Mémoire Pour l’obtention du Diplôme de Maîtrise es-Science Economique
Introduction générale
PARTIE I : APPROCHE THEORIQUE SUR LA PAUVRETE ET L’EXCLUSION SOCIALE
Définition
I- Les approches théoriques
1-1 Approche par les ressources
1-2- Phase d’identification
PARTIE II : APPROCHE EMPIRIQUE SUR LA PAUVRETE ET L’EXCLUSION SOCIALE
II-l-Les méthodologies classiques de cette approche
II-2- Causes de l’exclusion sociale
II-3- Politique de réinsertion des exclus
PARTIE III : LES RESULTATS ET PERSPECTIVES
III-1 – Les résultats
III-2- les perspectives
Conclusion générale
Rapport PFE, mémoire et thèse avec la catégorie économie, de gestion et de sociologie
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APPROCHE EMPIRIQUE SUR LA PAUVRETE ET L’EXCLUSION SOCIALE
LES METHODOLOGIES CLASSIQUES DE CET APPROCHE
Cette approche est illustrée dans les débats sur le développement, car le fameux critère du « one dollar par Day ». La recherche française en économie du développement a permis d’enrichir le débat et de sortir de la vision quantitative de la pauvreté pour aborder celle des inégalités et des processus d’exclusion.
Les économistes ont beaucoup fait avancer la recherche dans le domaine de la mesure de la pauvreté et des inégalités. Ils ont contribué à améliorer les instruments traditionnels dans les mesures des inégalités de revenu pour établir des comparaisons internationales et dans le temps. Dès 1979, il a proposé une méthodologie permettant de décomposer l’inégalité selon les ressources afin de mesurer l’impact de la démographie, de l’éducation, de la participation au marché du travail, de l’évolution des prix relatifs. Les études empiriques montrent que les gains économiques conférés par une éducation primaire, secondaire ou supérieure avaient tendance à s’accroître sur tous les continents, en particulier dans les pays en développement comme en Asie ou en Amérique latine.
Cette approche s’est révélée rentable, réduisant la pauvreté tout en stimulant la croissance dans une aire relativement limitée. Personne ne souhaite être pauvre et personne n’accepte passivement cet état. La lutte contre la pauvreté suppose, dans une large mesure, qu’elle soit tiré parti de cet esprit d’initiative et de cette volonté, en stimulant la coopération et en fournissant un soutient matériel. Le problème des pauvres ne tient pas à leurs incapacités de gérer les ressources avec efficience, mais plutôt au fait qu’ils n’ont pas accès. Comme dans le projet du Fond International pour le Développement Agricole (FIDA), le soutien matériel direct accordé aux pauvres ne prend pas la forme de dons, mais plutôt de crédit. Même parmi les plus pauvres et les paysans sans terre, par exemple, les bénéficiaires du projet relatif à la Grameen Bank, au Bangladesh.
Ces approches sont aujourd’hui largement intégrées par la Banque Mondiale qui a lancé un vaste programme de recherche sur l’évolution des inégalités, programme de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale dans le monde 2000. D’autres travaux ont été menés par la recherche française, notamment par le groupement d’intérêt scientifique et les chercheurs de l’Institut de Recherche pour le développement, pour développer de nouveaux outils quantitatifs d’analyse et les tester à l’occasion de nombreux travaux d’expertises.
LES CAUSES DE L’EXCLUSION SOCIALE
Pour connaître ces causes on peut entre autres, en examinant les dimensions signalées par les pauvres. D’après des études faites à Madagascar pour le Père Pedro Pablo OPEKA, des familles démunies toutes entières passent la nuit, à la belle étoile, sous les arcades de l’Avenue de l’Indépendance d’Analakely, en pleine ville, ou dans les tunnels. Des gens habitant des maisons en carton ou en toile plastique, ou encore en toile de jute tout au long du chemin de fer, derrière le quartier administratif luxueux d’Anosy Ampefiloha. Mais aussi des centaines de familles que les autorités municipales de la capitale avaient refoulées. Des sans-abri exclus partant, à travers et autour du capital malgache.
S’agissant du revenu et de la santé, cette cause représente le risque qu’un ménage ou un individu est victime d’un épisode de pauvreté en termes de revenu ou de santé. Mais cette cause signifie également la probabilité d’être victime de plusieurs autres types de risques (violence, criminalité, catastrophe naturelle).
RESULTATS ET PERSPECTIVES
RESULTATS
Dans le cas de Madagascar, tout au début de la lutte contre la pauvreté des exclus et pour leur réintégration social, l’Association Humanitaire Akamasoa a été particulièrement soutenue par seulement quelque partenaire dont : l’Ambassade de Canada, l’Ambassade de Suisse et Médecin Sans Frontière (MSF). Et a tout de volontaires et bénévoles Akamasoa, enseignants, médecins, responsable ainsi qu’à toutes les familles qui y croient et qui luttent encore au jour de jour contre la pauvreté.
Au fur et à mesure les actions d’Akamasoa ainsi que leurs des partenaires sociaux se sont révélées sérieuse et efficaces. Dans le domaine du travail : Voila pourquoi l’Association Akamasoa est très exigeant envers ses membres, quant respect du travail car le travail constitue une condition sine que non de la longévité. L’Association Akamasoa a avancé en premier les activités créatrices d’emploi. Et à l’exception des grands malades, personne ne peut être arrêté chez Akamasoa, sans consentir à travailler, moyennant une rémunération notamment espèce, et partiellement en nature parfois.
Et pour cela, il y a un éventail d’activité rémunératrice proposée à tous les membres, de l’Association Akamasoa. A chacun et chacune d’en choisir suivant ses aptitudes physiques et intellectuelles. Et parmi ces différentes activités créatrices d’employeurs et génératrice de revenu, on peut énumérer quelques :
• Broderie
• Couture et confection
• Travaux de construction et de charpente
• Vente d’objets artisanaux,
• Menuiserie
• Atelier d’ouvrages métalliques
• Agriculture
• Education et enseignement (assistance d’institutrices et d’instituteurs ) et peut citer que cela
• Education des enfants et des jeunes
Donner du travail aux membres adultes constitue effectivement une priorité pour l’association Akamasoa.
Mais cela ne suffit pas pour assure une base solide à cette société. Voila pourquoi, l’éducation et la formation des enfants et de jeunes se trouvent également parmi les priorités dans les actions humanitaires d’Akamasoa , conformément au projet de société qu’elle sert donnée. En effet, le recensement mis à jour en 1999 fait état de 11 000 enfants, dont 8000 scolarisés de la Maternelle jusqu’en seconde, pour l’ensemble des sites Akamasoa . Manantenasoa , Andralanitra, puis Mahatsara, dans la commune d’Ambohimangakely , à l’est de la capitale malgache ; Et Antolojanahary , dans la région d’Ankazobe , sur la route Nationale 4, vers Mahajanga. L’Association d’Akamasoa a fait l’objet de création centre scolaire au service de plusieurs régions de Madagascar.
CONCLUSION
Depuis longtemps, le concept de la pauvreté est associé à la notion de dénuement matériel, auquel on a parfois tenté de remédier par le développement économique ou par d’autres politiques sociales visant à satisfaire les besoins fondamentaux. Dans les pays en développement (PED) comme l’Afrique Subsaharienne : le taux d’offre de travail féminin sont beaucoup plus faibles que ceux des hommes, et ne s’élèvent qu’à 40 à 60 pour cent de ces derniers.
Tout en reconnaissant que chacune de ces deux approches et les enjeux sociaux, sur le plan théorique, la référence à l’approche par les capacités fournissent un cadre analytique qui permet d’identifier les concepts de la pauvreté et l’exclusion sociale. Sur le plan empirique les chercheurs se sont, jusqu’à présent employé à comparer et opposer ce que chacune de ces approches préconisait et à voir dans quelle mesure elle expliquait la pauvreté. Ce faisant ils ont eu tendance à aborder ces approches isolément ou en minimisant le rôle de certains facteurs importants.
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