L’Enseignement à Distance
Les centres de ressources (Learning centres) en réseau
La formule des antennes ou centres de ressources connectés a été largement développée dans les pays nordiques. Elle à ensuite fait école dans d’autres pays européens. Le rôle joué par le groupe de stagiaires présents dans l’antenne de formation et les possibilités d’organisation et d’entraide au niveau local semblent les paramètres les plus déterminants de la réussite de cette formule. Cela conduit à chercher à regrouper à un même moment des stagiaires travaillant sur les mêmes domaines. La présence d’animateurs sur place peut se justifier en cas de publics diversifiés et de taux de fréquentation élevé. La simultanéité des formations en plusieurs points du territoire rend possible le «dépannage » pédagogique. La communication entre les centres et avec le formateur s’effectue par selon divers procédés (messagerie, prise de main à distance). Un simple accès par site peut suffire à assurer un encadrement efficace. Elle facilite l’intervention des formateurs et permet une bonne économie du recours aux télécommunications qui repose sur la relative autonomie des groupes et sur la qualité des documents pédagogiques disponibles sur les sites. Cela autorise l’animation de plus de 100 stagiaires dans une dizaine d’antennes.
De la formation à distance au conseil personnalisé
Certains organismes de formation et certains organismes de conseil maîtrisant les technologies de communication sont aujourd’hui en mesure de réaliser une meilleure adéquation entre les prestations de formation et les caractéristiques des besoins des PME : contraintes de disponibilité, souhait d’adéquation aux situations de l’entreprise, besoin de conseil personnalisé. Les moyens de formation à distance sont adaptés à chaque besoin : ressources pédagogiques sur Cd-rom, échanges de documents de travail par divers réseaux, tutorat à distance et communication synchrone (par prise de contrôle d’application et par visiophonie). Le coût de ces formations à distance est élevé mais se justifie sur le marché du conseil personnalisé. Plusieurs organismes de formation proches des entreprises ont développé un savoir-faire qui les rapproche de l’activité de conseil.
La généralisation des usages et ses difficultés
Malgré ces avantages, l’usage des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) dans la formation en Algérie est encore marginal. Cela s’explique en partie par la faible diffusion des technologies par comparaison avec la situation des Etats Unis ou avec certains pays européens. Il faut bien mentionner aussi quelques difficultés liées au comportement des acteurs et
des décideurs : certaines tiennent à une incompréhension de la technologie, d’autres au manque de maîtrise ou de «management» de son processus de développement.
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Table des matières
I-Introduction
A- Contexte de travail
B- Problématique
C- Plan du document
Chapitre1 : l’Enseignement à Distance
I .Chronologie de l’E.A.D
A- Première génération : enseignement par correspondance
B- Deuxième génération : enseignement télévisé et modèle industriel
C- Troisième génération : enseignement à distance interactif
II. Définitions
A- Formation ouverte et à distance (FOAD)
1 – Formation ouverte
2 – Formation à distance [AFNOR]
B- TIC : technologies d’information et de communication TICE
C- Dispositif (de formation)
III. Les TIC et la formation à distance
A- Une réponse à des besoins de masse
B- La formation à distance évolue avec les TIC
C- L’évolution des besoins et de l’offre
1- Flexibilité de l’offre
2- Recherche d’efficacité
3- Diversité des organismes
4- Diversité des fonctions et partenariat
IV. Quelques modes d’organisation de la formation à distance
A- La formation à domicile
B- Les conférences à distance
C- Les centres de ressources (Learning centres) en réseau
D- Les ateliers flexibles de formation
E- Les postes (satellites) proches du lieu de travail
F- Réseaux de « formation collaborative »
G- Knowledge management et gestion des compétences
H- De la formation à distance au conseil personnalisé
I- Universités d’entreprise : système intégré
V – E-learning en Algérie
A- Facteurs et indicateurs technologiques
B- Expérimentations professionnelles
1- Djaweb « http://elearn.djaweb.dz »
2- EEPAD/Wanadoo: Préparation aux examens
3- DZCampus.com, la première plate-forme e-learning en Algérie.
4- Ministère de l’enseignement et de la formation professionnels – CNEPD
C- Expérimentations universitaires
VI CONCLUSION ET PERSPECTIVES
A- Les résultats attendus
B- La généralisation des usages et ses difficultés
C- Depuis les contenus vers les outils puis les services
Chapitre2 : Dispositif de formation en Ligne
I- Dispositif de formation ouverte et a distance
A- Définition
B- Différents types
C- Critères pour le choix d’un dispositif
D- différents acteurs intervenant dans la construction d’un dispositif de formation en ligne
E- Construction de dispositif de formation en ligne
1 – Du coté de la fonction formation de l’entreprise
2 – Du côté des organismes de formation
F. Quelques conditions de réussite
II- Mettre en place le dispositif
A- les fonctions indispensables au e-learning
B- Composants d’un dispositif e-learning
C- Niveaux d’un dispositif e-learning
1 – Support de diffusion
2 – Plates-formes et portails de formation
III- Environnements informatiques pour l’Apprentissage humain (EIAH)
Chapitre 3 : Normes et standards pour le e-learning
I- Introduction
II- La normalisation de la formation en ligne.
A- Approche propriétaire :
B- Approche plus globale :
C- Enjeux de la normalisation de la formation en ligne
III- L’utilité des standards – Pourquoi ?.
IV- Les acteurs de la standardisation – Qui ?.
A- Les spécifications
1- IMS.
2- ARIADNE
3- DCMI
B- Les modèles de références
1 ADL
2 CETIS.
C- Les organismes de standardisation
1 IEEE .
2 ISO.
3 W3C.
V- Gros plans sur différents standards – Quoi ?
A- Données méta : niveau global.
B – Objets d’apprentissage et leurs données méta
C – Unités d’apprentissage.
1 ADL SCORM
2 EML et autres langages de modélisation.
3 IMS Learning Design.
VI- Le cycle de la normalisation Comment?
A- La phase initiale : Embryon
B- La deuxième phase : définition
C- La troisième phase : testabilité
D- La Quatrième phase : standardisation
E- La dernière phase : normalisation
VII- Conclusion
Chapitre 4 : Approches et méthodes de mise en place de dispositifs e-learning
Introduction
II – Approches scientifiques
A – Méthode d’ingénierie des systèmes d’apprentissage (MISA)
B – Pour une approche ergonomique de la conception d’un dispositif de formation à distance utilisant les TIC …41
C – Un outil auteur pour la génération dynamique de cours sur le Web utilisant l’IMS-L
D – Internet nouveaux horizons pour la formation
E – Adaptation négociée lors de la conception d’un dispositif de FOAD
F – Design and generation of collective educational activities
G- la méthode ADDIE
III- Approches Industrielles
A – Comment réussir la mise en place d’un projet eLearning ?
B – Approche de la compagnie SUN
C – La e-formation : une démarche de conduite de projet
D- E-learning et KM quelles convergences
E – Créer un cours en ligne De l’analyse de l’environnement à la réalisation technique
F – La conception d’un site Web éducatif
G – Concevoir et mettre en œuvre des dispositifs de formation ouverte et à distance
IV- Conclusion
Chapitre 5 : l’Ingénierie Systémique
I- Le développement de la systémique
A- Définitions
B- La dynamique des systèmes
C- L’approche systémique
II- L’Ingénierie Système (IS)
A- Définition
B- Description de l’Ingénierie Systémique.
1- Etude (Design) conceptuelle
2- Etude (Design) préliminair
3 – Etude (Design) détailléee
4- Production
5- Utilisation et entretien
6- Mise à l’arrêt et élimination.
III- La mise en place de dispositif e-learning et l’IS
A- Aspects de mise en place de dispositif e-learning
B- Complémentarité entre l’IS et la mise en place de dispositif e-learning
Chapitre 6 : Vers une Méthode de Mise en Place de Dispositifs e-learning
I- Introduction
II- Axe 1 : Analyse systémique des composants du dispositif
A- Les variables structurelles
B- Les variables actancielles
C- Les variables individuelles
D- Les variables des domaines
III- Axe 2 : Dimension temporelle
A- Introduction aux scénarios
1- La place du scénario dans le développement de dispositif de formation en ligne
B – Phasage.
Figure15 : Etapes, phases et délivrables
1- La faisabilité.
Cadrage
2- Analyse
3- Design préliminaire
4- Design Détaillé
5- Production.
6- Déploiement
7- Utilisation et suivi
IV- Axe 3 : Démarche de pilotage et monitoring.
Chapitre 7 : Etude de Cas Mise en place d’un Dispositif e-learning
I- Introduction
II – Demande et problématique du projet.
1 – Demande de l’entreprise
2 – Problématique du projet
3 – Contexte du stage
4 – Mission du projet
a – Contexte du projet
b – Enjeux
c – Fonctionnalités
d – Qualité de service attendu
e – Limites
f – Interface
g – Actions d’accompagnement
h – Public visé
i – Documents de référence
j – Relevés de décision
k – Participants au projet
5 – Méthode de travail
6 – Grands axes de mon travail.
a – Rencontrer les acteurs
b – Intégration des acteurs dans le projet.
III – Actions entreprises et résultats obtenus
1 – Démarche.
2 – Planning prévisionnel
3 – Faisabilité & Analyse
a – Etat de l’art
b – Enquête
4 – Design préliminaire & Détaillé.
a – Réflexions sur la solution e-learning
b – Module1 : MEDIAplus
c – Module2 : e-volution
d – Communication : Introduction au changement.
5 – Production
a – Plateforme LMS
b – Contenus
c – Pilote
Solution déployé
Formation Excel Initiation
Parcours Excel Initiation
Séquence Excel Initiation
Excel Initiation – Post formation
Excel Initiation – Post formation – Documents
Excel Initiation – Post formation – Documents
6 – Déploiement
a – Coût
b – Tests
7 – Utilisation & Suivi
a – Processus qualité
IV – Analyse critique
Questionnaire sur l’utilisation du e-learning (Clients et prospects)
Enquête de satisfaction dans le cadre d’une formation sur Le campus e-volution
Conclusion et Perspective
Conclusion
Bibliographie
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