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La mise en place des premiers réseaux
Il est donc nécessaire de réorganiser la société tourau de toutes les techniques qui servent à traiter, conserver, transporter l’information, et de mettre sous forme d’information, tout ce qui peut l’être. Dès qu’un nouveau dispositif est inventé, il est immédiatement salué comme une étape indispensable à la réalisation du nouveau monde.
« Vers la machine à gouverner. Une nouvelle science : la cybernétique»8. Tel est le titre de l’article paru dans Le Monde fin décembre 1948, écrit par le père dominicain Dominique Dubarle. L’ordinateur y est décrit commeune machine appelée à être de plus en plus grande, qui fonctionnerait à l’échelle mondiale, et tout à fait analogue au cerveau humain.
« Les hommes politiques et, plus généralement, le système de la politique sont incapables de prendre en charge la gestion des sociétés au niveaumondial. Le grand intérêt des nouvelles machines est de laisser entrevoir la possibilité d’une machine à gouverner rationnelle, qui conduirait éventuellement à une unification au niveau planétaire, vers un gouvernement unique de la planète ».9
L’Internet: une technologie du fondement social
L’Internet peut être considéré comme particulièrement déterminant à l’ère de l’information, et des réseaux sociaux. La maîtrisede cette technologie que nous avons créé, ainsi que la compréhension de l’ensemble du réseauInternet, qu’est le cyberespace, font partie des enjeux majeurs pour le 21è siècle.
Le type de société qui émerge aujourd’hui dans lespays développés, mais aussi dans certains pays en voie de développent, découle directement des applications des nouvelles technologies de l’information et de la communication, notamment l’Internet: réseaux sociaux, télé-enseignement, liberté d’expression, acculturation …
L’Internet est par essence, une télécommunication,visant au stock et à la diffusion des informations à l’échelle mondiale. Lorsque l’internet a été inventé, le gouvernement américain souhaitait le classer « secret défense ».Au fil du temps, l’Internet a été rendu publique, mais son utilisation a été restreinte à un cercle de spécialistes. Actuellement, Internet est accessible à tous le monde et il est m ême devenu un outil incontournable dans le fondement des sociétés modernes. En effet, l’Internet affecte aujourd’hui tous les domaines de la société (économique, social, culturel, politique).
Le multimédia, premier pas de l’ouverture du monde technologique
Le multimédia devient une réalité. Les technologiessont là et l’offre de produits d’étoffe de jour en jour. Les outils de cette offre sont :
Le PC (Personal Computer)
Il peut être utilisé, aussi bien comme un téléphone, un fax, un modem, un nœud dans les réseaux d’entreprises, de formation pour les salariés, de gestion du personnel, et déjà d’assistance commerciale.
Le N.C. (Network Computer)
Il s’agit d’une version simplifiée du PC. Donnant ccèsa à Internet, il offre les mêmes capacités avec une simplification d’utilisation.
La télévision avec son boîtier Net box
Elle permet de consulter les contenus et services d’Internet sur l’écran du poste. L’Internet est d’une grande importance pour le futur. Son utilisation risque de révolutionner l’ensemble de la communication, notamment, en permettant aux hommes et aux entreprises d’établir des relations dans le cadre du cyberespac émanant de la révolution technologique.
L’interactivité
Le multimédia se compose d’un ensemble de services interactifs utilisant le support numérique, pour le traitement et la transmission de l’information sous toutes ses formes : textes, données, sons, images fixes, animées ou virtuelles. La technique s’est déjà répandue en « off line » sans avoir recours à un réseau. Son support est le disque optique compact.
Il offre une grande diversité de services interactifs et d’informations. Les descendants du CD rom, enregistrables, et à haute capacité de stockage, tels le digital vidéodisque (DVD), figurent parmi les liens qui réuniront télévisiont eordinateur en une seule et même interface interactive. Ils permettent aux entreprises et aux consommateurs d’accéder totalement aux autoroutes de l’information.
Le multimédia se caractérise par le fait d’être : ultim-sensoriel et intuitif. Ses applications font appel aux trois sens de l’utilisateur ; la vue, le toucher, l’ouïe. En permettant de stimuler les différents canaux sensoriels, il accroît l’efficacité de la communication conduisant à une meilleure acquisition de l’information.
Il rend possible l’expérimentation personnalisée, te la mémorisation par le canal privilégié de l’utilisateur selon qu’il possède, eunmémoire virtuelle, auditive. Il est intuitif lors de ses applications. L’utilisateur n’est pas devantune machine qui lui impose une navigation arborescente dans l’information. Pendant une constitution bien conçue, il est libre de naviguer
à sa guise, dans le temps et l’espace de l’information. Cette situation limite les blocages et frustrations, face à la technologie puisqu’il évolue selon ses désirs.
Le multimédia peut être perçue comme outil de transmission du savoir, il révèle particulièrement performant dans les actions de formation, plusieurs sociétés bancaires, en Angleterre et en Allemagne, l’ont choisi comme l’outil de « training » privilégié sur les métiers de base, ou pour des présentations, lors dulancement de nouveaux produits sur le marché. Bien conçues, ses applications se révèlentefficaces comme outils d’aide à la vente. Il constitue une réponse moins onéreuse pour la formation des agents bancaires, face à l’importance mobilité de cette population, tout engarantissant la qualité et l’homogénéité des messages diffuses. En outre, l’enseignant est disponible pour chaque commercial, au moment où il le souhaite, entraînant une plus grande souplesse de sa gestion.
Le multimédia constitue un vecteur d’information intégré dans le processus de production en mettant l’image, le son, et la vidéo à la portée de tous, il améliore la communication interne et externe de l’entreprise. Les techniques de téléconférence à distance permettent l’accès à l’expertise éloignée. La présentation d’un nouveau produit est beaucoup plus vivante grâce à l’image, la vidéo, le son, et l’interactivité et, par conséquent, plus efficace.
La communication à distance, touche au même moment un maximum d’employés sans qu’ils aient à se déplacer.
A la Natwest en Grande-Bretagne, la technologie multimédia est expérimentée comme un accès à une expertise éloignée. Dans une agencebancaire, lors de la souscription d’un emprunt, les deux éléments-clés pour le responsablede la clientèle sont la connaissance du dossier et la délégation financière de l’accord decrédit. L’attaché commercial de la Natwest a la possibilité, via une connexion sur micro-ordinateur, d’accéder à une information en temps réel, et si cela est nécessaire, d’établir une visioconférence avec un chargé d’opérations de niveau régional. L’accès direct permet une discussion entre les différents intervenants. La banque estime qu’elle améliore grâce à ce procédé,de manière significative, l’efficace d’une demande commerciale ou d’un traitement de dossier.
L’influence de l’Internet
A partir des années quatre vingt dix, on assiste à un véritable flamboiement de l’Internet, principal vecteur du paradigme informationnel. Atteignant toutes les sciences, fondamentales comme appliquées, elle faisait alors l’objet d’une vaste campagne de vulgarisation, jusque dans le grand public.
L’un de ses principaux supports sera le thème du cerveau artificiel, des animaux électroniques, et plus tard de l’intelligence artificielle, ce thème servant à promouvoir une vision informationnelle de l’homme. Se développe également un discours prospectif qui met en scène la société de demain, comme entièrement ructuréest par les nouveaux dispositifs techniques.
Urbanité et complexité d’Antananarivo Ville
Par définition, «le milieu urbain, producteur de nouvelles valeurs et de nouvelles exclusions, est celui de délitement du contrôle social et de la recomposition (ou de la destruction) des relations entre les habitants »10. Cette évolution vers l’anomie est d’autant plus marquée quand les citadins, immigrants plus ou moins forcés, ne sont que des « passagers » dans un milieu urbain qu’ils ne ressentent pas comme leur propre ville, un monde où ils ne sont pas nés, et où ils ne veulentpas vieillir, encore moins être enterrés.
La géographe GUERIN (C.) a bien synthétisé la singularité culturelle de la ville d’Antananarivo. Elle en sera pour nous un guide précieux : « La conception merina de l’espace ne comprend pas de notion de la ville pensée comme différente des campagnes. (…)
Le mot « ville » se traduit en malgache, approximativement, par « gros village en hauteur ».
En effet, dans l’esprit de ses fondateurs, la ville est conçue comme un « microcosme du monde rural », qui doit assurer le lien entre les mondes rural et urbain »11.
L’emprise forte d’une culture ancienne sur une grande cité moderne s’explique en particulier par la remarquable homogénéité de sa pulation, exceptionnelle pour une capitale du Tiers-monde : la ville est peuplée à 89,1 % de Merina, accompagnés, comme second groupe, de 4,6 % de Betsileo, venus du sud des Hautes Terres12.
Ainsi, pour l’essentiel, la capitale n’a attiré que la population qui lui est géographiquement proche : selon les enquêtes de MADIO13, les migrants qui arrivent dans la ville proviennent en majorité (55 %) de l’ex-province même d’Antananarivo, pour les femmes comme pour les hommes14.
Il est vrai que, dans ce pays montagneux au relief très accidenté, les communications routières sont toujours difficiles et les mouvements de population limités. C’est pourquoi, dans le domaine des migrations, la Grande-Île apparaît plutôt comme un archipel : seuls 16,6% des Malgaches ne vivent pas dans leur province natale15. Les autres grandes villes, en particulier les chefs-lieux côtiers, dont les populations s’échelonnent entre une et deux centaines de milliers d’habitants16, ne recrutent leurs immigrants que chacune dans son environnement proche. Le taux d’urbanisation national est faible, en croissance modérée : 16% en 1975, 23% en 1993, soit un accroissement de l’ensemble de la population urbaine de 4,8 % par an.
Le premier arrondissement comme point d’observation des effets de l’Internet
Les villes ne cessent de croître et de rassembler un pourcentage toujours plus grand de la population. C’est l’urbanisation. L’urbanisation , quand elle est rapide, a des conséquences importantes sur l’architecture des villes. Ainsi, la densité moyenne de la population augmente dans les grandes villes.
Commerces et marchés
Le terme Commerce indique un domaine d’activité liéà l’achat, à la vente ou à l’échange des produits. Aussi, c’est un ensemble des biens matériels ou ayant une valeur économique qui permettent à une personne physique ou morale d’exercer la profession de commerçant.
Plusieurs magasins de commerce sont recensés dans cet arrondissement. C’est un indice, que beaucoup de gens sont intéressés par lemétier de commerçant et choisissent cette localité pour l’exercer. On y trouve de nombreux centres commerciaux (articles électroménagers, divers produits hauts de gamme, etbien d’autres, répondant aux besoins et aux goûts de la population). Paradoxalement, on y trouve aussi les marchands ambulants qui travaillent dans ce métier, mais dans le secteur informel, donnant un aspect plus animé mais anarchique à cette localité.
Les marchés font parties intégrantes des quotidiensdes malagasy comme tant d’autres depuis plusieurs décennies. Le marché du Zoma d’Analakely fut le grand marché d’antan et qui a fait la renommée de la ville d’Antananarivo. Aujourd’hui, ce marché est transféré et réparti dans d’autres endroits de la localité telle: Petite Vitesse, Pochard, Isotry, 67 ha.
En parallèle, des supermarchés y sont implantés avec des infrastructures plus modernes donnant des nouveaux aspects et des environnements plus séduisants à la localité (Shoprites, Pavillons Analakely…).
Equipements
Etablissements de santé
Contrairement à la population rurale, celle urbaine préfère et même choisit de s’installer en ville, car elle accède plus facilement à un meilleur équipement et à plus de confort.
Il est en effet beaucoup plus facile de mettre en place et de trouver des infrastructures adéquates. Aux soins : services d’urgence, et services hospitaliers spécialisés.
Une trentaine d’établissements de santé (Institut d’hygiène social, hôpital des enfants, CSBII Isotry, établissements médicaux privés etc.) se trouvent dans cet arrondissement.
Sports, loisirs et culturels
La pratique du sport, le loisir et les manifestations culturels font partie intégrante dela vie quotidienne pour la majorité de la population urbaine, notamment les jeunes. La population du 1er arrondissement en dispose plusieurs infrastructures.
En matière d’infrastructure sportive, le 1er arrondissement dispose de plusieurs terrains et quelques salles de sport et dojo, si on ne peut citer que ces quelques : le stade de Malacam à Antanimena, la piscine olympique à Ampefiloha, les salles de musculation situées à Ampefiloha, à Antanimena et au 67ha.
Concernant le loisir, la population du 1er arrondissement a plusieurs options selon leurs choix. En effet, plusieurs endroits de distraction et de divertissement y sont disponibles pour les jeunes mais aussi pour tous les âges, à savoir les bibliothèques, les salles de billard (académie Analakely, green à Antaninarenina..), les Karaoké, les bars, les discothèques (Caveau Antaninarenina, Palladium, le Six, le glacier)…
Enfin, pour les évènements culturels, l’espace Rarihasina, le CGM, le CCAC situés à Analakely et l’alliance française à Andavamamba son t des lieux de rendez-vous pour les passionnés d’art (expositions, spectacles, cinéma..). Le théâtre d’Antsahamanitra est également un des lieux de référence pour les grandsconcerts de la ville d’Antananarivo.
Bâtiments cultuels
La croyance en Dieu va de pair avec la culture des malagasy. La majorité de la population malagasy sont Chrétiens, néanmoins la religion musulmane est pratiquée par une partie minoritaire de la population.
De nos jours, malgré l’acculturation engendrée par la mondialisation qui ne porte plus assez d’importance aux valeurs religieuses, les événements cultuels et l’adoration font partie de la vie quotidienne des malgaches. L’existence de beaucoup d’églises, de temples, des mosquées et même des habitations utilisées ouransforméest en salle de prière de fortune en sont les témoins. En effet, le premier arrondissement, lieu de notre enquête ne fait pas exception car on y trouve toutes sortes des bâtiments cultuels des d ifférentes confessions. Eglises chrétiennes: FJKM Analakely, Isotry ; ECAR :Ambatonilita, MRE Antaninarenina, Eglise Adventiste Mandrosoa ; Mosquées: Ambatonakanga, 67HA et biend’autres…
Etablissements scolaires
L’éducation, l’enseignement et la formation des enfants et des jeunes ne peuvent pas se séparer de la vie du peuple malagasy. Autrefois, les malgaches éduquaient leurs enfants à travers des contes (Angano) et des devinettes (Ankamantatra). Plus tard, l’entrée des étrangers à Madagascar, notamment, la colonisation a basculé cette pratique traditionnelle, et a introduit des nouvelles normes et des infrastructures liées à l’enseignement et l’éducation.
Ainsi, plusieurs écoles ont été installées dans férentesdif région de l’Ile et qui existent encore jusqu’à maintenant. C’est ainsi que presque partout dans des beaucoup d’endroits, des établissements scolaires et éducatifs, aussi bien ubliquesp que privées, sont quasi existants depuis plusieurs années. En tant que capitale, la ville d’Antananarivo dispose de nombreuses infrastructures dont les écoles, les lycées et lesinstitutions supérieures en font partie. Chaque arrondissement de la CUA est doté d’infrastructures scolaires. Dans le 1er arrondissement, on compte 25 établissements privés de niveaux confondus (Lycée JJ Rabearivelo, Lycée moderne Ampefiloha, INTH, EPP, CEG…), et environ un e quatre centaine d’infrastructures d’enseignement privées, allant du niveau primaire jusqu’au niveau universitaire 21
Cela veut dire que de nombreux jeunes et adolescents en activités scolaires qui font partie de notre principale cible, y passent leurs activités quotidiennes dans cet espace.
Localisation des cybercafés
Depuis presque une décennie, plusieurs cybercafés es sont installés dans la capitale. Le nombre de cybercafé n’a pas cessé d’augmenter depuis, ainsi on trouve des cybercafés presque dans chaque coin de rues d’Antananarivo. D’ après nos propres enquêtes, le nombre total des cybercafés dans la commune Urbaine d’Antananarivo dépasse largement la cinquantaine.
En terme d’équipements, un cybercafé d’Antananarivopossède, en moyenne, entre 4 et 10 ordinateurs, une imprimante et quelquefois une photocopieuse et/un scanner dépendant de l’espace. Chaque espace possède sa propre disposition spatiale du matériel suivant le nombre d’équipements et la dimension de l’espace, ce dernier peut-être étendu en 2 salles, dans une même enceinte, ou groupé dans une seule salle. L’accès aux équipements est payant et la tarification se fait à la minute en fonction de la durée d’utilisation de chaque usager quelque soit la manipulation qu’il (elle) fait avec l’ordinateur (saisie d’un document, connexion sur internet, mise en forme d’un document,…..).
La politique tarifaire est propre à chaque cybercaf é : certains proposent des tarifs dégressifs à partir de 2 ou 3h de manipulation en continu, d’autres proposent un tarif unique à la minute quelque soit la durée d’utilisation. Certains espaces exigent enfin aux usagers un temps minimal d’utilisation pour chaque visite (en 10 à 15 minutes de connexion minimum exigée).
Chaque espace est géré par un ou plusieurs responsable(s). Ces derniers se chargent d’assurer l’ouverture et la fermeture du local, l’a ccueil des visiteurs et l’assistance en cas de problèmes techniques sur les équipements. Ces personnes interviennent seulement en fonction de la demande de l’usager lorsque ce dernier rencontre des soucis techniques ou des obstacles pendant sa session.
Nos enquêtes ont été menées auprès des usagers quifréquentent 6 cybercafés du premier arrondissement pendant une durée de 4 semaines entre novembre et décembre 2010. Les critères de sélection de ces cybercafés ont étébasés sur le nombre de postes mis à disposition des usagers, ou sur leur emplacement géographique. Les 6 cybercafés choisis possèdent plus de 7 ordinateurs. Ils ont été chois i dans différents quartiers du premier arrondissement : Ampefiloha, Analakely, 67Ha, Antaninarenina, Faravohitra Mandrosoa, Ambohidahy.
Nous avons choisi ces 6 cybercafés en raison du nombre important d’espaces qui s’y concentrent par rapport aux autres quartiers et de la fréquentation du public notamment des jeunes dans ces endroits où de nombreux lieux marchands sont installés.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
Contexte .
Choix du thème et du terrain
Problématique
Hypothèses
Objectifs
Objectif global
Objectifs spécifiques
Méthodologie
Démarche et approche
Techniques
Techniques d’enquêtes
Techniques d’échantillonnage
Problèmes rencontrés et limites de l’étude
Plan de rédaction
PREMIERE PARTIE : Développement de l’Internet et contexte de mondialisation
CHAPITRE 1: Internet et NTIC
1.1.- Naissance d’Internet
1.1.1.- Communication pure et simple
1.1.2.- Communication à but lucratif
1.1.3.- La mise en place des premiers réseaux
1.2.- L’Internet: un outil de fondement social
1.3.- Le multimédia premier pas de l’ouverture du monde technologique
1.3.1.- Le PC (Personal Computer)
1.3.2.- Le N.C. (Network computer)
1.3.3.- La télévision avec son boîtier Net box
1.4.- L’interactivité
1.5.- L’influence de l’Internet
CHAPITRE 2 : Le paradigme de la modernité à Antananarivo
2.1.- Urbanité et complexité d’Antananarivo Ville
2.2.- Le premier arrondissement comme point d’observation d’usage d’Internet
2.2.1.-Cadre spatial et démographique
2.2.2.- 1er arrondissement : arrondissement polynucléaire et multifonctionnel
2.2.2.1.- Fonction politico administrative
2.2.2.2.- Fonction d’enrichissement
2.2.2.3.- Commerces et marchés
2.2.3.- Equipements
2.2.3.1.- Equipements de santé
2.2.3.2.- Sports, loisirs et culturels
2.2.3.3.- Bâtiments cultuels
2.2.3.4.- Etablissements scolaires
2.2.4.- Localisation des cybercafés
Conclusion
DEUXIEME PARTIE : Appropriation d’Internet et conséquences sociales
CHAPITRE 3 : Leitmotiv juvénile dans le recours à Internet
3.1.- Les usages d’internet
3.1.1.- La communication
3.1.2.- L’information
3.1.3.- L’éducation
3.1.4.- Les loisirs
3.2.- Usage des Sites web et plateformes
3.3.- Le « Tchat » et le « Forum »
3.3.1.- Le service Tchat
3.3.2.- Le service Forum
CHAPITRE 4 : Temps social et virtualité
4.1.- Indice sur la fréquentation et le temps d’utilisation
4.2.- Le temps social avec Internet
4.3.- Internet : entre information et désinformation
4.4.- L’usage du temps et dérives diverses
4.4.1.- Utilisation du Web en général
4.4.2.- Défaillance des gérants des cybercafés
4.4.3.- Education parentale et accès à l’Internet
4.5.- Synthèse sur la gestion du temps
CHAPITRE 5 : Popularité et perspectives d’accès à Internet
5.1.- Les difficultés liées à l’accès et à l’utilisation d’internet
5.2.- Attentes des enquêtés
5.3.- La « culture jeune »
Conclusion
TROISIEME PARTIE : Apprivoiser les NTIC
CHAPITRE 6 : Paix sociale et risques inhérents aux NTIC
6.1.- Les opportunités de l’internet pour les jeunes
6.1.1.- Construction de l’individu
6.1.2.- Socialisation de l’individu
6.1.3.- Promotion des savoirs
6.2.- Les apparences critiques et négatives de l’Internet sur les jeunes et la société
6.2.1.- L’affaiblissement de l’état
6.2.2.- Massification culturelle
6.2.3.- Formation déviante de la personnalité
6.2.4.- Fragilité des relations avec les pairs et les parents
6.2.5.- Les rapports au temps
6.2.6.- Confusion de la vie virtuelle et la vie réelle
6.3.- Suggestions
6.3.1. Pour les jeunes
6.3.2.-Aux propriétaires et gérants de cybercafés
6.3.3. Aux parents
CHAPITRE 7 : Prospectives pour un regard critique envers les NTIC
7.1.- Adhésion ou non adhésion au principe « Internet »
7.1.1.- Pays pauvres et impératifs des NTIC
7.1.2.- La manipulation par les publicités
7.1.3.- Les limites d’un monde numérique
7.2.- Communication et évolution sociale
7.2.1.- Communication et société
7.2.2.- Un projet de société à partir des nouveaux moyens de communication
7.3.- La mise en route d’une législation pertinente
Conclusion
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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