Anti-inflammatoires stéroïdiens ou glucocorticoïdes (Shorderet, 1994) 

Composition chimique

Les recherches antérieures signalent l’absence de flavonoïdes, de saponosides, de tanins et d’alcaloïdes dans la plante. (Kerharo et Adam, (1974).
Par contre la présence des quinones dans les écorces de tronc et de racines a été signalée avec un pourcentage plus élevé chez ces derniers (Kerharo, 1974).

Les différentes utilisations de Morinda geminata DC

Dans les régions sénégalaises d’aire de dispersion,sauf chez les Bassari et les Tendanké qui ne semblent pas lui accorder de valeur médicinale, le Morinda geminata DC est généralement très estimé pour l’action fébrifuge et antiictérique des racines (Kerharo, 1974).
Le décocté des feuilles qui aurait des propriétés antioedemateuses antientéralgiques, est souvent recommandé aux femmes venant d’accoucher, sans doute en raison de ses effets diurétiques et laxatifs.
En basse Casamance il a été signalé un traitement anti-lépreux à base d’écorce de tronc et de feuilles en association avec Vitex cuneata (Kerharo, 1974).
En Guinée les racines sont utilisées contre la fièvre jaune et la jaunisse, ainsi que la forme légère du paludisme. Elles sont prescrites aux enfants faibles comme une boisson ou une lotion. La décoction des racines est utilisée en Guinée comme émétique et laxative, elle est diurétique et efficace dans le traitement de la gonorrhée. (Kerharo, 1974).
En Guinée Bissau la décoction des écorces et des feuilles est utilisée contre les hépatites et le rhumatisme.
La décoction des feuilles est utilisée en traitement de l’hémoglobinurie bilieuse ; elle provoque la respiration et une diurèse abondante. L’infusion des feuilles est utilisée comme purgatif et tonique pour la digestion. Elle est efficacecontre la toux, les troubles des poumons et comme bain contre la fièvre.
Toujours en Guinée l’infusion des feuilles est utilisée contre les maux de tête sous forme de lotion et comme boisson contre les troubles gastriques.
La décoction des racines coupées et broyées est utilisée comme mordant de l’indigo pour la teinture artisanale du coton. On obtient différentes colorations suivant les proportions de mélange des principes colorants.

Autres utilisations de Morinda geminata DC en médecine traditionnelle guinéenne

C’est au cours d’un entretien avec les responsablesde l’ONG Fondation COMMAN-YOKPO, avec (FONDA-CY) comme sigle, constituée de tradipraticiens installée à Lola centre et à la Station de recherche des Monts Nimba en République de Guinée que j’ai reçu les informations qui suivent. Elles rappellent également que Morinda geminata DC est utilisé contre les affections suivantes : Fièvre, Ictères, l’hémoglobinurie bilieuse et la toux.
L’ONG utilise le matériel végétal sous certaines formes et extraits dans le traitement de certaines affections :
– Les feuilles réduites en alcoolatures luttent contre la fièvre.
– Les écorces de tige et de racines réduites en alcoolatures luttent également contre la fièvre.
– Les racines et tiges carbonisées et associées au sel gemme et aux graines réduites de Aframomum meleguita luttent contre les règles douloureuses et la dysenterie amibienne, avec comme dose journalière une cuillerée a soupe du produit dans une cuillérée à soupe d’huile rouge (huile de palme).
– La poudre carbonisée des tiges et des racines est prise dans du miel, une cuillerée matin et soir contre la dysenterie.
– Les feuilles séchées en 12 heures (semi-sèches) réduites (sont prises) en alcoolature ou en édulcoration contre le paludisme et contre les douleurs gastriques.
– Les écorces de tronc ou de tige et celles de Holarrhena africana en édulcoration (dans du miel) luttent contre l’ulcèregastrique.
– Les feuilles fraiches en fumigation luttent contre le paludisme.
– Les racines de Morinda geminata DC et de celles de l’Holarrhena africana les deux carbonisées luttent contre le prolapsus interne.
– Les racines de Morinda geminata DC et celle de l’Holarrhena africana en alcoolature luttent contre la blennorragie.
Aucun tradipratitien n’a encore signalé la toxicitédes différents organes de Morinda geminata DC. Même s’il y aurait, toxicité elle n’est pas remarquable.

GENERALITES SUR QUELQUES METABOLITES SECONDAIRES TROUVES DANS LES PLANTES

Les métabolites primaires sont des molécules organiques qui se trouvent dans toutes les cellules de l’organisme d’une plante pour y assurer sa survie. Ils sont classés en quatre grandes catégories : les glucides, les lipides, les acides aminés et les acides nucléiques.
Les métabolites secondaires sont des molécules ayant une répartition limitée dans l’organisme de la plante. Ils y jouentdifférents rôles, dont celui de moyen de défense contre les agresseurs externes. Ils sont nécessaires pour pour la défense de l’espèce contre les agents pathogènes ou les prédateurs et à la survie de la plante (HARTMANN, 2007).
Les produits du métabolisme secondaire sont en trèsgrand nombre, plus de 200 000 structures définies (HARTMANN, 2007) et sont d’une variété structurale extraordinaire mais sont produits en faible quantité. Ces molécules marquent de manière originale, une espèce, une famille ou un genre de plante et permettent parfois d’établir une taxonomie chimique. Les composésphénoliques, les terpénoïdes, les stéroïdes et les alcaloïdes sont des exemples demétabolites secondaires ; ils ont de nombreuses applications pharmaceutiques.
C’est grâce à l’utilisation de techniques de plus en plus puissantes de séparation et de détermination structurale que de nombreux métabolites secondaires des plantes sont connues et exploités. Parmi ces techniques on distingue la chromatographie liquide haute pression (CLHP), le couplage CPG/Masse ou HPLC/Masse, la RMN mono et bidimensionnelle, la spectroscopie UV-visible etc….
Pendant ces dernières décennies, des évidences expérimentales ont clairement établi que de nombreux métabolites secondaires possèdent des fonctions qui sont vitales pour la morphologie de la plante qui les secrète. Les rôles principaux sont :
La défense contre les herbivores (insectes, vertébrés)
La défense contre les mycètes et les bactéries
La défense contre les virus
La défense contre d’autres plantes pour la compétition sur la lumière, de l’eau et des nutriments
Des composés de signal pour attirer les polinisateurs et pour entraîner la dispersion des animaux
Des signaux pour la communication entre les plantes et les microorganismes symbiotiques (Rhizobia ou micorhize)
La protection contre la lumière UV ou d’autres stress physiques (wink, 1999).
Les métabolites secondaires proviennent principalement de trois grandes voies de formation (HARBORNE 1976 ; HARBORNE 1988 ; NACOULMA 1996) :
Voie des terpènes : monoterpènes, iridoïdes, sesquiterpènes, diterpènes, triterpènes, tétraterpènes et stéroïdes.
Voie des polyphénols : phénols, polyphénols, flavonoïdes, coumarines, tanins, quinones.
Voie de l’azote : acides aminés non protéiques, alcaloïdes, bétalaïnes, hétérosides, cyanogénétiques, glucosinolates, glycoalcaloïdes, glycoprotéines.
Ils sont classés en trois (3) classes chimiquement distinctes : les terpènes, les phénoliques et les composés azotés.
Dans ce chapitre, nous présenterons les composés anthracéniques, les saponosides et hétérosides cardiotoniques qui constituent les catégories les plus importantes des métabolites secondaires retrouvés dans nos extraits. Néanmoins nous parlerons de certains métabolites non moins importants, bien que le screening chimique n’a pas révélé leur présence dans nos extraits. Ce sont : Les alcaloïdes, les flavonoïdes et les tanins entre autre.

Composés azotés : cas des Alcaloïdes

Définition

Le terme d’alcaloïde a été introduit par W. MEISNER au début du XIXème siècle. La définition admise des alcaloïdes est celle donnée par (WINTERSTEIN, 1910).
Un alcaloïde est un composé organique naturel (le plus souvent d’origine végétale), hétérocyclique avec l’azote comme hétéroatome, de structure moléculaire complexe plus ou moins basique et doué de propriétés physiologique prononcées même à faible dose (BRUNETON 1999 ; ZENK 2007). Représentant un groupe fascinant de produitsnaturels, ils constituent un des plus grands groupes de métabolites secondaires avec près de 10 000 à12 000 différentes structures (ROBERT 1999 ; STÖCKIGT 2002).

Classification et biosynthèse

Les alcaloïdes sont des substances azotées basiques, d’origine naturelle à structures complexes. Certains alcaloïdes dérivent soit des acides aminés (alcaloïdes vrais), soit des terpènes (alcaloïdes terpéniques ou proto-alcaloïdes).
D’autres sont des amines simples où l’atome d’azote n’est pas inclus dans un système hétérocyclique (cas des pseudu-alcaloïdes) (BRUNETON 1993). La figure 1 donne quelques structures des alcaloïdes pyrrolidiniques,quinazoliniques, et indoliques constituent un groupe des alcaloïdes que l’on retrouve dans les Malvaceae (NACOULMA 1996 ; KAROU 2005).

Activité biologique

Les alcaloïdes agissent sur le système nerveux central comme dépresseurs, comme stimulant ou sur le système autonome comme sympathomimétique, parasympathomimétique, anti-cholinergique. Ils sont aussi curarisants, anesthésiques locaux, antifibrilants et amoebicides (BRUNETON 1993 ; CHRISTINA 2003 ; NACOULMA 1996 ; KAROU 2005). Ils jouent le rôle écologique de défense contre des herbivores, ils trouvent cependant plusieurs applications pharmaceutiques chez l’homme : vincaleucoblastine, vincristine,taxol, camptothecine.

Les Polyphénols

Les Tanins

La chimie de ces composés est très complexe. La distinction faite dans la littérature entre les tanins hydrolysables et condensés est basée sur le fait que les acides ou les enzymes peuvent hydrolyser les composants ou ils peuvent condenser les composants en polymères. Selon la structure, les tanins sont divisés en deux groupes : les tanins condensés (tanins catéchiques = proanthocyanidols) qui sont des polymères d’unités de flavan-3-ols et les tanins hydrolysables. Les gallotanins et les ellagitanins sont des esrers d’acides galliques ou ses dimères d’acide digallique, d’acide ellagique avec du glucose ou polyols Les proanthocyanidines sont des oligomères de 3-flavanols (catéchine) et de 3-4.flavandiols (leucoanthocyanidines). Ces composés phénoliques sont biosynthétisés par l’intermédiaire de l’acide shikinique ou la voie de l’acétate.

Les flavonoïdes

Les flavonoïdes sont des composés qui sont responsables de la couleur des fleurs, des fruits et parfois des feuilles. Le nom provient du latin flavus qui signifie jaune. Certains peuvent contribuer à la couleur en agissant comme co pigment. Les flavonoïdes protègent la plante contreles effets nocifs des rayons ultra-violets(UV) et jouent un rôle dans la pollinisation par attraction des animaux par leurs couleurs. Le 2-phényl chromane est l’élément structural de base de tous les flavonoïdes (BRUNETON 1993 ; NACOULMA 1996).
Biosynthétiquement ils sont dérivés d’une combinaison de l’acide shikimique et de la voie acétate. On distingue plusieurs sous groupes de flavonoïdes selon les petites différences dans les substitutions de la structure de base. Dans la plante les flavonoïdes peuvent se produire comme aglyconesou en tant que o- ou C- glycoside.

Les hétérosides ou anthracénosides

Les gémines sont liés en 6 et 8 (rarement en 1) à et plusieurs oses. Selon la nature de la liaison on aura des O- ou des C-hétérosides (conférer flavonoïdes).
Il y a des différences notables de composition entre les plantes fraîches et les drogues sèches. Dans le végétal frais, les principaux anthracéniques sont majoritairement de forme d’hétérosides d’anthrones monomères. Au cours de la dessiccation ; deux processus de transformation entrent en jeu : . L’oxydation qui donne des hétérosides anthraquinoniques (le glucofrangularside conduit au glucofrangulosides).
Des dimérisations : dans le cas du séné, il a été démontré que la dimérisation est une réaction enzymatique qui s’observe que si le séchage est effectué à température modérée (40°C) ; à 100°C il n’y a pas de dimérisation.

Biogenèse

Les génines anthracéniques résultent de la cyclisation d’une chaîne octoacétate. Partant du fait que les anthraquinones sont les produits d’oxydation de composés phénoliques, il semblerait que la voie acétique serait à la base de la formation de tels dérivés à la suite d’une polycondensation de la molécule acétique. La dernière étape se traduit par une énolisation et une oxydation de la molécule donnant naissance aux dérivés anthracéniques.

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Table des matières
DEDICACE 
HOMMAGE
CITATIONS 
REMERCIEMENTS 
SIGLES ET ABREVIATIONS 
RESUME 
ABSTRACT 
LISTE DES PHOTOS
LISTE DES FIGURES 
LISTE DES TABLEAUX 
INTRODUCTION GENERALE 
PREMIERE PARTIE
I : SYNTHÈSE BIBLIOGRAPHIQUE
I.1. CARACTERES GENERAUX DES RUBIACEAE
I.1.1. Les feuilles
I.1.2. Les fleurs
I.1.3. Les fruits
I.1.4. Classification
I.2. ETUDE BIOSYSTEMATIQUE DE Morinda geminata CD Rubiaceae
I.2.1. Etude spéciale de Morinda geminata DC
– De la même tribu (les Morindees)
– Noms communs en langues étrangères
– Noms en langues nationales ouest africaines
I.2.2. Etude descriptive de Morinda geminata DC
I.2.3. Distribution géographique
I.2.4. La composition chimique
I.2.5. Les différentes utilisations de Morinda geminata DC
I.2.6. Autres utilisations de Morinda geminata DC en médecine traditionnelle guinéenne
I.3 – GENERALITES SUR QUELQUES METABOLITES SECONDAIRES TROUVES DANS LES PLANTES
I.3.1.1. Composés azotés : cas des Alcaloïdes
I.3.1.1. Définition
I.3.1.2. Classification et biosynthèse
I.3.1.3. Activité biologique
I.3.2. Les Polyphénols
I.3.2.1. Les Tanins
I.3.2..2. Les flavonoïdes
I.3.3. Terpénoïdes
I.3.3.1 Les Saponosides
− Définition
I.3.3.2. Structure des saponosides
I.3.3.3. Biogenèse des saponines
I.3.3.4. Propriétés physico-chimiques
I.3.4. Les Hétérosides cardiotoniques
I.3.5. Les Hétérosides anthracéniques
I.3.5.1. Généralités sur les hétérosides anthracéniques
– Définition et structure
a) Les génines de nature
b) Les hétérosides ou anthracénosides
I.3.5.2. Biogenèse
I.3.5..3. Propriétés pharmacologiques
I.3.5.4. Métabolisme intestinal
I.4. INFECTIONS MICROBIENNES
I.4.1. Infection à Escherichia coli
I.4.2. Infection à Salmonelles
I.5. GENERALITES SUR LE DIABETE
I.51. Définition
I.5.2. Historique .
I.5.3. Classification
I.5.3.3.1. Les diabètes primaires
I.5.3.3.2. Le diabète de type 1
I.5.3.3.3. Le diabète de type 2
I.5.3.3.4. Le diabète gestationnel
I.5.5.3.5. Les diabètes secondaires
I.5.5.3.6. Complications du diabète
I.6. GENERALITES SUR L’INFLAMMATION
I.6.1. Définition
I.6.2. Les causes de l’inflammation (Prin 2002
I.6.2.1. Réactions inflammatoires
I.6.2.2. Les différentes réactions inflammatoires
I.6.2.3. Les phases de l’inflammation
I.6.2.3. Les anti-inflammatoires
– Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
– Les anti-inflammatoires stéroïdiens ou gluco-corticoïdes (AIS)
I.6.2.4. Mécanisme d’action des anti-inflammatoires
I.6.4.1. Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
I.6.4.2. Anti-inflammatoires stéroïdiens ou glucocorticoïdes (Shorderet, 1994)
I.6.5. Méthodes d’évaluation de l’activité anti-inflammatoire
I.6.5.1. Inflammation locale de l’oreille
I.5.5.2. Œdème à la carragheen selon WINTER
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE – I. MATERIEL ET METHODES
II.1. Matériel
II.1.1. Matériel végétal
II.1.2. Matériels de laboratoire
II.2. Méthodes utilisées
II.2.1 Méthodes d’extraction
II.2.1.1.Extraction solide – liquide
II.2.1.2.But
II..2.1.3. Principe et paramètres importants
II.2.1.4. Extraction liquide-liquide
II.2.1.4.1 But
II.2.1.4.2. Principe
Extraction pour l’évaluation des activités (antibio-gramme et antidiabétique anti-inflammatoire)
Extraction pour la caractérisation par CCM
Schéma d’extraction pour caractérisation CCM
Extraction pour l’évaluation des saponines
Extraction des saponosides à partir de Morinda geminata DC pour CCM
Schéma d’extraction des saponosides de M.g
Extraction des saponosides de Balanites aegyptiaca comme témoin
Extraction du témoin des hétérosides
cardiotoniques
Schéma d’extraction des saponosides du Balanites agyptiaca
Schéma d’hydrolyse des extraits de Motinda gemlnataDC et du Balanites agyptiaca
Extraction des alcaloïdes
Extraction des flavonoïdes
Extraction des tanins
II.2.2. Méthodes d’analyse
II.4. TECHNIQUES DE CARACTERISATION PHYTOCHIMIQUE
II.4.1. Recherche et caractérisation des hétérosides anthracéniques
Principe
Caractérisation
Réaction à l’acétate de magnésium
Identification spécifique par chromatographie sur couche mince (CCM)
II.4.1.1.Dosage des génines totales (Pharmacopée européenne)
Schéma du dosage des génines totales anthracéniques
II.4.2. Recherche et caractérisation et des hétérosides cardiotoniques
Caractérisation générale
Principe
Mode opératoire
Identification par chromatographie
II.4.3. Recherche et caractérisation des saponosides
− Caractérisation par mesure de l’indice de mousse
− Chromatographie sur couche mince des saponines de Morinda geminata DC
II.4.4. Recherche et caractérisation des alcaloïdes
Caractérisation générale
Mode opératoire
II.4.5. Recherche et caractérisation des hétérosides flavoniques
Caractérisation générale
Coloration en milieu alcalin
Principe
Mode opératoire
Coloration par le perchlorure de fer
Principe
Mode opératoire
Réaction à la cyanidine
Principe
Mode opératoire
II.4.6. Recherche et caractérisation des Tanins
Caractérisation générale
Caractérisation par le chlorure ferrique
Caractérisation par l’acide phosphotungstique
Différenciation des tanins
Principe
Mode opératoire
Oxydation des tanins condensés
II.5. – Techniques d’évaluation de l’activité d’antibactérienne
II.5.1. Recherche sur la dose létale
II.5.2. Préparation des souches bactériennes
II.5.3. Méthode d’incorporation en Gélose
II.6.Techniques d’évaluation de l’activité antidiabétique
‒ Critère d’inclusion
‒ Critère d’exclusion
II.6.1. PROTOCOLE EXPERIMENTAL
II.6.1.1.Modèles d’étude
II.6.1.2. Diabète de type 2
II.6.1.3. Essais chez les rats normoglycémiques
II.6.1.4. Essais chez des rats diabétiques de type2
‒ Expression des résultats et analyse statistique
II.7. Techniques d’évaluation de l’activité anti-inflammatoire
II.7.1.Protocole d’étude
II.7.1.1.Principe
Méthode expérimentale
II.7.1.2. Evolution de l’œdème
II.7.1.3. Evaluation de l’activité anti-inflammatoire
CHAPITRE – II. LES RESULTATS
Rendements d’extraction
II.II.1. Résultats du criblage phytochimique
II.II.1.1. Résultats du criblage chimique
II.II.1.1.1. Résultats de caractérisation des hétérosides flavonoïques
II.II.1.1.2. Résultats de caractérisation des tanins
II.II.1.1.3. Résultats de caractérisation des alcaloïdes
II.II.1.1.4. Résultats des essais de caractérisation des hétérosides anthracéniques
Réaction à l’acétate de magnésium
Identification par CCM
II.II.1.1.4.1.Dosage des génines totales
II.II.1.1.5. Résultats de caractérisation des hétérosides
Cardiotoniques
Chromatographie Préparative
II.II.1.1.6. Résultats de caractérisation des saponosides
‒ Identification par CCM
II.II.2. Résultats des tests biologiques
II.II.2.1.7.1.Résultats des tests antibactériens
II.II.2.I.7.2. Résultats des tests antidiabétiques
II.II.2.1.7.3. Résultats de l’étude de l’activité anti-inflammatoire
CHAPITRE III. DISCUSSIONS ET INTERPRETATIONS
CONCLUSION ET PERSPECTIVES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 
ANNEXES

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