation de toute action de protection des droits fondamentaux de l’homme. Elle présente un large éventail de dispositions de protection notamment en matière de droits civils, culturels, économiques, politiques et sociaux. Elle offre l’opportunité de rendre réellement universel le respect des droits et du bien-être des enfants.
Cette convention fixe des normes juridiques universelles mettant en lumière la protection de l’enfant dans 54 articles. Aussi, elle met en avant le droit à la survie, au développement et à la pleine participation à des activités sociales, culturelles, éducatives et autres nécessaires à leur épanouissement et bien-être individuels. Chaque Droit qui figure dans la convention est inhérent à la dignité humaine.

Normes suivies par adolescents vis-à-vis de la sexualité

Le discours des adolescents révèle, des différences sociales et scolaires sur la Sexualité. Le concubinage et la sexualité sont stigmatisés à Bekily particulièrement chez les filles. D’une manière générale, les normes en matière de sexualité sont différentes selon qu’il s’agisse des garçons ou des filles, quelles que soient les caractéristiques culturelles.
A Bekily, même si la sexualité des jeunes reste taboue l’activité sexuelle des garçons est décrite par des nombreux participants comme un phénomène naturel et une période d’expérimentation nécessaire et inévitable.Par contre, le discours diffère sensiblement lorsqu’il s’agit des filles. En général, on ne leur accorde pas la même liberté sexuelle qu’aux hommes, car les incidences de l’activité sexuelle chez les filles ne sont pas les mêmes que chez les garçons. La vulnérabilité des filles aux risques de grossesses rend les parents plus vigilants à leur égard.

La sexualité des garçons : naturelle et nécessaire

A Bekily, les avis sont nettement plus partagés. Si la sexualité des garçons est jugée normale par de nombreux participants masculins, la majorité des filles n’est pas de cet avis. Les questions sur la sexualité suscitent un certain gène dans les groupes de discussion, particulièrement chez les adolescents de 10 à 15 ans des EPP Bekily 1 et Bekily 2 du fait que la sexualité demeure taboue. A Bekily, les jeunes de 16 à 22 ans qui pensent que la sexualité des adolescents est un phénomène normal décrivent celles-ci comme «un besoin physique et mentale », « le corps des garçons a besoin de faire des rapports sexuels », « pour avancer le mariage et pour avoir de la confiance par le partenaire », « les garçons ne seront jamais tombés enceintes comme les filles».
La nécessité d’acquérir de « l’expérience » est uneds principales raisons, mentionnées par les adolescents qui trouvent normale l’activité prénuptiale chez les garçons. « Tolérable pour les garçons », « expérimenter » pour le « plaisir » et « l’amour » et « préparer » avant le mariage sont des arguments récurrents chez les adolescents à Bekily.
Il s’agit donc ici d’un phénomène de « naturalisation » construit socialement. Le fonctionnement social a depuis si longtemps conféréce trait aux hommes que celui-ci est devenu « naturel ». Or, les études anthropologiques (Mead 1971) montrent que la division sexuelle est une construction sociale puisqu’elle n’est pas systématique dans toutes les sociétés.

La sexualité des Filles : moins tolérée

La grande majorité des jeunes à Bekily pense qu’il n’est pas normal pour une adolescente d’avoir des rapports sexuels avant le mariage.
A Bekily, les jeunes mettent l’accent sur l’importance de la virginité féminine au mariage. L’activité prémaritale des filles est présentée par plusieurs participants comme un « sacrilège ». A l’explication de la construction sociale vient donc s’ajouter une justification morale, basée sur la religion et les valeurs traditionnelles et qui associe la notion de pureté et d’honneur à la virginité. Unefille devra entrer dans l’union du mariage, laquelle est sacrée, en étant pure, donc iergev.
Le fait que les filles qui perdent leur virginité avant le mariage perdent aussi leur «dignité », leur « honneur » et deviennent « impures » (vehivavy tsy madio ) est également fréquemment mentionné par les participants.
Cependant, certains adolescents révèlent le fait que « le monde a évolué » et que les normes vis-à-vis de la virginité sont dépassées. A Bekily, certains participants ont soulignés que si « l’idéal » demeure de n’avoir desrapports sexuels qu’une fois marié, le «contexte actuel » fait que la sexualité féminine rémaritalep devient une « fatalité ». Certaines juges ce problème complètement dépassé.

L’entrée en vie sexuelle

A Bekily, l’âge médian à l’initiation sexuelle passe de 12 ans chez les filles et de 17 ans chez les garçons de 12 à 22 ans. Bien que l es discours des jeunes suggèrent que la sexualité des filles non mariées est mal acceptée par la société, on observe une proportion importante d’adolescentes célibataires déjà sexuellement actives : 35 pour cent des jeunes filles de 15 à 22 ans déclarent avoir eu des relations sexuelles dans les 5 semaines précédant l’enquête.
Toutefois, la tolérance vis-à-vis de la sexualité rénuptiale est socialement prohibée, surtout par crainte des naissances hors mariage. Mais les jeunes filles « Antandroy », la virginité des jeunes filles au moment du mariage n’est pas exigée et les grossesses prémaritales peuvent être bien accueillies. Le fait qu’une jeune fille ait prouvé sa fertilité peut même lui faciliter l’entrée sure marchél matrimonial, les familles et les futurs conjoints redoutant particulièrement la stérilité féminine.
Bekily, en tant qu’un milieu rural et enclavé, l’initiation sexuelle est plus précoce due aux manques d’instructions.

Le contexte normatif : âge légal et normes entourant le mariage

A Bekily, selon les participants, l’âge minimum légal du mariage est celui de la majorité civile (18 ans).
Pour le cas de Madagascar, le projet de loi n° 00 8/2007 relatif au mariage et aux régimes matrimoniaux a été adopté en juin 2007. stipuleIl que l’âge légal du mariage est fixé à 18 ans sans distinction de sexe. Toutefois, le mariage peut être autorisé avant pour décision judiciaire, en cas de motifs graves appréciés par le Tribunal.
Lors des discussions de groupe à Bekily, les adol escents ont été interrogés sur leurs perceptions et leurs aspirations quant au mariage. Le mariage coutumier demeure très valorisé (le « vodiondry ») dans cette communauté.
A Bekily, la quasi totalité des adolescents affirme vouloir se marier. Pour la grande majorité d’entre eux, l’objectif premier dumariage est la procréation. Parmi les raisons invoquées, le « désir d’avoir des enfants ,»une « descendance », des « héritiers » et « le fait de fonder une famille » et «d’avoir un compagnon » dominent, relayant un proverbe malgache « Ny hanambadian-kiterahana,» (se marier en vue de procréer).
Plusieurs jeunes ont soulignés l’importance d’avoirdes enfants. Indissociable de la procréation, le mariage est décrit par plusieurs adolescents comme un événement « naturel » faisant partie du « cycle de la vie » et également comme une « nécessité », une « obligation » sociale.
Certains déclarent même ressentir « une pression sociale » à cet égard. « Les parents vont de toute façon m’imposer le mariage » déclare une jeune «Antandroy » de 14 ans. C’est une sorte de « mariage arrangé » par se parents. L’influence des parents sur la décision de se marier est fréquemment mentionnée.Plusieurs adolescents déclarent « se sentir obligés de se marier pour ne pas décevoir les parents » et disent vouloir convoler pour « faire plaisir » ou « faire honneur » à leurs parents.
Même si lorsqu’il n’est pas décrit comme une obligation sociale, le mariage est présenté par les adolescents des deux sexes, Antandroy ou autre ethnies, comme un marqueur social important du passage à l’âge adulte . Les adolescents, particulièrement les garçons, mettent l’accent sur l’indépendance que celui-ci procure et sur les responsabilités qui en découlent. « Je veux me marier pour avoir mon indépendance en tant qu’adulte » explique un jeune Betsileo.
Les filles à Bekily mettent l’accent sur le statut que le mariage confère aux femmes dans leur société. Plusieurs adolescentes soulignent que «le mariage est vraiment important surtout pour la femme ». Le mariage est décrit par les adolescentes comme une source de « prestige » et « d’honneur » et un « signe de réussite».
Les garçons, quant à eux, déclarent vouloir se marier pour « avoir quelqu’un qui s’occupe d’eux », qui leur « fasse à manger ».
Procréation, obligations sociales et religieuses, sources de statut social et d’honneur, assurance et confort : telle est la vision traditionnelle et peu romantique du mariage évoquée par les adolescents quelque soit leur milieu social.

L’âge à la première union en avance dans la Commune rurale de Bekily centrale

Dans la plupart des sociétés, le mariage marque alliancel’ formalisée d’un homme et d’une femme dans le but de fonder une famille. Cette formalisation peut obéir à des règles coutumières, religieuses ou légales (mariagecivil). L’union peut aussi être formalisée en cas d’union libre ou concubinage.
L’âge médian à la première union connaît un peu en avance à Bekily. Là-bas, la nuptialité est précoce. Les jeunes filles entre enunion en moyenne à 15 ans. Pourtant, partout les hommes entrent en union plus tardivement que les femmes.

Une proportion importante d’adolescents en union informelle

La proportion d’unions libres parmi les adolescents varie d’une culture à une autre. Elle dépend des droits coutumiers et des traditions de chaque région d’appartenance des habitants de Bekily. Ces unions libres sont de moindre importance dans cette communauté (20 pour cent chez les jeunes filles) car la pratique de la cérémonie rituelle « vodiondry » ou fiançailles esttrès importante.
La notion de mariage coutumier recoupe des situations diverses. En effet, les règles du mariage coutumier à Bekily varient d’un groupe socioculturel à l’autre.
Toutefois, les règles traditionnelles visent à favoriser une sexualité et nuptialité précoces, le principe étant d’assurer d’une forte écondité,f souvent nécessaire à la reproduction et à la survie de la communauté dans des contextes de mortalité (y compris celle des enfants) reste élevée.
Les règles du mariage traditionnel, particulièrement « Antandroy », défavorisent principalement les femmes, notamment en cas de séparation (le conjoint à « beaucoup plus à perdre ») en cas de séparation si l’union a été enregistrée à la mairie) mais aussi dans le fonctionnement quotidien du ménage : les femmes mariées légalement sont significativement moins touchées par la violence que celles qui vivent en union libre (Gathier, Gastineau 2007).

Perceptions des unions informelles par les adolescents

Comme pour les attitudes face au mariage, la vision et les normes entourant le concubinage varient considérablement selon chaque participant pendant les groupes de discussion. A Bekily, la forte valorisation de l’institution matrimoniale par les adolescents s’accompagne d’une désapprobation tout aussi forte des unions libres. Mais, il y a certains participants qui envisageraient de vivre avec un homme ou une femme sans être mariés car ce concubinage était présenté comme une étape de la constitution du couple.

Avantage des unions informelles

Les avantages que présente le concubinage par rapport au mariage ont aussi été discutés. Le premier est perçu par de nombreux adolescents comme une étape préalable, durant laquelle on « se prépare » au second et on « observe le caractère et la personnalité » de l’autre. La possibilité de prend son temps pour « connaître le partenaire », « tester la relation », «confirmer l’amour » avant un éventuel mariage sont les plus fréquemment évoqués par les adolescents.A Bekily, en général, le concubinage permettrait de vérifier si le partenaire est « alcoolique », « polygame » ou violent », selon plusieurs croupes de filles.
Le concubinage est également perçu par les adolescents comme avantageux de par sa flexibilité, puisqu’il s’agit d’une relation plus « facile à rompre en cas de problème ».
Quelques participants ont aussi cité les avantages financiers du concubinage. Ils soulignent que celui-ci représente parfois une alternative pour ceux qui n’ont pas les moyens financiers de faire face aux frais liés à la noce (dot, cérémonies, etc.) : « Si on n’a pas assez d’argent, on vit en concubinage d’abord puis on fait le mariage ».

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
1.Contexte
2.Choix du thème
3.Choix du terrain
4.Problématique
5.Objectifs
5.1.- Objectifs généraux
5.2.- Objectifs spécifiques
6.Hypothèses
7.Méthodologie
7.1. Documentation
7.2.- Observations sur le terrain
7.3. Approches théoriques
7.4. Techniques d’enquêtes
7.5. Les entretiens
7.6. Techniques d’échantillonnage
8.Problèmes rencontrés et limites de l’étude
9.Structuration du document
PREMIERE PARTIE : APPROCHE THEORIQUE DE LA NOTION D’ADOLESCENCE
Introduction partielle
Chapitre I : THEORIES DE L’ADOLESCENCE
1.1.- L’enfant
1.1.1.- Définition de l’enfant
1.1.1.1.- La notion de majorité
1.1.1.2.- La minorité et ses conséquences
1.1.1.3.- L’exercice de l’autorité parentale
1.1.1.4.- La garde
1.1.1.5.- l’entretien
1.1.1.6.- l’éducation
1.2.- L’adolescence
1.2.1.- Le développement physique
1.2.2.- Le développement intellectuel
1.2.3.- Le développement sexuel
1.2.4.- Le développement émotionnel
1.3.- La psychologie de l’adolescent
1.3.1.- La préoccupation philosophique et éducative
1.3.2.- Les débuts de la psychologie de l’adolescent
1.4.- La crise d’adolescence
1.4.1- Le développement psychosexuel
1.4.2.- Les compétences cognitives
1.4.3.- Les relations sociales
Chapitre 2 : PROBLEMATIQUE DE RESOLUTION DU PHENOMENE, DANS LE CONTEXTE NORD-SUD
2.1.- Articulation entre le concept de genre, de mondialisation et de néolibéralisme
2.2.- La division sexuelle du travail
2.3.- Perspective sur Madagascar
2.4.- Des origines de la législation de la protection sociale des enfants
Conclusion partielle
DEUXIEME PARTIE : ADOLESCENCE ET COMPORTEMENT A RISQUE32
Chapitre 3 : L’ENTREE EN VIE SEXUELLE, NUPTIALITE ET FECONDITE DES ADOLESCENTS A BEKILY
3.1.- L’entrée dans la vie sexuelle
3-2- La vie sexuelle
3.2.1.- Normes suivies par adolescents vis-à-vis de la sexualité
3.2.2.- La sexualité des garçons : naturelle et nécessaire
3.2.3.- La sexualité des Filles : moins tolérée
3.2.4.- L’entrée en vie sexuelle
Chapitre 4 : L’UNION CHEZ LES ADOLESCENTS A BEKILY
4.1.- La sexualité précoce (avant 15 ans)
4.1.1.- L’union chez les adolescents
4.1.2.- Le contexte normatif : âge légal et normes entourant le mariage
4.2.- L’âge à la première union en avance dans la Commune rurale de Bekily centrale
4.2.1.- L’entrée en union durant l’adolescence
4.2.2.- Entrée en union et scolarisation
4.2.2.1.- Les modalités d’entrée en union
4.2.2.2.- Une proportion importante d’adolescents en union informelle
4.3.- Perceptions des unions informelles par les adolescents
4.3.1.- Avantage des unions informelles
4.3.2.- Inconvénients du concubinage
4.4.- La fécondité des adolescents à Bekily
4.4-1.- L’ampleur du phénomène des adolescentes mères ou enceintes
4.4.2.-Différences selon la culture, le milieu social et le niveau d’instruction
Chapitre 5 : LA FECONDITE DES ADOLESCENTES A BEKILY
5.1.- Les conditions enfantines
5.2.- Représentations sociales et exclusion
5.3.- La notion de support identitaire en considération
5.4.- Les impératifs de la scolarisation
5.5.- Contextualisation de l’éducation au niveau national
5.6.- Stratégies familiales de scolarisation
Conclusion partielle
TROISIEME PARTIE : PROSPECTIVES DE PISTES DE REFLEXIONS ET DE PROGRAMMES
Chapitre 6 : PERSPECTIVE DE VIE FAMILIALE ET SCOLAIRE
6.1.- Les logiques solaires
6.2.- Familles et enfants
6.3.- Essai de planification des capacités et de possibilités
6.3.1.- Instaurer un environnement protecteur pour les enfants
6.3.2.- Engagement et capacité d’action des gouvernements
6.3.3.- Législation et application
6.3.3.1.- Libre débat
6.3.3.2.- Compétences, connaissances et participation des enfants
6.3.3.3.- Capacité d’action des familles et des communautés
Chapitre 7 : COMPRENDRE ET MAITRISER LES CHANGEMENTS
7.1.- Pour comprendre les changements
7.2.- L’anthropologue de la modernité, selon AUGE
7.3.- Pragmatique anthropologique
7.4.- Partage de responsabilités dans un régime de partenariat
7.5.- Les politiques
7.6.- Pragmatique de programmation
7.6.1.- Critique du « développementarisme »
7.6.2.- L’altérité comme sujet à controverse
7.6.3.- Formalisation du concept de développement
7.6.4.-Approche pragmatique en situation interculturalitaire
7.6.5.- Sexe et crise sociale mondiale
7.6.5.1.- Les droits mythiques de l’enfant
7.6.5.2.- Faiblesse de la législation
Conclusion partielle
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPIHE

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