Apprentissage de la conduite automobile
Contexte historique
Grรขce ร Jean Orselli dans son rapport de 2009 ยซ Usages et usagers de la route, mobilitรฉ et accidents (1860- 2008) ยป au Conseil gรฉnรฉral de lโenvironnement et du dรฉveloppement durable et au site Internet de la sรฉcuritรฉ routiรจre, jโai retracรฉ lโhistoire du permis de conduire et de son apprentissage. Avant 1900, le certificat de capacitรฉ pour la conduite de vรฉhicule est dรฉfini par une circulaire ministรฉrielle du 14/08/1893 et la rรฉglementation de la circulation des automobilistes date de 1899. Le service des mines fait alors passer un examen aux candidats. La vitesse est limitรฉe ร 30 hm/h en campagne et 20 km/h en agglomรฉration. Le nombre dโautomobiles en circulation augmente trรจs vite, de 1 670 en 1899, ร 12 980 en 1903 et 31 280 en 1907.
Les premiers manuels destinรฉs aux automobilistes sont รฉditรฉs avant 1900. Lโenseignement de la conduite est principalement dispensรฉ par les constructeurs automobiles auprรจs de leurs clients. Les premiรจres auto-รฉcoles voient le jour en 1917. Dans les annรฉes 1920, le foisonnement de rรฉglementations รฉparses va provoquer la crรฉation du code de la route par dรฉcret du 27/05/1921. La rรฉglementation sur lโutilisation des voies publiques pour lโenseignement de la conduite sโรฉtoffe. Le ยซ certificat capacitรฉ ยป devient le ยซ permis de conduire ยป. Le service des mines ne pouvant plus faire face ร lโaugmentation du nombre de candidats au permis de conduire, cโest lโUnion nationale des associations de tourisme (U.N.A.T.), association de droit privรฉ, qui sera habilitรฉ ร fournir des avis sur la capacitรฉ des candidats. En 1927, lโU.N.A.T. a examinรฉ plus de 267 000 candidats au permis de conduire et plus du double en 1930. En 1925, lโutilisation de vรฉhicule ร double commandes est rendue obligatoire ร Paris. Lโenseignement de la conduite se professionnalise.
Dans les annรฉes 30, pour faire face ร la multiplication des accidents, les pouvoirs publics mettent en place des actions de prรฉvention, comme lโintervention des gendarmes dans les รฉcoles pour sensibiliser les enfants aux risques de la route (interventions qui se pratiquent encore ร nos jours) et crรฉent des comitรฉs de sรฉcuritรฉ routiรจre dรฉpartementaux. Aprรจs guerre, le nombre de tuรฉs sur la route ร 6 jours (cโest-ร -dire ยซ sur le coup ยป et jusquโร 6 jours aprรจs lโaccident) est exponentiel : 3 457 en 1948 pour atteindre 18 034 en 1972 ; annรฉe la plus meurtriรจre jamais atteinte. En 1954, une loi autorisera la recherche de taux dโalcoolรฉmie dans le sang du conducteur en cas dโaccident grave. Lโenseignement du code de la route devient obligatoire (dรฉcret du 26/07/1957) et lโobligation dโassurance est instituรฉes en 1958 (avant lโassurance ยซ responsabilitรฉ civile ยป du conducteur prenait en charge les dommages). Cette mรชme annรฉe est mise en place une rรฉglementation des auto-รฉcoles et est crรฉรฉ le diplรดme dโenseignant ร la conduite.
Lโexamen du permis de conduire sโuniformise, les questions de code sont prรฉdรฉfinies et les inspecteurs doivent justifier lโajournement dโun candidat. A partir des annรฉes 70, lโEtat reprend en charge le passage des examens du permis de conduire qui รฉtaient jusquโalors toujours rรฉalisรฉs par lโUNAT ; et crรฉe le Service National des Examens du Permis de Conduire (SNEPC). Les pouvoirs publics vont mettre en place un grand nombre de mesures prรฉventives : limitation ร 90 km/h pour les nouveaux conducteurs pendant la premiรจre annรฉe ; obligation du port de la ceinture de sรฉcuritรฉ pour les automobilistes et du casque pour les conducteurs de deux-roues motorisรฉs ; abaissement des limitations de vitesse, interdiction des motocyclettes de plus de 100 chevaux (1984). Pendant cette pรฉriode, la mortalitรฉ routiรจre baisse rรฉguliรจrement : 11 387 morts en 1985.
A la fin des annรฉes 80, les pouvoirs publics vont รฉgalement aborder la sรฉcuritรฉ routiรจre sous lโangle de son instruction, passant dโun enseignement des rรจgles ร une รฉducation du comportement, avec lโรฉlaboration du Programme national de formation ร la conduite (PNF) qui restera en vigueur jusquโau 30/06/2013 ; la gรฉnรฉralisation, en 1988 de la conduite accompagnรฉe ร tout le territoire. Le permis ร point est instaurรฉ en 1992 et le Brevet de sรฉcuritรฉ routiรจre pour les jeunes cyclomotoristes en 1997. Le nombre de personnes tuรฉes sur la route diminue moins vite, mais rรฉguliรจrement : 8 487 en 1999. Les annรฉes 2000 voient apparaรฎtre le permis probatoire et la mise en place des radars automatisรฉs, les sanctions se durcissent, notamment pour lโalcool et la vitesse. En 2009 est lancรฉe la rรฉforme du permis de conduire. Celle-ci aboutira, notamment, ร une rรฉvision complรจte de la banque de donnรฉes des questions du code de la route ; une refonte de lโexamen pratique, lโobjectif รฉtant de vรฉrifier la capacitรฉ du candidat ร se dรฉplacer en sรฉcuritรฉ et de faรงon autonome. Fin 2013 est mis en place le permis รฉlectronique et les catรฉgories de permis sont modifiรฉes, consรฉquence dโune directive europรฉenne du 20/12/2006 visant ร lโharmonisation des permis de conduire sur le territoire europรฉen. La rรฉforme du permis de conduire souhaitรฉe en 2009 va รฉgalement aboutir ร une รฉvolution notoire de lโenseignement de la conduite : la crรฉation du Rรฉfรฉrentiel pour lโรฉducation ร une mobilitรฉ citoyenne.
Rรดle rรฉel
Dans la rรฉalitรฉ, jโessaie de suivre le rรดle qui mโest prescrit et il est tout ร fait possible de le respecter pour certains apprenants, qui comprennent rapidement la construction du scรฉnario pรฉdagogique ou qui ont dรฉjร conduit des vรฉhicules ร moteur. Ils rรฉpรจtent les exercices autant que nรฉcessaire jusquโร rรฉussite. Ces apprenants ne me sollicitent pas ou peu et rรฉussissent lโintรฉgralitรฉ du parcours parfois en moins de 4 heures. Je suis tรฉmoin que certains ne respectent pas toujours les consignes donnรฉes par le simulateur et pourtant rรฉussissent les exercices de validation. Dโautres apprenants me sollicitent rรฉguliรจrement : ils sont bloquรฉs. Trรจs souvent ils nโont simplement pas รฉcoutรฉ correctement la consigne au niveau ยซ guidage 1 ยป, ils attendent que lโordinateur annonce lโaction ร effectuer alors que la consigne est ยซ Suivez les instructions pas ร pas et dรจs que vous pensez ne plus avoir besoin dโaide, anticipez les actions ยป.
En fin dโexercice, le moniteur virtuel dit : ยซ vous avez terminรฉ lโexercice, mais vous nโavez pas rรฉussi ร anticiper toutes les principales actions ยป et le simulateur ne valide pas le niveau qui est ร refaire. Lโapprenant nโentend pas le mot ยซ anticiper ยป ou ne le comprend pas, il ne sait pas pourquoi il doit refaire lโexercice puisque le simulateur a dit quโil รฉtait terminรฉ. Dans ce cas, je leur rappelle la consigne et leur demande ce que signifie le mot ยซ anticiper ยป. Dans les niveaux supรฉrieurs, ยซ renforcement ยป et ยซ autonomie ยป, le moniteur virtuel ne fournit plus les actions ร rรฉaliser. Si lโapprenant a oubliรฉ une action de lโenchaรฎnement, lโordinateur attend celle-ci et lโapprenant mโappelle pour me dire que lโordinateur est bloquรฉ. Je demande ร lโapprenant ce qui lui est demandรฉ, il ne sait plus. Je lui demande, au regard de lโenchaรฎnement appris ce quโil pense devoir faire, il rรฉalise une action ; si lโerreur est majeure ou aprรจs deux erreurs mineures, lโexercice est ร refaire au dรฉbut. Le dรฉcouragement arrive trรจs vite, dโautant que les enchaรฎnements ร mรฉmoriser sont de plus en plus longs.
Si je laisse lโapprenant chercher dans sa mรฉmoire ce quโil a entendu, retenu, je ne peux le laisser ainsi sans rรฉponse quand il est bloquรฉ. Je lui propose alors de refaire lโexercice en le regardant faire, ainsi je peux voir ce quโil ne fait pas correctement. Selon le type de blocage, je lui donne des explications techniques ou lui demande de rรฉรฉcouter la consigne et ce quโil en a compris, je le corrige sโil la dรฉforme. Ce peut รฉgalement รชtre la lenteur de lโapprenant qui le fait รฉchouer, lโexercice devant parfois รชtre rรฉalisรฉ dans un temps dรฉterminรฉ ou en temps rรฉel ; dans ce cas je lโencourage ร aller plus vite en lui donnant des astuces mnรฉmotechniques. Lโapprenant peut aussi รฉchouer parce quโil nโa pas compris ou a oubliรฉ les connaissances apportรฉes en dรฉbut dโobjectif ou de sous-objectif. Dans ce cas, selon le problรจme, je rรฉexplique comment fonctionne le vรฉhicule ; pourquoi il faut dรฉbrayer pour passer les vitesses, ce qui se passe mรฉcaniquement au point de patinage ; pourquoi il faut tenir le volant ร ยซ 10 h 10 ยป ; pourquoi il ne faut pas mettre ses pieds ยซ ร plat ยป mais sur les talonsโฆ toutes ces explications du simulateur que les apprenants ne retiennent ou ne comprennent pas. Parfois, aussi, lโapprenant souhaite ma prรฉsence, il me dit que รงa lโaide. Dans ce cas, je lui dis que cโest bien quand il rรฉussit ou que cโest normal quand il ne rรฉussit pas, parce quโil faut sโentraรฎner pour rรฉussir.
Repรฉrer les contenus de lโactivitรฉ
Le prรฉalable ร toute conception de simulation quelle quโelle soit consiste ร analyser lโactivitรฉ pour en repรฉrer les contenus. Pour Pierre Pastrรฉ (2011, p. 35), ยซ analyser le travail, cโest principalement aller observer lโactivitรฉ, mรชme si pour entrer dans lโanalyse de lโactivitรฉ il faut commencer par une analyse de la tรขche. Pour faire une analyse du travail, il faut aller sur le terrain, observer et enregistrer ce que font les acteurs ยป. Pour les simulateurs de grande รฉchelle, tous les contenus de lโactivitรฉ sont recherchรฉs ; alors que, pour ceux de rรฉsolution de problรจme, les รฉtudes portent sur tous les รฉlรฉments constitutifs du problรจme. A travers la grande diversitรฉ des caractรฉristiques de lโactivitรฉ, son analyse consiste ร rรฉpertorier ses contenus pour en extraire les ยซ invariants ยป qui la constituent, qui servent de base ร la crรฉation de la ยซ situation de rรฉfรฉrence ยป sur laquelle sโappuie la conception du simulateur. R. Samurรงay et J. Rogalski (1998, p. 336) dรฉfinissent la ยซ situation de rรฉfรฉrence ยป comme : ยซ la classe des situations de travail qui, dans le processus de formation, sont la cible du dรฉveloppement de compรฉtences. Les situations de travail sont dรฉfinies comme un ensemble de tรขches (un but ร atteindre avec un systรจme de ressources et de contraintes) et dโacteurs dans un dispositif organisรฉ. ยป. La deuxiรจme รฉtape va consister ร construire un milieu dโapprentissage, mis en scรจne ร partir de la situation de rรฉfรฉrence et des choix didactiques.
Passer de la situation de rรฉfรฉrence au scรฉnario didactique
Le programme informatique qui construit la situation dโapprentissage a des limites car tout nโest pas possible techniquement, financiรจrement. Toutefois, il prรฉsente de grandes opportunitรฉs pour la formation : il autorise ร concevoir des situations de formation impossible ร construire dans le rรฉel, car trop dangereuses par exemple, ou trop exceptionnelles, notamment dans la rรฉsolution de problรจmes. Il offre lโopportunitรฉ de transformer le milieu de travail en milieu de formation. La situation de rรฉfรฉrence permet dโordonner les invariants de lโactivitรฉ visรฉe dans un systรจme organisรฉ. Ce classement aboutit ร une progression par niveaux de difficultรฉs : cโest le scรฉnario didactique. Il tient compte des prรฉ-acquisitions nรฉcessaires ร lโaction de niveau supรฉrieur. Cโest-ร -dire que lโorganisation croissante des activitรฉs va favoriser lโapprentissage pour, quโau fur et ร mesure, lโapprenant augmente ses ressources. Les grandes classes de situations gรฉnรจrent un rรฉpertoire de rรจgles dโaction : en partant dโun problรจme soluble et en augmentant les difficultรฉs, lโapprenant est obligรฉ de construire de nouvelles ressources, les paliers de difficultรฉ vont lui permettre dโatteindre les problรจmes les plus complexes ou les enchaรฎnements dโactions les plus compliquรฉs.
Les informations de la sociรฉtรฉ conceptrice
La sociรฉtรฉ qui a conรงu le simulateur que jโutilise a trรจs facilement rรฉpondu ร mes questions qui portaient sur les diffรฉrentes รฉtapes de sa conception, les choix didactiques lors du passage de la situation rรฉelle ร la situation simulรฉe et si lโaccompagnement y avait รฉtรฉ envisagรฉ. Lโentreprise mโa expliquรฉ quโune รฉquipe de professionnels, notamment composรฉe de formateurs de moniteurs dโauto-รฉcoles, a dรฉcortiquรฉ lโensemble des composantes dโapprentissage des tรขches, quโelle a divisรฉes par schรจmes simplifiรฉs. Ceux-ci ont ensuite รฉtรฉ rรฉassociรฉs pour ancrer les connaissances par lโexpรฉrience. La situation simulรฉe a รฉtรฉ รฉlaborรฉe ร partir dโobjectifs ร atteindre, plutรดt que par mimรฉtisme de la mรชme tรขche rรฉalisรฉe sur vรฉhicule. Une fois dรฉfinis les objectifs attendus, lโentreprise a recherchรฉ comment les atteindre grรขce ร lโoutil informatique et sโil รฉtait appropriรฉ de le faire sur simulateur. Elle mโa fourni, en exemple, lโobjectif des manoeuvres en marche arriรจre qui est, aujourdโhui, trop couteux ร rรฉaliser sur simulateur, et donc laissรฉ ร la formation traditionnelle. Pour chaque sous-objectif, elle a crรฉรฉ sept niveaux de conseil diffรฉrents qui sโadaptent automatiquement ร la qualitรฉ de rรฉsolution des micro-tรขches demandรฉes.
Ils vont de la rรฉpรฉtition de la consigne, ร lโencouragement, en allant jusquโau conseil minimaliste en cas dโerreur quand lโapprenant semble avoir presque rรฉussi son objectif. Pour le constructeur, une contrainte de lโapprentissage sur simulateur est quโil dรฉpend des capacitรฉs de mรฉmorisation des apprenants, limitรฉes ร cinq items maximums, pour permettre une restitution optimisรฉe. Une autre contrainte est lโacceptation du simulateur par lโapprenant comme intelligence artificielle, pouvant simuler une empathie vis ร vis des progrรจs rรฉalisรฉs. Les encouragements ร la rรฉussite de la progression pรฉdagogique rendent acceptable la rรฉpรฉtition des exercices. Si un accompagnement spรฉcifique nโest pas nรฉcessaire pour le concepteur, il pense, toutefois, que le formateur est le bienvenu dans lโapprentissage sur simulateur qui est un outil de plus mis ร sa disposition pour enrichir le transfert de connaissances. Certains lโutilisent en couplant simulateur et conduite rรฉelle avec des discussions et des mises en parallรจle des expรฉriences vรฉcues de part et dโautre sur les deux outils. Aprรจs avoir interrogรฉ lโentreprise conceptrice, jโai choisi de rapprocher les informations obtenues, les apports thรฉoriques, que jโai prรฉsentรฉs en dรฉbut de cette partie, et mes connaissances du simulateur. Mon intention est de dรฉterminer les conditions de lโapprentissage.
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : ELEMENTS DE CONTEXTE
1.Apprentissage de la conduite automobile
1.1. Contexte historique
1.2. Rรฉfรฉrentiel pour lโรฉducation ร une mobilitรฉ citoyenne
2.Contexte professionnel
2.1. Lโentreprise
2.2. Mes activitรฉs professionnelles
3.Le simulateur de conduite automobile
3.1. Le matรฉriel
3.2. Cadre dโapprentissage sur simulateur
3.3. Scรฉnario pรฉdagogique
3.4. Construction de chaque sous-objectif
3.5. Apport de connaissances
3.6. Apport de savoir-faire automatisรฉs
4.Rรดle de lโaccompagnateur
4.1. Rรดle prescrit
4.2. Rรดle rรฉel
5.Etonnements / Emergence de la question de dรฉpart
DEUXIEME PARTIE : USAGES DE SIMULATEURS EN FORMATION PROFESSIONNELLE
1.Conception dโun simulateur
1.1. Repรฉrer les contenus de lโactivitรฉ
1.2. Passer de la situation de rรฉfรฉrence au scรฉnario didactique
1.3. Transformations des conditions du milieu
1.4. Rรดle du dรฉbriefing
2.Exemples dโusages de simulateurs en formation professionnelle
2.1. Formation au raisonnement prรฉalable ร la taille de vigne
2.2. Formation ร la lecture de documents techniques
3.Simulateur de conduite automobile
3.1. Les informations de la sociรฉtรฉ conceptrice
3.2. Analyse au regard des apports thรฉoriques
3.3. Les contraintes du simulateur
3.4. Accompagnement
3.Synthรจse
TROISIEME PARTIE : APPROCHE ERGOLOGIQUE
1.Caractรฉristiques de lโรฉcart
1.1. Lโรฉcart est universel
1.2. Le contenu de lโรฉcart est toujours resingularisรฉ
1.3. Lโactivitรฉ renvoie ร lโactivitรฉ du corps-soi
1.4. Lโรฉcart renvoie ร un dรฉbat de valeurs
Lโactivitรฉ : rรฉsultat dโun dรฉbat
Usage de soi
Activitรฉ et langage
Synthรจse sur lโapproche ergologique
Rรฉflexion sur ยซ lโanalyse de lโactivitรฉ ยป
QUATRIEME PARTIE : ENQUETES SUR LE TERRAIN
1.Mรฉthode de recueil des donnรฉes : lโinstruction au sosie
2.Activitรฉ de lโapprenant sur simulateur automobile
2.1. Des apprenants singuliers
2.2. Le prescrit
2.3. Ecart entre prescrit et rรฉel
2.4. Rรดle de lโaccompagnateur pour lโapprenant
2.5. Synthรจse des interviews des apprenants
3.Activitรฉ de lโaccompagnateur
3.1. Mon instruction au sosie
3.2. Instruction au sosie de ma collรจgue
3.3. Synthรจse de lโactivitรฉ des accompagnateurs
4.Synthรจse des enquรชtes sur le terrain
CONCLUSION
1.Problรฉmatique et vรฉrification des hypothรจses
1.1. Les hypothรจses de dรฉpart
1.2. Comment lโapprenant apprend sur simulateur
1.3. Rรดle de lโaccompagnant
2.Synthรจse de mon parcours dans le D.U.R.F.
2.1. Pourquoi le D.U.R.F. ?
2.2. Mon parcours dans le D.U.R.F.
2.3. Le travail de mรฉmoire
3.Prolongements possibles
3.1. Prolongements thรฉoriques
3.2. Pistes dโorientation professionnelle
BIBLIOGRAPHIE
Annexe nยฐ1 : Fiche de prรฉcisions
Annexe nยฐ2 : Matrice G.D.E.
Annexe nยฐ 3 : Modรจles dโattestations
3.1. Attestation complรฉtรฉe et signรฉe par tous les interviewรฉs
3.2. Attestation complรฉtรฉe et signรฉe par les parents de GG, mineur
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