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Approche historique des IDE des autres pays :
Autre Madagascar, on intègre notre étude à l’échelle mondiale. Avant les années 1980, l’écart était très grand entre les pays. Cependant, le monde a changé et il est subdivisé en trois zones économiques par la Banque Mondiale ° selon le niveau de revenu : nord et l’Union Européenne ;
Les pays émergents à économie émergente décrivent les économies à revenu intermédiaire au revenu plus élevé parmi les pays en développement, PNB par habitant entre USD 756 et 9265.
Nombre des pays en développement ont largement dépassé cette référence imposée par la Banque Mondiale et ils ont devenu les pays nouvellement industrialisés.
Ainsi, les pays émergents sont-ils ceux qui ont décalé des pays pauvres et ayant une croissance répartie. Ils comprennent les pays d’Asie, du pacifique, des pays méditerranéens et peu de pays d’Afrique.
Les troisièmes zones économiques sont les pays non émergents qui sont des pays à faible revenu (PNB par habitant inférieur à USD 755) dans les pays en développement.
Ils comprennent quelques pays d’Asie, très peu de pays du Moyen Orient et l’Afrique subsaharienne. Notre objectif serait de déterminer des IDE correspondant à cette répartition. Afin de pouvoir mener une étude sur une longue période, il serait préférable de diviser en trois parties : premièrement, on aborde les réalités des pays de l’OCDE, ensuite les pays non OCDE émergents et en dernier lieu, les pays non OCDE non émergents.
Dans les pays de l’OCDE :
Les firmes multinationales (FMN)8 commencent à se développer lors de la première Révolution industrielle dans les secteurs principalement industriels (Singer, Général Electric) . C’est aussi la période où les compagnies pétrolières s’implantent hors de leurs pays d’origine. La croissance rapide du commerce mondial fut alors favorisée par la nette baisse des coûts de transport, la réduction des droits de douane et des inventions majeures. Cette expansion des exportations a entrainé des flux massifs de capitaux d’Europe occidentale vers les Amériques, l’Aust0ralie et ailleurs.
La fin du XIXème et le début du XXème siècle ont été des périodes propices à l’essor des IDE, en même temps que se développaient les FMN, appelées au début free standing compagnies.
A cette époque, des firmes multinationales Allemandes apparaissent : Siemens, Bayer et Michellin s’implantent aux USA en 1907
Entre les deux guerres (de 1914 – 1918 et 1939 – 1945), l’IDE s’arrête en raison d’instabilité monétaire, du renforcement du protectionnisme avec la généralisation des contrôles de capitaux. Les Etats cherchent avant tout à conserver les r essources nationales.
De plus, les crises de change et bancaires qui ont ponctué la première décennie du vingtième siècle constituant d’entraves à la libre circulation des Biens et de capitaux.
Mais après-guerre et la signature des accords de Bretton-Woods ont marqué un retour au libre échangisme. La propagation des FMN se fait sentir après 1945. Néanmoins, 8 Une FMN est une entreprise au chiffre d’affaire~supérieur10~ à 500 millions de dollars ONU les contrôles de capitaux ont continué pendant plus de 10 ans. Seulement la fin des années 50 ont vu l’édition par l’OCDE du code de libéralisation.
Mais le processus de libéralisation et de déréglementation ainsi que le démantèlement des contrôles de capitaux n’ont connu un réel essor qu’à la fin des années 80.
Ainsi, la décennie 90 a vu tomber les entraves aux échanges. Ce qui s’est traduit par une croissance rapide du commerce mondial et par d’importants mouvements de capitaux (cf. au tableau suivant)
Pendant la décennie 80, la part des pays industrialisé s comme pays investisseurs et comme pays d’accueil est de l’ordre de 95% du stock total d’IDE mais décroît la décennie suivante mais reste toutefois plus de 90%. Depuis mars 2000 et les premières faiblesses du Nasdaq, les grandes opérations se raréfient, l’incertitude demeure dans l’avenir. Outre cela, l’événement du 11 septembre 2001 a définitivement laissé une trace profonde dans le monde entier. Aucun pays n’est à l’abri d’une nouvelle forme de risque.
En ce qui concerne l’étude de l’espace, la majeure partie des activités d’IDE s’est toujours implantée dans les pays développés à économie de marché. De même que les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France se présentent comme les principaux pays d’origine. Ils sont aussi les principaux partenaires d’accueil.
Les pays industrialisés sont les premiers pays d’accueil des IDE.
Cas de la France :
Entre 1986 et 1996, la France avait entamé une intégration vers l’Union Européenne (UE), elle a amorcé un nouveau mouvement d’IDE en direction de l’Amérique Latine et d’Asie. Ce pays est considéré comme l’un des plus dynamiques de la zone euro en 1999. Avec 107 milliards de dollars ($) réalisés, la France dépasse désorm ais l’Allemagne (98 milliards)9.
Toutefois, la garantie des investissements offerte par l’Agence française de développement (AFD) couvre de nombreux pays qui présentent des risques politiques. L’AFD assure depuis Avril 2000 la gestion de procédure d’Assurance de Risque des Investissements dans la plupart des pays de la zone de solidarité prioritaire (ARIZ) et en assume le partage que de s’aventurer dans les pays avec de grands avantages comparatifs mais à très haut risques pays, qui échappent ou empêchent le bon fonctionnement de la production. La procédure ARIZ se substitue au fonds ARIA géré précédemment par SOFARIS.
En 2000, malgré la progression vers les pays émergents, les développés (71,5%) restent les principaux pays d’accueil au détriment des pays en développement (25,8%).
Quelques FMN françaises :
(Bolloré, Total Fine, Air France, Vivendi, France Télécom, Rougier Compagnies Française d’Afrique de l’Ouest) préfèrent leurs tailles de confortables profits dans des pays où les coûts de production sont élevés mais où le « retour sur investissement » est le plus rapide du monde10. Quant à l’attractivité du territoire français, la France est au 3ème rang mondial dans des pays investisseurs à l’étranger et au 5ème rang mondial et au 3ème européen des pays d’accueil en 2001.
Le Royaume-Uni attire deux fois plus d’IDE que la France11.
La première explication de cette progression accélér ée concerne les opérations de trésorerie. Cette contribution croissante des opérations du court terme passe de 4 à 40% du total d’IDE entrant en 199912.
La deuxième explication est la dynamique des Fusions-acquisitions (F & A), notamment depuis 1996. Une meilleure conjoncture et la recherche d’efficacité et de pouvoir de marché dans un marché intègre expliquent largement cette vague d’opération. Les principaux pays d’origine des IDE entrants et les opérations correspondantes sont : Pays-Bas avec 30%des entrées et Astemis et Primagaz concernant l’investissement
Néerlandais, Belgique avec 15% de part, Espagne avec 14% et la Si et a son principal investissement, Allemagne avec 8% et Aventis pour l’investissement allemand, Royaume- Uni possède 7% et BSN Emballages comme principal investissement.
Les Etats-Unis d’Amérique représentent 7%, Suisse pour 6% et une part marginale pour le Japon. En 1999, les Pays-Bas investissent surtout dans le domaine de la chimie et d’autre part la location d’un grand nombre de holding dans le pays.
La sécurisation de l’Etat français contribue incontestablement à cette position que ce soit en tant qu’investisseur ou en tant que pays d’accueil. De plus, la France est considérablement un pays pratiquent la libéralisation. Le point crucial de l’attractivité de la France est tel qu’elle met en place la bonne gouvernance, elle pratique également l’Etat de droit qui favorise l’indépendance de la justice, la transparence de la passation de marché publique. La France est complètement un pays démocratique défendant le Droit de l’Homme.
Cette discipline entre Etat et Citoyen améliore la révélati on des préférences publiques. Cela amène aux investisseurs une vision assez large et leur guide à une incitation à s’investir.
Cas des Etats-Unis d’Amérique
Les Etats-Unis ont le niveau PNB globale le plus élevé dans le monde et sont souvent considérés comme pays de référence.
Outre cela, le dollar est toujours resté fort, malgré les troubles financières et économiques que les autres pays industrialisés ont connus depuis la seconde guerre mondiale. Depuis plus de 20 ans, les Etats-Unis puisent abondamment l’épargne mondiale pour soutenir leur forte consommation. Jusqu’en 1975, les FMN sont essentiellement d’origine américaine. Puis le processus devient européen et japonais, obligés d’accélérer pour tenter de rattraper les Etats-Unis. En 1999, sur les 20 premières FMN mondiales, 50% sont américaines. Les Etats-Unis ont tendance à se désengager de l’Amérique du Nord pour se recentrer vers l’UE et vers l’Amérique Latine, avec un montant de 17 milliards de dollars en 1998 pour ce dernier. Les Etats-Unis sont passés d’investisseurs nets à importateurs nets d’IDE. Si le solde net des flux d’IDE était-39,8 milliards de dollars en 1995, ceci devient un solde positif de 130,4 milliards en1999 selon le FMI en 2000. D’après l’OMC, l’Union Européenne (UE) est à l’origine de 80% des opérations internationales de fusions et acquisitions effectuées~13~ aux Etats-Unis. De 1986 à 1996, les investisseurs directs étrangers (IDE) ont plus doublé aux Etats-Unis, approchant les 600 milliards de dollars13. En ce qui concerne la conjoncture économique, 2001 a marqué un ralentissement dans tous les secteurs .La récession économique et la chute des marchés financiers ont fait doubler le nombre de faillites.
En bref, le dynamisme de l’économie américaine attire beaucoup d’IDE. Il est toutefois connu que chaque Etat aux USA présente sa spécificité et ses avantages comparatifs. Prenons le cas d’un Etat américain qui justifie le choix des Etats-Unis comme pays destinataires des IDE, celui de Floride14. Floride attire des investisseurs aves son savoir-faire dans les hautes technologies (hightech), sa main d’œuvre qualifié et sa nouvelle approche sur le développement des affaires. Nulle-part ailleurs, l’esprit de l’innovation fait l’Etat de Floride une location des IDE et qui a rapidement gagné une réputation de « centre d’innovation d’Amérique ». La région des affaires professionnelles, de climat de hautes technologies combinées avec un accès commercial facile aux régions de croissance clés sont identifiées pour expliquer l’éveil des investissements directs des ID
du côté de Floride.
L’Etat, a une base robuste de technologie avec une qualité très moderne s’adaptant à la conjoncture actuelle, possède 10000 sociétés de hautes technol ogies et employant 230000 mains-d’œuvre hautement qualifiées. Elle se glorifie de la présence des secteurs de « nouvelle économie », tels que l’aviation / aérospatial, la technologie d’information, la technologie et la recherche biomédicale. En outre, Floride offre une main d’œuvre abondante et diverse. Le Floride du Sud se vante en particulier de la main-d’œuvre à plusieurs cultures et longues.
Floride bénéficie d’un taux le plus haut de formation des affaires aux USA. Elle accueille une variété d’incubateur, d’accélérateur de technologie. Elle possède également des systèmes de transports à plusieurs fonctions les plus vitales du gouvernement dans l’orientation des affaires. Floride a des programmes sur l’amélioration du climat des affaires. Ce climat, reconnaissant la concurrence à laquelle fait face l’Etat, fournit des incitations aux investisseurs incluant l’incitation sur la création d’emplois, d’investissements et de formation. Elle est aussi le centre économique et stratégique de l’Amérique.
Sa localisation géographique combinée avec la stabilité politique et économique, la mettent au centre du commerce et de la finance partout dans l’hémisphère.
Outre ces avantages, d’un côté le secteur privé tient les législateurs au courant des problèmes qui affectent la compétitivité globale.
L’Etat de l’autre côté offre un coût de vie très compétitif et ne perçoit pas d’impôts sur le revenu individuel. C’est un Etat de choix, urbain, rural, Sub-Urbain, multiculturel. L’innovation, non pas l’euro ni le dollar, est la devise de l’économie globalisée d’aujourd’hui. Elle augmente la productivité, attire les investissements et stimule le rendement et le redressement de l’économie va s’associer.
Si tel est le cas des pays développés , qu’en est-il des pays émergents ?
Dans les pays non OCDE émergents
D’une manière générale, les investissements dans les PED sont attirés par ceux connaissant des niveaux de revenus relativement élevés, appelés pays émergents.
Néanmoins, cette proportion n’excède pas le quart des actifs correspondants à l’IDE.
Au début des années 80 , la plupart des pays émergents dégagent structurellement un besoin de financement (solde courant auquel vient s’ajouter le remboursement en principal la date). Ils n’avaient pas une base d’investissement privé local. Les formes et les modalités de financement de ce déficit ont évolué au court du temps.
A côté, des flux générateurs de dette, d’autres capitaux privés ont afflué vers les économies émergentes. Il apparaît que certains degrés d’intégration financière ou stabilité monétaire sont susceptibles d’influencer les flux d’IDE vers la nouvelle sphère.
A cette époque aussi, les pays en développement ont bénéficié de la création d’une institution internationale, dont le but est d’encourager les flux d’IDE dans les pays concernés, de promouvoir l’investissement en leur fournissant une assurance sur les risques politiques.
Ainsi, une institution de garantie multilatérale afin de parfaire au programme d’assurance pour l’investissement régional et national (MIGA) a été créée en 1989 pour compléter les activités de la Banque International e pour la Reconstruction et de Développement (BIRD), la Coopération de Finance Internationale (CFI) et d’autres institutions pour le développement de la finance internationale. MIGA fait sa propre évaluation si l’investissement proposé se conforme aux lois, aux régulations, aux objectifs et aux priorités de développement du pays d’accueil. Cette institution approuve ou refuse la couverture des IDE dans la forme proposée par l’investisseur.
Depuis que le MIGA a commencé à opérer le flux d’IDE s’est accru considérablement dans les pays en voie de développement. Entre 1990 et 2000, le chiffre cumulé d’IDE facilité par l’agence est estimé à 36 milliards de dollars, (entretenu par 307 projets).
Entre 1990 et 1995, MIGA facilite une moyenne annuelle de 1,3 milliards de dollars d’IDE. Après, cette moyenne a augmenté jusqu’à 5,6 milliards par an. Les garanties couvrent en même temps les investissements entrant et sortant des pays en voie de développement. Les investissements sont originaires de 33 différents pays dont 14 dans les pays en voie de développement, entre autres : Argentine, Les Bahamas, Brésil, Cypres, Egypte, Inde, Corée, Malaisie, Panama, Arabie Saoudite, Afrique du Sud, Turquie et Uruguay. Ces projets ont d’importants impacts sur le développement du pays d’accueil. Partant de la création d’emplois, introduisant des technologies modernes, générant des échanges extérieurs, augmentant les ressources de l’Etat, si on ne parle que des effets directs. Par exemple, Zarafshen Nexmont-Uzbekistan est une entreprise qui procède à l’extraction d’or, étant classé comme une grande créatrice d’emplois avec 300 à 400 emplois.
Le MIGA a contribué à une augmentation de 21% D’IDE par rapport à l’anticipation originaire.
Les FMN ont également cherché à profiter de cette ouve rture à des avantages comparatifs tels que la main-d’œuvre à bon marché et un potentiel très élevé pour la technologie. L’ancrage des devises asiatiques au dollar a aussi été perçu par les opérateurs étrangers comme une politique de change crédible. Avec l a montée de gamme des produits et le développement d’une demande locale, ces entreprises ont profité également de la clientèle domestique et là où les retours sur les investissements sont très espérés.
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Table des matières
INTRODUCTION
I. .. GENERALITE ET APPROCHE HISTORIQUE SUR LES CAPITAUX ETRENGERS A MADAGASCAR
I- 1-Généralités sur les capitaux étrangers à Madagascar
I- 1-1 Définition des capitaux étrangers
I 1-2 Typologies des capitaux étrangers
I- 1-3 Investissement Direct Etranger (IDE)
I -1-4 Investissement de Portefeuille (I.P)
I- 2 Approche historique des IDE à Madagascar
I- 2-1 Historique des politiques affectant l’investissement à Madagascar
I- 2-2 Politique d’endettement
I -2-3 Financement déficit par la fiscalité
I- 2-4 Politique budgétaire et fiscale
I- 3 Approche historique des IDE des autres pays
I-3-1 Dans les pays de l’OCDE
I.3.1.1. Cas de la France
I 3.1.2 Cas des Etats-Unis d’Amérique
I.3.2 Dans les pays non OCDE émergents
I.3.2.1 Cas de Maurice
I 3.2.3 Cas des pays méditerranéens (PM)
I -4 Dans les cas des pays non OCDE, non émergents
I- 4- Dans les cas des pays non OCDE, non émergents
I.4.1 Evolution du niveau des investissements
I4.1.1 Au niveau du continent africain
I 4.1.2 Comparaison entre pays développés et sous-développés
II APPROCHE THEORIQUE DES INVESTISSEMENTS DIRECTS ETRANGERS (IDE)
II.1- Théorie de l’entreprise multinationale
II.1.1 Réalité des FMN ou transnationales
II. 1. 2. Stratégie d’implantation des FMN
II. 1. 2. 1 – Stratégie productive ou délocalisation
II. 1. 2. 2 – Stratégie commerciale
II. 1. 2. 3 Stratégie de fragmentation
II. 2 –Théories modernes autour des IDE
II. 2. 1 –Quelques théories des IDE
II. 2. 2 –Aversion pour le risque
II. 2. 2. 1 –Détermination de l’aversion sur le risque
II. 2. 2. 2 –Théorie du risque de change
II. 3 –Débats autour des IDE
II.3. 1. –Argumentation en faveur des IDE
II. 3. 1. 1. –Théorie du double déficit
II. 3. 1. 2 –Effets directs
II. 3. 1. 3Effet sur l’emploi
II. 3. 2 –Transfert de technologie et ouverture
II. 3. 2. 1 –Effet de démonstration
II. 3. 2. 2. –Effet de concurrence
II. 3. 2. 3 –Effet d’entrainement en amont et en aval
II. 4 –Argument à l’encontre des IDE
II.4. 1. –Réduction de double déficit pas vérifiée
II. 4. 2 –Réduction du double déficit vérifiée
II. 4. 3 –Surfacturation des importations
II. 4. 4.-Rapatriement des devises (Fuite des devises)
III-Approche pratique et état de lieux à Madagascar
III. 1 –Situation et environnement des affaires
III. 1. 1. –Contexte et repère
III. 1. 1. 1. –Environnement juridique des IDE à Madagascar
III 1. 1. 2 –Environnement politique
III 1. 1. 3 –Environnement économique
III 2 Sécurisation des IDE et politique d’attraction favorable
III 2.1 Sécurisation par le gouvernement
III.2.2.Intégration dans les marchés régionaux
III2.3.Sécurisation bilatérale et multilatérale
III.3.Etat des lieux des IDE français à Madagascar
III.3.1.Type d’IDE français à Madagascar
III.3.2-Climat des affaires et évolution des IDE
III.3.2.1 Infrastructure locale
II.3.2.2 Déterminent des IDE
III.3.2.3 Capacité d’attraction de Madagascar en matière d’IDE
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
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