Artère crico-thyroïdienne ou artère laryngée moyenne

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Les artères

Artère laryngée supérieure

c’est une branche de l’artère thyroïdienne supérieure. Elle perfore la membrane thy-ro-hyoïdienne et vascularise la muqueuse et les muscles de l’étage supérieur du la-rynx ;

Artère crico-thyroïdienne ou artère laryngée moyenne

C’est une branche de l’artère thyroïdienne supérieure. Elle perfore la membrane cri-co-thyroïdienne et vascularise la muqueuse de l’étage inférieur du larynx ;

Artère laryngée inférieure

C’est une branche de l’artère thyroïdienne inférieure. Elle vascularise les muscles et la muqueuse postérieure du larynx.

Les veines

Elles sont satellites des artères. Les veines laryngées supérieures et inférieures se drainent dans les veines thyroïdiennes supérieures. Les veines laryngées posté-rieures se jettent dans les veines thyroïdiennes inférieures.

Les lymphatiques

Le réseau lymphatique de la muqueuse laryngée est particulièrement riche sauf au niveau du bord libre des plis vocaux. Ce réseau lymphatique se divise en deux terri-toires : le premier, sus-glottique, très important et le second, sous-glottique, plus fin.
Les troncs efférents suivent la disposition artérielle. On distingue :
Un pédicule supérieur qui se rend aux ganglions jugulaires moyens sous le muscle digastrique
Un pédicule antéro-inférieur qui se draine dans les ganglions pré-cricoïdiens puis dans la chaîne jugulaire et les ganglions pré-trachéaux ;
Un pédicule postéro-inférieur qui naît de la partie postérieure de l’étage sous-glottique et se draine dans les ganglions de la chaîne récurrentielle et les ganglions jugulaires inférieurs et sus-claviculaires.

Innervation

Elle est assurée par les nerfs laryngés supérieur et inférieur, branches du nerf vague ou pneumogastrique, dixième paire de nerfs crâniens.

Nerf laryngé supérieur

C’est un nerf mixte essentiellement sensitif.

Nerf laryngé inférieur

Il est aussi appelé nerf laryngé récurrent ou nerf récurrent.

Physiologie du larynx

On reconnaît au larynx trois rôles fondamentaux :
– un rôle fonctionnel concrétisé par l’émission de la voix,
– un rôle vital c’est la respiration,
– un rôle supra vital matérialisé par la fonction sphinctérienne.
Le larynx intervient également dans un certain nombre de fonction à glotte fermée.
Toutes ces fonctions seront altérées par un envahissement tumoral et par la la-ryngectomie ; intervention hautement mutilante, rendant le patient un handi-capé de la voix.

Les voies d’extension des cancers du larynx [66 ; 53].

L’étude des voies d’extension des cancers du larynx est conditionnée par l’anatomie .Ils existent des barrières anatomiques et des zones de faiblesses à l’extension intra-laryngée mais aussi extra-laryngée.
Barrières anatomiques du larynx :
La barrière anatomique essentielle à l’extension intra-laryngée est la membrane élastique du larynx, de siège sous muqueux, formée par le cône vestibulaire et par le cône élastique. Les barrières anatomiques à l’extension extra-laryngée sont les cartilages thyroïdes et cricoïdes, la membrane hyo-épi glottique et la membrane thyro-hyoïdienne.
Les points de faiblesse à l’extension intra-laryngée sont le cartilage épi glottique, le ligament thyro-épi glottique, l’espace para épi glottique et les laryngocèles .Le point de faiblesse essentiel à l’extension extra-laryngée est le muscle crico-thyroïdien.

Cadre géographique et ressources de l’étude

Présentation de la ville de Touba

Histoire

La ville sainte de Touba a été fondée en 1887 par le cheikh Ahmadou Bamba Kha-dimou rassoul. Avec ses disciples, il a construit cette ville. Elle est l’une des plus grandes villes du Sénégal, de par sa démographie, son activité économique surtout tertiaire.

Administration

La ville fait partie du département de M’backé, une subdivision de la région de Diourbel.
La ville a cependant un statut particulier puisque comme d’autres villes saintes du Sénégal, elle dispose d’une police particulière et d’un règlement basé sur la charia selon l’école juridique malékite.
La consommation de tabac et d’alcool sont interdites à Touba sous peine de se voir emmené à la police, il est également interdit tout habillement ou comportement non conforme à la charia.
Située dans l’arrondissement de N’dame, c’est une cité qui a encore un statut légal de village, bien qu’elle se soit largement urbanisée et elle est la deuxième ville du Sénégal.

Géographie

Physique géologique

Touba bénéficie d’un climat sahélien, sa végétation est caractérisée par la steppe.

Population

Touba enregistre entre les recensements de 2002 et de 2013 la plus forte croissance démographique des 25 plus grandes agglomérations du Sénégal avec une moyenne annuelle de 5,95 %, bien que son taux annuel de croissance démographique dimi-nue, passant de 10,97 % entre 1976 et 1988 à 9,67 % entre 1988 et 2002. Cette croissance est due aux arrivées massives de villageois des provinces historiques du Baol et du Cayor ; ces villages se vident progressivement au profit de Touba.
Lors du recensement de 2002, la population s’élevait à 461 159 habitants pour une surface de 12 000 ha.
En 2013, selon le recensement du pays, la ville de Touba compte 753 315 habitants, tandis que son agglomération en compte 830 570.
Touba est la deuxième plus grande agglomération du Sénégal derrière Dakar.

Économie

De nombreux fidèles de cette communauté se déplacent une partie de l’année dans les villes du monde pour faire fortune dans le secteur du commerce, travaille dont ils reversent une partie aux oeuvres sociales de Touba.
Plusieurs projets économiques du pays sont désormais tournés vers la ville sainte en témoigne l’autoroute à péage Thiès – Touba, qui sera ainsi la plus longue du Sénégal.
Le Grand Magal de Touba génère de nombreuses ressources économiques principa-lement pour les marchands, pour les transporteurs, pour les éleveurs…
L’essor de la ville est lié au grand pèlerinage qui célèbre chaque année le départ en exil du fondateur de la confrérie des mourides. Ce pèlerinage est appelé le magal.

culture

Touba abrite la plus grande bibliothèque musulmane au Sénégal où sont rassemblés des livres du Saint Coran, des livres de nombreux érudits musulmans et des écrits du fondateur du Mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba. Les cimetières de Touba sont situés à l’est de la mosquée. Tous les mourides sont appelés a y être enterrés.
Chaque année le magal de Touba est célébré dans la ville Sainte, correspondant au 18 Safar du calendrier musulman et commémorant le départ forcé du Cheikh au Ga-bon, amené par les colons français. Le Grand Magal de Touba regroupe des milliers de pèlerins constitués en grande partie des disciples du Cheikh.

Monument

Touba abrite une grande mosquée, qui se trouve être parmi les plus grandes mos-quées de l’Afrique de l’Ouest, autour de laquelle la ville est construite en un plan initial radio centrique. La mosquée dont le plus haut minaret culmine à plus de 80 m a été inaugurée le 7 juin 1963 par le deuxième calife de la confrérie des mourides, El Hadji Falilou Mbacké. Elle abrite le mausolée d’Ahmadou Bamba, visité chaque année par de très nombreux pèlerins, durant le Grand Magal de Touba.

Présentation de l’hôpital national Mathlaboul Fawzaini de Touba

Situé dans le quartier de Dianatoul mahwa, et occupant une superficie de trois hec-tares, la pose de la première pierre pour la construction de l’hôpital fut le 02 mars 1994 sous instruction du khalife général de Touba .Inauguré en 2002 avec une capa-cité de 200 lits. Le centre a été érigé en établissement publique de santé niveau III le 13 Décembre 2006.

Patients et méthodes

Type et durée de l’étude

Notre travail est une étude rétrospective sur une période de 9 ans s’étalant du 1er Septembre 2008 au 31 Septembre 2016. Il porte sur les cas de cancers du larynx pris en charge dans le service d’ORL-C.C. F de l’hôpital de Touba.

Critères d’inclusion

Ont été inclus dans cette étude, tous les patients hospitalisés dans le service et suivis pour cancer du larynx.

Critère de non inclusion

Ont été exclus dans l’étude, tous les patients présentant un cancer du larynx et n’ayant pas  bénéficié d’un suivi.

Déroulement de l’étude

Nous avons retenu 13 cas de cancers du larynx tous confirmés histologiquement, en nous basant sur les dossiers médicaux d’hospitalisation répondant à nos critères de sélection en consultant :
– les fiches de consultation externe
– les registres d’hospitalisation
– les registres de compte rendu opératoire.
Toutes les données anamnestiques, cliniques, para cliniques, et thérapeutiques ont été reportées sur des fiches d’enquêtes, préalablement rédigées après revue de litté-rature.

Analyse statistique

Les paramètres étudiés sont : l’âge, le sexe, la provenance, la profession, les facteurs de risques, les symptômes, le résultat histologique, la nature du traitement, les com-plications, la durée d’hospitalisation et l’évolution.
Les données ont été saisies et traitées à l’aide des logiciels World et Excel.

Aspects épidémiologiques

Le terme épidémiologie consiste à étudier la fréquence des maladies dans les popu-lations ainsi que les facteurs pouvant prévenir ou favoriser leur apparition.

La fréquence

Nous avons collecté 21 cas de cancers du larynx sur 147 dossiers des malades qui présentaient de cancers des voies aérodigestives supérieures confirmés histologi-quement ; soit une fréquence de 14,29 %.Ce résultat est inférieur à celui trouvé par S.ALBERT et coll. 30 % des cancers des VADS[ 66 ]. Il est de 1,5 % de l’ensemble des cancers chez l’Homme [67].

Le sexe

Il existe une prédominance masculine aussi bien dans la littérature que dans notre série où nous avons rapporté sur les 13 patients 9 de sexe masculin et 4 de sexe féminin ; soient respectivement 69,23% contre 30,76%.
DIALLO B.K et coll [14] ont rapporté 250 hommes contre 18 femmes.
Lefebre et coll[35] ont trouvé 95% de sexe masculin contre 5% de sexe féminin.
Ce taux élevé de sexe masculin s’explique par le fait que les hommes sont plus ex-posés aux facteurs de risque. Par contre, dans les pays développés, cette tendance commence à se rapprocher à cause de l’exposition des femmes aux facteurs de risque surtout au tabac et à l’alcool.

L’Âge

L’âge de prédilection des cancers du larynx se situe entre 45 et 70 ans avec une nette prédominance entre la cinquième et la sixième décade de la vie [35]. Ils sont rares avant 40 ans et exceptionnels chez l’enfant [13]. Cependant on observe une recrudescence des cancers chez des sujets de plus en plus jeunes en rapport avec la précocité de l’intoxication alcoolo-tabagique.
La moyenne d’âge est variable selon les auteurs, mais reste située entre 45 et 65 ans. Charfeddine et coll [12] ont trouvé une moyenne d’âge de 63 ans ; Laaraj a trouvé 59 ans dans sa thèse soutenue en 2011[38].
Dans notre étude, la moyenne d’âge était de 48 ans avec des extrêmes de 20 à 67 ans, la tranche d’âge la plus représentative a été celle de 60 – 69 ans. Cependant, le plus jeune de nos patients était une jeune fille âgée de 20 ans et n’avait aucun rap-port avec l’intoxication alcool-tabagique.

Répartition géographique

Parmi nos patients 11 habitaient dans la région de Touba, et les 2 autres viennent respectivement de Kaolack et Linguère.

Facteurs de risque

Les facteurs de risques des cancers du larynx sont nombreux, mais le tabac et l’ alcool restent les plus incriminés.
D’autres facteurs de risque ont été décrits [15, 24,62]
Risques professionnels (liés à l’inhalation de poussières d’amiantes, de bois, de ci-ment, de fibres textiles), les habitudes alimentaires, le niveau de vie, les infections virales, le surmenage vocal, le reflux gastro-oesophagien.

Tabagisme et alcoolisme

De multiples études ont démontré que le risque relatif de développer un carcinome épidermoïde du larynx augmente de manière dose-dépendante par rapport à la con-sommation de tabac (en termes de prise quotidienne et d’années de consommation).
Inversement l’arrêt prolongé de la consommation tabagique réduit de façon signifi-cative le risque d’avoir ce cancer [4].
D’après Moralès[43] l’absence de consommation de tabac pourrait prévenir entre 65 à 100% des cancers de larynx.
Le rôle de l’alcool est plus difficile à préciser, il pourrait agir au niveau des micro-somes hépatiques et compromettre le métabolisme des agents cancérigènes comme ceux du tabac.
Au Maroc, dans l’étude réalisée au CHU de Fès [11], le tabagisme chronique était incriminé dans 92% des cas. La notion d’éthylisme n’a été retrouvée que chez 18% des cas.
Dans le service d’ORL de Thiès Ndiaye ND [46] a rapporté 61 % de tabagisme contre 16,5 % d’alcoolisme. A l’hôpital principal de Dakar, DIALLO TB et coll [19] ont rapporté 50% de tabagisme et 14,8 % d’association alcool-tabac.
Parmi nos patients, nous avons recueilli 5 cas d’intoxication tabagique soit 38,46 % et 1 cas d’éthylisme ; soit 7,69 %. Ce taux plus faible dans notre étude peut être lié au fait que TOUBA soit une ville religieuse où la consommation de tabac et de l’alcool sont interdites.

Profession à risque

Certaines professions constituent un facteur de risque des cancers du larynx par 2 mécanismes [3,32] :
Exposition aux substances chimiques toxiques telles que celles contenues dans les poussières des métaux, de bois, de charbon, de textile, de ciment et de l’amiante.
Malmenage vocal qui est un facteur de risque mécanique du cancer des cordes vocales par l’intermédiaire d’une irritation chronique de ces dernières, et qui peut être le lit d’une dégénérescence carcinomateuse.
Dans notre série, un patient était forgeron qui avait une tumeur développée aux dé-pens de trois étages du larynx et un autre était enseignant dont sa lésion était au ni-veau de la corde vocale gauche.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
1. Rappel
1.1. Anatomie descriptive et endoscopique du larynx
1.1.1. Anatomie descriptive
1.1.1.1. Situation
1.1.1.2. Constitution
1.1.1.3. Forme
1.1.1.4. Dimensions
1.1.1.5. Configuration externe
1.1.1.5.1. Cartilages du larynx
1.1.1.5.2. Les articulations du larynx
1.1.1.5.2.1. Articulation crico-aryténoïdienne
1.1.1.5.2.2. Articulations crico-thyroïdiennes
1.1.1.5.3. Les membranes et ligaments du larynx
1.1.1.5.3.1. Membrane crico-trachéale
1.1.1.5.3.2. Membrane et ligaments thyro-hyoïdiens
1.1.1.5.3.3. Membrane et ligaments crico-thyroïdiens
1.1.1.5.3.4. Ligaments de l’épiglotte
1.1.1.5.3.5. Ligaments du complexe aryténoïdien
1.1.1.5.4. Musculature du larynx
1.1.1.5.4.1. Musculature intrinsèque
1.1.1.5.4.2. Musculature extrinsèque
1.1.1.6. Configuration interne
1.1.2. Anatomie endoscopique
1.1.2.1. La base de langue et les vallécules
1.1.2.2. La margelle laryngée ou épi-larynx
1.1.2.3. Étage sus glottique
1.1.2.3.1. Épiglotte
1.1.2.3.2. Muqueuse
1.1.2.3.3. Ventricule laryngé
1.1.2.3.4. Région inter-aryténoïdienne
1.1.2.4. Cordes vocales
1.1.2.4.1. Commissure antérieure
1.1.2.4.2. Commissure postérieure
1.1.2.5. Étage sous-glottique
1.1.3. Rapports du larynx
1.1.4. Vascularisation – innervation
1.1.4.1. Les artères
1.1.4.1.1. Artère laryngée supérieure
1.1.4.1.2. Artère crico-thyroïdienne ou artère laryngée moyenne
1.1.4.1.3. Artère laryngée inférieure
1.1.4.2. Les veines
1.1.4.3. Les lymphatiques
1.1.4.4. Innervation
1.1.4.4.1. Nerf laryngé supérieur
1.1.4.4.2. Nerf laryngé inférieur
1.2. Physiologie du larynx
1.3. Rappel histologique
1.3.1. Formes macroscopiques
1.3.2. Aspects histologiques
1.3.2.1. Forme histologique commune
1.3.2.2. Variantes
1.3.2.3. Autres tumeurs
1.4. Les voies d’extension des cancers du larynx
1.5. Classification TNM
1.5.1. Classification TNM AJCC 2002
1.5.1.1. Classification T
1.5.1.2. Classification N
1.5.1.3. Classification M
1.5.2. Classification histologique des cancers du larynx
2. Cadre géographique et ressources de l’étude
2.1. Présentation de la ville de Touba
2.1.1. Histoire
2.1.2. Administration
2.1.3. Géographie
2.1.3.1. Physique géologique
2.1.3.2. Population
2.1.3.3. Économie
2.1.3.4. Culture
2.1.3.5. Monument
2.2. Présentation de l’hôpital national Mathlaboul Fawzaini de Touba
2.2.1. Les différents services sont
2.2.1.1. Services de soins
2.2.1.2. Service d’aide au diagnostic
2.2.1.3. Autres services
2.2.2. Les ressources humaines
2.2.3. Organisation administrative
DEUXIÈME PARTIE
1-Présentation du service d’oto-rhino-laryngologie
1.1. Le personnel
1.2. Les locaux
1.3. Le matériel
2. Patients et méthodes
2.1. Type et durée de l’étude
2.2. Critères d’inclusion
2.3. Critère de non inclusion
2.4. Déroulement de l’étude
2.5. Analyse statistique
RESULTATS
3.1. Aspects épidémiologiques
3.2. Aspects cliniques
3.3. Aspects para cliniques
3.3.1. Classification TNM
3.4. Aspects thérapeutiques
3.5. Évolution
3.6. Recul
DISCUSSION
4.1. Aspects épidémiologiques
4.1.1. La fréquence
4.1.2. Le sexe
4.1.3. L’Âge
4.1.4. Répartition géographique
4.2. Facteurs de risque
4.2.1. Tabagisme et alcoolisme
4.2.2. Profession à risque
4.2.3. Habitudes alimentaires
4.2.4. Radiations ionisantes
4.2.5. Niveau de vie socio-économique
4.2.6. Le reflux gastro-oesophagien
4.2.7. Facteurs viraux
4.2.8. Pathologies associées
4.2.9. Cancer familial
4.3. Aspects cliniques
4.3.1. Le délai de consultation
4.3.2. Motif de consultation
4.3.2.1. La laryngoscopie indirecte
4.3.2.2. Examen ganglionnaire
4.3.2.3. La naso-fibroscopie
4.4. Aspects para-cliniques
4.4.1. Pan endoscopie
4.4.2. Laryngoscopie directe en suspension
4.5. Étude histologique
4.5.1. Aspect macroscopique
4.5.2. Aspect microscopique
4.6. Bilan d’extension
4.6.1. Bilan locorégional
4.6.1.1. Tomodensitométrie cervicale
4.6.1.2. Imagerie par Résonance Magnétique cervicale
4.6.2. Bilan général
4.6.3. Radiographie du thorax
4.6.4. Échographie abdominale
4.6.5. Bilan biologique
4.7. Classification TNM et stadification
4.7.1. Stadification
5. Aspects thérapeutiques
5.1. But
5.2. Moyens
5.2.1. La chirurgie
5.2.1.1. Chirurgie endoscopique
5.2.1.2. La chirurgie partielle par voie externe
5.2.1.2.1. Laryngectomies partielles verticales
5.2.1.2.2. Laryngectomies partielles horizontales
5.2.1.3. La Chirurgie radicale
5.2.1.4. Curage ganglionnaires
5.2.2. La radiothérapie
5.2.2.1. Radiothérapie externe
5.2.3. Chimiothérapie
5.2.4. Association Radi-Chimiothérapie
5.3. Indications
5.3.1. Tumeur T1 de la glotte
5.3.2. Les stades localisés
5.3.3. Stade III et IV
6. Complications
6.1. Complications chirurgicales
6.1.1. Complications de la chirurgie laryngée
6.1.1.2. Complications immédiates
6.1.1.3. Complications tardives
6.1.2. Complications du curage ganglionnaire
6.1.3. Complications de la radiothérapie
6.1.4. Complications de la chimiothérapie
7. Surveillance et pronostic
7.1. Surveillance
7.1.1. But
7.1.2. Moyens
7.1.3. Rythme
7.2. Pronostic
7.2.1. Facteurs pronostiques
7.2.2. Résultats
8. Réhabilitation et soutien psychologique
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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